Samuel présente
Tome 3
La manne spirituelle des derniers marcheurs adventistes
en chemin
vers la Canaan céleste.
Arrivée, le
Mercredi 20 Mars 2030.
« Quel
est donc le serviteur fidèle et prudent, que son maître a établi sur ses gens,
pour leur donner la nourriture au temps convenable ?
Heureux ce
serviteur, que son maître, à son arrivée, trouvera faisant ainsi !
Je
vous le dis en vérité, il l'établira sur tous ses biens. »
Matthieu 24 : 45 à 47
Index des
thèmes traités en fin d’ouvrage
La
manne spirituelle des derniers marcheurs adventistes
Tome
3
Prolongation
des révélations divines reçues depuis le 07/03/2020
Les
nouveaux messages inspirés continuellement par Dieu
Messages
de l’auteur
Selon qu’il est
écrit dans Apo.2:26 : « A
celui qui vaincra, et qui gardera jusqu'à
la fin mes œuvres, je donnerai autorité sur les nations. », Jésus-Christ
fait partager à son serviteur, son prophète, la connaissance de son jugement
sur toutes choses, telles que les sujets, religieux, politiques et économiques.
Car il fait accomplir ses projets en agissant dans tous ces domaines qui
régissent l’humanité.
Parmi
les œuvres de Jésus-Christ, se trouve l’inspiration constante de sa lumière,
aussi importante pour la vie spirituelle de ses élus, que le fut la manne
donnée chaque jour aux Hébreux rassemblés par Dieu au désert du Sinaï.
Ceux
qui la cherchent trouveront dans les articles écrits dans cet ouvrage, la
garantie d’une pensée divine authentique, qui m’engage en tant que témoin, et
qui les responsabilise devant Dieu et son saint suprême jugement. Car le refus
de sa lumière est cause d’une rupture de relation entre lui et sa créature.
L’inspiration
révélée dans ces lignes n’est que l’accomplissement de la promesse faite par
Jésus à ses serviteurs, dans Mat.28:18 à 20 où, pour soustraire ses
interlocuteurs au doute, il est écrit : « Jésus, s'étant approché, leur parla ainsi: Tout pouvoir m'a été donné
dans le ciel et sur la terre. Allez, faites de toutes les nations des
disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je
vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin
du monde.»
Après
avoir présenté dans « Explique moi Daniel et Apocalypse » l’étude
détaillée, verset après verset, de ces prophéties divines, je présente dans cet
ouvrage, selon l’inspiration divine du moment, des analyses de synthèse sur des
thèmes traités dans ces prophéties, mais aussi sur l’actualité du moment. Ce
regard englobant est riche et il favorise la maîtrise de la compréhension
offerte par Dieu au nom de Jésus-Christ. Ces témoignages nouveaux ont pour lui
autant de valeur que les premiers et pour ses élus, ils rendent clair et
compréhensible ce qui était crypté et impénétrable.
J’ajoute
que dans les temps difficiles que nous allons devoir traverser, la connaissance
de ces articles fera toute la différence pour obtenir ou pas, du Christ, son
indispensable aide et son soutien divin pour vaincre comme il a vaincu. Car ses
élus sont invités à « garder ses
œuvres jusqu’à la fin » du monde, dans « la patience et la persévérance » qui caractérisent les vrais
« saints » de Dieu.
M1- Le réchauffement climatique
Ce sujet
brûlant de notre actualité de ce début de l’année 2025, marqué par l’incendie
aux USA de Los Angeles et avant lui, l’inondation de Valence en Espagne, va
recevoir dans ce message une divine explication.
Il est
écrit dans Luc 19:37 à 40 : « Et lorsque déjà
il approchait de Jérusalem, vers la descente de la montagne des Oliviers, toute
la multitude des disciples, saisie de joie, se mit à louer Dieu à haute voix
pour tous les miracles qu'ils avaient vus. Quelques pharisiens, du milieu de la
foule, dirent à Jésus : Maître, reprends tes disciples. Et il répondit :
Je vous le dis, s'ils se taisent, les pierres crieront ! »
Les
disciples de Jésus de ce moment étaient tous des Juifs israélites. Aussi, le
premier sens que Jésus donne à ces « pierres » qui « crieront »
désigne les païens qui allaient se convertir en bénéficiant de sa grâce, selon
ces paroles dites par Jean le baptiseur, dans Matthieu 3:9 : « et ne prétendez pas dire en vous-mêmes : Nous avons
Abraham pour père ! Car je vous déclare que de ces pierres-ci Dieu peut susciter des enfants à Abraham. »
Ce
message était hautement spirituel, mais un sens littéral peut également lui
être donné, et ceci par le témoignage écrit sur les murs des tombeaux des
pharaons égyptiens et d’autres vestiges antiques porteurs de messages qui
éclairent l’antiquité la plus lointaine.
Je viens
d’apprendre par un document télévisé que des recherches scientifiques conduite
dans le tombeau d’un des premiers pharaons de l’histoire de l’Egypte ont révélé
l’expérience d’un grand drame qui a pris la forme d’une famine au point que « les
femmes se sont mises à manger leurs enfants ». Le témoignage des
hiéroglyphes égyptiens s’arrête là. On trouve dans la sainte Bible un cas
similaire concernant une famine imposée à Israël, selon Lamentations
2:20 : « Vois, YaHWéH,
regarde qui tu as ainsi traité ! Fallait-il
que des femmes dévorassent le fruit de leurs entrailles, les petits enfants
objets de leur tendresse? Que sacrificateurs et prophètes fussent massacrés
dans le sanctuaire du Seigneur ?» Ce temps de Jérémie est comparable au notre,
les deux étant marqués par le châtiment final de la sainte alliance tombée dans
l’apostasie. Les sujets du pharaon ont mis son corps dans son tombeau en
compagnie des corps momifiés de tous ses fidèles soldats morts au combat, pour
sa cause. Or, une première analyse au carbone 14 de ces corps a permis de
situer leur mort vers 4200 avant notre temps actuel soit, 4200 BP
(Before : avant ; Present : maintenant). Une guerre civile avait
opposé les Egyptiens entre eux : Thèbes, au Sud, contre Héracléopolis, au
Nord dans le delta du Nil. D’autre part, des examens de « carottes »
prélevées dans le sol de l’Afrique tropicale ont tous révélé, par la présence
d’oxyde de fer, un temps de sécheresse exceptionnelle dû à une succession de 20
années sans pluie. Le document télévisé présente ces carottes de terre
conservées aux USA dans un laboratoire. Et effectivement on remarque sur
l’extrême base de ce long carottage, une zone où la terre rouge contient des
oxydes de fer. Ces prélèvements ont été effectués au Kilimandjaro, au Niger, et
les autres pays de la zone tropicale africaine mais aussi dans un lac égyptien
nommé Moéris, le prélèvement a été fait dans la vase du fond de ce lac. Et le
carottage révèle également la particularité de ces 20 ans de sécheresse absolue
et meurtrière située vers 4200 BP. Le lac était bien supérieur et grandement
étendue avant cette sécheresse exceptionnelle.
Ces
découvertes expliquent donc l’état désertique actuel de cette zone qui a été
avant 4200 BP, une terre herbeuse riche en faunes et en flores. Et ceci
explique la présence dans ces déserts de grandes pierres sur les faces
desquelles on trouve gravées des scènes de chasse et des animaux qui vivent
dans l’actuelle savane africaine, telles les gazelles, admirablement
reproduites.
Il a
donc suffit de 20 ans pour Dieu, pour que cette savane riche et luxurieuse se
transforme en un désert aride stérile mortel. Et pour obtenir ce résultat, il
lui a suffit de refuser la pluie du ciel que dans la savane actuelle, les
animaux attendent chaque fin d’été, moment où ils sont menacés de mort par la
sécheresse des étangs et des cours d’eaux. Pour les scientifiques, ces constats
s’arrêtent là et pour moi, c’est là que tout commence. Car ils n’attribuent pas
au Dieu créateur cette sécheresse, contrairement à moi. Et déjà, cette année, 4200
BP, représente l’an 1800 après le péché d’Adam et Eve. Or, le déluge d’eaux du
temps de Noé est rattaché à l’année 1655 que je préfère à l’année 1656 du
calcul mathématique pour une raison spirituelle : le nombre 1655 totalise
le nombre 17, symbolique du jugement de Dieu. Je situe la naissance d’Abraham
vers 1948. Or entre le temps du déluge et la naissance d’Abraham, la Bible
révèle l’expérience de Babel. C’est alors que la découverte de ce temps de 20
ans de grande sécheresse prend intérêt comme ayant pu justifier le grand
rassemblement humain à Babel. Car la Bible ne présente pas la cause de ce
rassemblement ordonné par le roi Nimrod. Avant Nimrod et ses contemporains, les
Akkadiens vivaient dans cette partie de la terre dirigés par le grand Gilgamesh.
Et leur disparition trouve une explication dans ces 20 années de sécheresse
mortelle. Les populations de la zone tropicale ont été décimées sur toute la
terre. Cette seconde punition divine après celle du déluge donne une bonne
raison aux survivants de chercher dans le regroupement, la possibilité de
réduire les causes de leurs affrontements meurtriers. Car, quand la sécheresse
s’intensifie, les cœurs humains sèchent également, et ils s’affrontent à mort
pour des disputes d’eaux devenues à ce point précieuses et vitales.
Le
témoignage des tombeaux égyptiens présente un autre intérêt ; les momies
des soldats sont de taille normale actuelle. Or, les huit personnes embarquées
dans l’arche avaient la taille antédiluvienne des géants. Leurs enfants allaient
naître en taille réduite actuelle rapidement et s’étendre sur la terre.
Cependant, Dieu fait une exception pour la terre de Canaan, où les Hébreux vont
retrouver des géants qui la peuplent. Dieu a voulu donner ce témoignage, afin
que ses « fils fidèles » croient à leur existence. En effet, nous
lisons dans Genèse 6:4 : «Les géants étaient sur la terre en ces temps-là,
après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu'elles
leur eurent donné des enfants : ce sont ces héros qui furent fameux dans
l'antiquité. »
Dieu explique ces choses à Moïse dont la taille est semblable à la notre. Moïse
a appris l’existence des géants qui ont épouvanté les espions hébreux envoyés
sur le sol de Canaan. Ce sont les « Anakims », les fils d’Anak. Et la
nature, elle-même, partageait la norme géante de sa population. Les Hébreux
portent à deux, une seule « grappe de raisin » selon
Nombres 13:23 : « Ils arrivèrent
jusqu'à la vallée d'Eschcol, où ils coupèrent une branche de vigne avec une grappe de raisin, qu'ils portèrent
à deux au moyen d'une perche ; ils prirent aussi des grenades et des figues. » Ainsi, dans son explication, Dieu dit à Moïse
que la taille géante était la taille normale de tous les antédiluviens car « l’antiquité »
citée dans ce verset concerne le temps antédiluvien. Mais la version de Louis
Segond supprime injustement les termes « et aussi » qui
donnent tout son sens à ce verset qui dit réellement : « Les
géants étaient sur la terre en ces temps-là, et aussi, après que les fils de Dieu furent venus vers les filles
des hommes… » Ainsi, dans ce verset
rectifié, Dieu dit à Moïse que l’apostasie obtenue par les alliances par
mariage des deux lignées humaine de Caïn et de Seth n’ont pas eu d’incidence
sur la taille géante des humains antédiluviens ; « les fils de Dieu » étant la lignée
de Seth, et « les filles des hommes »
désignant la lignée rebelle de Caïn. Et les noms des héros de ce temps antédiluvien
ne nous sont pas révélés, ils ont disparus, noyés par les eaux du déluge.
Seuls, Noé et sa famille avaient cette connaissance qu’ils n’ont pas fait
partager aux postdiluviens. Elle était devenue inutile. Et les nouveaux héros
furent les Akkadiens de Gilgamesh, puis Abraham le serviteur et prophète de
Dieu. Les derniers géants de Canaan devaient être détruits par Dieu devant
l’avancée de son peuple Israël. Et l’un des tous derniers du genre, nommé
Goliath, était philistin et fut tué par la pierre lancée par la fronde du jeune
David.
Géante,
grande ou petite, la vie humaine ne dépend que du bon vouloir de Dieu qui donne
vie ou mort selon sa justice et son jugement suprême.
La
découverte de l’existence de ces 20 années de sécheresse absolue de la zone
tropicale terrestre nous donne donc la cause de l’existence de son aspect
désertique, aride et stérile. Il est évident qu’en 4200 BP (anglais :
Before Present : avant maintenant), les hommes ne produisaient aucune
pollution atmosphérique, et ils étaient soumis et dépendants des lois imposées
par la nature. La cause du châtiment infligé était donc spirituelle et divine,
car rapidement après le déluge, l’humanité nouvelle est redevenue rebelle et
idolâtre. Ceci, à un tel niveau, que Dieu a encore été contraint de la frapper
de mort localement et partiellement.
En
agissant ainsi, Dieu a voulu laisser, par cet aspect de désert, le témoignage
historique de son action punitive. Et ce témoignage nous permet de comprendre
la cause du réchauffement climatique qui frappe la terre entière depuis quelques
années en notre époque du temps de la fin. Que l’homme souille et pollue la
création de Dieu n’est pas contestable et pas ignoré. Cependant, ces seules
actions humaines sont incapables de provoquer un changement du climat
universel. Des témoignages scientifiques confirment une intensification du
rayonnement solaire, mais cette explication est écartée par les groupes
« écologistes » qui préfèrent l’explication des pollutions humaines
qu’ils combattent politiquement. Et ce choix est très compréhensible, car les
humains incrédules sont incapables d’expliquer la cause de l’intensification du
feu solaire. Ils se replient donc sur des causes provoquées par l’homme.
Là
encore, c’est la foi au Dieu créateur qui fait toute la différence. Pour ses
élus enseignés et instruits de sa connaissance, le voir réagir, n’a rien
d’étonnant. Et pour ces élus, la chose est facilitée puisqu’ils constatent
l’intensification du mal qui s’étend sur toute la terre, gagnant tous les
esprits humains naturellement rebelles et contestataires. Nos rebelles
contemporains vont disparaître en grand nombre, tués au cours de la « sixième
trompette » ou Troisième Guerre Mondiale qui vient. Mais, selon
Apocalypse 16:8-9, Dieu réserve aux rebelles survivants, par le « quatrième » de ses « sept derniers fléaux », une chaleur
solaire extrême : « Le quatrième
versa sa coupe sur le soleil. Et il lui fut donné de brûler les hommes par le
feu ; et les hommes furent brûlés par une grande chaleur, et ils blasphémèrent
le nom du Dieu qui a l'autorité sur ces fléaux, et ils ne se repentirent pas pour lui donner gloire. » La fin
de ce verset impute au refus de « donner gloire » au Dieu
créateur la cause de ce châtiment solaire. Elle éclaire donc en même temps, la
cause du réchauffement climatique que nous constatons actuellement. C’est alors
que nous trouvons dans Apocalypse 14:7 l’évocation de cette exigence divine
rattachée aux deux dates 1843 et 1844 : « Il disait d'une voix forte : Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car
l'heure de son jugement est venue ; et adorez celui qui a fait le ciel, et la
terre, et la mer, et les sources d'eaux. » Ce verset exige le respect
du quatrième des dix commandements qui concerne la pratique hebdomadaire du
repos du septième jour sanctifié par Dieu dès la création du monde et de la
dimension terrestre. Mais ce verset s’achève en citant « les sources d’eaux ». Dieu nous
rappelle ainsi notre besoin vital de ces « sources d’eaux » qu’il fait tarir en premier en signe de sa
malédiction. Et ces « sources d’eaux »
sont littéralement et spirituellement vitales pour l’élu humain. Littéralement,
parce que notre corps physique composé de 75 % d’eau ne peut pas survivre sans
être réhydraté après trois jours, en moyenne généralisée ; et
spirituellement, parce que la foi humaine nécessite d’être étanchée par la
vérité biblique enseignée par Dieu dans sa sainte Bible uniquement. C’est elle
qui sert de référence à tout ce qui reçoit le nom de « vérité ».
Les
deux choses sont donc indissociables et nous enseignent que la disparition de
l’eau est parallèle à la disparition de la vérité dans les esprits humains.
Cependant, Dieu n’agit avec puissance et force sur cette privation d’eau que
dans des moments choisis par lui pour adresser un message solennel, un
avertissement salutaire, aux êtres humains rebelles et contestataires séduits
et esclaves de leur liberté liberticide.
Dans
cette liberté outrancière, les papes du catholicisme romain ont osé lutter
contre la diffusion de la sainte Bible et se sont odieusement avec « arrogance » permis de modifier
le texte de ses dix commandements écrits dans Exode 20. Ils ont religieusement
légitimé l’abandon du vrai sabbat imposé par l’empereur Constantin en 321, et
ont consacré au repos hebdomadaire à sa place, le premier jour dédié dans le
paganisme romain au dieu solaire qu’ils nommaient « sol invictus »
soit, le « soleil invaincu ». Tu peux ainsi mieux comprendre,
pourquoi après la fin du temps de grâce, le « quatrième fléau » s’accomplit par la brûlure du soleil
véritable créé par Dieu, qui cause ainsi de terribles souffrances à ses
adorateurs païens et faussement chrétiens catholiques et protestants. Et le cas
des protestants est encore plus indigne et plus coupable parce qu’ils ont
accès, comme le clergé catholique actuel, à la sainte Bible et se réfèrent à
elle pour justifier leur doctrine de foi. Dans la comparaison des deux cas, les
membres adeptes du catholicisme romain apparaissent comme étant les victimes
d’une ignorance biblique, ce qui n’est pas le cas des adeptes des religions protestantes
que l’adventisme apostat a rejoint officiellement en 1995.
Sur
la terre, les êtres humains sont conduits à apprécier fortement le soleil qui
les éclaire, les réchauffe et fait pousser les graines et les plantes.
L’appréciation est si forte, qu’exploitant la situation, le diable leur inspire
l’idée de le diviniser. Et c’est facile, parce qu’ils pensent qu’ils lui
doivent tout, la vie, la croissance et la douce chaleur. Une analyse poussée de
la création terrestre montre que Dieu a prévu ce type de situation et qu’il l’a
rendu illégitime dès que le péché de désobéissance a été accompli par Adam et
Eve.
La
création terrestre enseigne des leçons spirituelles cachées de haute
importance. Regardons ce soleil que Dieu a créé après la terre, au 4ème
jour. La terre présente donc une valeur supérieure à celle du soleil. C’est une
immense boule de feu dans lequel se renouvellent sans cesse des millions d’explosions
nucléaires. A une distance calculée et choisie par Dieu, la terre tourne autour
de lui, bénéficiant de ses rayons lumineux et chauds. Sans saison ni cycle de
saisons, le temps s’écoule régulièrement en alternant 12 heures de jour et 12
heures de nuit. Pour obtenir ce résultat, la terre tourne sur elle-même sur un
axe Nord-Sud vertical à 90°. Sous cette condition, la rotation autour du soleil
ne change rien, mais tout change à cause du péché commis par Eve et Adam. Dieu
donne à l’axe de la terre une inclinaison de 23°. Mais ce qu’il nous faut
relever, c’est que cet axe reste continuellement orienté vers la même
direction, indépendamment du soleil autour duquel elle tourne, et tourne en
même temps sur elle-même sur son axe polaire. Cette condition créée par Dieu
est inexplicable humainement. Car, Dieu nous donne l’impression que sa main ou
son esprit céleste maintient la terre dans son orientation vers lui, en la
rendant indépendante du soleil. Celui-ci prend du coup l’aspect d’un instrument
utilisé par Dieu et non celui d’une divinité indépendante. Grâce à ce principe
d’inclinaison et de maintien de son orientation vers la même direction au cours
de son tour du soleil, Dieu a créé le principe des quatre saisons : le
printemps, l’été, l’automne et l’hiver. Quand l’hémisphère Sud est le plus
proche du soleil, c’est l’été et au même moment l’hémisphère Nord est en hiver.
Six mois plus tard, le processus est inversé. Les deux saisons intermédiaires
du printemps et de l’automne présentent le même rapport envers le soleil. C’est
donc Dieu qui a établi selon sa volonté la saison du commencement du cycle saisonnier
et qui a choisi de l’appeler : Printemps soit, premier temps. Ainsi, c’est
l’établissement du péché qui provoque le renouveau du temps de la grâce divine.
Le
rôle de l’humanité commence seulement après le péché qui va permettre à Dieu de
démontrer son amour pour ses créatures dans son incarnation en Jésus-Christ. A
noter que le cycle saisonnier est perçu par tous les habitants de la terre, où
qu’ils se trouvent mais de manières différentes selon leur position
longitudinale. Dieu a voulu inscrire dans sa création l’offre universelle de
son salut. En constatant le cycle saisonnier, les êtres humains ont tous la
preuve de la première conséquence du péché originel.
C’est
dans l’été de l’hémisphère Nord, que le lieu le plus proche du soleil est le
tropique du Cancer qui passe par la Mauritanie, le Mali, l’Algérie, la Libye, l’Egypte
et l’Arabie, là où l’islam est apparu. Ces pays sont frappés à 90° par le
rayonnement solaire, et c’est cette zone du type savane que Dieu a changé en
désert en 20 ans de sécheresse continue en 4200 BP. Dieu a choisi de faire
naître l’islam dans cette latitude marquée par la mort végétale et animale.
Malgré ses horribles péchés, la zone européenne n’a pas été marquée par ce
signe symbolique du désert. Dieu a voulu marquer la différence entre les lieux
où la foi chrétienne est représentée, même si elle y est mal représentée, et
les lieux où elle est rejetée et combattue ouvertement.
Quand
le soleil chauffe l’air terrestre et son sol, l’été approche préparant de
terribles orages images de la colère divine. Avec le temps, les esprits humains
s’échauffent au point de s’affronter, emportés par leur colère. Ceci, en sorte
que le réchauffement climatique actuel ne fait qu’accompagner « l’irritation
des nations » prophétisée dans Apocalypse 11:18 : « Les
nations se sont irritées ; et ta
colère est venue, et le temps est venu de juger les morts, de récompenser tes
serviteurs les prophètes, les saints et ceux qui craignent ton nom, les petits
et les grands, et de détruire ceux qui détruisent la terre. »
En
nos jours actuels, nous pouvons de jour en jour, mieux comprendre la cause de
cette « irritation des nations ». Les populations occidentales
assistent, sans pouvoir les empêcher, à la venue au pouvoir de dirigeants
« dictateurs » dans de grandes nations telles que la Russie, la
Chine, l’Inde, et même, encore plus étonnant et inquiétant, aux USA, après le Brésil.
L’ordre, la norme et les valeurs adoptés par les démocraties occidentales sont
remis en cause par ces puissances terrestres nouvellement développées. Et je
dois encore le rappeler, mais à elles deux, l’Inde et la Chine représentent 3
milliards d’êtres humains ; leurs avis et leurs désirs méritent donc
d’être pris en compte et respectés, quels qu’ils soient.
Et
oui, l’orage est une authentique expression de la colère divine, le signe de sa
colère personnelle que l’homme peut ignorer à cause de son invisibilité.
L’orage est produit par le contact entre de l’air très chaud et de l’air très
froid. Deux contraires s’affrontent comme Dieu et le diable, le vrai et le
faux, le bon et le mauvais. Et dans ce contact, des éclairs persistants
semblent vouloir déchirer la voute céleste. S’ajoute à cela, le terrifiant
grondement ou fracas du « tonnerre » selon que le lieu de
contact de la foudre avec le sol terrestre est éloigné ou pas. Dans Apocalypse
10:3, Dieu compare sa voix aux « sept tonnerres », confirmant ainsi
mon explication : « et il cria
d'une voix forte, comme rugit un lion. Quand il cria, les sept tonnerres firent entendre leurs voix. » Note que
l’homme est plus épouvanté par le fracas du tonnerre que par l’éclair de la
foudre qui est le vrai danger. Celui que la foudre du ciel frappe n’entend pas
le tonnerre, il est déjà mort. Le bruit du tonnerre n’est donc destiné qu’à
rappeler aux êtres humains qui se détournent de lui, la toute puissance du Dieu
créateur qui le crée et l’utilise. Mais les hommes s’éloignent toujours plus de
la possibilité de comprendre le sens de ces choses dont ils connaissent le
principe et son fonctionnement de manière scientifique.
Le
réchauffement climatique que nous constatons en notre époque n’est donc pas dû
essentiellement aux pollutions produites par les hommes mais par la toute
puissance du Dieu créateur qui a déjà donné un exemple de ce que sa colère peut
faire, il y a 4200 années dans la zone tropicale africaine et arabique, depuis
islamisée, sur le tropique curieusement nommé « tropique du Cancer ».
Pour désigner un lieu frappé par la mort, on ne peut, ni mieux faire ni mieux
dire.
M2- Le peuplement de la terre
Cette
étude porte notre attention sur le récit de la Genèse et sur le symbolisme
prophétique des éléments créés cités.
Le
lecteur normal de la Bible est loin d’imaginer la richesse de l’enseignement
donné dans Genèse 1 et 2. Et ce qu’il faut relever, c’est l’ordre chronologique
dans lequel les éléments de la vie terrestre sont présentés, car Dieu va
utiliser pour sa dernière prophétie biblique, Apocalypse, ces éléments pour
prophétiser l’ordre dans lequel les entités masquées prophétisées vont se
présenter au cours du troisième tiers des 6000 ans d’histoire humaine
terrestre.
La
première idée à retenir, c’est que cette construction de la dimension terrestre
démarre sur une page noire. Rien ne préexiste de tout ce que Dieu va créer.
Cette dimension terrestre est illimitée comme son Créateur divin. Et de même
qu’un peintre porte sur une toile sa première touche du pinceau, Dieu crée dans
cette dimension illimitée, la terre. Elle n’a alors que l’apparence d’une
énorme boule d’eau et Dieu lui donne pour nom « abîme » parce
qu’elle ne contient encore aucune forme de vie. Ce nom « abîme »
est repris et cité dans Apocalypse, chaque fois, pour désigner « l’absence
de la vie » et le début d’un processus construit par Dieu. Dans cette
révélation, « l’abîme » est rattaché au diable parce qu’il va faire son
possible pour limiter, au maximum permis par Dieu, le nombre des élus sauvés
par le sang du Christ. Il devient ainsi, dans Apocalypse 9:11, « le
roi de l’abîme » qui tente de faire échouer le plan du salut
préparé par Dieu en falsifiant les traductions de la sainte Bible écrite
« en hébreu et en grec » :
« Elles avaient sur elles comme roi l'ange de l'abîme, nommé en hébreu Abaddon, et en grec
Apollyon. » Plus tôt, en 1793, « la bête qui monte de l’abîme »
fait guillotiner des multitudes de gens royalistes et de prêtres catholiques après le roi et la reine de
France ; Louis XVI et Marie-Antoinette. Cette « bête » instaure
l’athéisme national qui rejette ainsi toute possibilité de salut éternel. Le
Révolutionnaire athée naît, vit et meurt sans espérance de résurrection ;
il se trompe et l’ignore, car il sera bien ressuscité, mais uniquement pour
apprendre qu’il a rejeté la vie éternelle offerte par Dieu à ses élus et qu’il
va devoir subir une « seconde mort » plus redoutable
que la première.
Sous
ce nom « abîme » cité dans Genèse et Apocalypse, Dieu prophétise
dès le commencement qu’après 6000 ans de sélection de ses élus, la terre
retrouvera son état « abîme » « informe
et vide » du premier jour, pendant le temps du septième
millénaire. Dans ce même temps, les élus seront dans le royaume des cieux, occupés
à juger avec Jésus-Christ les méchants morts célestes et terrestres.
D’une
manière encore très subtile, Dieu place ce premier jour sous le signe de la
séparation des deux positions opposées que représentent à ce moment de la
création sa conception de vie divine et celle que l’ange rebelle devenu Satan,
le diable, défend et justifie. Les deux camps opposés sont symbolisés par la
nuit et le jour, les ténèbres et la lumière. Dans cet ordre, parce que les
ténèbres se présentent en premier dans cette création terrestre. Au fil de la
révélation de la sainte Bible et déjà à la lumière de Genèse 2, il apparaît que
Dieu fixe son choix sur le « septième
jour » pour en faire le « sceau
sanctifié » de sa propriété. Aussi, en opposition au « septième jour », le « premier jour » va représenter le
jour du camp des « ténèbres »,
le jour du diable et des adorateurs qu’ils séduits.
Tout
le destin de la terre est prophétisé par cette prédominance des « ténèbres » dans le récit de cette
création divine. De cette manière, Dieu nous révèle que cette dimension va être
livrée au diable, pour que sa méchanceté soit révélée par les œuvres qu’il va
faire accomplir par les humains qui reproduisent sa rébellion. Le plus
extraordinaire est que, dès ce « premier
jour » marqué comme « séparation »
du camp des ténèbres du camp de la lumière, Dieu prophétise la forme que
prendra le combat final qui l’opposera au diable à l’heure de son glorieux
retour au titre de Micaël pour les Hébreux, et Jésus-Christ pour les derniers
vrais adventistes chrétiens. Dans l’ultime épreuve de foi, le « septième jour » de Dieu combattra
spirituellement le choix du « premier
jour » du diable qui sera alors vaincu et sera condamné à vivre isolé
sur « l’abîme » soit, la terre désolée privée de toute vie
terrestre.
Dans
le deuxième jour, les mots clés sont « séparation » et les « eaux ». Le but que Dieu se fixe est de « séparer les eaux du bas des eaux du
haut », et ce message traduit encore le désir de Dieu de « séparer » la vie céleste de
la vie terrestre. La zone de séparation est appelée « ciel » et désigne l’atmosphère terrestre constituée de gaz
comme l’eau (H2O) mais dans des proportions différentes et principalement de
l’Oxygène. Avec la lumière du soleil, le jour, la vie céleste représentée par
les étoiles du ciel disparaît à la vue humaine, l’atmosphère illuminé devenant
opaque sépare réellement le monde étoilé du monde du sol terrestre. Cette
fréquence du mot séparation révèle le besoin pour Dieu de trier, pour le purifier, en séparant
son camp de celui du démon rebelle ; ce qui est la raison même de la
création de cette dimension terrestre.
Au
troisième jour, les mots clés sont « terre »
et « mers ». Mais le
procédé du rassemblement des eaux est aussi à relever. Car le rassemblement
concrétise le moyen de séparer les camps humains ou angéliques célestes,
ce qui va devenir le cas dans l’utilisation symbolique des mots « mers » et « terre » dans Apocalypse.
Dans
cette prophétie, désignant le catholicisme papal romain et le pouvoir royal
civil, « la bête qui monte de la mer » dans Apocalypse 13:1 « rassemble »
sous sa domination ses adeptes catholiques qu’elle séduit et trompe. Et « les
eaux » sont encore et toujours symboliques des masses humaines,
car le projet terrestre de Dieu vise à séparer dans ces masses humaines, ses
élus des déchus. Depuis le premier jour, les « eaux » cachent
l’identité des vies humaines que la terre va porter à partir du sixième jour et
jusqu’au retour de Jésus-Christ. Apocalypse 17:15 confirme ce symbolisme :
« Et il me dit : Les eaux que tu as vues, sur lesquelles
la prostituée est assise, ce sont des
peuples, des foules, des nations, et des langues. » C’est en
ordonnant le rassemblement sous son autorité, que le papisme catholique
provoque la séparation des élus de Dieu et d’autres jugés par Dieu « hypocrites ». Et c’est donc en
refusant le rassemblement proposé que les vrais élus de Jésus-Christ se
démarquent et se séparent en sortant du camp séduit et trompé. Ils sortent donc
de l’église catholique papale dite chrétienne de la même manière que la terre
sèche est sortie de la mer dans le récit divin de Genèse 1:9-10 : « Dieu dit : Que les eaux qui sont au-dessous
du ciel se rassemblent en un seul lieu, et que le sec paraisse. Et cela fut
ainsi. Dieu appela le sec terre, et
il appela l'amas des eaux mers. Dieu
vit que cela était bon. » Comme le précise ce verset, « les eaux des mers » sont toutes
reliées entre elles et forment bien un « amas d’eaux »
qui représente symboliquement toutes les vies humaines dispersées sur la
surface de la terre. A partir de l’année 1170, par l’œuvre accomplie par le
Lyonnais Pierre Vaudès dit Pierre Valdo, Dieu lance son œuvre de Réforme dont
le temps fort sera le XVIème siècle. La séparation obtenue est basée
sur la reconnaissance du vrai témoignage de la sainte Bible. C’est par sa
traduction correcte disponible en langue provençale (appelée aujourd’hui langue
franco-provençale) que Pierre Valdo obtient la conversion des premiers
protestants de l’ère chrétienne. La première entité symbolisée par « la
terre », c’est lui, et son œuvre vaudoise. Au XVIème siècle,
l’invention de l’imprimerie par presse favorise la production biblique et donne
aux témoins de l’époque une réputation plus grande que celle de Pierre Valdo.
Mais ces nouvelles traductions sortent des presses calvinistes de Genève et
elles comportent d’importantes erreurs dont certaines ont été conservées
jusqu’à notre époque. C’est à cause de ces déformations que la Bible « détruit »
la vérité écrite originellement « en hébreu et en grec » dans
Apocalypse 9:11. Ce mot « terre » symbolise idéalement la
religion protestante engagée dans une Réforme qui n’a jamais été achevée. « La
terre » peut être à l’image de Pierre Valdo productrice de très
bons fruits ; mais elle peut aussi produire une piètre qualité de mauvais fruits
ou autres récoltes que le protestantisme de Jean Calvin a semés autour de lui
et après lui jusqu’aux USA.
Pour
Dieu, la terre a vocation à produire des fruits, recevoir des semences, et
produire avec abondance et qualité. C’est aussi ce qu’il attend de « la
terre » protestante symbolique. Mais le bon fruit est rare et ceux
qui dominent en nombre sont indignes et hypocrites. Ils honorent des
« héros » qui ont pris des armes et tué des Catholiques armés ou pas ;
alors que Jésus a interdit à ses apôtres de faire ces choses à l’heure de son
arrestation par les gardes du Temple juif. De plus, à l’heure où Dieu exige la
restauration de « son repos
sanctifié du septième jour » soit, à partir de 1843 et 1844, ils
méprisent le retour de Jésus annoncé prophétiquement pour ces deux dates et
refusent d’abandonner la pratique du repos dominical romain quand l’exigence
divine leur est présentée. Le nom de Jésus ne suffit pas pour être un
authentique chrétien, car Dieu se présente en Jésus-Christ, en Fils
parfaitement obéissant donné comme le modèle que ses élus doivent imiter en
toute chose. En multitudes, des gens sont trompés par les fausses
représentations chrétiennes et cette stratégie diabolique est à ce point
importante que Dieu en fait le thème de sa prophétie dans Apocalypse 9, où on
trouve de multiples comparaisons trompeuses suggérées par l’abondance du terme
« comme ». Dans ce chapitre, Dieu ne fait que confirmer les
propos tenus par Jésus qui nous dit dans Matthieu 7:15 : « Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent
à vous en vêtement de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs. »
Ces « loups ravisseurs »
sont ces gens religieux qui n’entrent pas aux cieux et combattent pour empêcher
les autres d’y entrer, comme les pharisiens hypocrites de l’époque de son
ministère terrestre. Dieu les rassemble sous l’étiquette nommée « rebelle »que Dieu dénonce particulièrement
dans Ezéchiel 2 dans lequel, sur 10 versets, le mot « rebelle » est cité 6 fois.
Dans
l’histoire du XVIème siècle, le mot « terre » tient un rôle important
dans son sens littéral, puisque coïncident au même moment, le début officiel de
la Réforme protestante, traditionnellement rattaché au témoignage du moine
allemand Martin Luther, et la redécouverte du continent Nord-américain qui
allait devenir la terre d’accueil des premiers protestants anglicans exilés
depuis l’Europe. Littéralement et spirituellement soit, en symbole, le
protestantisme est ainsi doublement rattaché au mot « terre ». Et en
France, cet esprit rebelle protestant va se métamorphoser en athéisme libre-penseur
en se révoltant contre son roi en 1789. Il le guillotinera avec ses alliés
aristocrates en 1793 et 1794.
Revenant
dans le récit de la Genèse, en ce troisième jour, Dieu fait ressortir le sec
nommé terre des amas d’eaux appelés mers. Le rassemblement des eaux devait se
faire en un même lieu et déjà les eaux symbolisant des vies humaines, cette
description correspond à l’expérience de la tour de Babel où sur son ordre,
Nimrod rassembla les habitants survivants de toute la terre. Et je rappelle que
selon le message précédent, la zone tropicale du Cancer fut victime d’une
sécheresse mortelle de 20 années entières, 4200 ans avant nous. Il est donc
temps de réaliser que depuis le premier jour, les descriptions divines citées
décrivent la terre frappée par le péché. Et ceci avec raison, puisque la terre
est créée par Dieu avec tous les éléments de sa dimension, pour devenir le
royaume du péché soit, le royaume du diable. Ainsi, tous les éléments cités
sont en relation directe avec le thème du péché.
Nous
avons l’habitude d’attribuer le nom « péché originel » à la
désobéissance d’Adam et Eve, et cette interprétation qui n’est pas totalement
fausse nous empêche de prendre en compte le vrai, le premier péché originel qui
fut commis par le premier ange créé par Dieu, son premier vis-à-vis libre, qui
est devenu Satan, le diable, dont la stratégie est celle du « dragon » ouvertement persécuteur ou
celle de la ruse qui le fait « serpent »
séducteur et trompeur.
Que
veut donc nous dire Dieu à travers sa création terrestre ? Qu’il construit
le futur domaine du diable, où il fera démonstration de ses œuvres, et Dieu y
fera aussi sa démonstration de la parfaite obéissance, et par sa victoire sur
le péché et la mort, en Jésus-Christ, il le retiendra prisonnier dans son
domaine terrestre où pendant mille ans, seul et isolé, il attendra l’heure du
jugement dernier pour son anéantissement par la seconde mort. Genèse
1 :11, le verset qui vient, va confirmer ce raisonnement : « Puis Dieu dit : Que la terre produise de la
verdure, de l'herbe portant de la semence, des arbres fruitiers donnant du
fruit selon leur espèce et ayant en eux leur semence sur la terre. Et cela fut
ainsi. » Qui a besoin de ces choses ? L’homme que Dieu va former
au sixième jour sur la terre et tous les animaux terrestres créés avant lui,
dans ce même sixième jour. Cependant, avant le péché, la vie humaine ne dépend
pas encore de sa nourriture. Adam et Eve mangent par plaisir et non par
nécessité. La situation va changer après le péché, les aliments offerts par la
terre travaillée par Adam à la sueur de son front, vont favoriser le
prolongement de sa vie et sa nourriture devient une absolue nécessité. Le
principe de la nutrition du corps humain pécheur nécessite cette production
alimentaire terrestre que ce verset Genèse 1:11 décrit. Le souci du péché est
encore dans la pensée de Dieu dans ses œuvres accomplies le 3ème
jour.
Puis
vient le quatrième jour. Genèse 1:14-15 : « Dieu dit : Qu'il y ait des luminaires dans l'étendue du ciel, pour
séparer le jour d'avec la nuit ; que ce soient des signes pour marquer les
époques, les jours et les années ; et
qu'ils servent de luminaires dans l'étendue du ciel, pour éclairer la terre. Et
cela fut ainsi. » Des êtres éternels ont-ils besoin de marquer ou calculer
le temps ? Non, car l’éternité n’est qu’une longue continuité sans fin.
C’est donc bien à l’intention de l’homme devenu mortel par le péché originel, que Dieu destine l’utilité de cette création
de « luminaires placés dans
l’étendue du ciel ». Ces luminaires vont être aussi très utiles pour
Dieu qui va ainsi, pouvoir inscrire son projet salvateur dans un programme daté
révélé en son temps. Il va ainsi pouvoir responsabiliser ses créatures humaines
en instaurant ses fêtes prophétiques au cours de ses deux alliances, la
première étant juive, et la seconde, chrétienne.
Très
tôt, les marins ont appris à exploiter cette carte céleste pour identifier leur
position terrestre. Mais, le verset 16 présente le soleil et la lune :
« Dieu fit les deux grands
luminaires, le plus grand luminaire
pour présider au jour, et le plus petit
luminaire pour présider à la nuit ; il fit aussi les étoiles. Dieu les plaça
dans l'étendue du ciel, pour éclairer la terre, » J’ai déjà fait
remarquer comment Dieu dit le soleil plus grand que la lune qui cependant
prennent tous deux à l’œil humain une même taille. En analysant ce verset dans
sa relation avec le péché, la précision donnée par Dieu prend encore plus
d’intérêt. Seul Dieu peut nous apprendre que la terre fut créée avant le soleil
et la lune. Et à cause de son symbolisme de Dieu lui-même, le soleil est
réellement bien plus grand, mais plus éloigné de nous que la lune symbole du
camp des ténèbres sataniques ; taille du soleil : 1 392 700
kilomètres de diamètre ; taille de la lune : 3 474 kilomètres de
diamètre ; éloignement du soleil : environ 149 000 000 de
kilomètres ; éloignement de la lune : en moyenne 384 400 kilomètres.
Note que jusqu’à ce quatrième jour, la lumière qui produisait le jour venait de
Dieu directement. Et, au 4ème jour, Dieu se retire et se rend
invisible, en se faisant remplacer par la lumière du soleil, sa créature. Dans
cette action, il prépare encore la situation du péché en laquelle l’homme ne
pourra plus voir Dieu et vivre. Mais ce remplacement de Dieu par le soleil
prophétise la tentative romaine de l’empereur Constantin et de ses successeurs
lointains, les papes catholiques. Eux-aussi vont remplacer le jour du repos
glorieux divin par le jour souillé des païens idolâtres adorateurs du soleil. Et
dans les deux cas, l’initiative de se retirer ou de se faire remplacer vient de
Dieu lui-même. J’ai réellement beaucoup apprécié cette inspiration qui conduit
à renverser le raisonnement en redonnant à Dieu la gloire de créer et d’organiser
les œuvres du camp du bien comme celles du camp du mal. Ainsi, dans les pires
situations où les ténèbres dominent et cachent la lumière, Dieu garde le
contrôle absolu sur la situation. En fait, les ténèbres lunaires n’existent que
parce que Dieu se retire et cache sa lumière aux êtres humains qui n’en sont
pas dignes. Genèse 1:18 : « pour
présider au jour et à la nuit, et pour séparer la lumière d'avec les ténèbres.
Dieu vit que cela était bon. » Le thème du péché est encore présent,
puisque ces astres célestes ont mission de « séparer » le
jour, de la nuit, la lumière, des ténèbres. Cette « séparation »
prend l’aspect spirituel de la « sanctification » divine.
Dieu « sanctifie son camp
par sa vérité », sa lumière en Christ, son jour du repos, le septième.
Le soleil et la lune « président »
au jour et à la nuit mais ne règnent pas sur eux. Un président n’est pas un
roi. Le choix de ce verbe « présider »
réduit la gloire de l’élément créé par Dieu qui dit ainsi à ses élus : le
soleil et la lune sont mes créatures, rien d’autre.
Dans
la norme de la semaine de sept jours que Dieu va donner à l’humanité entière
pour marquer le temps, les astres du ciel ne tiennent aucune place, aucun rôle.
Ses jours ne portent que leur numéro d’ordre numérique : premier
jour ; deuxième jour, troisième jour …, jusqu’au septième jour. Le départ
du décompte des semaines est fixé par Dieu à partir de la première semaine de
sa création que nous suivons dans cette étude. Etant créé le sixième jour, Adam
va pouvoir prolonger le comptage des semaines dans la conformité au choix fixé
par Dieu dans la logique de sa création terrestre. Et à travers le temps, tous
les sept jours, en septième position, le sabbat va être l’unité du calcul du
temps. Cependant, le diable va combattre cet ordre divin et tenter de le
remplacer par le sien qui honore le dieu soleil auquel il fait rattacher le
premier jour de la semaine divine. Il met ainsi en œuvre le rôle que Dieu a
prophétisé au sujet du premier jour qui, en tant que jour des ténèbres, se
sépare du camp de la lumière divine ; le dimanche du premier jour se
sépare du sabbat du septième jour sanctifié.
La
terre produit ses fruits et bénéficie des rayons du soleil qui les fait pousser
et croître jusqu’au mûrissement complet. L’homme et les animaux terrestres
disposeront ainsi d’une abondante nourriture, bonne et agréable, uniquement
végétale. Dieu lui-même atteste que cette réalisation est « bonne ».
Et il sera bon pour ses élus de
retenir cette leçon jusqu’au retour glorieux du Christ, où leurs corps
terrestres souffrants recevront la nature céleste incorruptible de l’éternité.
Vient
maintenant le cinquième jour. Dieu crée « les animaux qui vivent dans les mers » et aussi, « les oiseaux qui volent dans le ciel sur la terre ». Il multiplie leurs
espèces. Cette création animale dans les mers et le ciel vit en parallèle avec
la vie sur la terre émergée. La création marine est indépendante et constitue
un milieu de mort par opposition à la vie sur terre. En cause, la salinité de
leurs eaux qui rend stérile la terre qu’elles recouvrent. Sous l’angle du
péché, elle va devenir un milieu impitoyable dans lequel le poisson le plus
gros dévore le plus petit que lui, d’un bout à l’autre de la chaîne de la vie
présente. De plus dans ce milieu fermé, les déchets des cadavres et les
déjections des animaux marins se répandent dans l’amas des eaux. Dans sa
sagesse, Dieu a créé des espèces de mollusques et crustacés qui ont pour rôle
de consommer ces déchets pour les recycler et les réduire. Ces choses font des
mers le domaine de l’impureté la plus grande de la création terrestre. On peut
ainsi comprendre pourquoi Dieu a donné à Israël une liste de choses impures
qu’il ne doit pas consommer, et ses élus en Christ se reconnaissent dans cet
Israël qu’il chérit particulièrement, pour son amour obéissant. Ainsi, Dieu
regroupe en ce cinquième jour les espèces qui nagent sous l’eau et celles qui
volent soit, deux caractéristiques qui ne sont pas naturellement données à
l’être humain qui se distingue d’eux en ce qu’il marche sur la terre.
Les
explications que je viens de donner font de la mer salée le symbole idéal de
l’humanité qui reste animale parce qu’elle n’est pas en relation avec son Dieu
créateur. Cette humanité consomme des aliments jugés impurs par Dieu et il la
tient pour impure. Ce jugement concerne la religion catholique et la religion
protestante qui se rendent coupables de ces choses. Mais « la
mer » ne symbolise que le catholicisme papal romain. Parce qu’ils se déplacent dans l’air en
volant, les « oiseaux impurs » symbolisent les mauvais anges comme le
suggère ce verset d’Apocalypse 18:2 : « Il cria d'une voix forte, disant : Elle est tombée, elle est tombée,
Babylone la grande ! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit
impur, un repaire de tout oiseau
impur et odieux, » Je précise que les anges sont des esprits
célestes qui se déplacent dans notre dimension terrestre sans besoin d’ailes.
Les ailes ne sont dans la Bible que le symbole de cette capacité des anges et
de l’esprit de Dieu de se déplacer sans être soumis aux lois physiques de notre
dimension terrestre.
Voici
enfin le sixième jour, en lequel Dieu crée la vie animale terrestre. Elle est
aussi créée en de multiples espèces que Dieu a classées ensuite comme pures ou
impures dans Lévitique 11. Cette classification a pour but de prescrire pour
ses élus, parmi les animaux terrestres, ceux qu’ils peuvent manger et ceux
qu’ils ne doivent pas manger ; ceci pour des raisons sanitaires que Dieu,
leur créateur, est le premier à connaître. Car comme pour la mer, certains
animaux terrestres sont des nettoyeurs de déchets et leurs chairs corrompues sont
dangereuses pour la santé de l’homme ; le porc est de ce type, un
nettoyeur dont la consommation est interdite par Dieu, mais seulement à ses
élus qui lui obéissent. Dans Lévitique 11:3 et 4, Dieu indique les
critères qui distinguent les animaux purs des animaux impurs : « Vous mangerez de tout animal qui a la corne fendue, le pied fourchu, et qui
rumine. » ; « Mais
vous ne mangerez pas de ceux qui ruminent seulement, ou qui ont la corne fendue
seulement. Ainsi, vous ne mangerez pas le chameau, qui rumine, mais qui n'a pas
la corne fendue : vous le regarderez comme impur. » Et Dieu cite
encore d’autres espèces dans les versets qui suivent. Ces précisions ne
concernent que le temps du péché pendant lequel, Dieu autorise, après le
déluge, l’homme à manger la viande qu’il classe pure, pour raccourcir le temps
de sa vie ; avec un résultat très efficace. Depuis 1843, la sanctification
totale exigée par Dieu de la part de ses élus s’accompagne de l’abandon
volontaire de la nourriture carnée animale, l’Esprit préconise le retour au végétalisme,
et au minimum, au végétarisme, car ce qui est mort n’est pas l’alimentation de
ceux qui veulent vivre éternellement au ciel et sur la « nouvelle terre », car là, il n’y
aura plus de mort. La mort est la conséquence du péché, et les élus ne peuvent
se nourrir du péché.
Dans
ce même sixième jour, l’homme est créé par Dieu. Mais relève la différence
entre la présentation de l’homme que « Dieu
forme à son image et à l’image de ses anges », et les animaux que
la « mer » et « la terre » « produisent ». L’homme est « formé à l’image de Dieu », car
cette dimension terrestre a été faite pour qu’il la peuple, selon Genèse 1:26-27 :
« Puis Dieu dit : Faisons l'homme à
notre image, selon notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la
mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous
les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu créa l'homme à son image, il le
créa à l'image de Dieu, il créa
l'homme et la femme. » Les œuvres réalisées les cinq premiers
jours étaient faites pour eux. Leur
présence est le couronnement de l’œuvre créatrice terrestre de Dieu. Et dans
son innocence originelle, le premier homme est en tout point comparable à
Jésus-Christ. Sauf qu’il va pécher et que, contrairement à lui, Jésus-Christ va
vaincre le péché et la mort. Au soir du sixième jour, la création terrestre est
entièrement achevée. Et Dieu referme à ce moment le chapitre 1 de Genèse. Il a
pour cela une bonne raison spirituelle prophétique. Car le thème suivant
relatif au « septième jour » est présenté à part au début de Genèse 2.
La fin de Genèse 1 est à l’image de la situation des hommes pécheurs de la fin
du sixième millénaire pour lesquels le repos du sabbat du vrai « septième
jour » n’a ni valeur ni obéissance. Pour eux, hommes, femmes, et
enfants, la vie va cesser là, au retour glorieux de Jésus-Christ. Cette
interprétation est renforcée par la précision « il créa l'homme et la femme ».
J’ai toujours pensé qu’Eve a été formée après ce « sixième jour » de la création, et en l’incluant dans ce
« sixième jour », Dieu
donne à ce « sixième jour »
sa valeur prophétique de « sixième
millénaire ». Je justifie cette explication par le fait que l’homme
représente prophétiquement Jésus-Christ, l’homme du genre mâle qui prophétise
la norme céleste des élus des deux genres terrestres.
Le
« septième jour » ne concerne que les vrais élus destinés à
entrer dans l’éternité offerte par Jésus-Christ. C’est pour cette raison que ce
sujet sanctifié est présenté au début de Genèse 2. Car le « septième
jour », que Dieu « sanctifie » après avoir formé
Adam et Eve, prophétisait le « septième » millénaire qui va
offrir à Dieu et ses élus rachetés le vrai repos auquel ils aspirent ;
Dieu comme ses élus.
Et
au sujet du « septième jour », je veux faire remarquer que dans Genèse
et Apocalypse, son accomplissement en « septième millénaire »
est toujours séparé et présenté dans un chapitre indépendant différent de ceux
qui évoquent le temps terrestre de la vie des élus. C’est le cas dans Genèse ou
le chapitre 1 présente la vie terrestre prolongée pendant 6000 années ; et
le chapitre 2 prophétise par le « septième jour sanctifié », les
« mille ans » de la vie céleste des juges, les élus
rachetés.
Le
même découpage sépare les 6000 ans terrestres d’Apocalypse 2 et 3, et
Apocalypse 4 représente les 1000 ans célestes. C’est encore le cas, dans le
thème des « sept trompettes », les six premières sont présentées dans
Apocalypse 8 et 9 et « la septième » est présentée,
bien séparée des précédentes, annoncée dans Apocalypse 10:7 : « mais qu'aux jours de la voix du septième ange, quand il sonnerait de la
trompette, le mystère de Dieu
s'accomplirait, comme il l'a annoncé à ses serviteurs, les prophètes. » ;
puis elle est développée dans Apocalypse 11:15 : « Le septième ange sonna de la
trompette. Et il y eut dans le ciel de fortes voix qui disaient : Le
royaume du monde est remis à notre Seigneur et à son Christ ; et il régnera aux
siècles des siècles. »
L’enseignement
de ce chapitre 11 est très riche, car il évoque, comme les chapitres 12 et 13,
le survol des 2000 dernières années de l’histoire terrestre de la sélection des
élus de Dieu soit, toute l’ère chrétienne. Et son enseignement évoque donc le
temps du règne papal catholique romain qui, instauré en 538, prend fin en étant
détruit momentanément par l’athéisme révolutionnaire français établi en 1793.
Dieu nomme ce régime exécuteur de sa justice « la bête qui monte de l’abîme »
au verset 7. Un montage subtil lui impute deux accomplissements le « premier »
en tant que « quatrième trompette » et le « second » en tant
que « sixième trompette » qu’il nomme « second
malheur », parce qu’il précède le « troisième malheur »
que la « septième trompette » représente à partir du verset 15. En
lui imputant ce nom de « second malheur », l’Esprit
invite le lecteur à comprendre ce qui relie les deux accomplissements de cette
pensée athée révolutionnaire. Et que peut-on alors remarquer ? C’est que
depuis la Révolution française de 1789, la libre pensée établie à cette époque
s’est prolongée dans le temps sous la forme du régime de la démocratie que les
nations occidentales ont adopté et qui constitue un héritage lointain de
l’Athènes grecque dont Dieu fait dans Daniel 2, 7, et 8, l’image symbolique du
péché. Le jugement de Dieu qui est révélé dans la prophétie est ainsi complet
et la boucle qui le relie à Daniel 2 se referme. Tout est dit et tout est
compris. Ainsi éclairé, l’élu est préparé pour l’épreuve de foi de la « septième
trompette ». Il connaît le jugement de Dieu et il l’approuve et le
démontre par sa fidélité et sa fermeté dans son respect du repos du septième
jour ordonné et sanctifié par Dieu dès le « septième jour » de
sa création terrestre.
Après
l’autorité abusive et persécutrice du régime du péché de la monarchie
catholique et du papisme romain, l’humanité occidentale est tombée dans le
piège de la libre pensée révolutionnaire, puis démocrate. Dieu n’est honoré ni
par l’un ni par l’autre, et la démocratie a simplement favorisé le
développement du mal soit, du péché du modèle grec. Le long temps de paix
compris entre 1945 et 2022 a simplement favorisé une extension maximale de ce
péché, et le Dieu créateur a obtenu la démonstration qu’il voulait obtenir pour
justifier sa manière de juger soit, sa conception du bien et du mal. Cette
démonstration complète sa victoire en Jésus-Christ contre le péché, la mort et
l’inventeur du péché, Satan, le diable.
Depuis
Daniel 2, dans lequel la vision du colosse aux pieds d’argile et de fer soit,
de soumission et de rébellion, fondement de la prophétie, place le régime grec
sous le signe du péché. Mais quel type de péché lui vaut ce rôle ? L’image
de la statue nous donne la réponse en lui attribuant le symbole du ventre et
des cuisses soit, en mettant en position central, l’organe sexuel. Ceci, parce
que Dieu a retrouvé dans la vie sociale des Grecs, les pratiques homosexuelles
des Sodomites du temps de Lot, le neveu d’Abraham. Or, dans sa conquête
constante de nouvelles libertés, l’humanité occidentale a reproduit ce modèle,
et en France, après son élection en 2012, le président François Hollande,
socialiste, a rendu légitime et légal le « mariage pour tous » qui
justifie les mariages homosexuels de gens du même sexe. Cette abomination
redonne au Paris de 2012 l’image dégradante de Sodome et des Grecs antiques.
C’est aussi en France, un retour vers le temps révolutionnaire en lequel, le
relâchement complet des mœurs vaut à sa capitale, Paris, d’être nommée
symboliquement « Sodome et Egypte » soit,
sodomie homosexuelle et péché rebelle, dans Apocalypse 11:8 : « Et leurs cadavres seront sur la place de la
grande ville, qui est appelée, dans un sens spirituel, Sodome et Égypte, là même où leur Seigneur a été crucifié. » En
disant « leur Seigneur » et non « le Seigneur », l’Esprit
élimine l’identification à Jérusalem, et l’expression « leur
Seigneur » indique que le lieu ciblé est une ville dans laquelle,
« le Seigneur » des « deux témoins »
bibliques a été spirituellement « crucifié » de nouveau ; ce
qui est conforme au statut historique de Paris où les Révolutionnaires
libres-penseurs l’ont rejeté et combattu, tel ce Voltaire qui l’a odieusement
traité « d’infâme ».
Le
temps de l’utilité de la terre peut prendre fin et revenant en sonnant de la « septième trompette », le glorieux
Christ divin va activer cette fin en réduisant la terre en solitude soit, en
aspect « abîme ». Et là
encore, avec cette fin du type « abîme »,
c’est toute la prophétie biblique qui se reboucle et s’achève.
Dans
toute son histoire, l’humanité a eu le choix entre 3 possibilités de type de
gouvernance. L’homme pécheur a inventé la monarchie, puis en Grèce, la
démocratie, dans son Israël terrestre, le vrai Dieu créateur a ensuite proposé
sa théocratie, et rejetant les deux offres, les derniers pécheurs sont revenus
à la démocratie choisie par des êtres humains aussi contestataires que le fut
en premier, le diable, pour son malheur.
C’est
pour sélectionner des hommes qui ne contestent pas son jugement que Dieu a
peuplé la terre en multitudes de gens différents en aspect, physique, mental et
religieux. Tous ceux qui se perdent, se perdent à cause de leur ignorance de
l’offre de Dieu ou de leur refus de son offre. Ils reproduisent tous, le choix
fait par Satan, le diable qui n’ignorait rien du caractère de Dieu et de sa
juste souveraineté qu’il a osé contester.
Toutefois,
la contestation n’est condamnable que lorsqu’elle attaque la cause de la vérité
divine, car dans son ministère terrestre, Jésus-Christ fut avant ses apôtres et
ses vrais disciples, le Maître de la contestation. Mais la cible de sa
contestation était le clergé religieux juif représenté par la tribu de Lévi à
laquelle appartenaient Moïse, Marie, et Aaron. Déjà, Moïse avait été contesté
par sa sœur et son frère, et l’héritage charnel de la fonction sacerdotale ne
pouvait que produire un fruit désastreux de fonctionnaires sans foi ni loi pour
eux-mêmes. Ce sont ces gens indignes de leur charge que Jésus reprit
sévèrement, les menaçant de la punition de la géhenne.
Alors
que les hommes se distinguent entre eux par des apparences physiques, par leur
couleur de peau et leur type racial, pour Dieu, la distinction se fait
uniquement sur leur caractère et leur esprit. Pour lui, ils sont tous des Adams
porteurs de caractères très différents. En sorte que la terre entière n’aura
été peuplée pendant 6000 ans que par de multiples formes d’Adam et Eve ;
et parmi eux, Dieu a sélectionné ses élus rachetés par Jésus-Christ.
M3- Les mensonges religieux
Sous la
forme chrétienne, les mensonges religieux ne sont pas tous facilement
identifiés. Ceci, parce qu’ils sont souvent construits à partir d’enseignements
cités dans la sainte Bible, mais sont mal interprétés par le lecteur.
Un
exemple concret de ce type de mensonge concerne les anges célestes. L’héritage
religieux occidental est fondamentalement celui du catholicisme romain qui n’a
jamais été en relation avec Dieu dans toute son histoire, depuis son
commencement et qui ne le sera jamais, jusqu’à sa fin. Ainsi privé de l’Esprit
de Dieu, les lecteurs de ce catholicisme n’ont pris les mots bibliques que dans
leur sens littéral, et toute leur doctrine repose sur cette lecture littérale,
alors que source de toute sagesse, dans ses révélations, Dieu fait appel à des
constructions reposant sur de grandes subtilités ; ce qui rend la
compréhension de celles-ci inaccessible aux ordinateurs modernes dotés de
l’intelligence artificielle. Et à ce sujet, la machine ne peut comprendre que
ce que l’homme qui l’a conçue peut lui-même comprendre. De cette manière, selon
ce principe, les secrets de Dieu sont bien gardés car Dieu ne donne pas ses
perles aux pourceaux selon Matthieu 7:6 : « Ne donnez pas les choses saintes aux chiens, et ne
jetez pas vos perles devant les pourceaux, de peur qu'ils ne les foulent aux
pieds, ne se retournent et ne vous déchirent. »
En ce
qui concerne les anges, la tradition catholique déforme leur aspect réel, ses
peintres leur ayant donnés l’apparence d’angelots qui sont des bébés nus ailés
ou plus rarement celle de jeunes hommes aux longues chevelures blondes
également ailés. Faut-il s’en étonner ? Non, puisque le texte biblique
d’Ezéchiel et d’Apocalypse décrivent cette apparence d’hommes ailés.
L’aspect
des bébés relève du pur fantasme humain inspiré par le diable et sa doctrine
catholique romaine. Pourquoi ce choix de l’aspect du bébé ? Simplement
pour imager la parfaite innocence de ces anges. Mais même cette explication est
injustifiée par ce que nulle part la sainte Bible présente un bébé qui naît
porteur du statut de l’innocence, à l’exception du bébé Jésus-Christ, né Jésus
de Nazareth. Sur ce point, l’enseignement divin est clair, selon Romains
3:23 : « Car tous ont
péché et sont privés de la gloire de Dieu ; » et 5:12 : « C'est pourquoi, comme par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché
la mort, et qu'ainsi la mort s'est
étendue sur tous les hommes, parce que tous ont péché, » L’innocence des bébés n’est
donc qu’un dogme mensonger du catholicisme romain. Et Jésus peut condamner ce
mensonge qui ne tient aucun compte de son enseignement.
Car il a
dit selon Matthieu 22:29-30 : « Jésus
leur répondit : Vous êtes dans l'erreur, parce que vous ne comprenez ni les
Écritures, ni la puissance de Dieu. Car, à la résurrection, les hommes ne
prendront point de femmes, ni les femmes de maris, mais ils seront comme les
anges de Dieu dans le ciel. » Ces paroles du Christ s’adresse donc encore
aujourd’hui aux catholiques romains qui ne comprennent, ni les Ecritures, ni la
puissance de Dieu. Et depuis 1843-1844, ce statut est partagé par les diverses
formes du protestantisme et par l’adventisme officiel depuis 1994.
L’explication donnée par Jésus est limpide : il n’y a dans le ciel ni mari
ni femme mais uniquement des anges créés directement par Dieu. Il n’y a donc dans
le ciel aucune reproduction et aucune créature à l’image d’un bébé, puisque
Dieu a formé le premier homme dans son aspect adulte et non sous une forme de
bébé. L’aspect du bébé est strictement terrestre et dû au principe de procréation
des couples humains.
Selon les
paroles de Dieu, lui-même, nous savons que les anges sont à notre image,
puisque « Dieu a formé l’homme à son
image » déjà partagée par ses anges célestes qu’il associe à son œuvre
créatrice, selon Genèse 1:26-27 : « Puis
Dieu dit : Faisons l'homme à notre
image, selon notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la
mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous
les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu
créa l'homme à son image, il le créa à l'image de Dieu, il créa l'homme et
la femme. »
Je donne ici l’explication de cette forme pluriel, « faisons », exceptionnelle, que Dieu emploie ici pour
s’exprimer. Car partout quand il parle, il le fait à la première personne du
singulier, confirmant ainsi l’unicité de sa personne. Je profite de ce sujet
pour rappeler que « le dogme de la trinité » ne désigne pas trois
personnes divines mais trois rôles portés par le même Esprit divin dans son
plan du salut préparé pour ses élus humains. Dieu est par sa nature le Créateur
soit, « le Père » qui en « Fils » nommé
Jésus-Christ rachète ses élus, et il revient en « Saint-Esprit » cohabiter
en eux pour les instruire et les diriger.
Le
deuxième gros mensonge, également hérité du catholicisme, concerne le sujet de
la sanctification. Dans la religion catholique ce droit de sanctifier dit
canonique est revendiqué et appliqué par ses papes successifs. Ils décrètent
ainsi « saints » des gens qui les ont fidèlement servis, eux et non
Dieu qui est d’un tout autre avis. Des multitudes de gens trompés révèrent ses
« faux « saints » et pratiquent, sans en avoir conscience, ce que l’apôtre
Paul nomme le « culte des anges »,
dans Colossiens 2:18 où il dit : « Qu'aucun homme, sous une
apparence d'humilité et par un culte
des anges, ne vous ravisse à son gré le prix de la course, tandis qu'il
s'abandonne à ses visions et qu'il est enflé d'un vain orgueil par ses pensées
charnelles, » On retrouve cette apparence d’humilité dans le comportement
des moines des monastères catholiques. Ils portent la robe de bure mais aussi
la tonsure sur la tête, ignorant l’interdiction de Dieu de faire ce genre de
chose. Et en signe de contradiction, Dieu demandait à ceux qui se consacraient à
lui par le vœu du « naziréat » de ne pas couper leurs cheveux et de
les laisser pousser à l’exemple du célèbre juge Samson.
Les
papes sont d’autant plus disqualifiés pour désigner des saints qu’ils sont
tenus par Dieu comme ses ennemis qu’il condamne et par le fait que Dieu seul
peut octroyer la sainteté à ses créatures car il est seul à pouvoir juger de la
dignité de celles-ci, connaissant leurs pensées les plus cachées. Et à ce
sujet, l’offense papale est des plus graves qui puissent être faites parce
qu’elle concerne directement ce droit unique et absolu du Dieu créateur suprême.
La
fausse sanctification est l’essence et le matériel de toute la supercherie
religieuse catholique. Et Dieu confirme ce jugement en donnant dans sa
prophétie biblique une place fondamentale au sujet de la sanctification. C’est
le cas dans Daniel et jusqu’à la fin d’Apocalypse qui s’achève par ces mots au
dernier chapitre, le 22ème et au verset 21 que seule parmi toutes
les traductions bibliques française, la version de N.L. Darby respecte et
traduit correctement en citant le mot « saints » :
« Que la grâce du Seigneur Jésus Christ soit avec tous les saints ! »
Visiblement le sujet est important pour être attaqué par le diable de cette
manière. Important ? Il est simplement vital et fondamental, car dans son
jugement Dieu ne sauvera que ceux auxquels il aura reconnu la dignité de la
sainteté.
N’est
pas « saint » qui le prétend simplement, car pour Dieu et ses
élus, « la sainteté » est une norme, une conformité au modèle qui
doit être imité et reproduit, un modèle parfait nommé Jésus-Christ, exemple de
fidélité parfaite, d’obéissance parfaite, et d’amour parfait. Il a pu ainsi
faire dans Jean 14:6 cette déclaration : « Jésus lui dit : Moi, je suis le chemin, et la vérité, et la vie ; nul
ne vient au Père que par moi. » Le catholicisme romain et ses dogmes
mensongers sont à l’opposé absolu de lui, « l’autre chemin, le mensonge,
et la mort ».
N’est
« saint » que ce que Dieu désigne comme tel. Et dès le
début de la Bible, le premier sujet de « sainteté » concerne
sa « sanctification du septième jour » citée dans Genèse
2:2-3 : « Dieu acheva au
septième jour son œuvre, qu'il avait faite : et il se reposa au septième jour
de toute son œuvre, qu'il avait faite. Dieu bénit le septième jour, et il le
sanctifia, parce qu'en ce jour il se reposa de toute son œuvre qu'il avait
créée en la faisant. »
Il
faut bien comprendre que le Dieu créateur présente là, le fondement de
toute la sainteté que nous allons retrouver dans les récits de la sainte Bible.
Ces deux versets instaurent la sanctification du repos du septième jour et ils
prophétisent le temps du septième millénaire dans lequel Dieu et ses élus
rachetés partagerons le repos parfait et s’emploieront à juger les rebelles
morts célestes et terrestres chacun, individuellement, cas par cas. Or pour
juger ces rebelles, Dieu sélectionne ses juges adjoints parmi les humains
sélectionnés par Jésus-Christ qui les a rachetés en offrant sa vie pour expier
leurs péchés.
Il
y a donc dans la « sanctification du septième jour »,
l’annonce de la victoire du Christ sur le péché et sur la mort. Le « repos
du sabbat » est donc lui-même prophétique de cette victoire finale
de Dieu en Jésus-Christ ; ce qui justifie dans Apocalypse 6:1, les paroles
tenues dans ce verset : « Je
regardai, et voici, parut un cheval blanc. Celui
qui le montait avait un arc ; une
couronne lui fut donnée, et il
partit en vainqueur et pour vaincre. » Je précise l’intérêt de ce
détail, Jésus-Christ est armé d’un « arc », qui tue à distance,
tandis que dans le « sceau » suivant, le diable
tient « une grande épée », utilisée pour le combat rapproché, ce
qui est justifié par son conditionnement terrestre, depuis que Jésus l’a chassé
du ciel, selon Apocalypse 12:8-9.
L’honneur
rendu au « repos du sabbat » est donc le moyen d’honorer la victoire
obtenue par Jésus-Christ ; c’est beau et c’est simple ; si simple que
le diable ne pouvait se priver de l’attaquer. Mais lui imputer cette attaque
est déjà trop l’honorer, car redoutable pour qui n’est pas sous la réelle
protection de Dieu, il n’en est pas moins que sa créature comme tout être
céleste ou terrestre. Le diable ne fait qu’accomplir les œuvres que Dieu lui a
préparées d’avance comme il le fait pour toutes ses créatures en fonction de
leur choix et de leur obéissance à ces valeurs, ses normes révélées par ses
lois. Ce qui a pris l’aspect d’une attaque contre le sabbat n’est pas une
attaque, mais plus subtilement, le signe d’une appartenance au camp du diable ;
le sabbat étant lui-même le signe de l’appartenance au Dieu créateur selon
Ezéchiel 20:12-20 : « Je leur donnai aussi mes sabbats comme un
signe entre moi et eux, pour
qu'ils connussent que je suis YaHWéH qui les sanctifie…/… Sanctifiez mes sabbats, et qu'ils soient entre moi et vous un signe
auquel on connaisse que je suis YaHWéH, votre Dieu. ». Depuis le commencement,
Dieu sélectionne le meilleur et il laisse au diable le reste. Et ce reste
majoritaire pour lequel la vérité divine a peu d’importance, Dieu l’a livré au
mensonge catholique qui a hérité de l’empereur Constantin 1er son
repos hebdomadaire du premier jour, l’ex « jour du soleil » rebaptisé
par les Catholiques, « jour du Seigneur » soit, en français,
« dimanche ».
Le
mensonge catholique est dénoncé par Dieu, dans Apocalypse
13:5 : « Et il lui fut
donné une bouche qui proférait des
paroles arrogantes et des blasphèmes ; et il lui fut donné le pouvoir
d'agir pendant quarante-deux mois. » ; 13:6 : « Et
elle ouvrit sa bouche pour proférer des blasphèmes contre Dieu, pour blasphémer son nom, et son
tabernacle, et ceux qui habitent dans le ciel. »
Les
accusations de Dieu sont concentrées dans ces deux versets dans lesquels les
termes « blasphèmes et blasphémer » ont le sens du
mensonge et de dire des mensonges. Je rappelle que Jésus-Christ a été condamné
au titre de blasphémateur pour s’être dit « Fils de Dieu », ce
que les Juifs considéraient être un odieux mensonge. Le vrai sens du mot n’est
pas l’insulte, les mots grossiers que les êtres humains s’envoient dans la
figure. Et ce sens du mensonge confirme la norme du camp diabolique, le diable
étant « le père du mensonge »
selon Jean 8:44 : «Vous avez pour
père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été
meurtrier dès le commencement, et il ne
se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle
de son propre fonds ; car il est menteur
et le père du mensonge. »
« Le père du mensonge » qui combat « la
vérité » selon le verset qui suit : « Et moi, parce que je dis la
vérité, vous ne me croyez pas. »
La
vérité contre le mensonge et le mensonge qui combat la vérité résument toute la
grande tragédie des siècles mais accomplit le projet pour lequel la dimension
terrestre a été créée par Dieu. Il ne pouvait en être autrement. Et dans le
message précédent, nous avons pu relever les « séparations »
successives qui dans Genèse 1 conduisent à la « sainteté » de Genèse
2, des élus sélectionnés par Dieu chez lesquels il restaure en Jésus-Christ « son
image ». Pour répondre à ses exigences, les élus doivent
identifier le mensonge que Dieu condamne et c’est le rôle qu’il a voulu donner
à sa prophétie biblique construite principalement sur Daniel et
Apocalypse ; Daniel et Jean étant « deux prophètes »
représentant des « deux témoins » bibliques de
Dieu que sont, dans Apocalypse 11:3, les deux saintes alliances, l’ancienne et
la nouvelle. A noter que ces deux livres, Daniel et Apocalypse, sont les plus
ignorés par les lecteurs de la sainte Bible.
Le
verset Apocalypse 13:6 mérite toute notre attention : « Et elle
ouvrit sa bouche pour proférer des blasphèmes
contre Dieu, pour blasphémer son nom,
et son tabernacle, et ceux qui habitent dans le ciel. »
Déjà
la formule, « elle ouvrit sa bouche », établit un lien avec Daniel
7:8-20 : « Je considérai les
cornes, et voici, une autre petite corne sortit du milieu d'elles, et trois des
premières cornes furent arrachées devant cette corne ; et voici, elle avait des
yeux comme des yeux d'homme, et une bouche, qui parlait avec arrogance.
…/… et sur les dix cornes qu'il avait à la tête, et sur l'autre qui était
sortie et devant laquelle trois étaient tombées, sur cette corne qui avait des
yeux, une bouche parlant avec arrogance,
et une plus grande apparence que les autres. » Dans ces versets, les « yeux »
imputés à la Rome papale désigne sa voyance soit, sa prétention à la fonction
de « prophétesse » qu’Apocalypse 2:20 lui impute : « Mais ce que j'ai contre toi, c'est que tu
laisses la femme Jézabel, qui se dit
prophétesse, enseigner et séduire mes serviteurs, pour qu'ils se livrent à
l'impudicité et qu'ils mangent des viandes sacrifiées aux idoles. » Je
précise que cette prétention apparaît dans le nom de son Etat soit,
Vatican ; le terme « vaticiner » signifiant
« prophétiser » dans son origine latine.
Dieu
est donc lui-même directement la cible de ses mensonges et déjà, par le fait de
prétendre le servir alors qu’il n’en est rien.
Elle
« blasphème son nom » soit, ment au sujet de son caractère
et de son comportement ; soit, tout ce qu’il représente et fait sa
réputation. Ses persécutions dirigées contre les lecteurs de la Bible sont
opposées au désir du vrai Dieu qui sélectionne ses élus par leur attitude
fidèle envers sa sainte Bible. Autant le vrai Dieu est bon et miséricordieux,
autant elle est cruelle et haineuse envers ses fidèles serviteurs qu’il bénit
et sélectionne pour la vie éternelle. Alors que Jésus enseigne ses élus à
pardonner les offenses venues de leurs ennemis, elle punit de mort ceux qui
l’offensent en résistant à son autorité pour obéir au vrai Dieu.
Elle
« blasphème son tabernacle ». Le « tabernacle »
construit par Moïse n’était que l’image prophétique de l’Eglise du Christ, la
vraie sainte Maison de Dieu. Appelé aussi « temple », ce « tabernacle »
représente Jésus-Christ en personne selon ses paroles lancées en défit aux
Juifs qui l’entouraient, citées dans Jean 2:19 à 21 : « Jésus leur répondit : Détruisez ce temple, et en trois jours je le relèverai. Les
Juifs dirent : Il a fallu quarante-six ans pour bâtir ce temple, et toi, en
trois jours tu le relèveras ! Mais il
parlait du temple de son corps. » Selon Ephésiens 5:23, l’Eglise
est bien « le corps » de Jésus-Christ : « car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l'Église,
qui est son corps, et dont il est le Sauveur. »
Dans
ses mensonges, la doctrine catholique conteste toute cette vérité qu’elle foule
aux pieds en recherchant sa propre gloire et celle de ses dirigeants, les
papes, les cardinaux et les évêques. Elle présente au monde son organisation
comme étant la représentation de l’autorité de Dieu sur la terre. Elle a ainsi
obtenu la crainte des rois et des seigneurs et celles des petites gens, tous
trompés par les apparences. Mais ses excès de haine persécutrice ont dressé
l’esprit libertaire contre elle, et contre le vrai Dieu dont elle se réclame.
En conséquence, l’athéisme s’est développé, gagnant en Occident de plus en plus
d’adeptes au fil du temps de la paix et de la liberté. Et contrairement à la
cause du déluge d’eaux du temps de Noé, les humains d’aujourd’hui ne se rendent
pas coupables de l’idolâtrie païenne polythéiste mais de l’athéisme et de
l’esprit libertaire anarchiste. Se croyant libre en rejetant toutes les formes
religieuses, l’humain rebelle de 2025, est plus esclave que jamais du péché qui
le domine et dirige ses choix de vie.
Elle
« blasphème ceux qui habitent dans le ciel ».
Par cette expression, Dieu conteste les jugements établis par l’église
catholique romaine. Dans sa doctrine, elle ajoute dans le ciel un lieu situé
entre l’enfer et le paradis qu’elle appelle le « purgatoire » ;
une nouvelle invention de Rome non héritée des Grecs qui n’ont inventé eux que
le dogme des « enfers » créé par la synthèse de leur croyance dans
l’immortalité de l’âme et le constat de l’existence du magma en fusion libéré
par les éruptions volcaniques, nom tiré de leur dieu des enfers nommé Vulcain.
Il
est temps de balayer cet amas d’ordures mensongères et de rendre au ciel, la
description qui lui revient. Il n’y a dans le ciel, ni paradis, ni purgatoire,
ni enfer et cependant il y a bien dans le projet de Dieu, un paradis et un
enfer. Mais ce qui échappe à l’intelligence de ses ennemis, c’est que ce
paradis et cet enfer ne prendront forme et réalité qu’avec le jugement dernier
au cours duquel le feu de la « seconde
mort » venu du ciel et du magma en fusion souterrain terrestre
consumeront les rebelles, et toutes les œuvres de la terre, transformée dans
l’action en étang de feu. Quand au paradis, il faudra attendre le
renouvellement de l’aspect de la terre pour le trouver et y vivre. Le paradis
fut terrestre au début de la création terrestre par Dieu. Il n’a jamais été
céleste et ne se retrouvera que sur cette terre actuelle renouvelée et adaptée à
la vie éternelle de ses habitants, Dieu et ses élus rachetés.
Le
royaume des cieux où Jésus prépare une place pour ses élus selon Jean 14, n’est
jamais appelé paradis dans les saintes Ecritures. Le lien qui est fait est la
conséquence d’une tradition humaine longtemps entretenue par l’enseignement
catholique romain. Le séjour des élus dans le royaume céleste de Dieu, est
limité à « mille ans » consacrés au jugement des créatures célestes
et terrestres rebelles. En ce qui le concerne, le paradis nommé « Eden »
a au contraire une durée illimitée, le temps de l’éternité héritée par les
bienheureux rachetés de Jésus-Christ, sélectionnés avant et après son ministère
terrestre, pendant 6000 ans.
Dieu
donne dans Apocalypse 12:12 cette précision : « C'est pourquoi réjouissez-vous,
cieux, et vous qui habitez dans les cieux. Malheur à la terre et à la mer !
Car le diable est descendu vers vous, animé d'une grande colère, sachant qu'il
a peu de temps. »
L’Esprit
décrit ce qui est arrivé après la victoire du Christ sa mort et sa
résurrection. En Micaël, Jésus-Christ a chassé du ciel Satan et ses démons
célestes, le ciel a donc été entièrement purifié et ses habitants ont toute
raison de s’en réjouir. Pourraient-ils réagir ainsi, s’il existait dans leur
ciel, un enfer ou un purgatoire ? Evidemment non, et Dieu n’a jamais
évoqué l’existence d’un purgatoire. Quand à son paradis et son enfer, j’en ai
donné les explications, les deux sont terrestres, chacun en leur temps
prophétisé par Dieu dans ses révélations pour le temps de la fin.
A
la lumière d’Apocalypse 12:7 à 12, le ciel a retrouvé sa pureté et Satan et ses
anges rebelles sont devenus terrestres, le ciel leur étant interdit. Le temps
d’action qui leur reste au moment de leur expulsion du ciel, est de 2000 ans
qui ont commencé le 3 Avril 30, jour de la mort de Jésus-Christ, mais en
réalité, depuis le 20 Mars 30, jour du printemps de cette année 30 qui prévaut
pour le temps compté par Dieu selon Exode 12:2 : « Ce mois-ci sera pour vous le
premier des mois ; il sera pour vous le premier des mois de l'année. ».
Le
dogme catholique impute aux habitants du ciel la présence de créatures qui n’y
sont pas encore, si elles doivent un jour s’y trouver. Pour les membres du
catholicisme, le diable lui-même vit encore au ciel et Dieu supporte sa
présence. Il impute aussi au ciel, la reine du ciel, « la Vierge
marie » qui n’y est pas encore, car elle attend avec tous les vrais
saints, le jour du retour en gloire de Jésus-Christ pour être ressuscitée. Ce
sophisme diabolique séduit des multitudes de gens qui fondent littéralement devant
son image et ce qu’elle représente de sainteté. La vision d’une femme, mère de
Jésus, image de la douceur, captive les âmes trop sensibles et mal instruites
bibliquement. Dans ce subterfuge, le diable réussit un coup de maître qui lui
permet de dominer sur des multitudes d’esprits humains séduits et trompés que
Dieu ne peut plus et ne veut plus protéger.
Le
culte de cette fausse Marie simulée par des visions diaboliques est la
conséquence directe de la croyance en l’immortalité de l’âme hérité du
philosophe grec Platon. L’homme pécheur s’attache facilement à tous ce qu’il
juge agréable et pour le diable, il est facile de l’appâter et de le prendre
dans ses filets. Les êtres superficiels ont besoin d’asseoir leur foi sur des
preuves visuelles, et la vision de la « vierge » que de nombreux
témoins attestent est très consolante et fortifiante. Des multitudes de
créatures humaines construisent ainsi leur foi religieuse sur la foi et les
expériences d’autres créatures trompées par les ruses du diable. Un verset de
la Bible cité dans Jérémie 17:5 prend alors toute sa valeur : « Ainsi parle YaHWéH : Maudit soit l'homme
qui se confie dans l'homme, qui prend la chair pour son appui, et qui détourne
son cœur de YaHWéH ! »
Pour
échapper à cette malédiction qui frappe et concerne toute l’humanité, il
n’existe qu’un seul moyen, c’est de prendre appui sur Dieu en étudiant
assidument, et aussi sérieusement que la situation le justifie, sa sainte
parole biblique, sa seule écriture inspirée. Les catholiques qui ont
aujourd’hui accès à la parole de Dieu, la sainte Bible, sont encore victimes du
poids des années d’obscurantisme de ce régime religieux qui a construit sa
force, sa puissance, et son prestige dans le mépris total des grandes vérités
divines bibliques. Pour ces catholiques, la pensée du pape actuel est plus
importante que tout ce que la Bible peut dire ou enseigner. La méfiance envers
l’institution a d’autant plus disparu qu’elle ne persécute plus personne et se
présente à l’inverse, victime des ennemis religieux musulmans qui l’agressent.
Avec
Marie, la vierge, de multiples saints et saintes catholiques sont vénérés et
adorés. Et il faut bien le constater, le « culte des anges »
cachés derrière ces saints et saintes est devenu une normalité, bien que Paul
ait mis les chrétiens en garde contre cette pratique dans Colossiens 2:18. Mais
ce « culte des anges » est aussi amplifié par le désir de
personnes inconsolables de reparler à leur cher défunt disparu. Et exploitant
la croyance en l’immortalité de l’âme, les mauvais anges se jouent de la
crédulité de leurs victimes et se font passer pour leurs chers disparus. Voilà
comment le mensonge catholique conduit aux relations spirites post-mortem des
foules de gens catholiques, protestants et autres religions maudites après le
judaïsme.
A
son tour, la religion protestante est restée prisonnière du mensonge en
refusant de se conformer aux exigences de sainteté divines instaurées depuis le
printemps 1843. La première exigence de Dieu a été la démonstration de la joie
que l’annonce du retour de Jésus-Christ suscitait ou pas chez les Chrétiens de
cette époque. Des annonces précises et datées pour 1843 et 1844 ont été faites
sur le sol des USA. Ce n’était que le premier test de la foi de l’époque ;
le deuxième concernant l’acceptation de la restauration du « repos du
sabbat » du samedi, le vrai « septième jour ». Mais il est vrai
que le premier test fut déterminant et que tous ceux qui ont méprisé l’annonce
de la venue du Christ en 1843 ou en 1844 sont tombés en disgrâce quelle que
soit la justification de leur comportement. Ce n’est que tardivement, que Dieu
m’a donné de comprendre le vrai sens qu’il donne au sabbat et que révèlent
clairement les deux versets cités dans Ezéchiel 20:12-20. L’homme n’a pas
vraiment à choisir d’honorer le sabbat, parce que c’est Dieu qui le donne à
ceux qu’il trouve dignes de sa « sainteté », puisqu’il est comme
son adversaire, le dimanche romain, un signe d’appartenance ; « le
sabbat », « le sceau de Dieu »,
pour Dieu, « le dimanche », « la marque de la bête », pour le diable. Pour être du nombre de
ses élus rachetés, Dieu ne sélectionne que des êtres humains logiques et
cohérents, conscients de la juste valeur de ses exigences au niveau général de « l’amour de la vérité », expression
qui résume tout ce que doit être et ce que doit faire un élu du Christ. Celui
qui invite ses élus à partager son éternité céleste ne peut que trouver chez
eux, la joie suscitée par la pensée de son retour. Qui n’agit pas ainsi, est
écarté et livré au diable ; ceci, en toute justice et logique.
Ecoute
ce que Jésus dit dans Apocalypse 14:5 au sujet de ses derniers élus
adventistes : « … et dans leur bouche il ne s'est point trouvé
de mensonge, car ils sont irrépréhensibles. » Il précise encore dans Apocalypse 22:15 : « Dehors les chiens, les enchanteurs, les impudiques, les meurtriers, les
idolâtres, et quiconque aime et pratique
le mensonge ! » Derrière ce terme « impudiques » Jésus
cible, en plus de « l’impudicité » charnelle, « l’impudicité »
spirituelle qu’il impute, en premier, à l’église catholique romaine, et en
second, aux religions, protestante, anglicane, et adventiste qui entrent dans l’alliance
« œcuménique », avant son vrai retour glorieux final. Apocalypse 17:5
confirme l’accusation portée contre le catholicisme symbolisé par « la
prostituée » « Babylone
la grande » : « Sur
son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des
abominations de la terre. » Il convient de relever combien les images
proposées par Dieu trouvent dans l’histoire un sens justifié : l’origine
du décret en 533 instaurant le régime papal romain est due à la « prostituée »
nommée Théodora, devenue l’épouse de l’empereur Justinien 1er, et
« amie » du premier pape en titre, nommé Vigile 1er, exerçant
réellement l’autorité suprême papale à partir de 538.
Dieu
a particulièrement marqué dans la nature le début de cette instauration papale,
en plongeant la terre entière dans de profondes ténèbres glaciales, où selon
les témoins historiques, « le soleil éclairait comme la lune » ;
des ténèbres causées par les super-éruptions successives de deux volcans
diamétralement opposés dans la zone équatoriale, le Krakatoa en Indonésie en
Novembre 535, et l’Ilopango au Salvador en Février 536. Le froid intense a
aussi caractérisé le long règne du roi catholique persécuteur Louis XIV, dit le
« roi-soleil », qui a marqué l’apogée de l’outrance religieuse de ce
régime papal romain.
Les
mensonges religieux sont
aujourd’hui, en 2025, propagés par les fausses revendications successives du
judaïsme, et celles de toutes les dénominations chrétiennes officielles et non
officielles autres que « l’adventisme du septième jour » dissident
que je représente, étant depuis le 14 Juin 1980, jour de mon baptême,
dépositaire des oracles divins et des prophéties bibliques dont je présente depuis
1982 de claires et limpides explications en harmonie avec la révélation
biblique entière ; et ces interprétations ont été constamment confirmées
et renforcées par les nouvelles inspirations divines, depuis ma radiation
officielle en Décembre 1991. Je tiens mon ministère prophétique d’une vision
directe divine reçue au printemps 1975. De telles déclarations m’engagent sous
le regard de Dieu, et je le fais parce que je sais en qui j’ai cru et je
connais celui qui m’inspire ses divines réponses qui éclairent ce qui est
mystérieux et incompris.
M4- Le temps des monstres purificateurs
Les
monstres dont je parle ne sont pas ceux de l’antiquité…et encore que, un lien
peut aussi être établi avec ceux de l’antiquité. Les monstres que mes propos
ciblent apparaissent comme le fruit porté par une lente mais constante conquête
du capitalisme occidental anglo-américain. Il aura suffit de bénéficier d’une
longue paix qui a succédé à la Deuxième Guerre Mondiale, pour que le pays sorti
vainqueur soit, les USA, prenne l’aspect que nous voyons aujourd’hui.
Dieu
m’a appelé au baptême le 14 Juin 1980 et au moment où je suis entré dans son
service, le monde entrait, lui, dans l’ère informatique imposée par le progrès
technique. Les USA ont accueilli les blouses blanches et grises les plus
performantes de la terre entière, leur offrant de bons et gros salaires et
toutes les commodités pour le développement de leurs recherches. Le résultat a
été une avance de ce pays dans ce domaine d’avant-garde.
C’est
dans la Silicon Valley qu’en la riche Californie se sont développés les
derniers monstres de l’histoire. Je parle de monstres avaleurs de peuples
transformés en marchandise nourricière.
Nous
avons longtemps été conditionnés par l’organisation de l’ONU qui après
l’ancienne SDN a tenté de favoriser les relations et les échanges
internationaux. L’ONU a ouvert ses portes à toutes les nations indépendantes de
la terre, libres ou pas. Mais il est important de le réaliser, cet ONU était
organisée et dirigée par les USA, le pays vainqueur de la Seconde Guerre
Mondiale, en marche vers sa domination hégémonique terrestre. S’appuyant sur sa
victoire dans le Pacifique et en Europe, le nouveau géant américain a été suivi
et obéi par toutes les nations européennes affaiblies et certaines dévastées,
la France exceptée, dans un premier temps seulement, en 1958, quand le général
de Gaulle est venu diriger son pays. Mais en 2007, le président Nicolas Sarkozy
a tué cette indépendance en réintégrant la France dans l’organisation militaire
de l’OTAN.
J’ai
vécu toutes les phases de cette histoire française et européenne. Et j’ai vu
comment le capitalisme américain a transformé la France. Les progrès techniques,
réalisés aux USA, attiraient le regard des Occidentaux et séduisaient les
populations ; après la radio et la musique turbulente de sa jeunesse, le
réfrigérateur, la voiture, et la télévision, l’Occident était unanimement à l’image
de son modèle. Jusqu’au 16ème siècle et même jusqu’en 1940,
l’Amérique des USA était silencieuse et presqu’ignorée par les nations
européennes. Et c’est avec raison que, dans sa révélation prophétique de Daniel
7:7, et Apocalypse 12:3, 13:1 et 17:3, Dieu ne fait référence qu’à cette
puissance européenne convertie au catholicisme papal romain. Il illustre cette
Europe soumise aux papes romains par l’image de « dix cornes », la
« corne » étant le symbole d’une puissance agressive. Dans
cette illustration, le régime papal agressif est représenté par une 11ème
« corne » nommée, et c’est important, « petite
corne » car paradoxalement, évoquant cette « petite
corne », l’Esprit lui impute le fait d’être « plus
grande que les autres ».
Et en effet, faible par elle-même, la papauté domine les rois de la terre.
Selon Daniel 7:24, les « dix cornes » vont sortir de
l’empire romain et former dix royaumes indépendants qui désignent les ethnies
qui peuplent l’Europe occidentale après la chute de l’empire romain ; dix
ethnies qui peuplaient les terres des actuels onze pays européens :
L’Espagne et le Portugal, l’Italie et la Suisse, l’Angleterre, la Hollande, la
Belgique, le Luxembourg, la France, l’Allemagne et l’Autriche. Ces ethnies
étaient bien au nombre de dix au moment de la chute de l’empire romain, mais
pour Dieu ce chiffre « 10 » a été choisi en raison de la
signification spirituelle des chiffres. « 10 », c’est 2 fois 5, et
« 5 », c’est le chiffre de l’homme. Or, dans la statue de Daniel 2,
les « pieds » sont composés
« de fer et d’argile »
soit, deux caractères humains opposés inconciliables ; ce que confirme le
verset 43 : « Tu as vu le fer
mêlé avec l'argile, parce qu'ils se mêleront par des alliances humaines ; mais ils ne seront point unis l'un à
l'autre, de même que le fer ne s'allie point avec l'argile. » Le
chiffre « 10 » reçoit, ici dans Daniel 7, la même signification que celle
des « 10 vierges » de la parabole de Jésus ; « 10
vierges » soit, « 5 folles et 5 sages ». Et
ces proportions chiffrées ne représentent pas du tout le rapport réel des fous
et des sages trouvés dans l’humanité, car les fous désignés par Jésus sont en
réalité des gens normaux qu’il juge fous en raison de leur imprudence et de
leur attitude rebelle envers lui. Et cette catégorie de personne désigne la
presque totalité des humains occidentaux et des autres peuples de la terre. Les
chiffres symboliques sont donc très trompeurs.
La
domination universelle a été donnée par Dieu aux peuples faussement chrétiens
mais chrétiens tout de même. Dans l’infidélité du catholicisme romain, les
royaumes et nations actuelles de l’Europe ont pu recevoir par la colonisation les
royaumes de la terre offerts par le diable à Jésus-Christ au moment de sa
tentation. Pour obtenir cette domination, il lui suffisait de se prosterner
devant le diable soit, exactement ce que le monde occidental a fait en
reconnaissant la légitimité de la religion catholique romaine. Il y a 26 siècles avant notre temps actuel,
Dieu a appelé Daniel pour lui révéler en image le destin de la religion juive
et celui de la religion chrétienne. La prophétie divine ne quitte jamais ce
thème religieux chrétien. En agissant ainsi, Dieu témoigne d’un total mépris et
désintérêt pour tout ce qui n’est pas chrétien. Et ce comportement est des plus
logiques, après que Jésus ait déclaré : « Moi, je suis le chemin, la
vérité et la vie ; nul ne vient au Père que par moi ». Son
combat contre le diable ne concerne que ses trompeuses contrefaçons religieuses
chrétiennes ; la première étant catholique et romaine. Mais dire que
Christ combat le diable n’est pas vraiment juste, car son combat vise à
protéger ses saints élus et non à combattre le diable qu’il a laissé libre
d’agir afin que les humains impies le rejoignent dans sa rébellion et partagent
son triste sort final au jour du jugement dernier.
Le
premier monstre de l’histoire européenne chrétienne est sans contestation
possible, le régime impérial romain que Dieu illustre dans Apocalypse
12:3 : « Un autre signe parut
encore dans le ciel ; et voici, c'était un grand dragon rouge, ayant sept têtes et dix cornes, et sur ses
têtes sept diadèmes.» Ce grand et terrible monstre décrit comme tel dans
Daniel 7:7 : « Après cela, je
regardai pendant mes visions nocturnes, et voici, il y avait un quatrième animal, terrible, épouvantable
et extraordinairement fort ; il avait de grandes dents de fer, il mangeait, brisait, et il foulait aux pieds ce qui restait
; il était différent de tous les animaux précédents, et il avait dix cornes. » Et Daniel
7 :24 confirme sa succession par « dix royaumes » européens
soumis à la Rome papale : « Les
dix cornes, ce sont dix rois qui s'élèveront de ce royaume. Un autre s'élèvera
après eux, il sera différent des premiers, et il abaissera trois rois. » Le
régime papal romain succède donc au régime impérial en prolongeant sa force
brutale, terrible et extraordinairement forte. A noter que le quatrième animal
prolonge sa domination jusqu’au temps de la fin, par la succession de ses deux
régimes, successivement, impérial, puis, papal. Toutes les colonisations
réalisées sur la terre ont été européennes. C’est ainsi que ce petit territoire
placé au centre du monde a imposé sa domination et conquis d’immenses terres
découvertes telles les Amériques, l’Afrique, l’Inde et l’Australie.
Le
temps de la colonisation a préparé la chute du deuxième monstre formé par les
nations républicaines européennes. La guerre interne de 14-18 et celle de 39-45
ont fait perdre aux nations des colons la dignité de leur autorité. De plus,
les pays colons ont préparé leur perte en instruisant les populations
colonisées. Des étudiants formés en France sont devenus les chefs des forces
d’indépendance des nations colonisées et les unes après les autres, toutes ou
presque ont obtenu par le sang ou pas leur indépendance. Le monstre s’est brisé
les dents.
Cependant,
ces deux guerres qui ont brisé la puissance européenne, ont enrichi les USA qui
fournissaient des armes, du matériel, en grandes quantités. Le réveil de ce
géant a eu deux causes : dans l’Océan Pacifique, l’attaque de Pearl Harbor
par les Japonais le Dimanche 7 Décembre 1941, à 10 heures du matin, à l’heure
du rassemblement religieux dans les temples et églises locaux ; et les
attaques des convois américains par les sous-marins allemands, dans l’Océan Atlantique.
La capacité productive exceptionnelle des USA s’est révélée dans son engagement
guerrier. Un nouveau monstre était en croissance.
En
1944, les USA combattent l’Allemagne et le Japon sur les deux champs de
bataille, l’Européen et le Pacifique, et remportent finalement la victoire
contre les deux ennemis. Dès lors, le monstre domine toutes les nations mais il
se contente de les coloniser idéologiquement en leur imposant ses valeurs
capitalistes. Le monstre n’a qu’un ennemi, le communisme apparu dans la Russie
soviétique. Evitant le choc direct avec la Russie, pendant la « guerre
froide » le combat oppose les deux idéologies contraires dans les pays qui
soutiennent la cause communiste. Après de nombreuses initiatives meurtrières,
les USA mettent eux-mêmes fin à leur guerre tueuse. Dans le même temps, de
nouveaux monstres concurrents se sont développés en Chine, puis en Inde,
principalement.
Dans
le monde de 2025, les petites nations sont écrasées et méprisées. L’heure est
favorable aux monstres très puissants. L’Europe, elle-même, est devenue trop
faible, affaiblie par sa perte d’emploi, son chômage, et sa consommation
presqu’exclusive de produits fabriqués en Asie. L’Europe occidentale, Union
Européenne, Royaume-Uni, Suisse et Norvège, s’est trompée en fondant sa force
sur ses 535 millions d’habitants. En face d’elle se trouvent l’Inde et la Chine
qui comptent chacune plus d’un milliard quatre cent millions d’êtres humains.
Mais en 2025, ce nombre d’habitants ne signifie plus rien, et les dirigeants
européens découvrent horrifiés qu’un petit pays, comme la Corée du Nord,
agressif et surarmé, est plus redoutable que toute l’Europe réunie.
Le
fractionnement des pays du monde sépare le camp occidental du camp oriental
dominé par la Russie et ses alliés. La prochaine Guerre Mondiale se présente
comme le choc des Titans, et je peux seulement maintenant comprendre pourquoi,
dans sa prophétie de la sixième trompette, Dieu insiste sur la force et le
pouvoir destructeur des puissances engagées dans la guerre. Et dans sa
description, Dieu insiste sur la force et la puissance détenue par les seuls
dirigeants de ces blocs monstrueux qui s’affrontent avec rage et haine.
En
2025, en ce jour du Lundi 20 Janvier, aux USA, le nouveau président Donald
Trump prête serment devant sa nation. Son élection redoutée par les Occidentaux
est ainsi confirmé, et s’ils la redoutaient, c’est parce que le nouveau
président n’a rien caché de ses intentions concernant son programme politique.
Et la seule image que je donnerai à cette situation, c’est le retour dans
l’arène d’un taureau furieux décidé à venger les multiples attaques qu’il a
subies de la part du camp de son prédécesseur, Joe Biden, le démocrate. De
plus, il a entendu les commentaires hostiles des Européens. Etant soutenu cette
fois par les trois chambres politiques américaines, il est bien décidé à mettre
en œuvre les choses qu’il a annoncées jusqu’au soir de la veille de sa
prestation de serment. Et ces mesures qu’il veut instaurer sont à l’opposé de
l’humanisme apprécié dans le camp occidental. L’homme normal ne comprend pas ce
changement brutal qui se produit aux USA, et c’est normal. Car c’est uniquement
en Dieu que ces choses trouvent leur explication. L’élection d’un homme
différent est pour lui le moyen d’imposer à l’humanité son programme conçu
depuis la fondation du monde.
Pendant
de longues années de paix, le capitalisme a tissé sa toile en favorisant le développement
de la science informatique et de ses services internet adoptés par toutes les
nations de la terre. Et dans cette puissance exclusive, les inventeurs
américains se sont fabuleusement enrichis et constituent de nouveaux monstres
qui s’imposent aux nations devenues dépendantes de leur service. Les USA
rassemblent les multimilliardaires les plus riches de la terre. Le libéralisme
de ce capitalisme a favorisé la croissance constante de ces fortunes portées
par un seul homme. Les USA recueillent aujourd’hui, les avantages de leur choix
de ne pas favoriser l’étalon or, et de choisir leur Dollar qui l’a remplacé. A
l’origine de ce changement se trouve ce raisonnement des Américains qui ont
estimé que valoriser l’or ne suffisait pas. Et l’actualité leur donne raison,
car la vraie richesse n’est pas dans l’or mais dans la capacité technique et
les systèmes qui font la richesse de ce pays. Et il est vrai que cette richesse
est vulnérable et fragile, mais ses services internet étant devenus
indispensables, ses entreprises informatiques sont solides et résistantes.
La
vraie puissance des USA ne repose pas sur ses stocks de lingots d’or
inutilisés, mais sur le caractère indispensable de sa technologie mise au
service de toutes les nations riches. Les nations se retrouvent dans l’état de
ce drogué devenu dépendant de sa drogue, et pour elles, cette drogue
indispensable se nomme internet, Google, Microsoft, Amazon et détenue par le
seul Elon Musk, l’offre Starlink.
Les
nations européennes ont été hameçonnées les unes après les autres par l’offre
internet de Microsoft et au grand regret des personnes âgées comme moi, cette
technologie a été adoptée, tuant l’ancien système qui offrait des services
humains directs multiples. Le robot informatique tue le service humain et le
remplace, déshumanisant les relations humaines. Ainsi, avant que des armes
nucléaires s’en chargent, les êtres humains sont détruits psychiquement par la
robotique. Le problème du progrès technologique, c’est que personne ne peut
l’arrêter sans détruire l’humanité entière. La nouveauté appréciée dès son
invention finit par détruire l’esprit et la mentalité des êtres humains. Et les
jeunes qui naissent avec ces choses les considèrent comme leur normalité et ne
pensent qu’à pousser encore plus loin leur développement.
Dieu
est donc contraint à intervenir pour bloquer cette expansion constante. Et ce
moyen est l’élection d’un homme agressif, décidé à privilégier le sort de son
seul pays : « America First ». Son succès électoral s’explique
par les conséquences portées par la gouvernance humaniste du camp démocrate. Ce
sont les excès abusifs qui provoquent le besoin de mesures inverses.
L’humanisme démocrate a favorisé les relations internationales de l’Amérique
avec les Européens qui l’ont rejointe aux côtés de l’Ukraine contre la Russie. Mais
cet humanisme a favorisé l’entrée illégale de nombreux immigrés mexicains sur
le sol américain. Cet excès est insupporté par les nationaux qui imputent à ces
immigrés des actes délinquants et leur insécurité. Aussi, quatre ans plus tard,
ils votent massivement pour le président républicain qui revient au pouvoir,
hostile envers l’Europe et la Chine, et décidé à mettre fin à l’immigration
mexicaine et plus largement sud-américaine catholique.
Ce
qui se produit aux USA, explique la croissance du parti nationaliste français,
le R.N. de Marine Le Pen. Le même problème de l’immigration provoque la même
réaction hostile envers les immigrés. Mais en France, le R.N. est combattu par
une majorité prête à s’allier contre lui dans les élections, et le vote à deux
tours des élections françaises bloque systématiquement son accès au pouvoir. En
plus de cela, l’installation en France de nombreux autres habitants des nations
européennes change les proportions des électeurs. Aux USA, la détermination des
patriotes américains est bien plus grande et plus vive en raison du caractère
plus dur des Américains du camp républicain.
Depuis
son origine, l’Amérique s’est formée par un rassemblement de gens venus de
toute la terre, c’est pourquoi, le droit national de gens ethniquement
différent est resté légitime et justifié. Mais le racisme latent de certains
blancs américains ne peut être nié, et en témoigne, dans un passé pas si
lointain, le succès momentané du Ku-Klux-Klan persécuteur des Noirs. Il ne faut
pas oublier le fait que depuis son instauration, l’expérience américaine
renouvelle l’expérience de la « tour de Babel », en rassemblant en
son sein des êtres humains séparés mentalement par de multiples critères. Le
choc de ces pensées contraires était inévitable et le niveau de l’insupportable
étant atteint, le bloc, le plus riche et influent, retrouve le soutien
majoritaire populaire. A la société soumise aux compromis constants vient
s’opposer un régime « droit dans ses bottes » qui n’entend pas
gouverner par des compromis, mais par des décrets. Le président Donald Trump
incarne le changement absolu dans lequel les Américains placent leur espoir
sociétal.
Dieu
organise la vie terrestre humaine, puissamment et souverainement. C’est donc
lui qui crée les conditions et les formes des changements qu’il juge
nécessaire. C’est là qu’il faut relever ce qui caractérise son nouvel
instrument, Donald Trump. Ce n’est pas un homme politique mais un homme
d’affaires immobilières que son métier a enrichi. Or par cette origine, ce
président ne peut être que pacifiste sans être pacifique. Il sait que la guerre
est néfaste pour les échanges commerciaux internationaux, et son Amérique ne
s’enrichit que par ce commerce international. Il ne fera donc rien qui favorise
la guerre et fera tout son possible pour obtenir l’arrêt de celles qui sont
engagées en Ukraine et à Gaza. Mais son possible n’inclut pas un engagement
guerrier. Confiant dans la puissance mondiale des USA, il ne fera appel qu’à la
pression commerciale. Et j’entends déjà sur les plateaux télévisés des
journalistes et des consultants qui confondent leur espérance avec la réalité
des faits. Au sujet de la guerre en Ukraine, Donald Trump dit à Vladimir
Poutine que par sa guerre il détruit sa Russie. Et ce constat n’est pas faux,
mais dans ses propos, il ne menace pas la Russie comme l’entendent certains
commentateurs. Il est donc vrai que la fabrication des bombes absorbe des
capitaux qui manquent ensuite pour les dépenses sociales nationales. Sauf, qu’étant
engagé dans cette guerre à cause des agressions ukrainiennes contre des Russes
ukrainiens par sa victoire contre l’Occident, Vladimir Poutine peut espérer se
faire rembourser toutes ses dépenses militaires. En fait, Donald Trump a fait
de la paix universelle, le programme de son combat présidentiel. Mais il ignore
le projet de Dieu qui est tout autre et va le découvrir dans le temps qui
vient. Et il ignore le rôle principal que Dieu lui fait jouer dans son
programme, car lui qui ne veut que la paix universelle, vient au pouvoir pour
la faire cesser.
Dès
son premier mandat, il y a huit ans, son nom « Trump » m’a permis de
reconnaître en lui l’homme que Dieu va utiliser pour mettre en œuvre son
châtiment de la « sixième trompette »
car le mot anglais « trump » signifie : trompette. Or, ce n’est
pas en entrant dans la guerre que les USA vont déclencher la guerre, c’est
paradoxalement, en étant déterminé à ne pas se laisser engager avec ses troupes
dans le moindre conflit. Car son retrait, prive l’Europe occidentale de son
soutien et la livre aux assauts russes. Les chances européennes sont nulles en
raison de la division interne du camp européen. L’Europe désunie est placée
entre les USA réellement unis et la Russie unifiée sous le commandement de son président
perpétuel. Et quand les monstres se confrontent le pouvoir décisionnaire unique
est un avantage indéniable.
Le
Lundi 20 Janvier 2025, aura été marqué par des images étonnantes de ce
président sorti d’une activité commerciale et soutenu publiquement par un
groupe des plus riches milliardaires américains, enrichis par le développement
et l’exploitation universelle de la technologie numérique. Tous ces gens ont
des raisons d’empêcher la guerre mondiale. Mais, leur désir n’est pas celui du
Dieu vivant ; ils vont le découvrir, pleins d’amertume dans les années qui
sont devant nous. Les Européens sont donc prévenus et déjà depuis longtemps, et
ils vont devoir s’organiser pour résister seuls à leurs ennemis ; la
Russie et l’islamisme terroriste guerrier.
En
Ukraine, la guerre se prolonge uniquement à cause des fournitures d’armes
données aux armées ukrainiennes par le camp occidental de l’OTAN et de l’U.E.
C’est pourquoi, le combat s’éternise sur une ligne frontale. Le retrait des USA
change les données de la situation, car isolée, l’Europe est affaiblie et
devient une cible pour la vengeance russe. Or, la Russie peut bénéficier d’une
attaque globale contre l’U.E. et l’OTAN européen. Les normes guerrières seront
changées et le rôle des sous-marins russes peut permettre de multiples
invasions du sol de l’U.E. La Russie bénéficiera de ces multiples moyens
d’agressions dont elle dispose ; sous-marins, et missiles hypersoniques
invulnérables. Face à cette multiplication de lieux d’attaques, les armées
européennes seront incapables de les repousser toutes. Et la loi du nombre,
livrera l’Europe au vainqueur russe.
Mais
pour que ce sinistre scénario s’accomplisse, il faut que l’Europe soit agressée
sur son sol, par l’islamisme terroriste dans les régions du Sud. Cette attaque
changera les données de la situation européenne, et le président Poutine
trouvera là une opportunité favorable pour une attaque du camp occidental
européen.
Que
sont les guerres, sinon des signes visibles révélant la colère de Dieu dont la
malédiction pèse sur tous les peuples de la terre ? Ce verset cité dans 2
Chroniques 1:9 confirme mes propos en disant au roi Asa : « Car YaHWéH étend ses regards sur toute la
terre, pour soutenir ceux dont le cœur est tout entier à lui. Tu as agi en insensé dans cette affaire,
car dès à présent tu auras des guerres. » C’est la paix que nous devons
trouver étonnante et anormale, car pendant les 6000 ans d’histoire terrestre,
l’humanité coupée de Dieu n’a connu que des guerres. et dans Daniel 9:26, Dieu dit : « Après les soixante-deux semaines, un Oint
sera retranché, et il n'aura pas de successeur personne pour lui. Le
peuple d'un chef qui viendra détruira la ville et le sanctuaire la sainteté,
et sa fin arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu'au terme de la
guerre. » Jésus précise dans Matthieu 24:6 à 8 : « Vous entendrez parler de guerres et de
bruits de guerres : gardez-vous d'être troublés, car il faut que ces choses
arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin. Une nation s'élèvera contre une
nation, et un royaume contre un royaume, et il y aura, en divers lieux, des
famines et des tremblements de terre. Tout cela ne sera que le commencement des
douleurs. »
Je
suis troublé par la précision donnée par Jésus qui dit : « nation contre nation » car notre
actualité donne ce rôle à l’Ukraine et la Russie. Et cette vision des choses
semble s’imposer par le fait que Jésus répond à la question de ses disciples
qui lui disent au verset 3 : « Dis-nous,
quand cela arrivera-t-il, et quel sera le signe de ton avènement et de la fin
du monde ? » Jésus, élargit-il sa réponse en évoquant les persécutions
qui se sont prolongées au long de l’ère chrétienne ? Si ce n’est pas le
cas, alors tous ses propos nous concernent et vont s’accomplir dans les cinq
ans qui sont devant nous. Cependant, les réponses données par Jésus semblent
bien répondre, en premier, au sort imminent réservé à ses apôtres, si l’on
tient compte de ces versets 15 et 16 : « C'est pourquoi, lorsque vous verrez l'abomination de la désolation,
dont a parlé le prophète Daniel, établie en lieu saint, que celui qui lit fasse
attention ! Alors, que ceux qui seront en Judée fuient dans les
montagnes ; … » Ainsi, Jésus répond prioritairement à
l’inquiétude de ses apôtres et il nous annonce en même temps, que la
persécution de ses élus durera jusqu’à la fin.
Il
convient donc de s’interroger sur le sens que Dieu a voulu donner à la longue
paix instaurée en Europe depuis 1945 jusqu’en 2022. Ce qui est certain, c’est
qu’elle ne constitue pas le signe de sa bénédiction des peuples concernés. En
fait c’est même le contraire soit, le signe de la malédiction si l’on tient
compte du raisonnement suivant. Dans le passé, la fréquence resserrée des
guerres empêchait le développement du mal. La longue paix dont nous avons
bénéficié est une paix opportuniste qui offre à Dieu la possibilité de laisser
le mal atteindre son apogée. Et c’est bien ce qui s’est accompli comme nos
dérives mentales sexuelles sociétales le prouvent depuis 2012 en ce qui
concerne la France. Dix ans plus tard, la guerre a commencé en Europe, entre
l’Ukraine et la Russie en signe que l’apogée du mal était atteint.
Que
cherche Dieu dans les guerres ? Des morts et encore des morts ; 60
millions de morts dont 6 millions de Juifs dans la Seconde Guerre Mondiale. Et
le génocide des Juifs n’avait pour but que de faire porter à leurs survivants
la responsabilité de tous les problèmes posés aux nations occidentales,
jusqu’au « temps de la fin » marqué par la « Troisième Guerre
Mondiale » décrite dans Daniel 11:40 à 45. La forme concrète de cette
malédiction internationale repose sur le retour des Juifs sur leur ancien sol
national repeuplé par des arabes musulmans pendant leur dispersion. Au nom de
Jésus-Christ, le Dieu créateur organise de la sorte un sujet de dispute
insoluble entre les Juifs et les Musulmans palestiniens. Et les conséquences de
ce drame ciblent les nations occidentales infidèlement chrétiennes.
Depuis
qu’ils ont dit à Ponce Pilate au sujet de Jésus-Christ, « Que
son sang retombe sur nous et sur nos enfants ! », les Juifs ont
été porteurs de la malédiction de Dieu qui veille à ce que leurs propos soient
accomplis. Pendant tout le règne papal persécuteur, les Juifs hollandais ont
été les banquiers qui finançaient les guerres des rois européens. Et le retour
des Juifs en Palestine en 1948 est encore dû à la puissante et riche communauté
juive installée aux USA où règnent des banques juives qui financent les
activités du monde entier et particulièrement celles de l’Europe occidentale.
Ne
dit-on pas que « l’argent est le nerf de la guerre » ? Et ce
sont les banques juives qui le possèdent. La puissance actuelle des USA est en
grande partie entre leurs mains. C’est ce qui explique le soutien
inconditionnel d’Israël par les USA, aujourd’hui comme hier. Les Juifs sont les
meilleurs agents du capitalisme américain qui a formaté l’Allemagne hitlérienne
vaincue. Un lien a été tissé entre l’Allemagne et les USA, et la France a
renoncé à son indépendance pour créer avec cette Allemagne capitaliste,
l’Europe Unie actuelle qui regroupe les nouvelles conquêtes de ce capitalisme
insatiable. La conquête de l’Ukraine a été le pas de trop ; celui où l’on
s’achoppe, se ruine, et se détruit en se fracassant contre la Russie et ses
alliés.
Les
valeurs du monde et celles de Dieu sont diamétralement inversées. Aussi, ce que
le monde appelle des monstres, Dieu les nomme « agents
purificateurs », car ils n’ont pour mission que de détruire les nations
chrétiennes rebelles et incrédules qui le déshonorent par leurs œuvres
abominables.
Je
relève dans les dernières nouvelles, ce fait vécu aux USA. Au nom de la
compassion, une femme, évêque épiscopale de Washington, a plaidé dans sa
messe en faveur des gays, des lesbiennes et des transsexuels qui s’inquiètent ;
ceci, en présence du président Trump qui est sorti du lieu très contrarié. J’ai
pour lui une réponse à laquelle il ne pense pas : « Quand la religion
plaide en faveur de l’abomination, est-elle encore la religion ? » Ce
qui est relevable, c’est qu’après le président russe orthodoxe, le nouveau
président des USA dénonce et veut combattre les dérives homosexuelles
abominables que l’Europe occidentale continue de justifier ; c’est dans ce
sens qu’ils constituent des « monstres purificateurs », après Adolf
Hitler. Ces monstres tueurs sont loin d’être parfaits mais ils n’en sont pas
moins, les instruments de la colère divine, comme dans la Révolution française,
l’athéisme le fut pour la monarchie catholique. Proposant de mettre en
parallèle les « trompettes » d’Apocalypse 8 et
9 avec les « châtiments » annoncés pour Israël dans Lévitique 26, Dieu
définit dans le verset 25 le rôle qu’il donne à son « sixième châtiment » :
« Je ferai venir contre vous l'épée, qui vengera mon alliance ; quand vous vous rassemblerez dans vos
villes, j'enverrai la peste au milieu de vous, et vous serez livrés aux mains
de l'ennemi. » Tel est son programme imminent pour l’U.E. et ses
habitants.
M5- Les répétitions de l’histoire
Le
grand Dieu créateur a montré sa sagesse en faisant écrire des expériences
vécues par l’humanité depuis la formation du premier homme, Adam. Il a choisi
ce qui devait être écrit et ce qui ne devait pas l’être. Ceci dans le but de
donner à ses élus la possibilité d’enregistrer des leçons concernant des
situations qui pouvaient ou devaient se représenter au fil du temps de
l’histoire terrestre.
Voici
une application de ce principe. Dieu a annoncé à Abraham qu’il donnerait la
terre de Canaan à sa prospérité « dans
quatre générations », précisant que « l’iniquité des Amoréens » n’était « pas encore à son comble ». Et les choses se sont accomplies
comme Dieu l’avait prédit. 400 ans environ plus tard, Dieu a détruit les géants
qui peuplaient Canaan, livrant ainsi la terre de Canaan à son Israël. L’Esprit
de Dieu m’a permis de relever une analogie entre cette expérience antique et
celle de la terre américaine des USA. Car aujourd’hui en 2025, quatre cent ans
se sont écoulés depuis le début du XVIIème siècle où cette terre américaine
a recueilli des européens persécutés, migrants arrivés sur le navire nommé
« Mayflower » en 1620. Je relève cet autre analogie entre l’Amérique
dont le nom évoque l’amertume et Canaan, le fils de Cham, que Noé avait maudit.
En fait, les chrétiens protestants venus s’installer aux USA fuyaient les
persécutions catholiques pratiquées en Europe. Et d’autres en plus grand nombre
sont venus pour trouver la liberté et le profit. La vie était dure et les humains
immigrés étaient aussi durs et méchants. En peu de temps, la terre américaine a
été ensanglantée peuplée de meurtriers. La religion protestante portait un
fruit amer hérité de son fondateur Jean Calvin. On a souvent comparé l’Amérique
à la terre promise, la nouvelle « Canaan ». Hélas, cette « Canaan »
reproduisait la méchanceté des géants Cananéens et n’avait rien de ressemblant
avec le paradis de Dieu. Cette nouvelle « Canaan » avait donc elle
aussi devant elle quatre générations avant que Jésus-Christ ne la détruise par
l’éclat de son avènement le 20 Mars 2030 ; moment ou les élus de
Jésus-Christ entreront, eux, dans la « Canaan » céleste où la
méchanceté n’est plus depuis la victoire de Jésus-Christ et son expulsion du
ciel de Satan et ses anges rebelles soit, depuis le « dimanche » 7
Avril 30, le premier jour de la semaine juive divine, en lequel Jésus devait se
présenter dans le ciel au Père et à ses saints anges pour être intronisé.
La
comparaison de l’Amérique avec Canaan est justifiée puisque le nom Canaan
signifie : marchand, commerçant soit, ce qui caractérise parfaitement les
USA organisateur des règles de l’OMC, l’Organisme Mondial du Commerce ; les
« marchands de la terre »
que Dieu cite dans Apocalypse 18:11 : « Et les marchands de la terre pleurent et sont dans le deuil à cause
d'elle, parce que personne n'achète plus leur cargaison, …».
L’histoire
terrestre est celle de cette méchanceté apparue avant la création terrestre dans
l’esprit du premier rebelle, Satan le diable qui fut la première créature
céleste créé par Dieu. De même, dans l’expérience terrestre, sur les deux
premiers fils qu’ont eus Adam et Eve, l’aîné nommé Caïn fut le premier
meurtrier de l’histoire terrestre, en tuant par jalousie son frère Abel. La
méchanceté était donc créée avec la liberté donnée par Dieu à sa première
créature et jusqu’à la dernière, comme une conséquence de cette liberté. Et
dans le temps, cette méchanceté n’a fait que croître. Nous avons vu, dans un
message précédent comment le récit de la création terrestre présenté dans
Genèse 1 donne aux 5 premiers jours de cette œuvre divine la création des
symboles prophétisant des entités humaines porteuses de la méchanceté soit, du
péché. Tous ces symboles sont utilisés par Dieu dans sa révélation Apocalypse
et se résument, depuis le pire jusqu’au meilleur, par l’athéisme de « l’abîme », le catholicisme de
« la mer », le
protestantisme de « la terre ».
Et enfin en dernier, « l’homme »
de l’adventisme du septième jour dissident des tous derniers jours. En réalité, le mot « abîme » symbolise l’absence de
relation avec Dieu soit, le paganisme religieux et l’athéisme que Dieu juge de
la même manière et dont la fin des deux est la « perdition ». C’est pour cette raison que Dieu dit dans
Apocalypse 17:8 au sujet du catholicisme, première apostasie et forme du
christianisme de la « bête qui monte
de la mer » d’Apocalypse 13:1 : « La bête que tu as vue était, et elle n'est plus. Elle doit monter de l'abîme, et aller à la perdition. Et les
habitants de la terre, ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du
monde dans le livre de vie, s'étonneront en voyant la bête, parce qu'elle
était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra. »
Ce
verset nous donne les clés de l’interprétation des trois « bêtes » citées dans Apocalypse.
Mais il cible essentiellement les deux « bêtes » chrétiennes d’Apocalypse 13, que sont « la bête qui monte de la mer » soit,
le catholicisme persécuteur qui était et n’est plus jusqu’à « la bête qui monte de la terre »
soit, le protestantisme persécuteur qui va apparaître à la fin du monde. Et
dans ce verset, l’Esprit souligne le privilège qu’il donne à ses élus
adventistes qui seuls savent, par la prophétie, que la religion protestante
animera la dernière persécution terrestre. En inversant la forme, l’Esprit veut
mettre en évidence le privilège exclusif de ses saints élus dont « le nom a été écrit dans le livre de vie dès
la fondation du monde ». Et leur privilège est d’être éclairés par
« le témoignage de Jésus ».
La
persécution est la forme prise par la méchanceté d’un régime fort, décidé à
imposer ses valeurs et sa norme religieuse à toute l’humanité sur laquelle il
règne. Le méchant ne supporte pas la contradiction et ne se laisse pas
raisonner. Se sentant fort, il n’a recours qu’à la force pour contraindre à
l’obéissance ses opposants. Alors que la vraie religion tient compte des
normes établies par Dieu, la fausse religion est faussement religieuse, parce
que ceux qui la dirigent ne donnent aucune importance à ce que Dieu pense et
approuve. Des gens s’engagent dans la religion sans savoir pourquoi ils le
font. Ils sont manipulés et poussés à prendre des décisions que les démons leur
font croire être les leurs, alors que les idées apparues dans leur pensée sont
inspirées par le diable et ses anges rebelles. Dès qu’ils sont engagés, ils
défendent bec et ongle le camp auquel ils appartiennent. Et la haine qu’ils
ressentent envers ceux qui leur résistent leur est également inspirée par les
méchants anges rebelles. Le premier meurtrier de l’histoire humaine soit, Caïn
fut la première victime de cette méchanceté inspirée par les démons et Dieu
confirme cette chose en disant dans Genèse 4:7 : « Certainement, si tu agis bien, tu relèveras
ton visage, et si tu agis mal, le péché
se couche à la porte, et ses désirs se portent vers toi : mais toi, domine
sur lui. » Ce verset devient très clair, en le traduisant ainsi :
« Satan se couche à la porte et ses désirs se portent vers toi ; mais
toi, domine sur lui ». Dans ce verset, « la porte » désigne
la pensée et la volonté personnelle de Caïn qu’il peut opposer, s’il le veut
vraiment, aux attaques du diable qui l’incite à « pécher » contre
Dieu. En lui disant : « mais toi domine sur lui », Dieu
affirme que l’homme a la possibilité de résister au diable. Mais pour résister
au diable, il faut déjà savoir que nos pensées peuvent être celles du diable
qui a la capacité de s’emparer de notre esprit et d’alimenter nos pensées et
nos réflexions intérieures mentales.
Le
problème de notre humanité c’est qu’elle ne donne de l’importance qu’à ce qui
est visible ou capté par nos cinq sens : la vue, l’ouïe, l’odorat, le goût
et le toucher ; alors que le plus important est invisible parce que
spirituel. Et c’est précisément dans l’esprit de chacun de nous que se livrent
les plus importants combats entre Dieu, le diable et nous-mêmes.
Dans
le passé, au temps de l’obscurantisme religieux du catholicisme romain, la
coalition formée par la monarchie et l’église papale qui réunies constituent la
« bête », avait recours à la torture pour contraindre ses
opposants à abjurer leur foi résistante. Le premier roi, particulièrement
rebelle, nommé Philippe V dit le Bel, fit brûler sur un bûcher le chef des
Templiers, Jacques de Molay. Pour instaurer ce type de châtiment, le diable et
ses démons ont provoqué des scandales dans l’église catholique elle-même. Dans
un couvent, des sœurs religieuses furent saisie de frénésie démoniaque qui ont
particulièrement irrité ses dirigeants. De plus, dans la population française
totalement inculte, la religion était représentée par le prêtre local et la
hiérarchie du clergé. Pour ces personnes incultes, le mot vérité n’avait pas de
sens, car ils ignoraient et la Bible et son contenu ; ils ne connaissaient
que le prêtre serviteur du pape qui prétendait représenter Dieu sur la terre.
Leur soumission au système catholique était d’autant plus obtenue qu’ils
voyaient les rois et les seigneurs eux-mêmes se soumettre à l’autorité papale.
Cependant, des gens se livraient à la sorcellerie punie du bûcher par l’église.
Et la majorité des gens du peuple trouvait juste ces châtiments faits au nom de
Dieu et pour sa gloire. L’église profita de ce soutien populaire pour conduire
au bûcher ses opposants religieux, accusant même les prophètes de Dieu
d’activité diabolique, à l’image des vrais sorciers. Les masses populaires
ignorantes et totalement incultes ne faisaient pas la différence et soutenaient
donc la persécution croyant honorer Dieu. Et partiellement, lorsque les
victimes étaient de vrais sorciers ou sorcières, l’exécution mortelle était
divinement légitimée. Mais souvent, l’église de l’inquisition a confondu des
activités naturelles comme la préparation des essences des plantes à des
actions de sorcellerie, injustement.
Cet
exemple montre combien l’ignorance spirituelle est dommageable pour l’être
humain qui se laisse ainsi manipuler par le diable et ses démons, les
véritables auteurs des crimes qu’ils font exécuter par leurs agents humains.
Dieu a donc bien raison quand il exalte « l’intelligence »
dans Daniel 12:3 et 10 : « Ceux qui auront été intelligents brilleront comme la splendeur du ciel, et
ceux qui auront enseigné la justice, à la multitude brilleront comme les
étoiles, à toujours et à perpétuité …/… Plusieurs seront purifiés, blanchis et
épurés ; les méchants feront le mal et aucun des méchants ne comprendra, mais ceux qui auront de l'intelligence
comprendront. »
Ce
mot « intelligence » est repris
aujourd’hui pour l’imputer aux puissants microprocesseurs informatiques qui
n’ont d’intelligence que la capacité de mémoriser d’innombrables données que
l’homme fait entrer dans leur mémoire artificielle électronique. Les plus
récents sont extrêmement performants et sont capables d’annuler les barrières
linguistiques créées par Dieu au temps de la tour de Babel. Ce fait doit être
pris en compte pour comprendre la vraie nature du progrès technique réalisé.
Depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale et le relèvement des ruines dues
aux combats, les nations occidentales n’ont fait que progresser dans la
maitrise technologique ; organisant ainsi la préparation de leur dernière
bataille menée contre Dieu et ses normes du bien et du mal. Et sur ce sujet, l’I.A.
est incapable de prendre une position personnelle, car elle ne peut donner pour
réponse que la position de l’homme qui l’a programmée.
Au
contraire de la machine, l’esprit humain a la vie, la vraie, celle qui permet
de relever les jeux d’esprits et d’éprouver des sentiments. Et seule cette
forme de la vie est capable d’apprécier ou pas, les subtilités du montage
prophétique proposé par Dieu à ses appelés rachetés par le sang de Jésus-Christ
versé pour expier les péchés de ses seuls vrais élus. Dans cette vie réelle,
Jésus a dit à ses disciples dans Jean 6:63 : « C'est l'esprit qui vivifie ; la chair ne sert de rien. Les paroles que
je vous ai dites sont esprit et vie. » Il y a donc à côté du langage
ordinaire, un deuxième langage qui est, lui, spirituel, et qui se base sur des
symboles et des images comparatives présentés par Dieu. Ce langage fut
magnifiquement et sublimement utilisé par Jésus-Christ dans ses nombreuses
paraboles que l’I.A. est incapable de discerner et apprécier. L’intelligence,
la vraie, ne se trouve que sous la forme du raisonnement et de la capacité de
déduire des réponses justifiées moralement par des arguments. Mais cette
intelligence humaine fonctionne très lentement et l’aide de l’I.A. est sur le
plan de la vitesse infiniment précieuse et supérieure. L’I.A. est déjà
appréciée, à en juger par le succès évident des ordinateurs que j’utilise et
apprécie, en premier. Mais, cette invention détourne les êtres humains de
l’essentiel, leur connaissance du jugement de Dieu qu’ils ignorent et continuent
d’ignorer, parce que l’usage immodéré de l’ordinateur et du téléphone numérique
portable captive leur intérêt et tout leur temps. C’est pourquoi je relève dans
la sainte Bible, la mise en garde de Dieu contre les prodiges techniques qui
devaient séduire les multitudes humaines, selon Matthieu 24:24 : « Car il s'élèvera de faux Christs et de faux
prophètes ; ils feront de grands
prodiges et des miracles, au point de séduire, s'il était possible, même les
élus. » ; et Apocalypse 13:13-14 : « Elle
opérait de grands prodiges, même
jusqu'à faire descendre du feu du
ciel sur la terre, à la vue des hommes. Et elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu'il lui
était donné d'opérer en présence de la bête, disant aux habitants de la
terre de faire une image à la bête qui avait la blessure de l'épée et qui
vivait. »
Ces
paroles de Jésus-Christ sont, actuellement, et déjà depuis 1945, date de
l’utilisation des premières bombes atomiques par les USA contre le Japon, en
accomplissement. Il ne reste à s’accomplir que la dernière annonce du dernier
verset : « disant aux habitants
de la terre de faire une image à la bête qui avait la blessure de l'épée et qui
vivait. » Cette phrase impute aux USA protestants la reproduction
d’un régime impérial dans lequel le pouvoir civil et le pouvoir religieux
sont placés sous une norme unique imposée à tous les humains vivants. Ce
gouvernement universel dirigera les survivants de la Troisième Guerre Mondiale
qui vient. Et nous connaissons dès à présent son instigateur et son chef. Il
est apparu, renversant l’ordre mondial établi par ses prédécesseurs et se nomme
Donald Trump. Son prénom « Donald » signifie en langue gaélique
écossaise, « prince du monde » ; et son nom « Trump »
signifie « trompette ». Nous avons donc trois « prince du
monde » en scène mondiale ; Mrs Trump, Poutine et Zelensky ; les
deux « Vladimir » et « Volodymyr ».
Le
temps des accords et des marchés est fini. Le nouveau chef des USA fait sortir
son pays des accords de l’OMC que son pays les USA ont imposés après 1945 à
tous leurs alliés et aux autres peuples du monde. La cause de cette sortie est
simple : le haut coût des productions américaines réduit leur capacité de
les exporter ; le marché n’est plus favorable aux USA, donc, les USA se
retirent. Quelle magnifique preuve d’intelligence trouvée chez cet homme qui
condamne la stupidité de ses alliés européens, respectueux des règles et des
lois jusqu’à la ruine et la mort de leur peuple et de leur régime tout
entier ! Aveugles et insensés, les Européens sont tombés dans le piège de
cette « lettre qui tue » par manque d’intelligence produite par « l’esprit »
humain et divin, comme Jésus le dit, par l’apôtre Paul, dans 2 Corinthiens 3:6 :
« Il nous a aussi rendus capables d'être ministres d'une nouvelle alliance, non de la lettre, mais de l'esprit ; car la lettre tue, mais l'esprit vivifie. » Et pour
être encore plus clair, il ajoute au verset suivant, concernant les tables des
dix commandements de Dieu : « Or, si le ministère de la mort, gravé
avec des lettres sur des pierres,
a été glorieux, au point que les fils d'Israël ne pouvaient fixer les regards
sur le visage de Moïse, à cause de la gloire de son visage, bien que cette
gloire fût passagère, combien le
ministère de l'esprit ne sera-t-il pas plus glorieux ! »
La
gloire dont parle Paul était présente dans l’Adam créé à l’image de Dieu, et
dans lequel la vie n’était pas divisée, pas compartimentée. L’intelligence
donnée par Dieu est comme une essence illimitée. La vie entière de ses créatures
intéresse le Dieu créateur. L’homme, qui retrouve en et par Jésus-Christ
l’image de Dieu, ouvre son intelligence à tout ce qui se présente à lui,
physiquement et spirituellement. C’est son intelligence qui guide ses jugements
et c’est Dieu qui a fixé les limites des normes du bien et du mal. C’est sur ce
sujet que les élus et les déchus humains se séparent pour vivre une fin opposée
dans l’absolu : la vie éternelle pour l’élu, la mort dans l’anéantissement
complet de son être, pour le déchu.
Pourquoi
Paul nomme-t-il « ministère de la mort » les
tables de la loi des dix commandements de Dieu ? Simplement, parce que la
loi écrite n’a aucun effet pour payer le prix du péché originel qui condamne
l’homme à devoir mourir. Pour lever cette condamnation, le sang du juste parfait
devait couler, selon qu’il est écrit dans Hébreux 9:22 : « Et presque tout, d'après la loi, est purifié
avec du sang, et sans effusion de sang
il n'y a pas de pardon. »
Mon
témoignage écrit le prouve, il n’y a pas de barrière pour diriger l’inspiration
divine, car la vie est illimitée, non pour l’heure au niveau de sa durée, mais
au sujet de son développement et de ses aspects.
Le
monde incroyant suit l’évolution de l’actualité qui se présente à lui comme un
feuilleton qui captive son intérêt, et les démons s’amusent d’eux, les
conduisant alternativement dans l’angoisse et dans l’espoir. Mais si l’angoisse
est justifiée, ce n’est pas le cas pour l’espoir, car l’humanité avance vers le
pire de son expérience « depuis que les nations existent »,
selon Daniel 12:1 : « En ce
temps-là se lèvera Micaël, le grand chef, le défenseur des enfants de ton
peuple ; et ce sera une époque de détresse, telle qu'il n'y en a point eu de
semblable depuis que les nations
existent jusqu'à cette époque. En ce temps-là, ceux de ton peuple qui
seront trouvés inscrits dans le livre seront sauvés. » C’est ce verset qui
confirme le fait que Jésus-Christ et Micaël, traduit par Michel en français,
sont une seule et même personne divine ; ce qui justifie l’annonce
d’Apocalypse 12:7 : « Et il y eut
guerre dans le ciel. Michel et ses anges combattirent contre le dragon. Et le
dragon et ses anges combattirent, » Mais l’important est de comprendre
que ce combat a eu lieu, deux mille ans avant le 7 Avril 2030 soit, le jour de
la résurrection de Jésus-Christ, le 7 Avril 30, premier jour de la semaine qui
a succédé à la semaine pascale, au milieu de laquelle Jésus a été crucifié, le
3 Avril 30 ; conformément à l’annonce de Daniel 9:27 : « Il fera une solide alliance avec plusieurs
pour une semaine, et durant la moitié de
la semaine il fera cesser le sacrifice et l'offrande ; … »
Au
soir du 24 Janvier, la décision de Donald Trump a été annoncée ; les USA
n’aideront financièrement qu’Israël et l’Egypte. Et cette décision est lourde
de conséquence pour les Européens et leur protégée, l’Ukraine, officiellement
lâchée par Donald Trump. Son sort est donc désormais lié à celui de ses
soutiens européens qui seuls peuvent encore lui venir en aide. Ce choix d’Israël
et de l’Egypte du nouveau « Kaiser » des USA est civilement logique,
car les USA veulent encourager l’Egypte à rester l’alliée d’Israël afin de ne
pas réduire leur influence sur la région. Mais il est aussi édifiant sur le
plan spirituel, car les USA donnent officiellement leur soutien au « péché »
que représentent ces deux peuples. La Bible ne dit pas que l’Egypte est le
symbole du péché, car elle ne fait que le suggérer par les faits qui lui sont
imputés. Ceci permet à Dieu de donner au mot « Egypte » diverses
significations révélées par ses expériences relatées dans la sainte Bible. Cet
élargissement enrichit la prophétie et je peux ainsi dire d’Israël et de
l’Egypte qu’ils ont tous deux résisté à l’autorité du Dieu créateur et se sont
rebellés contre lui ; ce qui définit le péché fait contre Dieu. Mais ce
nom « Egypte » peut aussi suggérer son accueil du peuple Hébreu
contre lequel le nouveau Pharaon s’est dressé, le mettant en esclavage. C’est
aussi ce qui caractérise Paris la ville ciblée par l’Esprit, dans Apocalypse
11:8 : « Et leurs cadavres
seront sur la place de la grande ville, qui est appelée, dans un sens
spirituel, Sodome et Égypte, là même
où leur Seigneur a été crucifié. » En effet, Paris était une ville qui
a accueilli la religion chrétienne et qui la persécute ensuite en adoptant
l’athéisme national qui fait d’elle la première forme historique de la « bête
qui monte de l’abîme ». Et ce nom « Egypte » que Dieu
lui décerne symboliquement est mérité, tant son attitude rebelle envers
l’autorité divine est grande et ressemblante à celle du pharaon de l’exode des
Hébreux. Un verset résume sa nature, en disant dans Esaïe 36:6, parlant de la
« confiance » :
« Voici, tu l'as placée dans
l'Égypte, tu as pris pour soutien ce roseau cassé, qui pénètre et perce la main
de quiconque s'appuie dessus : tel est Pharaon, roi d'Égypte, pour tous ceux
qui se confient en lui. » Ce même type de comportement est donc imputé
par Dieu à Paris, la capitale de la France, et son histoire justifie cette
accusation ; notamment, par le massacre des Protestants accueillis à Paris
pour fêter les fiançailles d’Henri de Navarre et de la princesse Marguerite, à
la Saint-Barthélemy, en 1572.
Et
à son tour le nouveau président protestant des USA actuels apporte son soutien
exclusif aux deux peuples rebelles de la révélation biblique : Israël et
l’Egypte. La malédiction qui pèse sur la religion protestante depuis le
printemps 1843 est ainsi confirmée et authentifiée.
Ces
interprétations prophétiques me permettent de démontrer combien la révélation
biblique est puissante et efficace pour partager le jugement de Dieu au sujet
des peuples, des nations, des royaumes et des langues du temps passé et de notre
actualité. Ce discernement est d’autant plus nécessaire que les ennemis de Dieu
prennent officiellement l’apparence trompeuse de le servir et de le
reconnaître ; ce qui caractérise indéniablement la religion protestante
vivante et active ; ce qui justifie ce verset de Proverbes 14:12 :
« Telle voie paraît droite à un
homme, mais son issue, c'est la voie de la mort. »
Il
est intéressant de relever le découpage des 400 ans de l’histoire des USA en
deux parties de 200 ans. Car ce pays a pris officiellement son indépendance en
1776, grâce à une aide financière française qui a ruiné la France et préparé la
Révolution qui a fait tomber la tête du généreux donateur, Louis XVI. Et un
plaisant jeu de mots rattache au marquis de Lafayette chargé de l’aide donnée
aux américains, la faillite subie par la France. Ce roi, surnommé, « le
roi ouvrier » ne voulait pas être roi et les guerres menées par
l’Angleterre ne trouvaient pas en lui, le chef, le stratège nécessaire. Il
trouva donc plus facile d’aider la révolte des Américains et obtint par cette
aide, l’affaiblissement de l’Angleterre chassée de l’Amérique des USA.
Cependant, cette aide ruinant totalement son pays, le roi Louis XVI a, lui-même,
organisé la cause de la famine qui a justifié la grande Révolution du peuple
français, le 14 Juillet 1789, année où, aux USA, les Américains ont adopté leur
première Constitution nationale. Cette époque marque donc réellement l’entrée
en scène historique du peuple américain qui vient relayer la puissance
française pour dominer l’Europe que Napoléon 1er allait dominer
pendant quelques années jusqu’à sa défaite à Waterloo. Pour remplacer la
France, au niveau européen et mondial, les USA devront attendre les Guerres
Mondiales européennes qui vont affaiblir cette puissance française du vieux monde
et réduire sa domination coloniale et ses ambitions de puissance et de
prestige.
Il
me faut présenter encore cette autre leçon exemplaire qui concerne l’obéissance
et la désobéissance aux ordres donnés par Dieu et c’est dans l’expérience vécue
par Israël que Dieu nous la présente.
Je
le rappelle, Israël est un échantillon charnel de l’humanité dont il présente
toutes les qualités et tous les défauts. Et à ce titre, dès sa sortie de
l’Egypte pharaonique, il est têtu et très désobéissant, à l’image de nos sociétés
actuelles. Dieu dirige son peuple vers la terre promise peuplée en son Sud par
des géants, les « réphaïms ». Douze espions sont envoyés sur la terre
de Canaan ; dix en reviennent terrorisés et deux seulement font confiance
au Dieu qui les conduit pour vaincre ces géants, Caleb et Josué sont leurs
noms. La foi des 12 vient d’être mise à l’épreuve et l’attitude des dix
condamne le peuple entier à errer pendant 40 années dans le désert de l’Arabie
et celui de l’Egypte au sud de Canaan. Après la mort de Moïse, sous la conduite
de Josué et Caleb, l’Israël survivant entre dans la terre promise. Dieu élimine
les géants en les frappant par des maladies mortelles provoquées par des
piqûres de frelons. D’autres peuples non géants doivent être vaincus par Israël
et Dieu ordonne de les exterminer. Et là, le peuple au coup raide désobéit à
l’ordre de Dieu, il laisse survivre les Phéniciens du Liban et les Philistins de
la Palestine actuelle. Agissant ainsi, Israël ne prend pas possession de toute
la terre promise par Dieu, et son humanisme lui a valu des agressions venant
des descendants de ces ethnies étrangères qu’il a laissé survivre.
Cette
première réelle désobéissance a été la cause des attaques continuelles du premier
Israël choisi par Dieu. Et ce qui est remarquable, c’est que 3500 ans plus
tard, l’Israël actuel subit les mêmes attaques pour les mêmes raisons. L’ordre
donné par Dieu d’exterminer des nations qu’il condamnait pour leur vie
pécheresse abominable irrémédiable peut nous paraître dur, mais il était
nécessaire pour assurer à son peuple Israël la disparition du risque du désir
de vengeance des descendants des peuples vaincus. Au fil des siècles, les
guerres se prolongent par ce désir de venger la défaite subie précédemment.
N’est-il pas remarquable que la fin de l’histoire d’Israël reproduise les
causes de sa première malédiction divine imputée il y a 3500 ans,
environ ? Ceci d’autant plus que les mêmes territoires sont concernés au
début et à la fin. Dans cet exemple, Dieu nous enseigne que lui désobéir coûte,
finalement, très, très, cher.
Ses
saints fidèles comprennent parfaitement bien cette absolue nécessité
d’exterminer les opposants rebelles, en sorte qu’ils attendent le retour de
Jésus-Christ, sachant qu’il se chargera d’anéantir les vies rebelles terrestres
et célestes pour assurer le bonheur éternel de ses bienaimés élus, les nouveaux
habitants du ciel.
M6- Des coupables inexcusables solidaires
Aujourd’hui,
Lundi 27 Janvier 2025, l’Europe occidentale célèbre le 80ème
anniversaire de la libération des prisonniers juifs et slaves des camps nazis
découverts sur le sol de la Pologne par les armées russes qui progressaient
vers l’Allemagne. Ainsi, le devoir de mémoire vient rappeler le terrible sort
imposé par Adolf Hitler, aux Juifs, aux Tsiganes et aux Roms.
L’événement
est en effet relevable par son caractère exceptionnel auquel les Nazis ont
donné pour nom : « la solution finale ». Et les Juifs l’ont
nommée « Shoah » ce qui signifie : Destruction, tempête,
affliction, lieu désert.
Partant
de ce constat, si j’ignorai son vrai sens, je serai prêt à imputer ce verset de
Daniel 12:1 à cette sinistre « Shoah » dans laquelle 6 millions de
civils Juifs, vieillards et vieilles, hommes, femmes et enfants, ont été
anéantis, consumés dans des fours crématoires, après avoir été gazés, asphyxiés
par le gaz Zyklon B : « En ce
temps-là se lèvera Micaël, le grand chef, le défenseur des enfants de ton
peuple ; et ce sera une époque de
détresse, telle qu'il n'y en a point eu de semblable depuis que les nations
existent jusqu'à cette époque. En ce temps-là, ceux de ton peuple qui
seront trouvés inscrits dans le livre seront sauvés. » Qui peut
contester l’idée que ce temps de la « Shoah » a été pour les Juifs un
temps de détresse suprême ? Personne, bien sûr, et cependant, Dieu ne désignait
pas cette « Shoah » dans sa prophétie. Car cette détresse annoncée
est précédée par le retour glorieux du Christ, mais soyons honnête, le texte ne
dit pas que Micaël revient, seulement qu’il se « lève ». Si bien que
ce texte peut convenir pour évoquer la première venue de Jésus-Christ dans une
lecture superficielle. La prophétie est si imprécise que les deux venues du
Christ, celle du début et celle de son retour glorieux, peuvent être
interprétées. Mais ces deux interprétations ne sont possibles qu’en isolant
cette prophétie des autres enseignements du livre de Daniel. Or, précisément,
la synthèse de tous les enseignements prophétisés dans son livre, nous oblige à
donner à ce verset de Daniel 12:1, une interprétation concernant son seul
retour glorieux final.
La
seule possibilité d’interpréter doublement ce verset permet à Dieu d’adresser
des leçons que seuls ses élus vont pouvoir comprendre. Avec un grand soin rusé
pour ne pas provoquer la réaction impulsive des Juifs, la « Shoah » a
pris l’aspect d’un transfert vers l’Allemagne et la Pologne de populations
juives dirigées vers des camps de travail forcé ; ce qui n’avait rien
d’étonnant de la part du camp vainqueur. Et depuis son exil forcé, le peuple
juif a accepté son rôle victimaire qui le rend docile et soumis envers ses
dominateurs vainqueurs.
Ce
verset de Daniel 12:1 présente, en premier, « le lever de Micaël »
soit, le retour du Christ et en second, « la grande détresse »
exceptionnelle qui l’accompagne et le marque. Le thème du retour de
Jésus-Christ est accompli dans l’engagement « adventiste » depuis le
printemps 1843. Et les Adventistes fidèles ont part à la « première
résurrection » et vont entrer dans l’éternité au printemps 2030.
La « grande détresse » annoncée n’est pas pour eux, mais pour
l’humanité rebelle ; la « grande détresse » est leur
châtiment. Cette présentation de la cause suivie de son châtiment est analogue
à celle de Daniel 9:26 qui a justifié ou condamné les Juifs du ministère
terrestre de Jésus-Christ : « Après
les soixante-deux semaines, un Oint sera retranché,(la cause) et il n'aura pas de successeur
personne pour lui. (La conséquence ou châtiment) Le peuple d'un chef qui viendra détruira la ville et le sanctuaire
la sainteté, et sa fin arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que
les dévastations dureront jusqu'au terme de la guerre. »
Dans
ces deux cas et deux époques du début et de la fin, le rejet ou mépris touchant
Jésus-Christ est payé par un châtiment. Dieu montre par ce moyen que son
jugement est identique pour les Juifs et pour les Chrétiens ; la même
cause est punie de la même manière par la détresse et la mort.
Ceci
éclaire la leçon que Dieu donne aux deux religions juive et chrétienne en
organisant un génocide de son premier témoin historique, le peuple Juif qu’il
tient pour coupable, depuis son refus du plan du salut divin fondé sur la mort
expiatoire de Jésus-Christ. Mais à son sujet, je remets en cause la
compréhension que j’ai eue au sujet d’Israël, jusqu’à cette heure. Béni ou
maudit, Israël reste en « premier né » le peuple de Dieu
selon Exode 4:22 : « Tu diras à
Pharaon : Ainsi parle YaHWéH : Israël
est mon fils, mon premier-né. »
Et c’est précisément parce qu’il reste son peuple que Dieu lui inflige
correction après correction jusqu’à nos jours, et la dernière qu’il lui prépare
sera pire que toutes les autres. En 1948, Dieu a fait favoriser le retour des
Juifs sur leur terre nationale ancestrale pour qu’ils y soient jugés et punis.
De plus, ce retour sur la terre de Canaan, affirme la priorité d’Israël sur les
revendications arabes musulmanes et celles des islamistes religieusement
fanatiques.
Israël
est au peuple de Dieu ce que le catholicisme romain est au christianisme
infidèle soit, la source et la référence. Quand le peuple de Dieu est frappé
par sa malédiction, il perd l’accès au salut, mais reste le peuple de Dieu
jusqu’à sa destruction totale. Nous autres, Chrétiens, nous avons tendance à
oublier facilement que c’est la racine juive qui nous a reçus et non le
contraire. D’origine païenne, nous avons bénéficié d’une faveur divine au nom
de sa grâce rendue possible par la victoire de Jésus-Christ. Mais
malheureusement, la totalité des églises chrétiennes a reproduit la faute du
peuple juif en oubliant la grâce dont toutes ces églises ont bénéficié. Elles
ont ainsi commis l’erreur de se glorifier aux dépens des Juifs maudits pour
leur incrédulité. L’avertissement donné par l’apôtre Paul dans Romains 11:18 à
21, a donc été ignoré. Mais l’existence même de cet avertissement témoigne
contre les méprisants et il les culpabilise devant Dieu : « ne te glorifie pas aux dépens de ces
branches. Si tu te glorifies, sache que ce n'est pas toi qui portes la racine,
mais que c'est la racine qui te porte.
Tu diras donc : Les branches ont été retranchées, afin que moi je fusse enté.
Cela est vrai ; elles ont été retranchées pour cause d'incrédulité, et toi, tu
subsistes par la foi. Ne t'abandonne pas
à l'orgueil, mais crains ; car si
Dieu n'a pas épargné les branches naturelles, il ne t'épargnera pas non plus. »
Si
les Chrétiens reproduisent les fautes des Juifs, c’est donc que la culpabilité
première est dans leur première expérience religieuse historique. C’est un
immense honneur que d’être reconnu en tant que « peuple de Dieu ».
Mais ce privilège oblige et les manquements sont sévèrement châtiés.
Le
récit de Genèse 4 l’atteste, Dieu se fit offrir les premiers sacrifices
animaliers. Et étant éleveur, Abel offrit un sacrifice animal que Dieu put
apprécier en raison de sa signification symbolique de son rachat des péchés par
Jésus-Christ, « l’agneau de Dieu qui ôte les péchés du monde ».
Sur le plan spirituel, l’homme était totalement inculte, car il avait tout à
découvrir, et chaque chose, en son temps, seulement. Si le projet salvateur
conçu par Dieu avait été clairement compris dès le commencement ou au cours de
la première alliance, cette vérité sublime aurait fuité et ce serait transmise
d’homme à homme, de génération en génération. De plus, les rites sacrificiels
auraient été expliqués et remplacés en étant abandonnés. Or, ces choses ne se
sont pas produites parce que Dieu a jalousement gardé secrète sa démonstration
d’amour pour ses élus. Ceci, pour le constat et les déductions logiques qui
s’imposent à notre réflexion.
Je
vais maintenant expliquer, pourquoi Dieu tient pour hautement coupable, le
refus du Messie rédempteur, Jésus-Christ, par les Juifs de l’ancienne alliance.
La
cause de la condamnation divine se trouve dans ces versets de Genèse
1:26-27 : « Puis Dieu dit : Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu'il
domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur
toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu créa l'homme à son image, il le créa à
l'image de Dieu, il créa l'homme et la femme. »
Contrairement
aux animaux marins, célestes et terrestres, l’homme est « créé
à l’image de Dieu », et dans ce statut « d’image de Dieu »,
il n’est en rien comparable à un animal, car il représente infiniment plus. Dès
lors, aucune mort animale n’a suffisamment de valeur pour racheter une âme
humaine. C’est ce que confirme ce texte d’Hébreux 10:3 à 7 : « Mais le souvenir des péchés est renouvelé
chaque année par ces sacrifices ; car il
est impossible que le sang des taureaux et des boucs ôte les péchés. C'est
pourquoi Christ, entrant dans le monde, dit : Tu n'as voulu ni sacrifice ni offrande, mais tu m'as formé un corps
; tu n'as agréé ni holocaustes ni
sacrifices pour le péché. Alors j'ai dit : Voici, je viens (Dans le rouleau
du livre il est question de moi) pour faire, ô Dieu, ta volonté. »
Paul impute ces paroles à Jésus-Christ qui résume et révèle le sens de son
ministère terrestre. Il ne manque à cette explication que l’argument que je
présente aujourd’hui et qui justifie pourquoi, « il est impossible que le sang des
taureaux et des boucs ôte le péché » : ils n’ont pas été
créés « à l’image de Dieu ». Et le rachat des péchés ne pouvait
être obtenu que par la mort d’une vie parfaite, porteuse de « l’image
de Dieu », présentée uniquement en Jésus-Christ, le Dieu créateur
incarné, lui-même.
Selon
ce simple raisonnement, les rites sacrificiels, ordonnés par Dieu, ne pouvaient
qu’avoir une valeur symbolique prophétisant le sacrifice de Jésus-Christ, le
« nouvel Adam » venu
rattraper la faiblesse du premier « Adam ».
Cette
explication est extraordinairement simple, mais elle repose sur une lecture
pleine d’intérêt de la Parole de Dieu ; une lecture attentive. De plus ne
l’oublions pas, le fruit porté par notre intelligence dépend entièrement de la
volonté du Dieu créateur tout-puissant qui ouvre l’intelligence ou la ferme.
Or, j’ai l’avantage de vivre dans le temps de la grande lumière qui ne pouvait
être offerte par Dieu avant « le
temps de la fin » que nous vivons.
Il
nous faut aussi bien comprendre que l’homme n’a été « à l’image de Dieu » qu’avant le péché. Car le péché lui fait
perdre cette « image »
divine et l’abaisse au rang et statut d’un animal évolué de niveau supérieur
aux autres animaux. Dès lors, le projet de Dieu ne visa qu’à restaurer « son image » dans ses élus faute de
pouvoir le faire pour toutes ses créatures humaines.
En
reproduisant les rites sacrificiels divins dans toutes les religions du
paganisme polythéiste, le diable a créé une grande confusion religieuse
universelle. Jusqu’à ce qu’il médite et réfléchisse individuellement, l’être
humain naît dans un contexte particulier et une culture différente selon le lieu
terrestre concerné. Aussi, logiquement, chacun tient pour vérité, la culture
dans laquelle il est né. Et si Dieu ne le conduit pas vers sa lumière, chacun va honorer sa culture originelle et la
transmettre à sa descendance. Ce point est fondamental à comprendre :
c’est Dieu qui cherche sa brebis égarée et personne ne peut mieux l’identifier
que lui, parce qu’il sonde les pensées les plus secrètes de ses créatures
vivantes célestes ou terrestres. Avant même de les créer, Dieu s’est résigné à
l’idée de faire entrer dans la vie des créatures dont le destin n’est que de la
traverser sans en rien obtenir ni retenir.
Confrontés
à la « Shoah », les humanistes rebelles cherchent vainement comment
expliquer un fait d’une telle sauvagerie abominable. Se fondant sur leur seul
jugement, ils se perdent en conjecture et ne parviennent pas à trouver les
réponses. Ce n’est pas étonnant, puisque les réponses ne sont disponibles qu’en
Dieu, son jugement et ses motivations. Après chaque catastrophe et chacune des
deux guerres mondiales de 1914 et 1939, ils ont répété à qui voulait
l’entendre : « Plus jamais ça ! ». Cependant, ils n’ont
aucunement le pouvoir d’empêcher le renouvellement de ces drames que Dieu leur
impose, Dieu le Créateur, le Tout-Puissant. Et chaque fois, le retour du drame
confirme sa toute-puissance.
Dans
son ignorance, l’incrédule ne voit que les agents humains du drame. Et l’agent
utilisé par Dieu, pour mettre en œuvre ses desseins destructeurs, est regardé
et jugé comme un monstre. Or, ce n’est pas le cas, Adolf Hitler, le modèle du
genre, était végétarien et aimé d’une femme nommée Eva Braun. Il avait une vie
de famille normale, était entouré de ses meilleurs amis comme beaucoup d’autres
êtres humains. Et de cet homme normal sont sorties des idées vengeresses, des
désirs de conquêtes, et une haine viscérale des Juifs.
Le
comportement des églises et des religions envers ce sujet démasque leur
situation spirituelle maudite par Dieu. Car, un vrai serviteur du Dieu vivant
et Tout-Puissant, se doit de reconnaître que rien ne peut s’accomplir sans que
Dieu le veuille. Je rappelle ce verset où le Dieu sage et Tout-Puissant nous
dit dans Ecclésiaste 7:14 : « Au
jour du bonheur, sois heureux, et au
jour du malheur, réfléchis : Dieu a fait l'un comme l'autre, afin que
l'homme ne découvre en rien ce qui sera après lui. »
Voici
que le temps du bonheur est derrière nous et que devant nous se présente le
temps du malheur. Le Tout-Puissant nous dit donc : Réfléchis !
Médite ! Car tout ce qui arrive a une explication ; le malheur est
une conséquence dont il faut découvrir la cause. Car les causes charnelles
terrestres ne donnent pas la bonne réponse qui ne se trouve qu’en Dieu. Les
causes terrestres ne sont que les conséquences des causes spirituelles, et si
ces causes spirituelles ne sont pas identifiées et rectifiées, les conséquences
terrestres se multiplient et se prolongent jusqu’à déclencher des drames
meurtriers entre les entités humaines coupables.
Etant
les victimes plus ou moins consentantes du rejet religieux, les gens de notre
époque sont inquiets et cherchent auprès des devins et des astrologues, des
réponses capables de calmer leur anxiété. Ils ne peuvent avoir affaire qu’à des
escrocs qui sont eux-mêmes séduits et trompés par des démons célestes qui les
utilisent, comme le diable utilisa le serpent pour séduire Eve. Mais, ces
démons peuvent néanmoins favoriser des choses dans lesquelles Dieu n’intervient
pas et les laisse agir. L’accomplissement de l’annonce d’un devin ne permet pas
de rattacher son action à Dieu, contrairement à ce que les gourous et les
devins occultes peuvent prétendre.
L’Esprit
nous dit dans Esaïe 8:19-20 : « Si l'on vous dit : Consultez ceux qui évoquent les morts et ceux qui
prédisent l'avenir, qui poussent des sifflements et des soupirs, répondez :
Un peuple ne consultera-t-il pas son
Dieu ? S'adressera-t-il aux morts en
faveur des vivants ? A la loi et au
témoignage ! Si l'on ne parle pas ainsi, Il n'y aura point d'aurore pour le
peuple. »
Les
réponses à l’anxiété ont été préparées d’avance par Dieu qui les a écrites dans
les prophéties de la sainte Bible qui constitue selon Apocalypse 11:3, ses
« deux témoins ». Et c’est donc en elle, que ses élus
identifient à « sa loi et son témoignage », qu’ils
peuvent trouver toutes les réponses nécessaires pour être convaincus que Dieu
dirige les faits et les événements qu’il fait accomplir conformément à son
programme prophétisé révélé à ses seuls rachetés élus.
Tout
homme peut devenir un monstre si Dieu ou les démons l’inspirent dans ce sens.
La monstruosité n’est pas dans la chair, mais dans l’esprit humain que Dieu
sélectionne pour agir de manière monstrueuse.
La
« Shoah » est jugée monstrueuse par les humains séparés de Dieu.
Cependant, ce qui concerne les Juifs prend un caractère particulier parce
qu’ils sont officiellement pour toute la terre, le « peuple de
Dieu ». Or, déjà au temps du prophète Jérémie, Israël a été durement
châtié par le peuple chaldéen du roi Nébucadnetsar. En – 586, intervenant pour
la troisième fois, l’armée chaldéenne a détruit Jérusalem et son saint Temple
bâti par le roi Salomon. Après 70 années de déportation à Babylone prophétisées
dans Jérémie 25:11, où Dieu dit, « Tout ce pays deviendra une ruine, un désert, et ces nations seront
asservies au roi de Babylone pendant
soixante-dix ans. », Israël est revenu sur son sol national. Il a de nouveau été
frappé par la colère de Dieu pour son refus du messie Jésus, en 70, cette fois,
par les armées romaines, et de nouveau, Jérusalem et son saint Temple restauré et
agrandi par le roi Hérode ont été entièrement détruits par des soldats romains devenus
incontrôlables. Depuis cette destruction, les Juifs survivants ont été
dispersés parmi toutes les nations de la terre, et Dieu les utilise comme un
levain qui fait lever toute la pâte humaine dans un but paradoxal positif et
négatif. Par leur présence parmi les peuples, ils concentrent l’attention des
hommes sur le Dieu unique créateur de la terre et tout ce qu’elle contient et
porte. Leur pratique du repos du sabbat du vrai septième jour dénonce
l’illégitimité du repos du premier jour du dimanche romain, pour les Occidentaux,
et le repos du sixième jour de l’islam. Leur alimentation dite
« casher » condamne le mépris témoigné à ce sujet par les Chrétiens.
Mais ces choses positives sont rendues sans valeur pour eux-mêmes, à cause de
leur refus du Messie Jésus qui seul peut enlever la condamnation du péché que
Dieu leur impute ainsi qu’à toute l’humanité depuis Adam et Eve.
Pour
ce péché suprême, Dieu ne cesse de châtier son peuple Israël, le premier
coupable que soutiennent les nouveaux coupables, et à tous, Dieu adresse ce message
cité dans Jérémie 25:29-30 : « Car voici, dans la ville sur laquelle mon
nom est invoqué je commence à faire du mal ; et vous, vous resteriez impunis !
Vous ne resterez pas impunis ; car
j'appellerai le glaive sur tous les habitants de la terre, dit YaHWéH des
armées. Et toi, tu leur prophétiseras toutes ces choses, Et tu leur diras :
YaHWéH rugira d'en haut ; de sa demeure sainte il fera retentir sa voix ; il
rugira contre le lieu de sa résidence
; il poussera des cris, comme ceux qui foulent au pressoir, contre tous les habitants de la terre. »
En
effet, ce verset n’a rien perdu de sa valeur car il exprime un jugement de Dieu
qui se transporte dans le temps de génération en génération jusqu’à l’heure de
son accomplissement final. Et en 2025, depuis 1948, « le lieu de sa demeure »
est de nouveau peuplé par son Israël « son fils premier-né »,
et « les nations de la terre » occidentales ont trahi, par leur
désobéissance, leur engagement chrétien. Les coupables se soutiennent et se
montrent solidaires les uns envers les autres. Mais relève-le, dans leurs
échanges, il n’est absolument pas question de Dieu. Les liens établis sont
strictement humains ; Dieu et sa volonté sont complètement ignorés. D’autres
valeurs les ont remplacés telles que le marché et les profits commerciaux.
C’est pourquoi, Dieu s’emploie à provoquer une grande crise économique mondiale
qui va conduire les coupables dans des guerres meurtrières où chaque camp
prétendra lutter pour la gloire de son Dieu, vainement et fanatiquement.
M7- L’incarnation du Dieu créateur
Ce
mystère religieux est assurément la chose la plus difficile à comprendre pour
un être humain limité dans toutes ses capacités. Et le postulat qui s’impose à
toute l’humanité est de croire à cette affirmation citée dans la sainte Bible
et qui nous dit dans Luc 1:36-37 : « Voici, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils en sa
vieillesse, et celle qui était appelée stérile est dans son sixième mois. Car rien n'est impossible à Dieu. »
Cette expérience miraculeuse fut déjà vécue par Sarah l’épouse d’Abraham qui
enfanta son premier fils, Isaac, à l’âge de 100 ans. Et notre postulat tient en
ces quelques mots : « Car rien n'est impossible à Dieu. »
Cette déclaration a été faite par l’ange Gabriel dont le nom signifie
« celui qui voit la face de Dieu ». Croire en Dieu, croire à son
existence, exige de notre part que nous croyons au miracle ; nom donné aux
actions surnaturelles faites par Dieu. Et le premier miracle qu’il a réalisé,
c’est sa création de notre dimension terrestre qu’il certifie, dans son récit
de Genèse 1, 2 et 3. Ce récit a été présenté par Dieu à son serviteur Moïse, et
le recevoir avec confiance à ce titre est la base, la condition, incontournable
pour établir une relation avec lui.
Dans
notre vie humaine marquée par des successions de secondes, de minutes,
d’heures, de jours et nuits, de mois et d’années, toutes choses paraissent
statiques. Cependant au fil du temps d’énormes changements ont lieu et notre
aptitude à nous adapter fait que nous ne les relevons pas suffisamment. Et ceci
concerne l’humanité moderne à laquelle la science et la technologie explique la
cause physique des choses. Mais la science ne fait que découvrir les principes
et les lois physiques que Dieu a créées. Et la science ne peut pas prouver
l’inexistence de Dieu, ni expliquer pourquoi ces lois et ces principes
existent. Toutes ces réflexions nous ramènent au début du postulat car Dieu
existe et pour lui seulement, « rien n’est impossible ». Or je suis
né en France, pays où un dicton populaire dit ; « impossible n’est
pas français ». Ce type de prétention fanfaronne révèle à lui seul la
nature de ce pays France qui a pris la tête du camp de la contestation dirigée contre
Dieu ; et ceci, depuis sa naissance nationale vers 508 sous le roi Clovis
1er ; un barbare de la tribu des Francs, converti au
catholicisme romain, encore non papal, mais dont l’évêque de Rome bénéficiait
déjà d’un grand prestige religieux. Après avoir soutenu le mensonge d’un
christianisme déformé, en 1792, ce pays France a sombré dans l’abîme sans fond
des ténèbres tueuses, en devenant le fer de lance de la pensée athée apparue
chez ses libres penseurs que la postérité a nommés avec arrogance ses « lumières ».
L’incarnation
de Dieu est donc un miracle, une chose que nul autre que lui ne peut faire. En
les créant, Dieu a donné à chacune de ses créatures, des caractéristiques qui
lui sont propres ; un corps dit céleste ou spirituel pour ses anges ;
et un corps matière, physique, pour les êtres humains. Les anges ne peuvent pas
par eux-mêmes prendre un aspect physique terrestre charnel. De même, les corps
terrestres ne peuvent pas prendre la caractéristique céleste du corps des
anges. Et ce qu’aucune créature ne peut faire, Dieu l’a fait dans son
incarnation en Jésus-Christ. Nous ne devons même pas en être étonnés, car ayant
créé toutes ses créatures célestes et terrestres, Dieu pouvait s’offrir son
incarnation dans la vie terrestre.
En
abordant ce sujet de l’incarnation de Dieu nous devons donc oublier toutes nos
limitations humaines qui ne s’appliquent pas pour l’esprit du Dieu créateur
auquel je le redis, « rien n’est impossible ». Sa
décision est instantanément transformée en réalité visible. Animé des
meilleures intentions, Dieu n’en fait pas moins appel à la stratégie de l’espion infiltré dans le camp
ennemi. Sauf que son espionnage ne vise pas à découvrir ce qu’il sait déjà sur
la condition de la vie humaine terrestre. Sous l’aspect humain de Jésus-Christ,
Dieu expérimente leur faiblesse, car Jésus est aussi faible que toi et moi sur
le plan physique seulement. Car la différence entre lui et nous est invisible,
cachée dans son esprit. C’est là que résident sa force et la cause de sa
victoire, car Jésus porte en lui l’expérience de sa vie céleste vécue sous le
nom « Micaël » qui signifie : « Celui qui est comme
Dieu ». Ce que nous pouvons et devons comprendre c’est qu’étant avant tout
un Esprit illimité, Dieu peut se dédoubler et rendre sa doublure plus ou moins
dépendante de lui. Et dans le cas de Jésus incarné, cette dépendance est
totale. Jésus traverse sa courte vie terrestre en orphelin privé de sa nature
divine. Et ceci explique son grand besoin de prier, d’entrer en contact avec
l’Esprit non incarné qui soutient les univers de ses créations célestes et
terrestres.
Reprenons
les étapes de son ministère terrestre et de son passage sur la terre du péché.
Détail important donné dans Esaïe 7:14 : « C'est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe, voici, la
jeune fille deviendra enceinte, elle enfantera un fils, et elle lui donnera le
nom d'Emmanuel. »
Relève-le
avec intérêt, dans ce texte original hébreu, Dieu ne dit pas la
« vierge » comme dans le grec de la nouvelle alliance, mais « la
jeune fille », et cette jeune fille est choisie par Dieu à cause de sa
lignée qui est dans la postérité de David ; c’est là, l’unique raison du
choix divin. Le Christ vient pour accomplir la promesse faite par Dieu au roi
David et déjà avant lui à la tribu de Juda selon Genèse 49:10 : « Le sceptre ne s'éloignera point de Juda, ni
le bâton souverain d'entre ses pieds, jusqu'à ce que vienne le Schilo, et que
les peuples lui obéissent». Le nom « Schilo » signifie :
celui à qui appartient (le règne, la puissance, et la gloire, de la prière
royale sacerdotale enseignée par Jésus). Et pour David, dans 1 Rois 2:45 :
« Mais le roi Salomon sera béni, et
le trône de David sera pour toujours affermi devant YaHWéH. » et Esaïe
9:37 ou 36 : « Donner à
l'empire de l'accroissement, Et une paix sans fin au trône de David et à son royaume, L'affermir et le soutenir par
le droit et par la justice, Dès maintenant et à toujours: Voilà ce que fera le
zèle de YaHWéH des armées. »
Mais,
je reviens sur ce verset d’Esaïe 7:14 : « C'est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe, voici, la
jeune fille deviendra enceinte, elle enfantera un fils, et elle lui donnera le
nom d'Emmanuel. » Remarque-le
avec moi, le Messie envoyé par Dieu n’a pas reçu le nom « Emmanuel »,
mais celui de « Jésus », soit, en hébreu,
« Yéschoua » qui signifie :
YaHWéH sauve. Le mystère de l’incarnation trouve son explication dans la
complémentarité de ces deux noms que l’Esprit impute à l’homme nommé Jésus de
Nazareth : « Emmanuel », qui signifie :
Dieu avec nous ; et « Jésus », qui signifie :
YaHWéH sauve. Le plan du salut divin est ainsi révélé dans toute sa clarté.
Dieu vient parmi nous pour nous sauver du péché, par l’expiation qu’il a portée
en Jésus-Christ. De plus, l’Esprit n’a pas menti, car il ne faisait que
prophétiser la pensée de la jeune fille nommée Marie qui savait dans son cœur
et son esprit que son fils était le Fils de Dieu comme l’ange le lui avait
annoncé. Il était donc réellement pour elle, « Emmanuel » soit,
« Dieu avec nous ».
Dès
l’âge de 12 ans, le « Fils de Dieu » entre dans l’âge adulte et
marque ce passage en témoignant pour la vérité céleste de « son
Père ». Sa nature divine autant que charnelle et terrestre le pousse à
l’engagement et déjà à 12 ans, il enseigne dans le temple, tentant de diriger
les raisonnements des anciens juifs qu’il rencontre au temple de Jérusalem.
Jésus sait déjà à cette heure que les Juifs sont remplis de faux préjugés qui
vont les empêcher de reconnaître son ministère salvateur. Ses questions
subtiles et habiles visaient à permettre à ses interlocuteurs de découvrir les
faiblesses de leurs raisonnements spirituels.
Agé
de trente ans, il doit entrer dans le temps de son témoignage terrestre. Depuis
quelques temps, avant lui, son cousin Jean baptise, dans les eaux du Jourdain,
les Juifs qu’il appelle à la repentance et au fruit de repentance. Il prépare
ainsi le chemin du Seigneur qui vient après lui.
Après
son baptême, Jésus fait un jeûne alimentaire de 40 jours et 40 nuits. Et il en
ressort affaibli et affamé, comme nous le serions en agissant de même. Mais
cette faiblesse n’est que physique, car au contraire, ce temps de jeûne passé
en méditations et en prières, n’a fait que renforcer sa force et sa volonté
mentale et morale. Ce chiffre de 40 jours et nuits rappelle les épreuves
humaines marquées par des échecs successifs du peuple hébreu et même avant lui,
ce fut la durée pendant laquelle les eaux du déluge sont tombées sur la terre
pour anéantir toute forme de vie terrestre ; Noé et sa famille exceptés. Il
y eut les 40 jours et nuits pendant lesquels Moïse était auprès de Dieu sur le
Mont Sinaï de l’Arabie alors que le peuple resté au pied de la montagne s’était
donné un dieu en fondant l’or égyptien pour lui donner l’aspect d’un veau d’or
fêté dans l’immoralité des outrances sexuelles ; les coupables étant
détruits par Dieu. Il y eut les 40 jours et nuits de l’espionnage de
Canaan et le peuple a été condamné à errer pendant 40 années dans le
désert ; « une année pour chaque jour » où
ils ont péché contre Dieu en refusant d’entrer en Canaan à cause des géants qui
l’habitaient.
Jésus
avait donc derrière lui, cette condamnation divine de tous les échecs de
l’humanité depuis Adam et Eve. Et c’est déjà là, que nous trouvons le lien le
plus direct avec son temps de jeûne qui a marqué son entrée en ministère car
avant d’en être jugé digne, Jésus devait en donner la preuve concrètement en
étant soumis à l’épreuve des tentations de Satan, le diable.
Jésus
se trouve donc dans un état affamé conséquence d’une privation de nourriture
pendant 40 jours et 40 nuits. La précision est importante, car ce jeûne suivi
par Jésus, condamne le jeûne hypocrite et sans justification du Ramadan de
l’islam qui autorise les jeûneurs à manger la nuit après le coucher du soleil ;
manière de confirmer l’intérêt donné aux ténèbres nocturnes. De plus, celui qui
jeûne ainsi le jour, témoigne à son entourage par sa privation qu’il est un bon
musulman fidèle et obéissant. Car, de toute manière, la nuit, les œuvres
humaines sont incontrôlées et donc sans intérêt stratégique ni pour le diable
ni pour la religion et ses dogmes.
Alors
que la faim tenaille ses entrailles, dans une vision, le diable se présente à
lui et lui propose de faire appel à sa puissance divine à laquelle il a renoncé
pour le temps de son incarnation. Il lui eut été si facile d’ordonner que les
pierres soient transformées en pain savoureux, le diable le sait et le lui
propose. Eve, en son temps, se fit pas prier ni supplier, pour accepter de
désobéir à Dieu. A l’opposé, Jésus résiste à Satan et lui dit selon Luc
4 :4 : « Il est écrit : L'Homme ne vivra pas de pain
seulement. » Déjà la formule, « il est écrit »
témoigne du désir d’obéissance à son Père céleste et ce faisant, Jésus indique
à ses futurs rachetés que le diable ne doit être combattu que par la loi écrite
de la Parole de Dieu. Sa parole qu’Hébreux 4:12 compare à « une
épée à double tranchants ». Jésus et le diable se livre un
authentique duel et le perdant y perdra sa vie.
La
suite est la réponse donnée par Jésus : « L'Homme ne vivra pas de pain
seulement ». L’expérience de Moïse en a donné la preuve, puisqu’il
passa 40 jours et 40 nuits au sommet du Sinaï en présence de Dieu, sans manger,
mais aussi et surtout, sans boire, ce qui constitue un vrai miracle
exceptionnel. Jésus se rappelle de ces choses et sa réponse le prouve. Elle est
sage et mesurée, car le miracle est une chose rare utilisée par Dieu que dans
des cas exceptionnels. Et en dehors de ces rares cas, la normalité est bien que
l’homme vive par le pain qu’il mange. Mais cette réponse de Jésus nous dit
également que le pain ne suffit pas à lui seul pour faire vivre l’homme. Il
révèle ainsi, son besoin d’une authentique relation établie avec Dieu qui est
dans son divin projet la seule raison de sa création de créatures libres parmi
lesquelles il peut sélectionner ses élus éternels.
Cette
réponse de Jésus-Christ nous invite à reconsidérer le sens donné à notre
alimentation charnelle. Il est bon et nécessaire de redonner à cette nourriture
terrestre le sens qu’elle avait pour Adam et Eve avant le péché soit, un
plaisir supplémentaire accordé par Dieu à ceux qui l’aiment et lui obéissent.
Dans
toute la révélation biblique, Dieu indique ce que l’homme peut manger et ce
qu’il ne doit pas manger, mais il ne prescrit jamais le nombre de repas qu’il
doit prendre dans le cycle du jour et de la nuit. Une émission scientifique
récente démontre que le cycle alimentaire de l’être humain repose sur 24
heures. Et la même étude démontre l’utilité et l’efficacité du jeûne intermittent
qui offre, après le repas, un repos de 16 heures aux organes humains.
L’habitude des trois repas pris dans la journée est donc une hérésie
alimentaire qui fatigue les organes privés de leur temps de repos. La digestion
exige déjà elle-même environ 6 heures et le reste du temps devrait profiter aux
organes pour qu’ils se reposent et se préparent au mieux pour digérer le
prochain repas.
L’incarnation
de Jésus-Christ n’a pas seulement l’intérêt de sauver les pécheurs, ses élus
rachetés, sa manière de vivre est aussi une leçon très précieuse. Et au sujet
de la nourriture, Jésus préférait s’en passer pour favoriser son temps de
prière, selon Jean 4:31 à 34 : « Pendant
ce temps, les disciples le pressaient de manger, disant : Rabbi, mange. Mais il
leur dit : J'ai à manger une nourriture
que vous ne connaissez pas. Les disciples se disaient donc les uns aux
autres : Quelqu'un lui aurait-il apporté à manger ? Jésus leur dit : Ma nourriture est de faire la volonté de
celui qui m'a envoyé, et d'accomplir son œuvre. » J’ai adopté moi-même
la fréquence alimentaire d’un seul repas végétarien pris dans la matinée, et
mes 80 ans s’en trouvent bénéficiaires. Le jeûne fortifie, le jeûne régénère,
le jeûne protège l’être humain, car il favorise l’état réactif de ses anti- corps
naturels. Si le corps bénéficie de la privation de nourriture, il n’en est pas
de même pour la nourriture de l’esprit humain. Il est facile de comprendre que
rien ne peut remplacer le temps passé en relation avec le Dieu créateur qui
incarne par sa nature divine, le miracle permanent.
Dans
son incarnation Jésus-Christ nous révèle le bon comportement conforme à l’idéal
de Dieu. Et son attitude envers le sujet de l’alimentation nous présente un
homme rassasié dans tous les sens du terme. Mais il donne la priorité à son
esprit avant son estomac, mettant ainsi en pratique son enseignement de Luc
4:4 : « Il est écrit : L'Homme ne vivra pas de pain seulement. » Cette
volonté de rassasier le besoin de son esprit permet de comprendre les excès
alimentaires de gens frustrés dans divers domaines dans lesquels ils sont
conscients d’échouer, d’être nuls. Car le corps et l’esprit sont soumis aux
mêmes lois et le corps exprime la frustration de l’esprit humain. Ainsi, la
frustration de l’esprit est traduite par le désir de combler, de remplir
l’estomac, et ce type de comportement conduit vers l’obésité et le
diabète ; soit, la maladie car, dans ce cas précis, le mal a dit et révélé
l’existence du mal être de l’esprit. Quand sa vie le déçoit, quand ses
relations humaines sont ressenties comme des échecs successifs, l’homme se
retrouve seul avec ses cinq sens : la vue, l’ouïe, l’odorat, le goût, et
le toucher, et l’un, l’autre, ou plusieurs de ces cinq sens va devenir le seul
sujet de son plaisir. Et pour l’être frustré, le plus facile à satisfaire est
celui de la nourriture qui est absorbée par pur plaisir, comme ce fut le cas
avant le péché. Mais ces conditions d’innocence ne sont plus et pour l’homme
pécheur, dans ses excès, le plaisir alimentaire peut se transformer en terrible
et mortelle malédiction.
Jésus-Christ
a le désir de sauver l’homme de la condamnation du péché, mais il ne peut rien
faire pour celui qui détruit son âme, corps et esprit, par des excès
alimentaires ou autres. Par sa vie parfaite, Jésus est venu présenter le modèle
de l’homme parfait aux habitants de la terre. Et quelle est l’utilité d’un
modèle ? Ce qu’il représente est une invitation à l’imiter, le reproduire,
dans l’idéal, de le cloner. Mais la décision est laissée librement à la volonté
des humains pécheurs. Car Dieu ne contraint personne à l’imiter ; il
appelle, il invite, mais ne contraint personne. Et c’est là, la raison de son
amour pour ses élus qui librement viennent à lui, attirés par sa personnalité
révélée en YaHWéh dans l’ancienne alliance, et en Jésus-Christ, dans la
nouvelle alliance. Il obtient alors le résultat donné à son projet éternel et
par son plan salvateur, il sélectionne ses compagnons d’éternité qu’il voulait
obtenir quand il était encore seul et sans vis-à-vis libre et indépendant.
La
maladie n’a pas la même cause au temps de Jésus et au nôtre. L’Israël que Jésus
côtoyait obéissait aux lois alimentaires prescrites dans la
« Thorah » juive ; ce qui n’est pas le cas de l’humanité
chrétienne actuelle. Malgré cette protection légale de principe, l’Israël
ancien était frappé par des maladies et des infirmités que Jésus guérissait. La
cause de ces maladies n’était pas le non respect des lois divines mais la
déformation de la religion organisée par Dieu. Les rabbins juifs avaient ajouté
aux lois divines des lois inventées par eux, et ces lois rajoutées déformaient
le caractère véritable du Dieu législateur, l’auteur des lois originelles.
Israël payait par de nombreuses maladies la trahison commise envers Dieu, et le
premier signe de sa réprobation fut d’enlever au peuple juif son entière
indépendance nationale entre – 400 et la venue de Jésus le Messie.
Au
cours de l’ère chrétienne, le faux christianisme catholique puis protestant va
apporter à la loi divine, lui-aussi, des changements non voulus par Dieu. Les
lois anciennes sont ignorées et de nouvelles lois inventées par l’homme les
remplacent. Ainsi, l’une après l’autre, les deux alliances divines apostasient
en leur temps pour la même raison : elles remettent en cause la stabilité
parfaite de la conception de Dieu du bien et du mal. Ce n’est donc pas sans
raison que dans ses premiers discours publics, Jésus dit, dans Matthieu 5 :17
à 21 :
« Ne croyez pas que je sois venu pour abolir
la loi ou les prophètes; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. »
« Car, je vous le dis en vérité, tant que le
ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul
iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé. »
« Celui donc qui supprimera l'un de ces plus
petits commandements, et qui enseignera aux hommes à faire de même, sera appelé
le plus petit dans le royaume des cieux; mais celui qui les observera, et qui
enseignera à les observer, celui-là sera appelé grand dans le royaume des
cieux. »
« Car, je vous le dis, si votre justice ne
surpasse celle des scribes et des pharisiens, vous n'entrerez point dans le
royaume des cieux. »
« Vous avez entendu qu'il a été dit aux
anciens: Tu ne tueras point; celui qui tuera mérite d'être puni par les juges. »
« Mais moi, je vous dis que quiconque se met
en colère contre son frère mérite d'être puni par les juges ; que celui qui
dira à son frère : Raca ! Mérite d'être puni par le sanhédrin ; et que celui
qui lui dira : Insensé ! Mérite d'être puni par le feu de la géhenne. »
Pour
bien saisir ce que Jésus enseigne, il est impératif de lire tous ces versets,
parce qu’ils sont complémentaires et ne doivent pas être isolés, au risque de
déformer l’enseignement donné par Jésus-Christ. Ces versets condamnent le faux
enseignement chrétien actuel en rappelant la constante et perpétuelle priorité
qui doit être donnée à la parole de Dieu écrite inchangeable ; « Car,
je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il
ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à
ce que tout soit arrivé. »
Ainsi,
jusqu’à sa venue glorieuse, le texte de la « Thorah » juive est la
grille dont les lettres jugent, justifient ou condamne les Juifs charnels et
spirituels. Et ce témoignage biblique se prolonge en Ecriture pendant tout son
ministère terrestre, après sa mort et sa résurrection, il prendra la forme des
4 Evangiles écrits par quatre témoins dont deux oculaires. A ce témoignage des
Evangiles, Dieu ajoutera les Actes des Apôtres et les nombreuses épîtres inspirées
de ces témoins choisis par lui. Et au sujet de ses déclarations Jésus a dit
dans Jean 12:48 à 50 : « Celui qui me rejette et qui ne reçoit pas
mes paroles a son juge ; la parole que j'ai annoncée, c'est elle qui le jugera au
dernier jour. Car je n'ai point
parlé de moi-même ; mais le Père, qui m'a envoyé, m'a prescrit lui-même ce que
je dois dire et annoncer. Et je sais que son commandement est la vie éternelle.
C'est pourquoi les choses que je dis, je les dis comme le Père me les a dites. »
Après
ces épîtres inspirées, en fin du 1er siècle, Dieu a donné à l’apôtre
Jean sa vision nommé Apocalypse soit, Révélation. Et dans ce livre, Dieu révèle
à ses serviteurs « les choses qui
doivent arriver bientôt » ; des choses qui concernent le destin
futur de l’Eglise, l’Elue du Christ jusqu’à la fin du monde. Et cette
révélation est construite sur des symboles et des expressions dispersées dans les
livres des « deux témoins » bibliques de Dieu.
Dans
Apocalypse 10:9 : « Et j'allai
vers l'ange, en lui disant de me donner le petit livre. Et il me dit :
Prends-le, et avale-le ; il sera amer à tes entrailles, mais dans ta bouche il
sera doux comme du miel. » Dans ce verset, Jésus compare le livre de
sa Révélation à un aliment « doux
comme le miel ». Nous retrouvons ici, cette nourriture divine à
laquelle il a, en premier, donné priorité sur la nourriture terrestre. Et il
montre ainsi à ses élus que ce principe est perpétuel et ne doit pas changer,
jusqu’à son retour dans sa gloire divine.
Jésus
a prouvé, par son activité physique incessante, que sa faible alimentation
n’affaiblissait pas sa résistance physique. Ses longues marches de ville en
ville, dans le désert et sur les chemins avec ses apôtres et ses disciples, en
témoignent.
Finalement,
qui était donc Jésus-Christ ? Dieu soit, Micaël fait homme, et sans sa toute puissance restée
l’exclusivité du « Père céleste », l’Esprit
auquel il obéissait et dont il dépendait.
M8- La concurrence
Ce
mot concurrence est terrible car il porte des conséquences mortelles.
La
concurrence est une notion rattachée au péché originel commis par Adam et Eve.
Dans la vie animale, la concurrence se solde par la mort du plus faible dévoré
par le plus fort. Les espèces animales se côtoient, se croisent, sans aucune
agressivité lorsqu’elles sont rassasiées. Mais dès que la faim les tenaille,
les mêmes animaux se déchirent et se dévorent.
Après
le péché originel, l’être humain s’est retrouvé mis en concurrence avec son
prochain. Et la conséquence a été la mort d’Abel jalousé par son frère de sang
Caïn. La concurrence est véritablement le signe de la malédiction divine. Pour
t’en convaincre je te propose d’examiner les conditions de la vie céleste et de
la vie terrestre avant le péché. Les créatures de Dieu ne sont absolument pas
en concurrence car elles ont les mêmes droits et les mêmes devoirs. La vie d’un
ange ne dépend pas de la vie d’un autre ange, car tous obtiennent de Dieu ce
qui leur est nécessaire. Dans la vie créée, humaine et animale, les végétaux
trouvés en abondance et se reproduisant continuellement, servent de nourriture
pour toutes les espèces créées par Dieu ; ce qui exclut toute forme de
concurrence, selon Genèse 1:29-30 : « Et Dieu dit : Voici, je vous donne toute herbe portant de la semence et
qui est à la surface de toute la terre, et tout arbre ayant en lui du fruit
d'arbre et portant de la semence : ce sera votre nourriture. Et à tout animal
de la terre, à tout oiseau du ciel, et à tout ce qui se meut sur la terre,
ayant en soi un souffle de vie, je donne toute herbe verte pour nourriture. Et
cela fut ainsi. »
Dans
le principe de la procréation des humains pécheurs, les spermatozoïdes de la
semence de l’homme sont en centaines de millions mis en concurrence pour
féconder l’ovule femelle, et un seul d’entre eux remporte la victoire. Si on
considère le fait que la normalité de l’enfantement de la femme est d’un seul
enfant ; le cas des jumeaux étant une anormalité que Dieu utilise pour
marquer les deux choix placés devant l’homme, quand l’un des deux est dans la
ligne de la postérité bénie d’Abraham. L’unique spermatozoïde vainqueur est une
image prophétique de Jésus-Christ, l’unique vainqueur du combat de la foi par
lequel, après lui, d’autres vainqueurs, ses élus, le suivent. De plus, ces centaines
de millions de spermatozoïdes sont très nombreux à l’image de notre humanité
globale du temps de la fin. Dans ce principe, Dieu prophétise sa sélection des
élus rachetés en Jésus-Christ, car il les choisit parmi des centaines de
millions d’êtres humains. Toutefois, la concurrence prend une forme différente,
car la réussite des uns n’empêche pas la réussite d’un autre. L’être humain
reste le seul responsable de ses choix spirituels et de son comportement envers
Dieu et ses légitimes exigences.
Au
regard humain, les religions monothéistes sont apparemment en concurrence, mais
là encore, Dieu fixant lui-même la norme de la vraie religion, toutes les
autres, celles qui ne se conforment pas à cette norme partagent en réalité le
même statut de religion déchue, rejetée par Dieu. C’est uniquement quand elles
se comparent avec la religion élue que la jalousie des fausses religions prend
une forme haineuse, parce qu’elles se sentent mises en concurrence. Ce
comportement a été celui de l’église catholique papale romaine de
l’inquisition. La jalousie religieuse ou pas est la conséquence d’une mise en
concurrence non supportée.
La
concurrence a été normalisée dans l’humanité du péché et son caractère maudit a
été oublié et ignoré. Aujourd’hui, beaucoup de gens totalement ignorants du
sujet religieux, considèrent la concurrence comme une chose logique et
naturelle. Ce comportement légitime pour l’humanité ce principe de concurrence
qui concerne les espèces animales et de ce fait animalise l’humanité.
La
concurrence est-elle inévitable dans la vie humaine marquée par le péché depuis
Adam et Eve ? Je pense que non, car Dieu a organisé la vie humaine en lui
donnant pour base, le lien familial. Et au sein de la famille, il n’y a pas de
place, normalement, pour la concurrence, mais au contraire, elle se caractérise
par une complémentarité solidaire. La concurrence apparaît quand elle
s’applique à deux familles différentes qui choisissent de se concurrencer
plutôt que de collaborer. La vie humaine est ainsi organisée sur la base de
cellules successives : la famille, la ville, le pays, l’empire, le monde.
Et à tous ses niveaux, l’être humain a toujours le choix entre la concurrence
et la collaboration dans la complémentarité solidaire.
Dans
un caractère égoïste, l’être humain cherche à profiter de la concurrence pour
s’emparer des richesses produites par l’activité humaine.
Cette
pensée égoïste est aujourd’hui représentée par l’idéologie politique et
économique du capitalisme libéral occidental. Et, celui-ci est né en
Angleterre, le pays de la religion anglicane créée par le roi Henri VIII dont
la seule raison de son existence avait pour but de légaliser son divorce avec
son épouse espagnole légitime ; ceci pour pouvoir épouser la jeune et
belle Anne de Boleyn. La malédiction divine a donc produit ce système politique
égoïste qui a conquis le monde occidental. Alors que l’Angleterre s’est
affaiblie, les USA l’ont relayée et sont devenus les représentants mondiaux du
capitalisme libéral. Cette fois, c’est la religion protestante, calviniste et
luthérienne, qui est porteuse de cet égoïsme suprême.
En
Occident, la vieille Europe des dix cornes, marquée majoritairement par la
religion catholique a été influencée par
l’idéologie athée des pays de l’Est socialistes de l’ancienne URSS. Cette norme
socialiste est entrée en concurrence ou rivalité avec la vie catholique des
Européens déjà gagnés par la pensée du capitalisme libéral. Bénéficiant d’une
grande liberté, la France est particulièrement devenue le terrain de la
concurrence qui oppose le capitalisme libéral au socialisme communiste. Mais au
fil du temps, le capitalisme libéral s’est imposé et le socialisme s’est
embourgeoisé ; le parti communiste s’est réduit au point de presque
disparaître, absorbé par le parti socialiste patronal. La Russie, elle-même,
l’a abandonné.
Opposé
à l’extrême, autant qu’il est possible de l’être, ces deux systèmes de gestion
populaires que sont le capitalisme et le communisme sont entrés en concurrence
décidés à vaincre l’adversaire. A l’avidité individualiste du capitalisme s’est
opposée la gestion collectiviste des individus regroupés et rassemblés. Et la
vérité biblique me permet de le dire, les deux étant séparés, entièrement
coupés de Dieu. Car, en apparence généreuse, le collectivisme communiste
n’était pas motivé par l’amour de son prochain, comme ce fut le cas des
premiers Chrétiens au sujet desquels Actes 4:32 déclare : « La
multitude de ceux qui avaient cru n'était qu'un cœur et qu'une âme. Nul ne disait que ses biens lui
appartinssent en propre, mais tout était
commun entre eux. » Sans relation avec Dieu, le communisme russe
ne pouvait qu’être froid, calculateur et meurtrier. Dans l’Est de l’Europe, le
communisme a disparu, remplacé par la religion orthodoxe qui a été rétablie. Et
le communisme collectiviste n’est plus appliqué qu’en Chine et en Corée du
Nord, où il est dirigé par deux dictateurs indiscutés.
Dans
le jeu de la concurrence qui opposait le commerce américain au commerce
européen, les USA ont fait entrer la Chine communiste dans l’OMC. Suscitant la
convoitise des investisseurs occidentaux, la Chine est devenue l’unique pays
producteur de la grande fabrication mondiale. Et en conséquence, les
entreprises américaines et européennes ne pouvaient que délocaliser leur
production en Chine ou disparaître. Dès lors la production des pays riches
occidentaux s’est tarie, accompagnée par la hausse du chômage local, aux USA et
en Europe. Aux USA, le pouvoir politique est resté le même malgré les
alternances gouvernementales ; le capitalisme a constamment soutenu ses
riches investisseurs de la « Bourse » américaine.
Parallèlement,
en Europe, la construction européenne a placé les décisions entre les mains des
technocrates de Bruxelles et sa commission européenne mise au service du
capitalisme mondial. De ce fait, les députés nationaux ont accompagné et
légalisé les décisions qui ne demandaient plus leur avis, et les usines ont
fermé leurs portes les unes après les autres dans une indifférence
gouvernementale totale.
Depuis
2020, les coûts financiers énormes dus aux deux ans de blocage de l’activité
imposés par un jeune président ambitieux, « immature » et « sans
expérience » et les dépenses créées par son opposition à la Russie et son
aide militaire donnée à l’Ukraine ont eu l’effet d’une onde de choc qui a
réveillé les peuples européens. Ils se découvrent avec horreur, beaucoup plus
faibles qu’ils pensaient être. Et aussi beaucoup moins riches et influents au
niveau mondial que ce qu’ils imaginaient. C’est pourquoi, je vois dans cette
actualité s’accomplir la vision « du
colosse aux pieds d’argile et de fer mêlés », avec son explication
donnée dans Daniel 2:43 : « Tu
as vu le fer mêlé avec l'argile, parce qu'ils se mêleront par des alliances
humaines ; mais ils ne seront point unis
l'un à l'autre, de même que le fer ne s'allie point avec l'argile. »
Dieu, pouvait-il mieux faire, pour annoncer ce que nous voyons aujourd’hui
s’accomplir ? Une simple image montrée par lui remplace de longs discours.
Après
la concurrence des idéologies gestionnaires, est apparue la concurrence entre
le travailleur humain et le robot mécanique informatique. Et devenue très
riche, la Chine a rattrapé tout son retard technique. Elle a enrichi
l’Allemagne qui l’a originellement équipée en machines-outils pour ses chaînes
de fabrication, et elle a tué la production française et n’a plus besoin
aujourd’hui ni de l’une ni de l’autre, si ce n’est pour leur vendre ses propres
productions.
L’Occident
est donc devenu la victime du monstre chinois qu’il a créé. Sa production à bas
prix, rend toute concurrence extérieure, vaine et perdue d’avance. Ces chaînes
automatisées produisent énormément pour un moindre coût qui est amorti avec le
temps. Si bien que l’homme peut avec raison se demander si sa survie n’est pas
en jeu. Le robot concurrent le pousse de côté et compromet son utilité. D’autre
part, l’énorme richesse détenue par quelques génies américains est utilisée
pour développer encore plus cette production automatisée. L’humanité est
soumise à un tel désordre que la valeur des monnaies chute ; elles sont
remplacées par des monnaies virtuelles ; bref, le monde sombre dans la
folie et l’angoisse.
En
2025, le capitalisme libéral dominateur, amplifie brutalement sa guerre
concurrente. Le nouveau président américain, Donald Trump, impose aux Européens
ses conditions pour conserver des relations internationales ; or,
l’Amérique est très riche, et l’Europe se trouve, elle, ruinée et menacée de
destruction par la Russie.
Pour
en arriver là, les USA ont organisé la concurrence internationale en fixant les
normes des échanges. Le remplacement de « l’étalon-or » par leur
monnaie nationale, le « Dollar » constitue un signe spirituel à
relever. Cette action confirme la malédiction de leur religion protestante,
puisque « l’étalon-or » abandonné est bibliquement
le symbole de « la foi », selon ce verset de 1
Pierre 1:7 : « afin que l'épreuve
de votre foi, plus précieuse que l'or périssable (qui cependant est éprouvé
par le feu), ait pour résultat la louange, la gloire et l'honneur, lorsque
Jésus Christ apparaîtra, …» Ainsi, « la foi » américaine
est passée derrière sa monnaie nationale, le « Dollar » qui, pris
pour étalon international, a mis les USA à l’abri de toute dépréciation extrême
de sa monnaie. Ce changement lui a d’autant plus profité que ses multiples
grosses entreprises nationales et internationales sont prises en compte pour la
valeur de son « Dollar étalon ».
Conscients
de leur puissance, les Américains ont fait accepter par leurs alliés européens,
les règles qui régissent l’OMC, l’ONU, et l’OTAN. Résistant sous la présidence
du général Charles De Gaulle, la France a fini par se soumettre après avoir
renoncé à son indépendance pour la construction de l’Europe du marché commun
devenue l’actuelle U.E. aux 27 nations membres.
En
ce début du mois de Février 2025, la concurrence est relancée comme jamais.
Mais cette fois, il n’est plus question de proposition mais d’imposition
présentées aux Européens. Au sein de l’Europe, la France a été affaiblie et
ruinée en étant mise en concurrence avec les autres nations européennes. Le
régime capitaliste libéral dominateur au sein même de l’U.E. a placé les
entreprises européennes en concurrence avec la Chine communiste dont les prix
plus que bas ont provoqué l’abandon de la production européenne de secteurs
entiers : textiles, ménagers, télévisions, téléphones et dernièrement, de
voitures électriques aux prix non-concurrençables. Je m’interroge, sachant la
cause, et je dis : Comment les dirigeants politiques français ont-ils pu
ainsi détruire la production française au profit d’achats chinois et penser que
ce pays pourrait survivre ? Il a fallu du temps, et pour moi de la
patience, pour voir enfin éclater et apparaître la conséquence de ces choix
politiques et économiques égoïstes et désastreux. Mais cette ruine que je
voyais venir est aujourd’hui, bien confirmée au désespoir des Français trompés
et trahis par leurs élites politiques.
En
2025, l’humanité se métamorphose et se transforme en monstres prêts à
s’affronter comme des animaux affamés. L’orgueil et l’égoïsme sont assumés par
des pays riches composés de gens fortunés qui détiennent à quelques uns toutes
les richesses mondiales. Après avoir rendu les populations de toute la terre
esclaves de sa haute technologie, l’Amérique de Donald Trump peut imposer à
tous sa domination et ses décisions. Cette dépendance technologique a enrichi
comme jamais quelques multimilliardaires qui soutiennent le nouveau président
qui annonce, sans aucune gêne, son projet d’annexer le Groenland, qui convoite le
Canada et veut contrôler le canal du Panama, mais aussi, la Bande de Gaza.
La
dernière concurrence oppose le monstre américain au monstre chinois, au monstre
européen et au monstre russe. Les géants de l’heure, les nouveaux
« Titans », sont en concurrence pour dominer le monde et comme Dieu
l’a révélé à ceux qu’il aime, l’Américain « part en vainqueur et pour vaincre »
comme Jésus-Christ qui le détruira au jour de son retour glorieux.
Quand
je considère l’histoire humaine, je relève que l’expérience américaine est
courte et jeune : 400 ans depuis le début de son peuplement par des
européens et seulement 200 ans depuis sa construction nationale. Son expérience
était nouvelle comme une sorte de ballon d’essai dont personne sur terre,
n’imaginait le résultat final. Et l’Europe composée de vieilles nations a
commis une tragique erreur en voulant adopter sa norme multiethnique raciale,
culturelle et cultuelle. La France qui est à l’origine en tête de cette
adoption, avait rejeté la Bible en laquelle l’expérience de Babel annonce la
forme de la fin de l’expérience américaine qui la renouvelle. Le mépris
témoigné envers la sainte Bible, cette sainte Parole de Dieu écrite, aura donc
causé la perte des USA, des Français et des Européens qui les ont suivis dans
leur choix incrédule rebelle.
En
résumé de tout ce qui vient d’être dit et démontré, la concurrence n’est pas
une bonne chose puisqu’elle conduit des gens, des royaumes, des nations, des
empires, à s’affronter jusqu’à la mort. Et là, se trouve la limitation que peut
porter l’image du stade utilisée par l’apôtre Paul dans 1 Corinthiens 9:24-25,
dans laquelle il n’y a « qu’un seul » vainqueur, comme,
il le fait lui-même remarquer ; ce qui n’est pas le cas, pour la sélection
de Dieu qui bénit tous ceux qui comblent son attente : « Ne savez-vous pas que ceux qui courent dans
le stade courent tous, mais qu'un seul
remporte le prix ? Courez de manière à le remporter. Tous ceux qui combattent
s'imposent toute espèce d'abstinences, et ils le font pour obtenir une couronne
corruptible ; mais nous, faisons-le pour une couronne incorruptible. »
Obéir à Dieu ne nuit à personne sur la terre et l’élu n’est donc pas mis en
concurrence avec son prochain. Tous ceux qui vont se perdre ne sont que les
victimes de leur propre libre-choix. De même, ceux qui vont vivre éternellement
seront les bénéficiaires du même libre-choix donné par Dieu à toutes ses créatures
célestes et terrestres ; ceci, depuis sa création de son premier vis-à-vis
céleste, l’ange de lumière devenu, depuis sa rébellion contre Dieu et ses
valeurs, Satan le diable. Mais heureusement, la lumière triomphera et anéantira
les ténèbres !
M9- Le bon sens apparaît
Ce
message ne peut qu’être court, mais n’en est pas moins précis.
Qu’est-ce
qui me porte à faire une telle analyse ? L’évidence des faits. Car je
relève que les temps en lesquels les deux guerres mondiales précédentes ont été
rendues possibles étaient marqués par la domination de grands chefs. En 1914,
l’Allemagne prussienne était dirigée par l’empereur Guillaume II. Et ce pouvoir
sans partage, l’a porté à vouloir agrandir sa domination en conquérant de nouvelles
terres qui appartenaient à la France. En leur temps, Napoléon 1er et
Napoléon III en ont fait autant.
Quel
est le lien avec le bon sens ? La simple logique du raisonnement qui veut
que le plus fort impose sa loi au plus faible que lui. Ce principe s’impose à
l’humanité depuis le commencement, au moment où, à travers le serpent, Satan a
vaincue la résistance humaine. Depuis ce début, jusqu’en 1945, des guerres
incessantes ont opposées les êtres humains. En 1939, il y eut Hitler et
Staline, deux dictateurs pervers qui, après s’être associés pour se partager la
Pologne, se sont affrontés à mort, jusqu’à la défaite de l’Allemagne et la mort
d’Hitler en 1945. C’est pourquoi, on ne relèvera jamais suffisamment le
caractère exceptionnel des 80 années de paix dont le monde occidental a profité
pour porter à son apogée le fruit de son amour pour la liberté.
Incontestablement,
la paix qui s’est instaurée en 1945 a été obtenue grâce à la mort d’Hitler, le
plus envieux et ambitieux des dictateurs de l’heure. A Yalta, les grands de la
terre se sont partagé les terres des nations vaincues et les derniers
dictateurs se sont endormis les uns après les autres dans une ambiance
internationale tendue où les nations étaient séparées en deux camps principaux :
l’Ouest et l’Est. Ce qui a favorisé la paix a été le régime parlementaire des
démocraties. Sans dictateur, les peuples adoptent des accords favorables à la
paix recherchée et souhaitée par l’immense majorité des êtres humains vivants.
Ce modèle démocrate pourrait apparaître comme le régime idéal sauf qu’il
provoque de grandes frustrations chez ceux qui n’acceptent pas le compromis
politique, économique ou religieux. Et même s’ils ne sont représentés que par
de petites minorités, ils n’en sont pas moins dérangeants et efficaces.
Car
qu’est-ce qu’une démocratie ? C’est un immense océan dans lequel les gros
poissons mangent les plus petits, dans lequel, des meurtres, des crimes
anthropophages se produisent constamment, dans l’indifférence de tous, ce qui
lui donne en surface l’apparence d’une mer calme et tranquille. Car dans une
démocratie, l’argent est roi ; la possession et la richesse conduisent au
pouvoir politique des hommes dont les décisions vont enrichir encore plus les
riches qui les soutiennent. Et pour calmer les foules exploitées exigeantes de
toujours plus de liberté, les barrières légales morales sont enlevées,
permettant au peuple de jouir de nouvelles libertés justifiant l’abomination de
plus en plus grande et perverse.
Dans
les parcs des villes, les enfants jettent du pain aux canards qui se pressent
vers eux ; les riches dominateurs agissent de même avec les populations
pauvres.
Le
thème de la paix occidentale est à ce point exceptionnel, que Dieu en fait
mention dans sa prophétie d’Apocalypse 7:1, désignant néanmoins une paix
spirituelle : « Après cela, je
vis quatre anges debout aux quatre coins de la terre; ils retenaient les quatre
vents de la terre, afin qu'il ne soufflât point de vent sur la terre, ni sur la
mer, ni sur aucun arbre. » La paix que Dieu souligne dans cette
prophétie ne concerne que les relations entre les seuls êtres humains
chrétiens. Car la relation de l’homme avec Dieu prend un caractère nouveau à
partir de 1843, selon les termes du décret fixé dans Daniel 8:14 qui détermine
cette date. Les guerres continuelles ayant eu une cause religieuse jusqu’en
1840, la paix de pouvait en premier que concerner ce type de paix religieuse.
En 1840, les armées anglaises et russes chrétiennes ont mis fin à la domination
musulmane Ottomane des Turcs Seldjoukides. Les guerres opposant les Chrétiens
catholiques aux Chrétiens protestants avaient cessé au moment de la Révolution
française entre 1789 et 1798. Et la lutte entre les Chrétiens et les Musulmans
a donc à son tour pris fin en 1840. Peu de temps avant et après, ce fut le
temps des guerres des colonisations : Algérie, Afrique noire, Asie…etc.
Au
temps fixé par lui, par son décret de Daniel 8:14, de nouvelles conditions sont
établies par Dieu, pour sauver ses élus par la grâce de Jésus-Christ qui les sanctifie
par sa vérité. Dieu ne fait qu’exiger la restauration des vérités apostoliques
oubliées et remplacées dans la doctrine catholique romaine papale. Les épreuves
nommées « adventistes » vécues aux USA en 1843 et 1844 sont ignorées
par les multitudes chrétiennes internationales qui sont de la sorte privées
d’un précieux poteau indicateur ancré et fixé par le Dieu créateur pour
éclairer ses saints élus. En 1843, Dieu dénonce le non achèvement de la Réforme
protestante qui conserve énormément de sujets doctrinaux faux et mensongers
hérités de la doctrine catholique papale romaine. Or, le Souverain suprême de
la vie céleste et terrestre ne peut accepter que sa vérité ne soit pleinement
restaurée et honorée par les élus qu’il sauve par Jésus-Christ.
Dans
ce programme de restauration de sa vérité, Dieu avait posé la première pierre
de sa reconstruction en l’an 1170, en conduisant un homme riche, lyonnais,
nommé Pierre Vaudès, ou Valdo, à traduire le texte biblique latin en sa langue franco-provençale.
Il fut ainsi le premier homme qui a rendu à Dieu par Jésus-Christ le culte que
lui rendaient les douze apôtres, le repos sabbatique du septième jour étant
compris dans les vérités restaurées. Après son époque et sa fidèle résistance,
le groupe vaudois qu’il avait formé a été vaincu et dispersé par les attaques
catholiques. De ce fait, entre le 15ème et le 18ème
siècle, la Réforme protestante n’a pas reproduit son fruit de vérité initiale.
Dieu a donc accepté, dans la frustration de sa gloire légitime, de reconnaître provisoirement
l’imparfaite fidélité des martyrs protestants qui ne prenaient pas les armes,
préférant perdre leur vie ou leur liberté.
Les
causes des guerres religieuses ayant cessé, des guerres sporadiques de
conquêtes territoriales les ont remplacées en 1870, 1914 et 1939 ; trois
guerres dont l’ennemie de la France fut l’Allemagne prussienne, puis
hitlérienne.
Le
retour de Jésus étant prévu pour le printemps 2030, le début du dernier siècle
de l’humanité est l’année 1930. Bien que la guerre de 1870 ne soit pas une
guerre mondiale, elle fut néanmoins pour l’Europe, très meurtrière et donc très
importante. Entre 1870 et 1914, il s’écoule 43 ans ; ensuite, entre 1918
et 1939, nous avons 20 années de paix. Les Guerres de 1914 et 1939 sont
apparues pour punir l’iniquité des Chrétiens occidentaux tombés dans la vie
luxurieuse et la débauche. Pour obtenir ce résultat, il a fallu 43 années de
paix, premièrement, et 20 années de paix, secondement, et ce témoignage révèle
une accélération du processus qui conduit l’homme à être dominé par le mal.
Démonstration faite et obtenue, Dieu a donné à la Seconde Guerre Mondiale un
aspect destructeur intense ; destruction des villes et d’une partie de
leurs habitants bombardés par les nouveaux maîtres du ciel : les avions
militaires, chasseurs et bombardiers. La punition a été très grande avec ses 60
millions de morts et disparus. Et parce que cette guerre représente son avant-dernier
avertissement, Dieu a fait cibler particulièrement la communauté juive par le
chef nazi Adolf Hitler dont la « solution finale » a fait mourir
quelques 6 millions de Juifs et juives, vieillards hommes, femmes et enfants.
Le
désastre fut si grand qu’il a fallu attendre l’année 1968 pour que l’esprit
frondeur de la jeunesse réapparaisse en France. 1945 à 1968 fut le temps du
relèvement des ruines, et 1968 marqua le début des revendications libertaires.
En 1974, après les décolonisations, les pays arabes reprennent le contrôle de
la vente du pétrole et du gaz. Les pays musulmans s’enrichissent au détriment
des Européens qui eux s’appauvrissent. L’entrée de la Chine dans l’OMC va
encore plus les appauvrir et les rendre dépendants de ses productions. Pour
étouffer d’éventuelles révoltes populaires, les dirigeants occidentaux lèvent
toutes les barrières morales, tous les tabous religieux et offrent à leur
population la jouissance de la liberté au sens propre et au sens figuré (sale).
En France, c’est en 2013, le vendredi 17 mai, que le président Hollande fait, avec
difficulté, adopter légalement le droit au mariage pour tous, « gays,
lesbiennes, et transsexuels ». La démocratie prend alors l’apparence d’une
démone « crasse » abjecte et licencieuse au niveau jamais atteint, ni
en 1870, ni en 1914, ni en 1930 ou 1939. Par cette action, Paris confirme son
nom symbolique « Sodome »
que Dieu lui attribue dans Apocalypse 11:7.
Relevons
que dans la même année 2013, la cause de la guerre d’Ukraine est déclenchée par
les manifestations « d’Euromaïdan », suivi par le putsch de
« Maïdan », qui renverse son président russe élu.
Après
l’outrage de 2013, Dieu a inauguré « le
temps de la fin » en offrant à ses élus une abondante lumière
spirituelle au printemps 2018, dont la fixation de la date du retour de
Jésus-Christ pour le printemps 2030. Puis 2020 a été l’heure du début de ses
derniers châtiments : le virus du Covid-19 a bloqué pendant 2 années
l’économie française au prix d’un grave endettement. Liés les uns aux autres
par les accords européens, les pays partenaires se sont mutuellement soutenus
en ruinant toute l’Europe consommatrice, mais de moins en moins productrice
pour exporter vers l’étranger.
C’est
dans ce climat peu favorable aux Européens de l’U.E. que la guerre en Ukraine a
conduit le chef de la Russie à se comporter en dictateur inflexible. Depuis
quelques temps, le chef de la Chine venait d’obtenir son titre de président à
vie. Et le chef de la Corée du Nord dispose lui-aussi de ce pouvoir suprême qui
favorise des prises de positions immédiates non discutées. L’avantage
stratégique est pour ces dictateurs qui redoutent cependant tous le pire soit,
la mort propagée par l’affrontement nucléaire.
Dans
le camp des démocraties, le nouveau président Donald Trump se distingue en ce
qu’il n’est pas un homme politique professionnel formé dans les écoles
administratives des USA, comme c’est le cas généralisé en Europe occidentale.
Et ce que je relève, c’est que cet homme n’a en sa faveur que son simple bon
sens humain appliqué dans sa formation professionnelle de chef d’empire
immobilier. Donald Trump n’est pas à l’aise dans son costume présidentiel au
droit restreint par les autorisations données par le Congrès américain. De
plus, il a en face de lui, ses adversaires qui ne sont pas, eux, retenus par
des obligations légales, car ils font et interprètent la loi de leur pays.
Malgré son handicap politique, le président Trump bénéficie d’un soutien quasi
miraculeux des trois chambres politiques américaines, le Congrès, le Sénat et
la Cour suprême.
Comme
un extra-terrestre descendu sur la terre, le président Trump exprime
franchement et ouvertement ses visées, ses objectifs, qui visent à enrichir
l’Amérique, sa nation, et lui redonner son rôle dominateur incontesté qu’elle
avait en 1945. Or cette ambition se heurte au souhait du camp des
« BRICS » qui veulent enlever au dollar de la monnaie américaine sa
valeur d’étalon mondial. Ces deux objectifs étant totalement inconciliables,
une guerre finale totale est facilement prévisible. Mais avant cela, des
arrangements provisoires et de courtes durées sont possibles pendant cette
année 2025.
Dans
un monde régi par l’argent, Donald Trump pense que tout peut s’acheter :
la matière, les produits, les terres, et les âmes humaines. Avant lui, les
papes de l’église catholique ont voulu obtenir et ont obtenu la domination sur
les biens et les âmes humaines. Aussi, dans la condition actuelle où la valeur
suprême est l’argent et la richesse, beaucoup sont prêts à suivre Donald Trump.
Son
désir de contrôler le passage du Panama, de faire du Canada le 51ème
Etat américain, d’acheter le Groenland, et de contrôler la Bande de Gaza, épouvante
tous les peuples de la terre. Et si l’homme se permet d’exprimer ses souhaits,
c’est précisément parce qu’il n’est pas un homme politique corrompu par
l’hypocrisie exigée par cette profession politique. Il dit ce qu’il pense et
tente de faire ce qu’il dit. C’est si logique comme comportement qu’il convient
de relever le haut niveau de la perversion universelle des peuples que son
comportement étonne. Pour ces autres peuples, la tromperie et l’hypocrisie sont
considérées comme des valeurs normales. Et pour ces gens, se comporter
franchement et sans hypocrisie est comme une intervention extra-terrestre. Et
en fait, c’en est bien une, puisque sa mission est organisée par le Dieu
créateur qui vient à travers le président Trump, bouleverser et chambouler,
l’ordre international hypocrite qui règne depuis 1945.
L’Amérique
a de gros avantages qui lui permettent de parler fort et de faire pression sur
ses adversaires. Elle est très riche en biens et matières, géographiquement
isolée, et puissamment équipée en armements de toutes sortes.
En
ce mercredi du 5 Février 2025, Donald Trump épouvante tous les médias en
proposant devant Benjamin Netanyahou, le chef actuel d’Israël, de faire de la Bande
de Gaza, une « Côte d’Azur » reconstruite et gérée par l’Amérique
après que les Palestiniens qui y vivent actuellement soient accueillis par l’Egypte
et la Jordanie ou d’autres pays arabes.
Cette
idée peu paraître inconcevable et injuste, cependant il présente pour la
première fois une solution au problème que représente la cohabitation des Juifs
avec les Palestiniens. Prenant ouvertement parti pour Israël, placé sous la
protection américaine depuis 1948, Donald Trump trouve logique de frustrer 2
millions de Palestiniens pour régler un problème qui peut embraser le monde.
Qui peut s’opposer à ce raisonnement logique ? Dans la Bible, le chiffre
« 2 » désigne l’imperfection et c’est bien l’imperfection qui empêche
le règlement de la cohabitation de deux peuples antagonistes. En intervenant
souverainement, les USA constituent un 3ème camp, et « 3 »
est le chiffre de la perfection, dans la sainte Bible. Quand deux enfants se
disputent un objet, offrir l’objet en question à un troisième enfant peut
constituer une bonne résolution du problème qui oppose les deux premiers
enfants.
A
qui appartient la terre ? Des peuples se succèdent au fil du temps sur des
terres dont ils font leur sol national. Mais au cours de l’histoire, certains
sont décimés et remplacés par d’autres qui font du territoire conquis, leur
terre nationale. En premier, Dieu a organisé et mis en œuvre l’extermination
des Amoréens pour offrir à son peuple Israël une longue existence paisible.
Mais dès ce commencement de sa vie nationale, Israël a désobéi à Dieu et il a
laissé survivre des habitants de la ville de Gaza entre autres. Il en a résulté
la présence d’un ennemi séculaire nommé « Philistin » que Dieu
a su utiliser pour punir les infidélités de son Israël juif charnel pendant son
histoire.
N’est-il
pas remarquable que cinq années avant son retour final, la paix mondiale
dépende d’un conflit opposant les habitants « Palestiniens »
de Gaza à l’Israël actuel ? Or, ces habitants actuels de Gaza ne sont pas
les descendants des anciens Philistins, mais des arabes nomades dispersés sur
la terre nationale des Juifs renommée Palestine par les Romains ; ceci
pendant le temps de la dispersion des Juifs parmi les nations de la terre,
depuis 70 jusqu’en 1948.
Le
caractère insoluble du conflit qui oppose aujourd’hui les Palestiniens aux
Israéliens est, pour Dieu, le moyen de rappeler à Israël sa première
désobéissance : il n’extermina pas les habitants de Gaza, comme Dieu le
lui avait ordonné. Le souvenir de cette première faute est projeté par le Dieu créateur
en 2025, pour attirer tous les regards humains sur les conséquences portées par
la désobéissance aux ordres qu’il a donnés.
La
solution proposée par Donald Trump n’aura jamais l’efficacité de l’ordre donné
par Dieu, parce que seule la mort rend la descendance rebelle inactive. Et en
proposant l’accueil des Palestiniens dans d’autres pays arabes, le président
américain sous-estime l’entêtement de certains combattants palestiniens
fanatiquement attachés à leur revendication territoriale. L’homme d’affaire
américain est insensible à la valeur sentimentale et religieuse que les
Palestiniens actuels donnent à un petit territoire où les Juifs sont revenus
s’installer. Lui, le riche, ignore que la dernière propriété du pauvre, c’est
sa terre ; celle sur laquelle il est né. Mais cet attachement, au
demeurant très légitime, peut être remis en cause par Dieu qui seul décide à
qui la terre doit être donnée. Et c’est dans cette aptitude à accepter
humblement sa très sainte volonté, que l’être humain peut témoigner d’une foi
authentique. Dieu demanda à Abram de quitter la terre et la maison de son père,
nous enseignant ainsi à recevoir ce qu’il nous donne et accepter de perdre ce
qu’il nous reprend. Or, ce n’est pas là, le comportement de nos Palestiniens
musulmans qui témoignent ainsi eux-mêmes contre leur religion.
Nous
passerions à côté d’un message adressé par notre subtil Dieu créateur, si nous
ne relevions pas l’intérêt du nombre « 80 » qui est le nombre des
années comprises entre 1945 et 2025. « 80 », c’est 40 + 40 et ce
chiffre 40 fut le temps de l’épreuve de l’Israël de l’ancienne alliance. Relève
ces analogies : au terme des 40 ans, Israël allait entrer en terre de
Canaan, de même au terme des 80 ans, l’Israël spirituel de Jésus-Christ
s’apprête à entrer dans le royaume céleste de Dieu, la Canaan céleste. Or, Dieu
condamna la génération incrédule testée à mourir pendant le temps du séjour au
désert. Et ce furent donc les générations suivantes qui furent autorisées à
prendre possession de la terre de Canaan. De même, Dieu a attendu, 80 ans soit,
le temps que meure la génération qui a vécu le châtiment de la Seconde Guerre
Mondiale, pour soumettre les générations suivantes à l’épreuve de sa « sixième
trompette » ou Troisième Guerre Mondiale. Et cette analogie cible
l’incrédulité d’une génération victime ou témoin de la « shoah », la
tentative nazie d’exterminer les Juifs, les premiers pécheurs coupables
d’incrédulité pour le projet salvateur de Dieu, basé sur Jésus-Christ et sa
divine grâce. Dieu a tenu pour coupable d’incrédulité cette génération qui n’a
pas compris que ce châtiment des Juifs venait de lui, de même que la Seconde
Guerre Mondiale entière. Depuis 1945, de nouvelles générations ont obtenu un
délai de 80 ans pour recevoir Dieu et le comprendre. Mais elles échouent et
font le mal pire que leurs pères. En conséquence, le châtiment divin, mortel
cette fois, de sa « sixième trompette », vient les
frapper pour les détruire, grandement.
« La
loi du plus fort est toujours la meilleure », a dit par dérision, le sage
Jean de la Fontaine dans sa fable « le loup et l’agneau ». Elle est
non seulement la meilleure, mais aussi, divine, car c’est Dieu qui a placé la
vie entière sous toutes ses formes sous ce principe ; et ceci à juste
raison, parce que le plus fort, c’est lui, et dans son projet créationniste, il
sortira vainqueur et honoré par ses élus, quand il aura anéanti tous ses
ennemis célestes et terrestres. La loi actuelle des compromis cessera d’exister
et la norme de la valeur divine la remplacera éternellement. Le compromis est le résultat injuste obtenu
dans une confrontation d’idées humaines imparfaites. Dans la vie céleste bénie
par Dieu, cette situation n’est plus, la parfaite pensée divine s’impose à
toutes ses créatures pour leur bonheur et leur parfait accord.
Je
ne sais si Donald Trump aura la possibilité de mettre en œuvre son projet
concernant Gaza, mais je suis certain que s’il tente de le faire, le monde
oriental musulman va se soulever comme un seul homme pour l’en empêcher. Mais,
ne sommes nous pas dans l’attente d’un soulèvement musulman contre l’Occident
chrétien prophétisé dans Daniel 11:40 ? Ce sujet concernant Gaza pourrait
être sa cause.
M10- La perversion du bon jugement
Dans
la soirée du 6 Février 2025 soit, du 7 Février dans le temps divin, j’ai suivi
une émission sur une chaîne info où l’invité était Mr Bruno Retailleau le
nouveau ministre de l’intérieur du gouvernement Bayrou de la France. Des
échanges avec des téléspectateurs, gens du peuple présents sur le plateau,
m’ont permis de découvrir la clé des problèmes civils et religieux actuels.
Le
ministre très désireux de régler les problèmes de violence qui se multiplient
dans le pays, se heurte à un problème d’application des lois émises par les
députés français. Le problème est le suivant : les députés votent des lois
que les juges de la République sont chargés d’appliquer. Si les choses se
passaient ainsi, les coupables seraient systématiquement punis et incarcérés ou
expulsés du pays. Seulement, les juges n’appliquent les lois qu’après s’être
donné le droit de les interpréter. Le mot fatal et responsable est lâché ;
c’est un verbe, le verbe « interpréter ». En utilisant ce droit
d’interpréter, les juges n’appliquent plus la loi ; ils se permettent de
ne pas la respecter. Avec raison, la Constitution de la 5ème
République française, offre à la Justice une entière indépendance envers le
pouvoir politique dirigeant exécutif. La justice est donc totalement libre
vis-à-vis des hommes politiques et ne doit en ce cas pas subir l’influence du
camp politique mis au pouvoir. Mais cette indépendance est abusivement
exploitée quand le résultat permet la non-application de la loi promulguée par
la chambre des députés. L’indépendance des chambres de la République est censée
permettre d’éviter les influences des groupes politiques différents et même
totalement opposés. Mais par nature, les juges sont des humains et des citoyens
qui ne sont pas indépendants totalement, puisqu’à titre individuel, ils
favorisent des idées politiques qu’ils partagent et approuvent dans leur
comportement professionnel de juges. La véritable neutralité est rare ou
n’existe pas. En plus de ce problème imputable à l’indépendance outrepassée de
la justice, un autre problème vient empêcher l’application des lois soutenues
et promulguées par les représentants nationaux du peuple français. Il s’agit du
blocage ou de l’autorisation donnée par le Conseil Constitutionnel formé par
les anciens présidents de la République, restés vivants, tous ayant été rejetés
par les électeurs français à la fin de leur mandat présidentiel. Un pouvoir
décisionnaire de nuisance leur reste attribué. Est-ce légitime et intelligent ?
A
ces deux blocages vient s’ajouter un troisième qui concerne le pouvoir du
commissariat européen et de la députation européenne dont les jugements
prévalent sur les décisions nationales. Peut-on faire mieux pour s’empêcher
d’agir et de réagir contre les problèmes qui se présentent et s’imposent en
notre époque troublée, perturbée par l’intensification des sujets néfastes que
les populations subissent chaque jour davantage ?
La
France, la deuxième démocratie de l’histoire mondiale moderne après les USA, a
été choisie par Dieu, comme un modèle type de l’histoire de la religion
chrétienne. Ses rois ont été puissants, craints, respectés et enviés par
beaucoup de rois et leurs peuples. Sous Louis XIV, la séduction a atteint son
apogée et ce roi nommé « le roi soleil » a fait culminer les arts et
le luxe en faisant bâtir sa résidence de Versailles. Et si j’en viens à évoquer
ce roi, c’est parce qu’il incarne le contre-modèle de notre démocratie
actuelle ; son opposé dans l’absolu. Il n’avait, lui aucune difficulté
pour appliquer ses lois. Il les créait seul et les faisait appliquer sans
donner à quiconque le droit de les interpréter ; sous peine de mort ou
d’incarcération. Par dérision subtile, le Dieu créateur suprême et Souverain au
titre de « Roi des rois et Seigneur
des seigneurs » a plongé son règne de « roi soleil » dans de
profondes mortelles « ténèbres » ;
ceci, jusqu’au jour de sa mort, puis le soleil du ciel est réapparu,
réchauffant la nature et les hommes.
Entre
l’excès de Louis XIV et l’excès de notre démocratie moderne, il y a place pour
un juste milieu équilibré, n’est-ce pas le cas ? Ce fut le cas entre 1945
et 1968, l’année de la rébellion de la jeunesse française étudiante, les
enfants des riches privilégiés et trop gâtés de la République française.
Influencés par les débordements libertaires sexuels qui caractérisaient la
jeunesse américaine, le mal américain s’est implanté en France et dans toute
l’Europe occidentale.
En
Amérique comme en France, un grand pouvoir décisionnaire est donné aux juges.
Et ce choix est dû à l’intensification de l’influence de la science traitant de
la psychiatrie. Le droit de l’interprétation a été donné en premier aux
psychologues devenus les maîtres penseurs des sociétés démocrates. Quand le
psychiatre a parlé, la justice s’incline et n’applique plus la loi prévue pour
punir le crime, le meurtre, le vol ou le viol. En conséquence, le mal se
prolonge et fait de nouvelles victimes. Qui profite de cette situation ?
Le diable, Satan. Et Dieu ne voit en cela que la conséquence du mépris dont il
est personnellement objet. Le mal ne fait que retomber sur la tête de ceux qui
le méprisent. Et c’est en cela que la connaissance de la sainte Bible, sa
divine parole écrite, est utile et vitale, car elle met en garde l’homme, en
annonçant la mort de ceux qui le méprisent.
Le
cas civil de la France et des autres démocraties occidentales éclairent d’une
lumière éblouissante le cas du problème religieux de notre temps.
Parlant
de Dieu, les hommes le nomment en grec le « logos », soit la « Parole »,
reprenant le témoignage de l’Evangile de Jean où il dit dans le chapitre 1,
au verset 1 : « Au commencement était la Parole, et la
Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. » Confirmant sa
déclaration, nous lisons dans Genèse 1:1 : « Au commencement, Dieu créa les
cieux et la terre. » Ces deux versets se complètent
merveilleusement en nous révélant que la Parole est un verbe, le verbe « créer »,
le premier verbe que Dieu s’impute et qu’il donne à son action.
Comparons
maintenant, dans ces deux sources bibliques, le deuxième thème évoqué par
Jean : « la lumière », selon Jean 1:4-5 : « En
elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes. La lumière luit dans
les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont point reçue. » Genèse 1:3-4 répond
: « Dieu dit : Que la lumière soit ! Et la lumière fut. Dieu vit que la
lumière était bonne ; et Dieu sépara la lumière d'avec les ténèbres. »
Ce verset 3 révèle que Dieu « crée » en donnant un ordre exprimé par sa
« Parole » ; ce qui fait de lui, la Parole divine
incarnée en Jésus-Christ.
Cette
mise en scène biblique dirige notre attention sur l’autorité de Dieu dont la « Parole »
obtient instantanément ce qu’il ordonne. Or ce modèle ressemble beaucoup plus à
celui de Louis XIV qu’à celui de nos démocraties actuelles qui se détruisent
par l’excès de liberté qui donnent à leurs juges le droit d’interpréter les
décisions légiférées par les députés de la représentation du peuple.
Au
cours de l’histoire des deux alliances divines, les peuples ont été placés sous
la domination souvent tyrannique des rois qui jouissaient du pouvoir absolu sur
eux. Ce que la Bible nous apprend, c’est que le mal n’est pas dans le principe
de ce pouvoir parce qu’il est calqué sur le modèle divin. Le vrai problème se
trouve dans le roi qui hérite de son titre, quelle que soit sa moralité, et sa
situation envers Dieu. Si le roi n’a pas la crainte du vrai Dieu, son règne va
être terrible pour son peuple, de même que le sort de l’humanité livrée à Satan
est terrible pour elle.
La
monarchie avait sur la démocratie l’avantage d’apprendre aux hommes à obéir aux
ordres donnés par le roi. L’homme était ainsi naturellement formé pour obéir et
pouvait ainsi agir de même envers Dieu. Et dans des siècles marqués par de
profondes ténèbres spirituelles, dans l’ignorance de la vérité biblique, les
multitudes populaires se soumettaient à l’église catholique romaine papale en
pensant servir Dieu et lui obéir. Aussi, a-t-il fallu attendre l’impression mécanique
de la Bible traduite en de multiples langues, pour que sa connaissance permette
aux élus du Christ de se distinguer des déchus, par leur obéissance à ses
ordres, ses commandements et ses ordonnances ; ceci, en partie, au temps
de la Réforme, et intégralement, depuis 1843-1844 comme l’exige son décret cité
dans Daniel 8:14 dont la vraie et bonne traduction est : « Et il
me dit : Jusqu’à deux mille trois cent soir-matin et la sainteté sera
justifiée ». Le « Logos » divin a parlé et son ordre a
été exécuté au terme des 2300 années prophétisées soit en 1843, au
printemps ; cette durée ayant pour début celui des « 70
semaines » qui conduisent à Jésus-Christ dans Daniel 9:24 soit, selon
Daniel 9:26, le premier mois de la septième année du règne du roi perse
Artaxerxès 1er. L’action est située en 458 avant Jésus-Christ, et la
précision se trouve dans Esdras 7:7.
La
traduction de la Bible en de multiples langues a permis donc aux êtres humains
bénéficiant d’une complète liberté de choix d’obéir ou pas aux ordres de Dieu
clairement exprimés. Car ce point est extrêmement important car il trace la
ligne de démarcation entre les élus et les déchus : Dieu ordonne des choses et ne permet pas à ses créatures d’interpréter
ses ordres clairement exprimés. Nous pouvons ainsi comprendre que l’homme
se comporte civilement comme il se comporte religieusement : il interprète
les ordres au lieu de leur obéir. Dans le laxisme humaniste des êtres humains,
l’interprétation favorise le prolongement du mal, seulement, mais l’interprétation
des ordres donnés par Dieu conduit les coupables à la mort éternelle ; ce
qui est beaucoup plus grave.
Il
est nécessaire de relever que la Bible présente deux sortes de messages :
des messages clairs et des messages prophétiques cryptés ou codés. En réalité,
les choses ne sont pas aussi tranchées car des textes littéraux clairement
exprimés comme c’est le cas du récit de Genèse 1 ; portent en même temps
des messages prophétiques comme je l’ai démontré. Mais certains textes comme
Daniel et Apocalypse ont par nature vocation à devoir être interprétés. Mais,
même dans cette démarche, Dieu se réserve le droit de donner le code de ses
prophéties et il condamne, après avertissement, les « interprétations particulières
humaines » données à ses prophéties, selon 2 Pierre
1:20-21 : « sachant tout
d'abord vous-mêmes qu'aucune prophétie
de l'Écriture ne peut être un objet d'interprétation particulière, car ce
n'est pas par une volonté d'homme qu'une prophétie a jamais été apportée, mais
c'est poussés par le Saint Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu. »
Et le code que Dieu présente à ses élus est indiscutable parce qu’il se trouve
dans les écritures saintes de la Bible. Dieu peut seul revendiquer la possession d’une réelle indépendance, étant créateur
de toute chose et de toute vie. Aussi, quand il ordonne, il veut être obéi. Et
je me souviens, l’ayant mémorisée, cette leçon apprise pendant mes classes
militaires en 1963 : « La discipline faisant la force principale des
armées, il importe que tout supérieur obtienne de ses subordonnés une
obéissance entière et dans tous les instants ». Dieu peut-il exiger moins
que les officiers et les sous-officiers de l’armée française ?
La
leçon est claire et précise, l’ordre n’est pas un conseil, un avis, donné à
interpréter. Et ce droit à l’interprétation est la cause des échecs subis
actuellement par nos démocraties occidentales et elle est aussi la cause des
malédictions qui frappent toutes les religions chrétiennes tombées dans
l’apostasie généralisée. Les révélations des prophéties sont un plus que Dieu
réserve à ses seuls élus qu’il identifie par leurs œuvres. L’accès à sa lumière
n’est donné qu’aux appelés qui se montrent obéissant et mettent en pratique
tout ce qui leur ordonne dans sa sainte Bible. En Jésus-Christ, le Saint-Esprit
dirige leurs pensées et leur permet de comprendre ce qui subsiste et ce qui
disparaît dans les ordres donnés par Dieu. Le secret de cette possibilité se
tient dans l’intelligence que Dieu leur donne pour l’application spirituelle.
La
leçon étant donnée et révélée à ses serviteurs, Dieu suscite le réveil de
l’ancien régime autocrate. Partout sur la terre, se lèvent des dictateurs
assoiffés de pouvoir et d’autorité. Le temps du règne des démocraties prend fin
sous nos yeux. L’avenir proche conduira à l’affrontement d’immenses blocs
composés de nations partenaires unies pour faire la force.
Le
mot perversion signifie bien ce qu’il dit : perdre la version normale. Et
l’humanité a bel et bien perdu de vue la normalité de la possibilité du vivre
ensemble qui disparaît progressivement dans l’échelle, famille, ville, région,
nation, et bloc de nations unies. Les démocraties découvrent et subissent
aujourd’hui les conséquences du regroupement de multiples ethnies aux cultures
et cultes religieux très différents et totalement incompatibles les unes avec
les autres. Il ne suffit pas de vouloir, faut-il encore pouvoir, obtenir ce que
l’on souhaite. Et entièrement coupés de Dieu les esprits humains ont appelé
chance, richesse, ce qui vient les détruire, car après l’expérience de « Babel »,
la punition divine de son imitation est beaucoup plus grande.
La
France offre à nos esprits actuellement un bel exemple de ce qui constitue
« la perversion du jugement », titre de ce message n°10. Il faut dire
qu’elle vient de vivre pendant 80 années dans une longue paix qui pouvait faire
croire à ses élites politiques et médiatiques que le défit du vivre ensemble
humaniste était gagné. Elle se sent tellement la mère de tous ses enfants
multiethniques qu’elle les traite comme des enfants, ne voulant pas voir le
fait que l’enfant musulman est enrôlé dans l’islam sans avoir eu à approuver ce
choix. Et dès qu’il va à l’école, il rencontre les frères de sa communauté
religieuse et réalise alors avec eux, combien il est différent des enfants
naturels du pays. Sur les réseaux internet spécialisés, il découvre les
messages islamistes, ses frères coreligionnaires et ne peut qu’approuver leur
jugement porté contre les « chiens » occidentaux. Aussi, à l’âge où
il s’y décide, l’enfant accueilli et francisé devient un combattant pour
Mahomet et respectant son Coran, il reprend en son nom la lutte contre les
« infidèles » occidentaux, mais aussi, contre les « musulmans
infidèles ».
Les
intellectuels français ne devraient pas oublier que dans chaque enfant se cache
un futur adulte et « qu’aux âmes bien nées la valeur n’attend pas le
nombre des années », comme l’a dit « le Cid de Corneille ».
Il
reste encore un point qui explique le laxisme de l’action de la justice de la
France. Ceci ne concerne pas mes vraies sœurs en Christ que Jésus reconnaît et
bénit comme il bénit mon ministère à son service, mais l’entrée des femmes dans
la politique et le métier de juge et d’avocat a considérablement influencé le
changement de la forme prise par cette justice française. Les femmes ne sont
pas moins intelligentes que les hommes mais elles réagissent en mères. Or,
quand il a créé le couple humain, Dieu a donné à l’homme et la femme des rôles
différents conforme à leur aspect physique. L’homme est tout muscle et force,
physique et esprit. A l’opposé, la femme est harmonie et douceur, car elle doit
apporter à sa progéniture son amour sa tendresse et sa compassion. C’est ainsi
qu’il a conçu son rôle d’aide donné à Adam, de même que l’Eglise des élus est « l’aide »
de Jésus-Christ. Le sens prophétique spirituel donné à la femme n’a pas pour
but d’annuler le sens littéral qui la concerne charnellement, mais au
contraire, les deux formes ont une valeur perpétuelle que l’humanité devait
honorer jusqu’au retour du Christ. Or, depuis 1968, l’esprit de révolte apparu
en France a eu pour prolongement la révolte « féministe ». Les femmes
sont entrées en concurrence avec les hommes, elles ont pris une partie de leurs
emplois et de leurs professions. Et elles sont aujourd’hui majoritaires sur les
plateaux des chaînes télévisées dont la spécialité est de séduire les
téléspectateurs. Elles sont encore plus nombreuses à devenir avocates et juges.
La norme actuelle est l’unisexe, l’égalitarisme demandé par les travailleurs,
non accepté par les patrons et les PDG des sociétés anonymes, est favorisé et
encouragé, pour le droit des femmes. Ce n’est pas là, la norme que Dieu a mise
en marche au sixième jour de sa création du ciel et de la terre. C’est le fruit
final d’une société humaine entrée en rébellion totale contre le Dieu unique
qui l’a créée.
Or,
le rebelle prépare lui-même son châtiment par la perversion de son jugement.
La
valeur nationale, le privilège de bénéficier d’un endroit de la terre où nous
sommes nés, avons grandi, et vécu toutes nos expériences, est d’une immense
valeur que certains vont découvrir quand ils vont se voir retirer cet avantage.
La pensée nationaliste devrait être ressentie comme l’appartenance à une
famille qui s’est transmis un héritage de siècle en siècle. Hélas, la naissance
des USA a considérablement changé cet état d’esprit et l’humanité occidentale,
qui a combattu au prix de 60 millions de morts pour préserver ses droits sur sa
terre nationale, est devenue mondialiste et universaliste ; à l’image de
son modèle américain peuplé de gens venus de tous les pays de la terre. Les Blancs
sont arrivés en Amérique, et de plus en plus nombreuse cette immigration a
repoussé jusque dans quelques réserves les survivants des habitants à la peau
cuivrée du pays. Ce qui leur est arrivé menace tout peuple qui se laisse
envahir par l’immigration. Le processus peut prendre plus ou moins de temps
selon qu’il s’accompli dans la paix ou la violence, mais la fin est la même
dans les deux cas ; les plus nombreux finissent par dominer le pays. Après
la terre américaine, les Blancs des USA ont favorisé l’immigration juive sur
leur ancien sol national rebaptisé entre temps, la Palestine. Et là encore,
usant de la force et de plus en plus nombreux, la Palestine est redevenue
l’Israël du peuple Juif. Une minorité d’arabes musulmans a été tolérée sur son
sol. Depuis 1850, la France a colonisé l’Algérie, la Tunisie, le Maroc et des
zones de l’Afrique noire. Par des guerres ou des accords, ces colonies ont
retrouvé leur indépendance, mais dans ces peuples, la haine du colon est restée
intacte. La tension actuelle des relations entre la France et l’Algérie devenue
libre en 1962 après une longue guerre coloniale, n’est que le témoignage de
cette vieille rancœur algérienne.
C’est
alors qu’il convient de se rappeler ses paroles d’Apocalypse 13:10 qui exprime
la justice selon Dieu, celle qu’il fait accomplir : « Si
quelqu'un mène en captivité, il ira en captivité ; si quelqu'un tue par l'épée, il faut qu'il soit tué par l'épée.
C'est ici la persévérance et la foi des saints. »
Depuis
1962, la France a recueilli sur son sol, quelques familles algériennes
« harkis » qui collaboraient avec la France contre son ennemi, le FLN
algérien. Puis, d’autres familles sont venues en France pour des causes
économiques. Et un homme qui vient de mourir, Jean Marie Le Pen, quel que soit
le jugement de son caractère et de son état d’esprit, a fait preuve de bon sens
et de perspicacité, en dénonçant très tôt le danger de cette immigration
musulmane. Il a été diabolisé par tous les partis politiques français de droite
et de gauche. Mais à l’heure de sa mort, les faits viennent lui donner raison,
car l’immigration devient le sujet majeur des discussions médiatisées. Enfin,
la vérité vient s’imposer aux gens qui l’ont constamment combattu et qui se
retrouvent aujourd’hui dans l’assemblée nationale et au gouvernement exécutif.
Les jeunes gens d’aujourd’hui n’en sont pas conscients, car ils n’ont pas vécu
ces choses. Mais la situation tendue actuelle n’est que la conséquence du refus
obstiné de ces hommes politiques et médiatiques aveuglés par l’esprit humaniste
universaliste mercantile. Au fil du temps, ils ont courbé l’échine, subissant
des révoltes, des violences, des meurtres et des décapitations, et sont restés
dans la même attitude aveugle et sourde. Dès les années 65 à 70, l’immigration
est devenue la cause de la délinquance. En 1968 ou 1969, après le vol de la « Mobylette »
de mon père, à notre domicile, les bras ballants, découragé et désabusé, assis
sur une chaise, un agent de la police a déclaré à ma mère en ma présence :
« Que voulez-vous ma pauvre dame, on les arrête et ils sortent du Palais
de Justice avant nous ! »
Une
fois de plus, c’est Dieu qui a décidé du moment pour mettre le sujet de
l’immigration sur la table médiatique. Il lui a suffi pour le faire de créer la
tempête qui a dévasté l’île de Mayotte. L’attention de tous les Français a été
dirigée sur cette île où les habitants expérimentent une authentique submersion
migratoire des populations des trois îles des Comores restées indépendantes.
C’est en étant confrontés à ce problème que l’actuel premier ministre François
Bayrou et ses ministres sont contraints de reconnaître que l’immigration est un
problème dont les conséquences peuvent devenir très grandes et très graves,
prenant la forme de la violence et la mort. Et ceci, après avoir diabolisé,
pendant des décennies, l’homme qui les mettait en garde contre le danger de
l’immigration musulmane. Et Mayotte et les autres îles des Comores étaient
toutes musulmanes. Après l’expérience douloureuse vécue avec l’Algérie, la
Tunisie et le Maroc, tous musulmans, la prise en charge de Mayotte par la
France, jusqu’à lui donner le statut de département, a été insensée et
irresponsable. La décision fut prise par des gens aveugles qui voyaient et des
sourds qui entendaient.
Cette
situation est à l’image du combat spirituel, car longtemps Dieu aura appelé les
hommes à la repentance, en vain, mais le temps vient où son châtiment s’abat
sur eux et les emporte. Comme la vengeance, le châtiment de Dieu est un plat
qui se mange froid ; car sa grande « colère », exprimée
par ses « sept derniers fléaux » d’Apocalypse 16, est réservée pour
la fin, dans l’année 2029 qui vient et qui va être marquée le vendredi 13 Avril
par le passage de l’astéroïde « Apophis », qui inquiète beaucoup de
monde. Mais déjà, pour préparer le contexte universel de cette fin, le
châtiment immédiat qui vient est celui de la « sixième trompette »
décrite dans Apocalypse 9:13 à 21 ; et dont la stratégie est présentée
dans Daniel 11:40 à 45.
Je
le rappelle, 2029 est, dans le calcul de Dieu, la 6000ème année
depuis le péché commis par Eve et Adam ; et la 2000ème année depuis
le printemps qui a précédé la mort et la résurrection de notre divin Sauveur Jésus-Christ
attendu, pour son retour divin glorieux, pour le printemps 2030.
L’immigration
est un problème moderne causé par les conséquences de la colonisation. Au temps
de l’ancien régime monarchique, les peuples défendaient bec et ongles leur
territoire. Le droit du sol ne posait aucun problème. Et l’immigrant non désiré
le payait au prix de sa vie comme c’était encore le cas dans l’Afrique tribale
et le redevient dans l’Afrique actuelle déchirée par la recherche du profit et
de l’enrichissement provoquée par l’envol des prix des « terres
rares » ; noms donnés aux minerais rares utilisés dans la
fabrication des téléphones portables et de la nouvelle technologie. C’est
ainsi, qu’après l’Ukraine et Gaza, un nouveau foyer guerrier embrase la RDC
attaquée par le Rwanda. Les pays alliés frontaliers sont prêts à s’engager pour
l’un ou l’autre camp, au point que l’Afrique entière va s’embraser dans cette
année 2025.
M11- Le jugement perpétuel et éternel
Ce
jugement perpétuel et éternel a été offert à l’homme créé à l’image de Dieu,
c'est-à-dire à Jésus-Christ, le nouvel Adam en qui Dieu retrouve son image
après le péché commis par le premier Adam.
Adam
est créé par Dieu, doté de la capacité de connaître le bien et le mal. Mais
déjà ce verbe « connaître »
que Dieu utilise ne porte pas le sens restreint de l’identification
intellectuelle que nous lui donnons dans notre culture actuelle. Ce verset de
Genèse 4:1 lui donne le sens d’une connaissance, illustrée par l’image du
partage sexuel : « Adam connut
Eve, sa femme ; elle conçut, et enfanta Caïn et elle dit: J'ai formé un homme
avec l'aide de YaHWéH. » Que veut dire Dieu par ce verbe connaître ?
Faire des deux êtres, mâle et femelle, « une seule chair »,
selon Genèse 2:24 : « C'est
pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair. »
Dieu
reprend ce verbe « connaître »
pour définir le type de relation qu’il veut obtenir entre lui et ses élus
rachetés : Jean 17:3 : « Or,
la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui
que tu as envoyé, Jésus Christ. » Et cette connaissance a pour but,
l’unité en Dieu, selon le verset 21 : « afin que tous soient un, comme
toi, Père, tu es en moi, et comme je suis en toi, afin qu'eux aussi soient un en
nous, pour que le monde croie que tu m'as envoyé ».
En
tenant ces propos, Jésus évoque la relation spirituelle qui est illimitée
contrairement à l’enveloppe charnelle du corps physique. En effet, échappant
aux lois et contraintes physiques, l’esprit de Dieu et ceux de ses créatures
peuvent se fondre l’un dans l’autre, et Dieu peut obtenir ainsi, la relation
avec ses vis-à-vis qui satisfont son besoin d’amour. Le mot
« communion » désigne également cette relation voulue par Dieu et ses
élus ; ce qui signifie « vivre en commun » dans un paisible et
doux partage. On peut ainsi mesurer la nécessité vitale, pour l’homme pécheur,
d’être réconcilié avec le Dieu créateur qui le condamne à mourir à cause de son
péché originel hérité et ses péchés personnels. La mort expiatoire de Dieu en
Jésus-Christ a accompli ce miracle et la grâce a rendu possible, cette
connaissance de Dieu ou « communion » avec et dans son Esprit saint.
Nous
lisons dans Genèse 3 :22 : « YaHWéH
Dieu dit : Voici, l'homme est devenu comme
l'un de nous, pour la
connaissance du bien et du mal. Empêchons-le maintenant d'avancer sa main,
de prendre de l'arbre de vie, d'en manger, et de vivre éternellement. »
Dieu
ne dit pas « comme nous » mais « comme l’un de nous ».
Par cette subtile différence, Dieu désigne l’ange rebelle devenu pour Dieu
« Satan » l’adversaire et
« le diable » soit,
l’ennemi. Cette désignation du diable, et de lui seul, cible le moment où le
diable a commencé à attirer vers lui d’autres anges prêts à le suivre dans sa
rébellion. Car l’expression « connaître le mal » signifie :
avoir commis le péché en désobéissant à Dieu. Sur la terre, les parents ont été,
dans tous les temps, les mieux placés pour apprécier l’obéissance de leurs
enfants ou pour souffrir de leur désobéissance. Ils sont ainsi les mieux formés
pour comprendre ce que ressent Dieu, qui apprécie ou subit l’un ou l’autre de
ces deux témoignages opposés de la part de toutes ses créatures.
Sans
que le mot jugement soit prononcé, le récit de Genèse 2, établit les bases du
jugement divin et du jugement humain. Nous lisons au verset 9 : « YaHWéH Dieu fit pousser du sol des arbres de
toute espèce, agréables à voir et bons à manger, et l'arbre de la vie au milieu du jardin, et l'arbre de la connaissance du bien et du mal. » Ces deux
arbres aux natures opposées imagent la loi divine imposée à l’homme. Ensuite
Dieu donne ses ordres au verset 16 et 17 : « YaHWéH Dieu donna cet ordre à l'homme : Tu pourras manger de tous les
arbres du jardin ; mais tu ne mangeras
pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu
en mangeras, tu mourras. » L’ordre de Dieu est entendu et reçu par
Adam et Eve. Mais dépendante de sa formation depuis Adam, Eve va céder à la
tentation plus facilement que son mari Adam. Après sa création, Eve a été
prévenue par Adam, mais ce n’était pas Dieu qui lui parlait, mais l’homme mâle,
son vis-à-vis semblable à elle. Au cours de l’histoire, cette différence va
constamment se renouveler et expliquer pourquoi, le serviteur qui parle au nom
de Dieu est reçu avec beaucoup de doute ou carrément rejeté par ses partenaires
humains. Les inspirations divines directes ou les visions où Dieu parle
directement à ses serviteurs ont sur l’esprit de ces derniers, un effet de
conviction durable, et très solide. Il en est de même si la vision est
diabolique.
Dans
son choix d’imiter Eve pour partager son sort pécheur, Adam se rend encore, par
amour, plus coupable que son épouse ; précisément, parce qu’il agit en
pleine connaissance des conséquences que son choix va avoir pour lui. Mais
paradoxalement, dans ce choix, il sublime le plan du salut divin en anticipant
l’esprit de sacrifice que Dieu démontrera par son incarnation en Jésus-Christ.
Notons-le,
dans le jardin de Dieu tout est permis, excepté l’unique « arbre
de la connaissance du bien et du mal ». Dans cette définition
« bien et mal », Dieu cible l’expérience de Satan, créé
parfait, l’ange « Astre brillant,
fils de l'aurore l’Etoile du matin » selon Esaïe 14:12 :
« Te voilà tombé du ciel, Astre
brillant, fils de l'aurore l’Etoile du matin ! Tu es abattu à terre, toi,
le vainqueur des nations ! » Il est devenu après sa rébellion soit,
son expérimentation du mal, Satan et le diable. Et en le suivant, en premier,
des anges célestes sont devenus avant les hommes des images vivantes « du
bien et du mal ».
Il
est donc important de bien comprendre que le mal n’a pas été expérimenté par
Dieu, ni par Jésus-Christ, ni par aucun des anges restés fidèles à Dieu ;
et que ce « mal » est imputé uniquement à ceux qui pèchent contre
Dieu, volontairement ou pas, car les conséquences pour Dieu et le coupable sont
les mêmes. L’acte du péché volontaire ne fait qu’intensifier la culpabilité.
Les
notions « bien et mal » justifient ou culpabilisent les êtres
humains dès l’âge de 12 ans où ils entrent dans l’âge adulte et deviennent
responsables de leurs actions. Concernant Jésus-Christ, Esaïe 7:15
prophétise : « Il mangera de la
crème et du miel, jusqu'à ce qu'il sache rejeter
le mal et choisir le bien. » Et Luc 2:42 rapporte ce
témoignage : « Lorsqu'il fut
âgé de douze ans, ils y montèrent, selon la coutume de la fête. » Luc
dit ensuite aux versets 45 à 50 : « Mais, ne l'ayant pas trouvé, ils retournèrent à Jérusalem pour le
chercher. Au bout de trois jours, ils le trouvèrent dans le temple, assis au
milieu des docteurs, les écoutant et les interrogeant. Tous ceux qui l'entendaient étaient frappés
de son intelligence et de ses réponses. Quand ses parents le virent, ils
furent saisis d'étonnement, et sa mère lui dit: Mon enfant, pourquoi as-tu agi
de la sorte avec nous ? Voici, ton père
et moi, nous te cherchions avec angoisse. Il leur dit : Pourquoi me
cherchiez-vous ? Ne saviez-vous pas qu'il faut que je m'occupe des affaires de mon Père ? Mais ils ne comprirent
pas ce qu'il leur disait. » A ce moment, où il devenait adulte, Jésus
rappela à ses parents terrestres sa nature céleste, mais « ils ne comprirent pas » son message
spirituel.
Comme
les hommes ordinaires, Jésus a pu marquer son « rejet du mal » en
témoignant de son souci de servir son Père céleste, dès l’âge de douze ans. Son
modèle révèle ce que Dieu attend de tous ses élus qui, selon les paroles de
Jésus, « naissent de nouveau »,
ce qui signifie renaître d’en haut. Car Dieu ne se fait aucune fausse illusion,
connaissant dès le commencement de sa création les noms de tous ses futurs élus
rachetés par le sang versé par Jésus-Christ. Dans Jean 8:23, Jésus parle aux
Juifs : « Et il leur dit: Vous êtes d'en bas ; moi, je suis d'en haut. Vous êtes
de ce monde ; moi, je ne suis pas de ce monde. » Dans Jean 3, son
échange avec l’ancien nommé Nicodème est d’une grande clarté, car Jésus le
rencontre en secret et il connaît son désir de comprendre. Sans aller jusqu’à
lui annoncer sa mort, il compare son expérience salutaire expiatoire « au serpent élevé par Moïse dans le désert »
au verset 14, mais dès le verset 13, il dit : « Personne n'est monté au ciel, si ce n'est celui qui est descendu du ciel, le Fils de l'homme qui est dans le
ciel. Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut de même que le
Fils de l'homme soit élevé, afin que quiconque croit en lui ait la vie
éternelle. Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin
que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. »
Dans
Daniel 8:11, l’Esprit prophétise au sujet du « perpétuel » qui désigne le sacerdoce « perpétuel » de Dieu en Jésus-Christ
(Hébreux 7:24). Or le terme « perpétuel »
couvre tout le temps donné à la création terrestre soit, les 6000 années que
Dieu a programmé pour sélectionner ses élus rachetés par le sang versé par le
Messie prophétisé. Avant la nouvelle alliance inaugurée par le sang de
Jésus-Christ, dans l’ancienne alliance, Jésus existait sous l’aspect du
personnage nommé Micaël qui se présente à Daniel dans Daniel 10:13 et 21 ;
12:1. Micaël signifie : qui est comme Dieu. Micaël n’est pas pour les
anges le « Fils de Dieu », il est l’image angélique sous laquelle
Dieu leur apparaît. C’est par sa naissance dans l’humanité que Jésus devient le
« Fils unique de Dieu ». Par nature toutes ses créatures anges et
humaines sont ses enfants parce qu’il est leur Créateur, donc leur Père. C’est
pourquoi, dans Jean 3:13, Jésus donne à Nicodème une révélation qui fait de
lui, le Dieu créateur incarné : « Personne
n'est monté au ciel, si ce n'est celui
qui est descendu du ciel, le Fils de l'homme qui est dans le ciel. »
Jésus ne nie pas les expériences vécues par le vieil Hénoc, Moïse et
Elie, mais il place sa montée au ciel au-dessus de leurs expériences,
parce que lui seul est « descendu du ciel » pour obtenir
leur salut et leur possibilité de monter vivants au ciel, ce qui concerna Hénoc
et Elie.
C’est
donc sa nature divine cachée parfaite et sans péché qui fait de Jésus-Christ,
l’homme divino-humain, l’âme parfaite digne de pouvoir racheter les élus
terrestres en s’offrant en sacrifice volontaire à la mort, étant porteuse de
leurs péchés, pour les expier pour eux à leur place. Et dans Jean 3:16, Dieu
résume sublimement sa rédemption des élus pécheurs, disant : « Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné
son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il
ait la vie éternelle. » Et c’est à ce « Fils unique » nommé
Jésus de Nazareth que le Dieu Esprit a « remis tout jugement »
selon Jean 5:22-23-24 : « Le
Père ne juge personne, mais il a remis
tout jugement au Fils, afin que tous honorent le Fils comme ils honorent le
Père. Celui qui n'honore pas le Fils n'honore pas le Père qui l'a envoyé. En
vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à
celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il
est passé de la mort à la vie. ». Jésus est venu pour sauver le monde selon
Jean 12:47 : « Si quelqu'un
entend mes paroles et ne les garde point, ce n'est pas moi qui le juge ; car je
suis venu non pour juger le monde, mais pour sauver le monde. » Son
jugement est différé, repoussé au temps de sa résurrection. Car c’est seulement
à partir de ce moment où la valeur de son rachat des péchés des élus a été
authentifiée dans le ciel par l’Esprit et ses saints anges, que Jésus est entré
dans sa fonction de Juge unique.
Mais
déjà, avant sa mort, Jésus annonce les bases de son futur jugement et il dit
dans Marc 16:16 : « Celui qui
croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera
condamné.
Ce
verset pose la base du salut chrétien mais il est mal compris, car dans ces
mots, le verbe « croire » est
souvent incompris et mal interprété. Parce que les hommes charnels lui donnent
uniquement le sens charnel littéral de reconnaître une réalité concernant, un
fait ou une personne. Et pour sa part, Jésus juge la croyance sur les œuvres
qu’elle provoque chez ses créatures. Sa conception donnée au verbe
« croire » implique donc beaucoup plus que ce que les humains
charnels lui attribuent. L’incompréhension humaine est la conséquence de
l’esprit limité des êtres humains, car à l’inverse celui de Dieu est illimité
et très exigeant ; il ne se satisfait pas de ce qui est imparfait et
inachevé. Dans ses reproches à ses contemporains juifs, Jésus cite cet
exemple de Matthieu 23:25 à 28 : « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Parce que vous
nettoyez le dehors de la coupe et du plat, et qu'au dedans ils sont pleins de
rapine et d'intempérance. Pharisien aveugle ! Nettoie premièrement l'intérieur
de la coupe et du plat, afin que l'extérieur aussi devienne net. Malheur à
vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Parce que vous ressemblez à des sépulcres
blanchis, qui paraissent beaux au dehors, et qui, au dedans, sont pleins
d'ossements de morts et de toute espèce d'impuretés. Vous de même, au dehors,
vous paraissez justes aux hommes, mais, au dedans, vous êtes pleins
d'hypocrisie et d'iniquité. »
Le
reproches que Jésus présente dans ces versets ont une valeur perpétuelle, car
ils condamnent aujourd’hui tous les Chrétiens qu’il ne reconnaît pas pour ses
élus rachetés ; précisément, parce qu’ils reproduisent les fautes commises
par les Juifs hypocrites avant eux. Leur suffisance les condamne car ils ne se
soucient pas de plaire à Dieu en étudiant dans la sainte Bible, ce qu’il aime,
approuve et ce qui le réjouit. Le Croyant hypocrite privilégie ses propres
préférences à l’image de ce que fit naturellement Caïn qui ne comprit pas
pourquoi son offrande fut dédaignée par Dieu, alors que celle d’Abel fut
agréée. Au jour du jugement, et dans leur vie actuelle, les croyants hypocrites
ne comprennent pas plus que Caïn que leur service offert à Dieu est ignoré et
méprisé par lui.
Les
œuvres humaines sont produites par des caractères humains différents et ses
œuvres produites reproduisent ces différences.
A
l’extérieur du plat, l’homme voit un engagement religieux trompeur qui
n’échappe pas au Dieu Esprit qui sonde sa créature. Et cet intérieur du plat,
est nourri d’égoïsme, de satisfaction de soi, d’orgueil et d’ambition
personnelle. Et en réalité, le péché commis dans ce cas est double car Dieu
condamne un caractère indigne de lui mais aussi une revendication
d’appartenance à sa personne qui le déshonore. La vie des gens faussement
religieux ressemble à l’aspect tranquille d’une grande mer ou un océan. Mais
que se passe t-il dans les profondeurs ? Des luttes incessantes et un
grand tumulte où les plus petits passent leur temps à chercher un abri pour
échapper aux dents des plus gros. Telle est l’image que Dieu donne aux êtres
humains qui soutiennent et servent « la bête qui monte de la mer »
soit, la première forme historique du christianisme persécuteur diabolique dans
Apocalypse 13:1. Ecrasée dans le sang par « la bête qui monte de l’abîme »
dans Apocalypse 11:7, cet organisme catholique romain a perdu son soutien monarchique
décapité en 1793. Une paix religieuse en a résulté, favorable à l’étude et
l’avancée de la lumière divine dans son reste élu, mais aussi, hélas,
profitable à l’esprit incrédule né dans la Révolution française. Et la religion
protestante a été la grande bénéficiaire de cette évolution des faits. Ainsi,
le monde occidental s’est scindé en deux parties concurrentes, les USA
protestants et l’Europe influencée par la France des libres-penseurs athées
mangeurs de curés et ennemis de toute idée religieuse.
Jésus
ne pouvait alors porter son attention que sur ces USA composés de protestants
infidèles, hypocrites, dans leur immense majorité. Et c’est ce qu’il a fait en
soumettant ses habitants à ses deux épreuves de foi prophétiques successives du
printemps 1843 et du 22 Octobre 1844. L’imperfection et l’apostasie doctrinale
étaient généralisée, et pour identifier légalement ses vrais élus, Jésus devait
les conduire à se distinguer par l’intérêt sincère qu’ils donnent à sa révélation
biblique ; et dans cette sainte Bible, plus particulièrement à ses
messages prophétiques suggérant le temps de sa venue pour son grand retour
glorieux final. Car dès son départ au ciel, des anges présents avaient
dit dans Actes 1:11 : « Hommes
Galiléens, pourquoi vous arrêtez-vous à regarder au ciel? Ce Jésus, qui a été
enlevé au ciel du milieu de vous, viendra de la même manière que vous l'avez vu
allant au ciel. » Jésus avait lui-aussi beaucoup insisté sur son
retour, disant dans Jean 14:2 à 6 : « Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n'était
pas, je vous l'aurais dit. Je vais vous
préparer une place. Et, lorsque je m'en serai allé, et que je vous aurai
préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là
où je suis vous y soyez aussi. Vous savez où je vais, et vous en savez le
chemin. Thomas lui dit : Seigneur, nous ne savons où tu vas ; comment
pouvons-nous en savoir le chemin ? Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que
par moi. » La question que pose Thomas révèle la nature encore très
charnelle des apôtres choisis par Jésus et son comportement fut normal car
l’humanité juive était autant charnelle que le reste des êtres humains. Ce
n’est qu’après sa résurrection que Jésus a expliqué à ses apôtres, pourquoi il
devait mourir et ressusciter.
Dans
sa réponse donnée à Thomas, Jésus se présente comme étant « le
chemin, la vérité et la vie ». Il ne se présente pas comme
« le marcheur » mais « le chemin » sur lequel ses élus
doivent avancer vers la vie éternelle, en honorant la vérité divine qui est
exprimée par ses lois et toutes ses valeurs.
Une
grande incompréhension de ce message explique la désobéissance des faux
chrétiens. Car ce verset est interprété comme concernant uniquement Jésus
lui-même, comme si Jésus affirmait qu’il était sauvé lui-même par les
perfections de ses œuvres. Or, Jésus n’est pas venu pour se sauver lui-même
mais « pour sauver le monde », dans la mesure où son offre est
proposée au monde entier, à tous les peuples, les langues, les nations, les
royaumes et les tribus.
Or,
Jésus n’est pas que le parfait modèle que nous devons imiter, il est aussi le
grand Juge souverain suprême qui juge les juges de la terre eux-mêmes. Et ce
que beaucoup oublient dans leur engagement religieux, c’est qu’au titre de juge
suprême, c’est lui et lui seul qui évalue et teste la valeur de l’engagement
religieux de tous ceux qui se réclament de son salut ou de son nom. Cette
perspective expose donc ceux qui lui font du tort et le déshonorent à sa
vengeance et sa colère. Il est donc dans l’intérêt de l’homme d’apprendre à
connaître les volontés divines, les vraies, et d’acquérir par l’étude de la
sainte Bible, un jugement exercé, expérimenté, et approuvé par Dieu.
Je
passe ainsi du jugement divin au jugement humain.
Depuis
notre naissance, nous les êtres humains, nous découvrons la vie sans idée
préconçue, et notre personnalité enregistre de multiples expériences. Pour
l’homme qui ignore la révélation divine biblique, il n’y a ni bien, ni mal et
les seules notions que ses parents lui apportent sont celles qu’ils ont reçues
eux-mêmes de leurs parents. En Europe d’origine chrétienne, les valeurs
chrétiennes se sont imposées et elles dominent les esprits ; même ceux des
gens athées. Mais ces valeurs ne sont reconnues que par héritage culturel. Le
même principe s’applique à toute l’humanité actuelle, en Orient l’héritage est
bouddhiste, au Moyen-Orient, musulman, et en Afrique, un partage concurrent de
l’islam, du christianisme et du paganisme animiste.
Ce
que tous les êtres humains ont obtenus du Dieu créateur est la liberté de leur
choix et de leur décision soit, l’aptitude à juger perpétuellement les risques
encourus par leur libre choix. En regardant ses créatures terrestres et
célestes, Dieu ne voit que des petits juges qui portent les conséquences de
leur libre choix.
Quand
il a voulu se faire connaître en dehors d’Israël, Dieu a exploité sa
déportation à Babylone pour se révéler au roi Nébucadnetsar, le roi du peuple
chaldéen. Après des épreuves cuisantes, ce roi est devenu un élu zélé et
fidèle. Il a su utiliser sagement son droit de jugement personnel et s’est
humilié devant le Dieu Tout-Puissant. Ce qu’a fait ce roi puissant et
dominateur, le plus petit des hommes peut le faire avec encore plus de facilité
car sa condition le maintient dans l’humilité. C’est vrai au niveau du
principe, mais entièrement faux, au niveau de la réalité pratique. En effet,
Dieu trouve dans le cœur de certains des plus pauvres, plus d’orgueil que dans
le cœur du roi Nébucadnetsar. La norme du caractère humain échappe à toute
logique. Car c’est la forme du caractère individuel de chacun qui est
déterminante. Et la norme du caractère qui apparaît repose sur énormément de
combinaisons, de critères, hérités génétiquement ajoutés au seul hasard. Ce
hasard a en effet sa place dans la création de Dieu quand il lance un processus
successif reproductif. De multiples accouplements ont produits d’innombrables
formes génétiques et il faut ajouter à ces critères, le hasard du lieu de la
naissance de chacun et chacune. Mais Dieu se donne le droit souverain
d’intervenir dans ce hasard pour favoriser l’accomplissement de son projet
programmé pour l’humanité. Il est vrai que naître dans un pays musulman réduit
considérablement les chances de s’engager sur le chemin tracé par Jésus-Christ.
Il en est de même pour ces multitudes de gens nés dans le bouddhisme. Mais Dieu
s’est exprimé à se sujet en disant dans Romains 9:18 à 22 par l’apôtre
Paul : « Ainsi, il fait miséricorde
à qui il veut, et il endurcit qui il veut. Tu me diras : Pourquoi blâme-t-il
encore ? Car qui est-ce qui résiste à sa volonté ? O homme, toi plutôt, qui
es-tu pour contester avec Dieu ? Le vase d'argile dira-t-il à celui qui l'a
formé : Pourquoi m'as-tu fait ainsi ? Le potier n'est-il pas maître de
l'argile, pour faire avec la même masse un vase d'honneur et un vase d'un usage
vil ? Et que dire, si Dieu, voulant montrer sa colère et faire connaître sa
puissance, a supporté avec une grande patience des vases de colère formés pour
la perdition, et s'il a voulu faire connaître la richesse de sa gloire envers
des vases de miséricorde qu'il a d'avance préparés pour la gloire ? »
Ai-je
à justifier, personnellement, pourquoi je suis né en France dans une famille
chrétienne engagée ? Non bien sûr, j’en suis incapable, ce qui ne
m’empêche pas de reconnaître une faveur qui profite aujourd’hui à Dieu que je
sers et suis heureux de servir. Mais autour de moi des multitudes de gens ont
bénéficié des mêmes avantages et ne se sont pas pour autant mis à l’écoute
attentive de Dieu et de sa vérité révélée. Son choix de me bénir, n’est-il pas
ainsi justifié ? Notre droit individuel de juger décide donc de notre
avenir éternel et Dieu n’a placé devant nous que deux chemins, selon
Deutéronome 30:19-20 : « J'en
prends aujourd'hui à témoin contre vous le ciel et la terre : j'ai mis devant toi la vie et la mort, la
bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et
ta postérité, pour aimer YaHWéH, ton Dieu, pour obéir à sa voix, et pour
t'attacher à lui : car de cela
dépendent ta vie et la prolongation de tes jours, et c'est ainsi que tu
pourras demeurer dans le pays que YaHWéH a juré de donner à tes pères, Abraham,
Isaac et Jacob. »
Au
début de la création, « la vie et la mort » était
rattachées à deux arbres : « l’arbre de la vie » et l’arbre
de la mort dit « de la connaissance du bien et du mal ».
Aujourd’hui et depuis le printemps 1843 jusqu’au retour de Jésus-Christ, la vie
et la mort sont rattachées à deux jours marquant le repos hebdomadaire de
l’être humain : le jour de la vie
soit, le repos du sabbat du septième jour sanctifié par Dieu depuis sa création
de la dimension terrestre ; le jour
de la mort soit, le repos du premier jour, l’ex « jour du
soleil » rebaptisé dimanche par la religion catholique papale
romaine ; mais aussi, de manière plus évidente, le repos du sixième jour
pratiqué dans l’islam par les Musulmans.
Entre
ces deux époques séparées par 4000 ans ou presque, en l’an 30, par sa mort
expiatoire, l’arbre de vie a pris l’aspect de Jésus-Christ et l’arbre de mort
dit « arbre de la connaissance du bien et du mal » a pris l’aspect de
la Thora juive utilisé par Satan pour rejeter le vrai Messie envoyé par Dieu,
Jésus-Christ dit Jésus de Nazareth ; en apparence, un Juif parmi tant
d’autres. C’est ainsi qu’à la foi s’est opposée la loi enseignée par Dieu mais
totalement incomprise par les chefs, les dirigeants et le clergé religieux
juif.
Le
plus étonnant pour nous tes serviteurs, O Dieu suprême, est de découvrir que
les Chrétiens infidèles ont, à leur tour, fait un mauvais usage des saintes
Ecritures, mal traduites pour justifier le péché humain selon Apocalypse
9:11 : « Elles avaient sur
elles comme roi l'ange de l'abîme, nommé en hébreu Abaddon, et en grec
Apollyon. » Ce verset dénonce
l’usage destructeur de la sainte Bible, écrite originellement « en hébreu et en grec » comme ces
deux noms « Abaddon, Appollyon »
qui signifient : Destructeur. L’action est imputée aux Chrétiens
protestants infidèles héritiers de la Réforme qui a suscité les « Guerres
de Religions » entre les Catholiques et les Protestants entre le XIIème
et le XVIIIème siècle. Et l’ange de l’abîme qui domine sur eux est
Satan le diable qui sera condamné à vivre isolé pendant « mille ans » sans ses anges
démoniaques, sur la terre désolée, privée de tous ses habitants humains et ses
animaux ; ce qui lui redonne sa caractéristique nommée « abîme » de Genèse 1:2 :
« La terre était informe et vide: il
y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'esprit de Dieu se mouvait
au-dessus des eaux. »
Nous
lisons dans Apocalypse 20:1 à 3 : « Puis je vis descendre du ciel un ange, qui avait la clef de l'abîme et
une grande chaîne dans sa main. Il saisit le dragon, le serpent ancien, qui est
le diable et Satan, et il le lia pour mille ans. Il le jeta dans l'abîme, ferma
et scella l'entrée au-dessus de lui, afin qu'il ne séduisît plus les nations,
jusqu'à ce que les mille ans fussent accomplis. Après cela, il faut qu'il soit
délié pour un peu de temps. » Verset 7-8 : « Quand les mille ans seront accomplis, Satan
sera relâché de sa prison. Et il sortira pour séduire les nations qui sont
aux quatre coins de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour la
guerre; leur nombre est comme le sable de la mer. » Les « nations »
citées sont les coupables anges et humains ressuscités pour le jugement dernier,
afin de subir le châtiment de la « seconde mort ». Verset 9-10 :
« Et ils montèrent sur la surface de
la terre, et ils investirent le camp des saints et la ville bien-aimée. Mais un
feu descendit du ciel, et les dévora. Et le diable, qui les séduisait, fut jeté
dans l'étang de feu et de soufre, où sont la bête et le faux prophète. Et ils
seront tourmentés jour et nuit, aux siècles des siècles. » Verset
14-15 : « Et la mort et le
séjour des morts furent jetés dans l'étang de feu. C'est la seconde mort,
l'étang de feu. Quiconque ne fut pas trouvé écrit dans le livre de vie fut jeté
dans l'étang de feu. »
Ces
versets prophétisent le sort réservé par Dieu aux Juifs et Chrétiens infidèles
et rebelles, soit le sort des gens qui se perdent eux-mêmes par leur jugement
erroné. Qui peut dire que le droit individuel de juger a peu de valeur ?
Au jour du jugement dernier, ces rebelles seront ressuscités par Dieu afin
qu’ils voient de leurs yeux, la gloire héritée par les élus rachetés selon
Apocalypse 20 :4 : « Et je
vis des trônes; et à ceux qui s'y assirent fut donné le pouvoir de juger. Et je
vis les âmes de ceux qui avaient été décapités à cause du témoignage de Jésus
et à cause de la parole de Dieu, et de ceux qui n'avaient pas adoré la bête ni
son image, et qui n'avaient pas reçu la marque sur leur front et sur leur main.
Ils revinrent à la vie, et ils régnèrent avec Christ pendant mille ans. »
La première phrase du verset 5 est une précision mise entre parenthèse qui
prophétise une seconde résurrection ; celle des rebelles : « Les autres morts ne revinrent point à la vie
jusqu'à ce que les mille ans fussent accomplis. … » La suite du verset
5 doit être placée au début du verset 6 : « C'est la première résurrection. Heureux et saints ceux qui ont part à
la première résurrection ! La seconde mort n'a point de pouvoir sur eux ; mais
ils seront sacrificateurs de Dieu et de Christ, et ils régneront avec lui
pendant mille ans. »
Voilà
donc où conduisent les deux chemins présentés par Dieu devant les libres choix
humains.
Apocalypse
20 vient éclairer le rôle donné dans la tradition catholique aux enfers. Il est
donc déterminant de donner au mot « abîme » le nom de la terre privée d’habitants qu’elle
ne retrouve que pour le jugement dernier. Et « l’étang de feu et de soufre » n’est pas sans lien avec l’enfer
de la religion grecque dont le gardien est nommé Vulcain. Le feu souterrain
craché par les volcans qui entrent en éruption, particulièrement pour marquer
les grands moments du péché terrestre, comme en 535 et 536, finit par tenir le
rôle principal pour la purification complète de la surface de la terre souillée
par l’humanité.
M12- La crise mondiale du capitalisme
Le
sujet que j’aborde là, concerne l’économie, et ce thème civil et profane
nécessite une bonne intelligence que Dieu offre seulement à ses vrais enfants.
Car l’économie prend un intérêt spirituel quand Dieu l’utilise pour affaiblir
ses ennemis. Et je le rappelle, c’est en Dieu que se trouve l’explication à
tout ce qui s’accomplit sous le soleil et la lune soit, de jour et de nuit.
Il
y a deux types d’économie : la bonne et la mauvaise.
La
bonne consiste à retenir autant que possible à l’intérieur d’une nation, les
profits obtenus par le travail des entreprises locales. Pour ce faire,
l’investisseur actionnaire doit être citoyen du pays où se trouve son
entreprise. Cette condition a prévalu jusqu’en 1969, année de la fin du mandat
du général de Gaulle.
La
mauvaise économie lui a succédé après 1969 à cause de l’idéologie européiste.
La mauvaise économie est exactement l’inverse de la bonne. Elle consiste à ne
pas retenir le profit du travail local en le donnant à des investisseurs
étrangers. De ce fait, le pays survit mais ne s’enrichit plus. Et c’est la
cause de l’endettement abyssal de la France actuelle livrée aux décisions du
président Macron, l’ex-banquier de la Banque Rothschild. Face au chômage, le
président invite des étrangers à investir leurs capitaux pour créer des emplois
en France. De la sorte, il obtient bien des emplois, mais pas l’enrichissement
de son pays français, car le travail fourni ne fera qu’enrichir le pays de
l’investisseur. Et cédant à la proposition des prêts des fonds de pensions
américains, la France s’est laissée séduire et piégée par les USA qui font
ainsi financer les retraites de leurs travailleurs par les intérêts à taux
d’usure payés par les travailleurs français.
1843
est la date de la grande lumière divine qui permet de comprendre le jugement
que Dieu porte sur l’évolution de la religion chrétienne. Et dès cette date,
Dieu a organisé ses attaques successives portées contre l’Europe infidèle des
« dix cornes ». En 1870, une grande guerre européenne provoque la
chute du régime impérial de Napoléon III. C’est alors le temps des grandes
colonisations qui sont à l’origine de l’enrichissement des colonisateurs
européens et qui donnent naissance au capitalisme dont la base est la City à
Londres, en Angleterre, le pays le plus colonisateur de toute l’histoire
humaine. En 1914, la première Guerre Mondiale a encore pour centre l’Europe et
plus précisément la zone de la frontière qui sépare la France de l’Allemagne.
En 1939, l’Allemagne nazie se lance dans une conquête vengeresse et début 1945,
elle est vaincue par les alliés occidentaux. Après avoir été vaincus et occupés
par l’Allemagne, les pays européens subissent la décolonisation exigée par les
pays occupés et conquis. Le capitalisme doit sa puissance à ce temps de
colonisation, c’est pourquoi, après la décolonisation sa survie n’a reposé que
sur le choix de l’investissement qui s’est porté sur le Japon et l’Allemagne,
les deux pays vaincus par les alliés occidentaux.
L’Europe
s’est trouvée confrontée à une submersion de produits construits par le Japon,
dans des usines crées par les fonds américains.
Une
deuxième attaque est venue de l’Angleterre, pays de redistribution des produits
fabriqués à Hong-Kong, leur dernière zone coloniale jusqu’en 1997.
En
1957, la composition originelle de l’Europe du marché commun concernait six
pays sans l’Angleterre. Mais, en acceptant son entrée dans l’Union en 1973, les
Européens ont fait entrer dans leur communauté, un authentique « cheval de
Troie » qui, par ses dérogations particulières, ne faisait que siphonner
les capitaux européens. Ses exportations des productions d’Hong-Kong ont noyé
l’Europe dont les habitants se sont rués sur ces offres au prix
exceptionnellement bas. Ce faisant, ils détruisaient leurs entreprises locales
et leurs propres emplois.
En
1974, Dieu frappe encore l’Europe, en donnant la gestion du pétrole et du gaz
aux pays arabes propriétaires des gisements. Une hausse de 40 % brutale plombe
l’économie européenne. Pour la première fois de son histoire, la France
s’endette.
En
1976, à la ruine précédente, Dieu ajoute la charge des travailleurs immigrés
musulmans et de leurs familles autorisées à s’installer en France par la loi du
regroupement familial.
Le
commerce aérien subit les attaques des pirates palestiniens de l’OLP.
En
1995, aux choses précédentes, Dieu ajoute le terrorisme islamiste du GIA, puis
en 2001 aux USA, les tours du World Trade Center sont détruites par les pirates
du groupe Al-Qaïda.
A
son tour dans les années 2010, le groupe DAESH terrorise les Occidentaux par
ses décapitations collectives filmées et présentées sur les réseaux sociaux
d’internet.
Au
début de 2020, Dieu confronte l’humanité entière au virus Covid-19 répandu à
partir d’un laboratoire français installé en Chine RPC. Après Israël et
l’Italie, la France est « confinée », son économie est bloquée
pendant deux années.
En
2022, Dieu allume un feu en Europe de l’Est entre l’Ukraine et la Russie. Les
USA de Joe Biden et les Européens aident financièrement et par dons d’armes le
camp ukrainien. Pour la deuxième fois, le renoncement au gaz russe, pour cause
de sanction, vient renchérir son prix et enrichir les pays fournisseurs :
les USA et la Norvège.
En
2023, le 7 Octobre, les Palestiniens du groupe Hamas lancent un raid meurtrier
contre le Sud d’Israël.
Ainsi,
est résumée, l’évolution des faits qui ont construit notre ruine actuelle.
Cette
crise du capitalisme se produit à cause des excès du capitalisme mondial. En
son temps, une crise avait eu raison de l’idéologie purement communiste de
l’URSS. Son échec militaire dans la guerre en Afghanistan lui a été fatal. Et
il n’est pas inutile de retenir que cet échec fut déjà causé par le soutien
militaire américain donné aux Afghans. Les lanceurs individuels de missiles
américains portés sur l’épaule ont détruit avec facilité les chars et les
hélicoptères russes. La Russie ne s’imposait plus et dut, humiliée, se retirer
de l’Afghanistan. En réaction en chaîne, le régime russe entier s’est écroulé
et Mr Gorbatchev a ouvert la Russie à la culture occidentale. Le capitalisme
est entré dans les esprits des oligarques du régime et la Russie est devenue un
enfer pour les pauvres, menacés par les armes des tueurs des riches. Après le
président Eltsine, alcoolique notoire, Mr Patrouchev, chef du FSB, a placé la
Russie sous l’autorité de Vladimir Poutine, lequel a obtenu la soumission des
oligarques enrichis par les biens communs de l’état dont ils s’étaient emparés.
La
situation mondiale était nouvelle, le capitalisme triomphait, le communisme
russe ayant disparu. Mais le capitalisme est comme le cancer, insatiable. Dans
son succès mondial, le capitalisme américain a fait entrer la Chine dans le
commerce mondial, l’OMC. L’extrême bassesse du niveau de vie chinois a dès lors
offert à la cupidité des investisseurs une main d’œuvre d’esclaves dociles et
actifs. Les profits retirés ont alors atteint des niveaux jamais atteints. Et
dans le même temps, l’Amérique enchaînait les nations européennes en leur
faisant adopter son réseau de communication internet qui favorisait la
possibilité pour toute personne ayant l’accès au réseau de devenir un agent de
bourse individuel et particulier. Les dirigeants des nations séduites n’ont pas
réalisé les conséquences de ce nouvel outil qui a complètement renversé les
équilibres internes maintenus jusque là dans les nations occidentales. De plus
en plus nombreux et dispersés parmi les nations riches, les investisseurs sont
devenus les vrais propriétaires des entreprises appelées « société anonyme »,
comme aux USA et en Allemagne. Les entreprises patronales du vieux système ont
été rachetées et transformées en sociétés anonymes entièrement dépendantes des
actionnaires investisseurs. De ce fait, ces actionnaires étrangers ou locaux
pouvaient se retirer à tout moment pour rediriger leur investissement, aussi la
situation des entreprises et de leurs employés est devenue précaire, instable
et souvent cause de faillites tragiques.
Faut-il
que Dieu ait aveuglé les dirigeants politiques et les économistes pour qu’ils
ne prévoient pas les conséquences désastreuses de la nouvelle situation établie
et renforcée de jour en jour. Je décris cette situation : la nation vit de
l’argent produit par ses entreprises et ses commerces. Au minimum, ces
activités permettent la vie interne et les dépenses sont couvertes. Hélas, ceci
était l’ancien système, car dans le nouveau, l’argent produit par le travail de
plus en plus rare s’envole aux quatre vents des cieux vers les actionnaires
dispersés dans le monde. Les profits n’étant plus retenus dans le pays du
travail, les dirigeants ne peuvent plus couvrir les dépenses de leur nation. Et
la Chine fonctionne comme une pompe aspirante, siphonnant les activités
industrielles productrices de tous les pays riches ; USA, Europe, Japon,
Australie. Elle est devenue l’usine du monde qui équipe les besoins des humains
dispersés sur toute la terre. Et en conséquence l’argent de tous ces pays vient
l’enrichir et leur manque.
Internet
et la Chine forment ensemble l’arme qui dynamite la situation des nations
riches. Dans cette affaire, l’argent reste bien la racine de tous les maux. Les
profits exponentiels obtenus dans l’investissement en Chine et en Asie, dans
les pays pauvres longtemps sous-développés, ruinent et détruisent les anciennes
nations riches par l’action de leurs riches les plus cupides. Je ne peux
comparer cette situation qu’au cas mortel de l’extension d’une tumeur
cancéreuse. Qui aurait pensé que le commerce pouvait tuer ? Le constat est
difficile pour des gens habitués à la richesse et l’opulence construite pendant
les 80 années qui se sont écoulées depuis la fin de la Seconde Guerre
Mondiale ; un événement que nous fêtons depuis chaque année le 8 Mai
depuis le 8 Mai 1945. Cette date tourmente mon esprit et je ne serai pas étonné
si la Troisième Guerre Mondiale éclatait en cette année 2025 après cette date
du 8 Mai. J’ai déjà évoqué l’intérêt de ces 80 années soit, 40 + 40. Ce chiffre
40 étant dans la Bible synonyme d’un temps d’épreuve religieuse, Dieu a doublé
ce temps pour conduire l’humanité capitaliste dans son excès suprême. Parce que
ce capitalisme insatiable dévoreur est de religion protestante qu’il dénonce et
condamne dans sa révélation de l’Apocalypse depuis 1843.
Pour
comprendre combien cette date du 8 Mai 1945 est importante, je rappelle les
choses suivantes : Le Dieu créateur qui a placé dans le ciel des astres
qui constituent l’horloge universelle du temps, fait accomplir avec une grande
précision les faits qu’il prophétise d’avance. Or, nous avons derrière nous le
témoignage du passé et déjà, ce châtiment de Jérusalem venu en l’an 70 soit, 40
ans après le Mercredi 3 Avril 30 en lequel Jésus-Christ est mort crucifié par
les Romains à la demande du clergé Juif et une partie du peuple. De plus, dès
la fin des 40 années d’épreuve de vie dans le désert d’Arabie et de l’Egypte,
les Hébreux sont entrés sur la terre de Canaan. Il n’y a donc apparemment pas
de raison pour qu’en 2025, à la fin des 80 années de paix et d’épreuve, le 8
Mai, l’entrée en Guerre Mondiale soit différée et repoussée en 2026.
Les
USA se sont enrichis constamment par les guerres qu’ils ont allumées en versant
de l’huile sur le feu ; ceci partout sur la terre, en marchands d’armes et
« marchands de la terre » selon Apocalypse 18, livrées aux
deux camps antagonistes si la chose est possible. Après la Seconde Guerre
Mondiale, ils ont asservi les nations alliées qu’ils sont venus secourir en
combattant l’envahisseur allemand et l’agresseur japonais. C’est terrible à
dire, mais les USA sont incapables d’agir pour autre raison que leur intérêt.
Ce peuple a naturellement le goût du risque et la recherche de la richesse. La
cause de leur immigration sur le sol américain est inscrite dans leurs gènes.
Et en 1944, la victoire de l’Allemagne aurait été très dommageable pour eux,
pour leurs investissements réalisés pour leurs alliés. Les convois américains
se dirigeant vers l’Angleterre, en colonne, étaient attaqués et coulés par les
sous-marins U-Boat allemands. Les intérêts financiers des USA étaient donc
compromis et concernés. L’Allemagne nazie devait donc être vaincue. Et elle l’a
été, mais pas par les USA seuls, par la Russie soviétique arrivée la première
sur Berlin, la capitale des nazis. En conséquence, l’Amérique a dû se résigner
au partage de Yalta qui s’est tenue du 4 au 11 Février 1945 et qui donnait aux
Russes la Pologne et la partie Est de l’Allemagne jusque dans Berlin. Déjà à
l’époque, le général Patton vouait une haine épaisse aux Russes et proposait de
les combattre tout de suite. Il est mort accidentellement, officiellement, et
les chefs américains n’approuvaient pas sa position. La paix s’est installée,
jusqu’au moment où la Russie sentant la menace de l’idéologie capitaliste a
élevé le mur qui l’a isolée et a favorisé l’ambiance tendue de la guerre
froide. Les deux pays ont soutenu des guerres en aidant leurs alliés sans
s’affronter directement. En 1961, dans la baie des Cochons, près de Cuba, la
confrontation des deux grands a frôlé un échange de bombes nucléaires. Mais le
chef russe, Krouchtchev, a fait marche arrière et il a renoncé à installer ses
rampes de fusée sur le sol de Cuba dirigée par Fidel Castro.
Cette
reculade des Russes en 1962 devait être suivie par l’échec de leur guerre en
Afghanistan entre 1979 et 1989 qui a provoqué la chute du régime soviétique.
Après
ces oppositions, le capitalisme s’est imposé partout sur la terre sauf en Corée
du Nord. La Chine l’a adopté dans un double système capitaliste pour sa
relation commerciale extérieure et communiste pour la gestion de sa population
interne. Elle a pu ainsi devenir l’usine de production mondiale que personne ne
peut concurrencer. Le capitalisme permet à un seul homme de tirer seul profit
du travail de multitudes exploitées. De ce fait, l’enrichissement possible d’un
seul homme est sans limite et ses investissements l’enrichissent toujours plus
ainsi que sa nation. Les USA présentent les écarts de niveau de vie de ses
habitants les plus élevé, atteignant aujourd’hui des sommets iniques et
dangereux. Entre le pauvre qui ne peut pas payer un loyer et le riche à
centaines de milliards de dollars, un écart abyssal se creuse. Et avec le temps
et l’extension de ces écarts, des individus milliardaires imposent leur service
et leur vision politique et économique à toutes les nations devenues clientes
de leurs services.
Depuis
l’élection de Donald Trump, l’influence des milliardaires se fait plus
pressante et plus décontractée. Ils tiennent le monde occidental entre leurs
mains, le montrent, et les dirigeants sont contraints de soumettre leur nation
à leurs exigences.
Dans
les jours actuels, le projet de Dieu prend forme et se précise : Donald
Trump se dirige vers la décision de sacrifier sur l’autel de la paix, la pauvre
Ukraine encouragée dans sa guerre contre la Russie par le président des USA
précédent, Joe Biden au nom prémonitoire. Les nouveaux « princes du
monde » selon la signification de leurs noms, Donald et Vladimir
s’entendent pour imposer à l’Ukraine les conditions exigées par les Russes. Et
ceci ressemble beaucoup à l’entente de l’Allemagne et la Russie qui se sont
partagé la Pologne avant de s’affronter dans une guerre férocement meurtrière.
Et nous savons, par Daniel 11:40, que l’histoire va se répéter bientôt, à cause
d’une opportunité que la Russie va saisir au bond dès qu’elle va se
présenter ; je parle ici de l’attaque musulmane menée contre le Sud de
l’Europe, et plus précisément l’Italie papale, cible prioritaire de la colère
divine. Comment hésiter, alors que l’Europe, qui lui a résisté en armant son ennemie
l’Ukraine, se trouve en difficulté, assaillie par des musulmans rancuniers
pleins de haine. C’est ainsi que le heurt du « roi du midi » favorise l’invasion massive du « roi du septentrion », comme Daniel
11:40 l’annonce : « Au temps de la
fin, le roi du midi se heurtera contre lui, et le roi du septentrion fondra sur
lui avec des chars, des cavaliers et de nombreux navires ».
Le
projet de Dieu concernant le châtiment des nations européennes s’accomplit.
Alors que l’Europe est occupée par les armées russes et musulmanes qui la
pillent du Nord au Sud, les bombes nucléaires des USA frappent la Russie sur
son sol, détruisant sa capitale et ses grandes villes. Cette terrible nouvelle
enflamme la colère des armées russes qui ripostent en envoyant leurs missiles nucléaires
contre les villes des USA à leur tour détruites et dévastées, en grande partie.
Et pour la troisième fois de l’histoire, les soldats américains interviennent
sur le sol dévasté de l’Europe. Paris disparaît dans le feu nucléaire ;
« du feu dans un grand cercle » comme l’a prophétisé Michel
Nostradamus. Les troupes russes vont ainsi être repoussées jusque sur la terre
d’Israël où elles seront exterminées, selon Daniel 11:45 : « Des nouvelles de l'orient et du septentrion
viendront l'effrayer, et il partira avec une grande fureur pour détruire et
exterminer des multitudes. Il dressera les tentes de son palais entre les mers,
vers la glorieuse et sainte montagne puis
il arrivera à la fin, sans que personne lui soit en aide. »
La
Russie étant détruite ainsi que ses alliés, la Chine, la Corée du Nord, l’Inde,
le Pakistan et tous les peuples idolâtres de la terre ; les survivants
vont vivre le temps des « sept
derniers fléaux de la colère de Dieu » ; ce qui laisse
penser qu’il ne reste que des vrais et des faux chrétiens. Bien affaiblie,
l’Amérique protestante sort néanmoins victorieuse contre son ennemie de
toujours, la Russie. Le désastre est si grand que la situation impose une
gouvernance universelle. Les survivants se rencontrent et s’accordent pour adopter
ce régime universel. Le diable est dans l’action et il inspire aux survivants
la haine contre le sabbat divin, il les convainc d’imposer le repos
hebdomadaire unique du dimanche, excitant la haine contre les Juifs et leur
sabbat. Cette imposition aura été instaurée sur le sol américain avant ce temps
final. Ces marchands de la terre ne peuvent que favoriser l’adoption d’un seul
jour de repos qui favorise les temps de travail et les échanges relationnels
commerciaux. Pour sa part, le diable qui les inspire donne à cette action une
autre raison. Il sait que son temps d’action s’achève et veut humilier le Dieu
créateur et son messie Jésus, le Micaël des anges célestes. L’éradication de
l’obéissance au saint sabbat de Dieu est son but. Un décret est alors promulgué
rendant le dimanche romain obligatoire sous peine d’être boycotté
économiquement par les autres survivants. Cette mesure est prophétisée dans
Apocalypse 13:17 : « … et que
personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou
le nombre de son nom. » Subissant des souffrances de plus en plus
grandes causées par les derniers fléaux de Dieu, les rebelles finissent par
décider d’exterminer les serviteurs de Dieu qui résistent et restent fidèles au
repos du sabbat : verset 15 : « Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la
bête parlât, et qu'elle fît que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la
bête fussent tués. »
Au
jour du printemps 2030, le 20 Mars, Jésus intervient pour sauver ses élus restés
fidèles comme il le fit pour Daniel et ses trois compagnons livrés à la mort
par les Chaldéens. Et comme au temps d’Esther, le sort promis aux élus du
Christ est subi par les rebelles tués par lui et « étendus sur la face de la terre comme du fumier ». Les élus
n’assistent pas au spectacle macabre, car ils sont entrés dans le royaume des
cieux avant l’hécatombe finale qui commence par le châtiment de « Babylone la grande », la ville de
Rome ensanglantée par le sang des saints, les vrais Chrétiens, dans son régime
impérial et son régime religieux papal. Toute la fausse sainteté catholique et
protestante meurt dans « la vendange », massacrée par
ses victimes qu’elle a séduites et trompées. Et les derniers survivants
s’entretuent jusqu’au dernier. « Le
dernier fléau de Dieu, le septième », tombe sur les derniers survivants
sous la forme de « pierres de grêle »
d’une taille énorme estimée à « un
talent » soit, près de 42 kg. Mais ce mot « talent » prend spirituellement son sens dans la parabole de
Jésus, sa parabole des « talents »
dans laquelle il remet à ses différents serviteurs « un talent » monnaie que les plus avisés font fructifier. Le
méchant serviteur choisit, lui, d’enterrer son « talent » pour le restituer à Jésus tel qu’il le lui a donné. La
colère de Jésus demeure sur lui et il subit son châtiment mortel confirmé par
les « pierres de grêle » du
« septième et dernier fléau de Dieu ».
Le
capitalisme idolâtre l’argent et les richesses et c’est lui qui corrompt l’esprit
des êtres humains. Cet amour de l’argent et des richesses caractérise
successivement « la mère des
prostituées Babylone la grande » et son relai protestant des « marchands de la terre ». Cette
ressemblance et le partage de la malédiction divine favorisent leur association
dans la dernière phase de l’histoire humaine terrestre où Dieu l’image sous le
nom de « la bête qui monte de la
terre » dans Apocalypse 13:11 à 18.
L’écroulement
du régime communiste soviétique a beaucoup amusé les moqueurs capitalistes
occidentaux, mais ils ne riront plus quand les conséquences de la crise du
capitalisme provoqueront la plus grande destruction guerrière de l’histoire
humaine.
La
question se pose : Le capitalisme a-t-il réellement triomphé contre le
communisme ? Officiellement oui, cependant, en l’exploitant en Chine, le
capitalisme a construit la crise qui finit par le dévorer et le détruire, comme
une proie indigeste avalée peut provoquer la mort de l’avaleur.
Notre
actualité est marquée par le désarroi des Européens qui voient Donald Trump
parler à Vladimir Poutine que la justice de la Haye veut juger comme criminel
de guerre. Perdant le soutien américain, les Européens se découvrent faibles et
vulnérables. Ils ne comprennent pas ce qui leur arrive. Le changement du
président des USA change leur situation. Celui qu’ils détestaient et
redoutaient est sorti vainqueur, et il ne partage pas l’opinion du précédent au
sujet de l’Ukraine. Je l’ai entendu dire que l’Occident avait poussé ses
conquêtes vers l’Est abusivement ; je ne garantis pas la précision des
mots, mais l’idée de sa réponse. Dans cet état d’esprit, Donald Trump ne peut
que reconnaître le tort que l’Ukraine et les Européens ont fait à la Russie ;
l’Ukraine, en premier, en renversant, en 2013, son président légitime
russophone et russophile et en demandant son rattachement à l’OTAN et à l’U.E.
Je rappelle que j’ai personnellement approuvé et partagé cette analyse,
dénonçant l’aveuglement et l’injustice du camp européen. Aussi puis-je
maintenant apprécier de voir Dieu donner à la vraie justice, la force de son
légitime droit.
Aujourd’hui,
Jeudi 12 Février 2025, se tient à
Munich, en Allemagne un rassemblement des dirigeants européens. Or, ce matin, à
Munich, à environ 300 mètres du lieu du rassemblement, un Afghan demandeur de
papier a fait une vingtaine de victimes, en fonçant sur elles avec une voiture
utilisée comme bélier. Ainsi, à l’heure où une paix imposée s’apprête à faire
cesser momentanément la guerre menée par la Russie, le « roi
du septentrion » de Daniel 11:40, contre l’Ukraine, un élément
individuel appartenant à la religion du « roi du midi » se
signale aux Européens. Et désormais, c’est de ce camp-là, que va venir, en
diversion, une grande attaque qui favorisera l’invasion de l’Europe par les
Russes.
L’évolution
historique de ce « roi du midi » est intimement
liée à la France que la papauté italienne tient pour « sa fille aînée
» ; précisément parce que la monarchie française a été son soutien armé
perpétuel. L’Iran est devenu ce pays islamiste précurseur parce que le régime
du roi, le shah, a été renversé par la révolution islamique préparée par
l’ayatollah Khomeiny depuis sa propriété française située à
Neauphle-le-Château. En raison de son passé colonialiste, la France a sur son sol
la plus grande représentation musulmane de tous les pays européens. Et certains
d’entre eux, ce sont illustrés comme les plus durs et les plus cruels dans les
massacres perpétrés par les combattants du groupe DAESH. Ces islamistes
d’origine française, musulmans accueillis ou français de vieilles origines
éprouvent particulièrement la haine contre l’Europe et en premier, contre la
France. Les islamistes syriens qui viennent de renverser le président
Bachar Al-Assad de la Syrie se sont retournés contre leurs adeptes extrémistes
dont ils condamnent et combattent les excès ; ils n’ont pas de haine
particulière contre l’Occident, comme ceux d’entre eux qui viennent de
l’Occident. En 2025, l’armée française reste la première armée européenne et la
France est seule, en Europe, à détenir l’arme nucléaire. Bien que devenue
laïque, « La fille aînée » de l’église catholique romaine va encore
devoir défendre la sécurité européenne quand elle va être attaquée. C’est
pourquoi, elle va être particulièrement concernée par l’attaque du « roi
du midi » dirigée principalement contre l’Italie papale et elle.
Parmi les pays qui haïssent la France, l’Algérie vient en tête car elle garde
un amer souvenir de sa guerre d’indépendance de 1954 à 1962. Et Dieu, autant
que le diable, veille à ce que ce souvenir ne soit pas oublié par les
instruments de sa colère ; parce que leur haine est sa haine, leur colère, sa
colère, leur vengeance, sa vengeance.
Je
relève cette subtilité : Selon Daniel 11:40, « Au temps de la fin, le roi du midi se heurtera contre lui… ».
Ce « lui » désigne le faux christianisme infidèle catholique et
protestant réparti en Europe et dans ses excroissances, les USA et l’Australie.
Ce verbe « heurter » prendra bientôt une forme puissante, mais il
qualifie déjà les actes islamistes constatés en 2001 à New-York contre les
tours du « World Trade Center » « heurtées » et
détruites par deux avions piratés, mais aussi les renouvellements depuis le 14
Juillet 2016 à Nice en France, par l’usage du camion bélier qui « heurte »
violemment des groupes de personnes et en tue 86. Ce type d’action a frappé
l’Allemagne le 21 Décembre 2024 à Magdebourg, et aujourd’hui encore à Munich.
Les
choses accélèrent, car en ce Jeudi 13 Février 2025, Donald Trump fait savoir
qu’après un long échange téléphonique d’1 heure 30 mn avec Vladimir Poutine,
ils ont convenu d’une rencontre pour la date peu probable du 20 Avril ou du 9
Mai prochain, jour où la Russie fête sa victoire sur l’Allemagne nazie. Voici
donc que 24 heures après mon intérêt donné au 8 Mai 1945, l’actualité confirme
le rôle mondial imminent des 8 et 9 Mai 1945 prochains.
A
Grenoble, une grenade a été jetée dans un bar. Ce genre de scène rappelle
celles qui devenaient la norme quotidienne à Alger entre 1954 et 1962.
M13- Le premier jour
En
tant que chrétien baptisé et instruit comme Adventiste du septième jour resté
au service de Jésus-Christ en dépit de ma radiation par l’œuvre officielle,
depuis 1980, j’ai passé toutes mes années à essayer de démontrer la
justification de l’obéissance au repos du sabbat du septième jour sanctifié par
Dieu. J’ai reçu de lui, d’abondantes lumières qui ont révélé tout son sens
prophétique.
Aujourd’hui,
« dimanche » 16 Février 2025, premier jour de la semaine, je viens
présenter mon étude centrée sur ce premier jour évoqué de manières différentes
dans la sainte Bible.
La
première évocation du premier jour est celle que Dieu décrit dans Genèse 1 :
Verset
1 : « Au commencement, Dieu créa les
cieux et la terre. »
Dieu
lance par ces mots sa création de notre dimension terrestre formée d’un espace
sidéral qui s’étend à l’infini dans
toutes les directions et il crée dans cet espace la terre dont l’aspect est
celui d’une boule d’eau. Cette création originelle est réalisée dans une
obscurité totale, dans le noir absolu. Et cette obscurité ne pose aucun
problème pour Dieu pour lequel la vue ne repose pas sur ses yeux mais sur sa
maîtrise complète et son contrôle absolu de tout ce qu’il crée.
Le
principe sur lequel il construit notre dimension terrestre reflète une réalité
spirituelle caché car une autre dimension céleste précède notre dimension
terrestre. C’est cette dimension céleste appelée « le royaume de Dieu » qui est donc aussi suggérée par le mot
« cieux » et relève-le, le
mot « cieux » précède le
mot « terre » ; ce qui
est logique dans les deux significations. En message spirituel, ce mot « cieux » suggère donc l’éther dans
lequel les anges de Dieu évoluent, passant de la dimension céleste à la
dimension terrestre au gré de la volonté de Dieu. En citant ce mot « cieux », Dieu certifie l’existence
d’une dimension céleste invisible pour l’homme qu’il va créer et conduire à
peupler la surface de la terre. Jésus reprendra cette expression en donnant à
ses élus le titre de « citoyens du
royaume des cieux ».
Verset
2 : « La terre était
informe et vide : il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'esprit
de Dieu se mouvait au-dessus des eaux. »
Dans
son état originel, encore non peuplée, la terre est dite « informe et vide ». Sons aspect
extérieur est à l’image de l’heure du déluge d’eau du temps de Noé. Cette
surface d’eau justifie le nom « abîme »,
car l’eau qui recouvre la terre est très profonde et le mot « abîme » est lié à la fois à l’eau
et à l’idée de la profondeur. Ce mot « abîme »
va être utilisé par Dieu dans sa prophétie Apocalypse pour désigner les « profondeurs de Satan », citées dans
Apocalypse 2:24 (: « A
vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et
qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous
dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau ; »), dans Apocalypse 17:8
(« La bête que tu as vue était, et
elle n'est plus. Elle doit monter de l'abîme,
et aller à la perdition. Et les habitants de la terre, ceux dont le nom n'a pas
été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s'étonneront en
voyant la bête, parce qu'elle était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle
reparaîtra. »), 11:7 (« Quand
ils auront achevé leur témoignage, la bête qui monte de l'abîme leur fera la guerre, les vaincra, et les tuera. »),
20:1 à 3 (« Puis je vis descendre du
ciel un ange, qui avait la clef de l'abîme
et une grande chaîne dans sa main. Il saisit le dragon, le serpent ancien,
qui est le diable et Satan, et il le lia pour mille ans. Il le jeta dans
l'abîme, ferma et scella l'entrée au-dessus de lui, afin qu'il ne séduisît plus
les nations, jusqu'à ce que les mille ans fussent accomplis. Après cela, il
faut qu'il soit délié pour un peu de temps.»).
Ce
n’est qu’à la fin du premier siècle de notre ère, que Dieu a fait connaître par
son Apocalypse à l’apôtre Jean et à ses serviteurs la vocation de la terre à
retrouver, à la fin des 6000 ans et au début du 7ème millénaire, son
état « informe et vide »,
entièrement dépeuplée, qu’elle avait au commencement de la création et qui lui
valait son nom « abîme ».
Ces
deux premiers versets prennent pour cible prophétique, le camp des ténèbres qui
oblige Dieu à construite son plan du salut qu’il démontrera et fera accomplir
sur la terre qu’il crée dans ce but. Note que ce verset 2 porte le signe de
l’imperfection symbolisée par le chiffre « 2 ».
Verset
3 : « Dieu dit : Que la
lumière soit ! Et la lumière fut. »
Le
chiffre 3 de ce verset symbolise la perfection qui caractérise le camp de
« la lumière » divine. Dieu
et sa perfection font irruption dans cette création terrestre nouvelle où il va
combattre le camp des ténèbres. L’Esprit dira dans Jean 1:4-5 au sujet de
« la Parole » divine :
« En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes. La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont point reçue. »
Verset
4 : « Dieu vit que la lumière
était bonne ; et Dieu sépara la lumière d'avec les ténèbres. »
Le
chiffre 4 porté par ce verset est le symbole de la norme universelle.
Dieu
témoigne en faveur de ses valeurs, en faveur de sa « lumière » qui a
vocation à rester la seule valeur universelle éternelle. Il la recommande ainsi
à ses élus comme étant la norme de la vie éternelle. Puis son message devient
tranchant, ferme et solennel : « Dieu sépara la lumière d'avec les ténèbres » Cette séparation est rendue
nécessaire depuis que dans le royaume des cieux, l’ange de lumière créé en
premier par Dieu est entré en rébellion contre lui. En écho à ce verset,
l’Esprit inspire à Paul son « fidèle
témoin », ces paroles de 2 Timothée 2:19 : « Néanmoins, le solide fondement de Dieu reste
debout, avec ces paroles qui lui servent de sceau : Le Seigneur connaît ceux
qui lui appartiennent ; et : Quiconque prononce le nom du Seigneur, qu'il
s'éloigne de l'iniquité. » La
« séparation de la lumière d’avec
les ténèbres » n’est pas un conseil, mais un ordre donné par
Dieu ; un ordre qui va justifier les saints obéissants et condamner les
faux croyants désobéissants. C’est aussi un projet éternel que Dieu va mettre
en œuvre par la grâce proposée par Jésus-Christ. Ce principe conditionne
entièrement la sélection universelle des élus rachetés par le sang versé par
Jésus-Christ.
Verset
5 : « Dieu appela la lumière
jour, et il appela les ténèbres nuit. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un
matin : ce fut le premier jour. »
Les
mots « lumière » et « jour » du bien, « ténèbres » et « nuit » du mal, délivrent le code
spirituel que Dieu utilise dans l’Evangile de Jean et dans la révélation
Apocalypse qu’il lui a donnée en fin du premier siècle de notre ère.
La
révélation concernant le premier jour s’achève au verset 5 placé sous le symbolisme
du chiffre 5 qui est le chiffre de l’homme. Le témoignage de ces 5 premiers
versets et de tous ceux qui suivent est celui que Dieu adresse directement à
tous les hommes et toutes les femmes de tous âges, et de toutes les origines
ethniques.
Il
est donc clair que « la lumière »
a visité les hommes cachée dans l’aspect humain de Jésus-Christ selon les
paroles de Jean 1:9 à 14 : « Cette
lumière était la véritable lumière, qui, en venant dans le monde, éclaire tout
homme. Elle était dans le monde, et le monde a été fait par elle, et le monde
ne l'a point connue. Elle est venue chez les siens, et les siens ne l'ont point
reçue. Mais à tous ceux qui l'ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a
donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels sont nés, non du sang, ni
de la volonté de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu. Et la
parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de
vérité ; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils
unique venu du Père. »
Si
l’on examine l’accomplissement du projet de Dieu, nous voyons que le temps du
ministère terrestre de Jésus-Christ est, avant sa mort, accompli dans un temps
de « ténèbres » absolues.
Jésus fait de nombreuses déclarations que personne ne comprend, ses douze
apôtres compris. Ces amis fidèles devaient attendre « le premier jour » de la semaine qui a suivi les deux sabbats
de la semaine pascale pour que Jésus leur apparaisse ressuscité et qu’il leur
explique le sens donné à sa mort expiatrice de leurs péchés. Le temps « lumière » ne commence donc qu’en ce
premier jour marqué par sa résurrection. Et en tant qu’observateur du saint
sabbat de Dieu, nous aurions grand tort si nous méprisions l’importance de ce
premier jour où la « lumière »
a été donnée aux élus du Christ.
Dans
son étonnante sagesse, Dieu a trouvé le moyen de ne pas le faire oublier en
conduisant ses ennemis à en faire le jour de leur repos hebdomadaire. De cette
manière, le souvenir de l’importance du sabbat a été confié aux rites religieux
des Juifs, et le souvenir du premier jour lumière où ressuscité, Jésus s’est
présenté en chair et en os à ses apôtres bien-aimés, a été rappelé par le repos
du dimanche du catholicisme romain.
Ces
deux jours, le premier et le septième sont d’égale importance, cependant seul,
le sabbat du septième jour porte la légitimité d’être marqué par le repos
sanctifié par Dieu. Et si les ennemis de Dieu contestent ce jugement divin, ils
le font au prix de leur perdition éternelle. Mais saluons cette sagesse de Dieu
qui fait porter son enseignement, même par ses ennemis les plus extrêmes. Ainsi
porteur d’une malédiction divine extrême, le dimanche romain est utile à la
cause de Dieu.
Selon
le témoignage biblique, le Mardi soir ou premier soir du mercredi 3 Avril 30,
Jérusalem fut couverte de ténèbres et à l’heure de la mort de Jésus, une
tempête a frappé la région et même, un tremblement de terre a fracturé le
rocher sur lequel, au pied du mont Golgotha, la croix, sur laquelle pendait le
corps sans vie de Jésus, était enchâssée. Ce temps nuageux obscur s’est
probablement prolongé à Jérusalem pendant tout le temps des « trois jours et trois nuits »
pendant lesquels Jésus est resté officiellement dans son tombeau. Cette
expression doit être rectifiée selon son accomplissement, en la forme réelle de
« quatre nuits et trois jours » ; temps compris l’entrée au
tombeau et l’apparition à Marie, Jean, puis ses apôtres.
Le
« premier jour » est celui où Jésus a été intronisé par Dieu
le Père et ses saints anges. L’intronisation s’est effectuée dans la journée du
premier jour après que Jésus a rencontré et parlé à Marie de Magdala dans le
jardin du tombeau, selon qu’il est écrit dans Jean 20:17 à 19 : « Jésus
lui dit : Ne me touche pas ; car je ne suis pas encore monté vers mon Père. Mais va trouver mes frères, et dis-leur
que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. Marie de
Magdala alla annoncer aux disciples qu'elle avait vu le Seigneur, et qu'il lui
avait dit ces choses. Le soir de ce
jour, qui était le premier de la semaine, les portes du lieu où se
trouvaient les disciples étant fermées, à cause de la crainte qu'ils avaient
des Juifs, Jésus vint, se présenta au milieu d'eux, et leur dit : La paix soit
avec vous ! » Etant intronisé, Jésus peut maintenant être touché
par Thomas selon Jean 20:27 : « Puis il dit à Thomas : Avance ici ton doigt,
et regarde mes mains ; avance aussi ta main, et mets-la dans mon côté ; et ne sois pas incrédule, mais crois. »
Jean
aimait si fortement Jésus qu’il ne retient dans son témoignage que les éléments
spirituels, ayant été insensible au séisme et à la tempête qui ont frappé
Jérusalem en ce jour ténébreux de son arrestation, de son jugement et de son
exécution mortelle. Selon Jean, Marie de Magdala s’est présentée à l’aurore au
tombeau qu’elle a trouvé déjà ouvert et vide, il faisait encore sombre.
Les
témoignages complémentaires des autres Evangélistes complètent ce témoignage de
Jean. Nous lisons dans Matthieu 27: 45 et 50 à 53 : « Depuis la sixième heure jusqu'à la neuvième,
il y eut des ténèbres sur toute la terre. … /… Jésus poussa de nouveau un
grand cri, et rendit l'esprit. Et voici, le voile du temple se déchira en deux,
depuis le haut jusqu'en bas, la terre trembla, les rochers se fendirent, les
sépulcres s'ouvrirent, et plusieurs corps des saints qui étaient morts
ressuscitèrent. Étant sortis des sépulcres, après la résurrection de Jésus, ils
entrèrent dans la ville sainte, et apparurent à un grand nombre de personnes. »
Je le rappelle, Jean et Matthieu sont les deux seuls témoins oculaires des
faits témoignés. Et plus âgé, Matthieu donne un témoignage plus complet plus
détaillé que celui du jeune Jean.
Grâce
aux découvertes de notre frère Ron Wyatt, nous savons que la fracture du rocher,
dans lequel la croix du Christ était enchâssée, a permis l’écoulement du sang
de Jésus, sur le propitiatoire de l’arche divine cachée dans une grotte
souterraine située au-dessous de la croix, à environ six mètres de profondeur.
Aussitôt que le sang a touché le propitiatoire et que Jésus a expiré, des
saints sont sortis de leurs tombeaux ressuscités par l’Esprit du Père céleste.
Ces paroles de Jésus citées dans Jean 11:25, ont été ainsi confirmées :
« Jésus lui dit : Je suis la
résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort
; » Ainsi la mort du prince de la lumière offre la vie à ses
élus ; « la vie » qui
est « la lumière des hommes »
selon Jean 1:4 : « En elle
était la vie, et la vie était la lumière des hommes. »
Chaque
moment de ce temps, où Dieu fait accomplir en Jésus-Christ son plan du salut,
est marqué dans un but pédagogique qui confirme son accomplissement. Ainsi, la
mort de Jésus a pour fruit la résurrection finale des saints morts et des
saints restés vivants dont un exemple témoin est donné au moment même de la
mort de Jésus. Il faut attendre ensuite le premier jour de la semaine suivante
pour que le Christ ressuscité, « lumière »,
éclaire l’intelligence spirituelle de ses saints élus fidèles. Et cette phase
« lumière » est dans le
plan du salut, fondamentale, car c’est par elle, que l’homme peut recevoir ou
rejeter la lumière divine. C’est aujourd’hui encore, cette lumière divine qui
m’éclaire ainsi que ceux qui lisent mes écrits. Dieu n’a pas fini de nous
étonner.
Mais
la vraie obéissance exige que chaque élément de ce plan de salut soit honoré de
la manière qui convient à Dieu. Car si ce n’est pas le cas, la religion est
vaine. Dieu se fait une gloire de révéler à ses élus l’harmonie complète de son
projet, sa cohérence parfaite, sa logique parfaite. Sa nature éternelle est
révélée dans sa construction de la Bible révélée pour les cinq premiers, à
Moïse l’image prophétique du guide céleste nommé Jésus-Christ, il y a de cela,
pas moins de 3500 années.
La
mort de Jésus a fait cesser toutes les fêtes juives parce qu’elles ont trouvé
leur accomplissement en sa mort et sa résurrection. C’est donc vainement, que
les faux croyants célèbrent encore depuis sa mort, la Pâque juive ou les Pâques
catholiques romaines. Depuis sa résurrection, Jésus ne reconnaît comme
célébration que la pratique de la sainte Cène précédée par l’indispensable
lavement des pieds et le baptême de l’engagement officiel individuel de ses
rachetés. Un baptême qui doit être pratiqué en immersion totale du corps du
baptisé pour être reconnu par Dieu ; sous la condition que la personne
baptisée soit reçue et approuvée par lui. Dans la sainte Cène, les symboles
utilisés doivent être à l’image de la perfection du Christ ; un pur jus de
raisin rouge pour symboliser le sang de Jésus-Christ et du pain non levé pour
symboliser son corps. Le diable se plait à faire remplacer ces choses pures par
du pain levé et du vin alcoolisé dans la sainte Cène pratiquée par ses victimes
trompées et séduites.
Dieu
est attentif à la valeur que nous donnons aux symboles qu’il a choisis pour
représenter et concrétiser un acte d’engagement religieux de ses rachetés élus.
Notre propre attention est donc requise, afin de ne pas déshonorer Dieu et son
Christ sauveur.
Le
premier jour ne donne pas lieu à une fête particulière ordonnée par Dieu. Le
jour de la « lumière » est
aussi le premier jour du travail de l’homme qui va être suivi par cinq autres
jours qui lui appartiennent pour faire tous ses ouvrages profanes et civils.
Conformément aux enseignements de Genèse et de Jean, ceux qui rejettent la
vraie « lumière » divine se
séparent des élus en donnant au premier jour de la semaine le rôle que Dieu
donne au septième et qu’il a « sanctifié » dès le commencement
selon Genèse 2:2-3 : « Dieu acheva
au septième jour son œuvre, qu'il avait faite : et il se reposa au septième
jour de toute son œuvre, qu'il avait faite. Dieu bénit le septième jour,
et il le sanctifia, parce qu'en ce jour il se reposa de toute son
œuvre qu'il avait créée en la faisant. »
La
confiance que nous plaçons dans la sainte Bible divine est fondamentale pour
justifier notre choix et notre comportement religieux. Satan connaît
l’importance de cette croyance aux 6000 ans précis du programme terrestre de
Dieu. Aussi, pour perdre les âmes humaines qu’il séduit, il fait présenter par
des scientifiques honorés des théories évolutionnistes qui donnent à la terre
une existence de milliards d’années. Ces mensonges sont continuellement
présentés dans toutes les émissions scientifiques télévisées et dans tous les
établissements d’enseignement.
La
vérité est très différente, le Dieu créateur est extrêmement précis dans tout
ce qu’il crée et organise. C’est pourquoi, dans l’ordre du temps qu’il compte
et mesure, le septième jour ne peut à aucun prix être remplacé par le premier
jour catholique ou le sixième jour de l’islam.
La
célébration du sabbat sanctifié par Dieu a donc ce caractère particulier d’être
une fête juive qui n’a pas été rendue caduque et vaine par la mort et la
résurrection de Jésus-Christ. Ceci pour ces trois raisons : 1- Le sabbat
prophétise le repos du septième millénaire au début duquel les élus rachetés
entreront dans l’éternité ; son accomplissement est donc encore dans le
futur aujourd’hui, à 5 ans devant nous. Il doit donc encore être pratiqué et
honoré. 2- Le sabbat prophétise le repos du septième millénaire qui est la
récompense de la croyance des vrais élus rachetés par Jésus-Christ. 3- Le
sabbat est une récompense obtenue par Jésus-Christ, par sa mort expiatoire des
péchés de ses élus.
En
plus d’être une fête juive ordonnée par Dieu dans l’ancienne alliance, le sabbat
est avant tout, une fête qui peut et doit être célébrée par tout homme et toute
femme, quelle que soit son origine, sa couleur et sa nation ; parce qu’il
n’y avait au temps d’Adam et Eve, ni juif, ni chrétien, ni musulman, mais l’être
humain dont les successeurs se sont séparés et combattus à cause de leurs choix
religieux différents et de leur méchanceté. Et personne sur la terre ne peut
prétendre de ne pas descendre de ce premier couple que Dieu a créé et bénit,
puis maudit à cause de leur désobéissance, donnant ainsi un avertissement
perpétuel en transmettant en héritage la mort qui frappe tous les êtres humains
et les créatures terrestres.
Pour
conclure ce thème consacré au « premier jour », je peux dire que
celui qui a été marqué par l’apparition du Christ ressuscité a été pour ses
apôtres un jour béni, lumineux, qui leur a procuré une joie sans pareille. Et
cette lumière qui a éclairé leur esprit les a conduits à s’engager dans le
travail missionnaire pour leur divin maître. Ils ont pu ainsi répandre
l’Evangile qui est parvenu jusqu’à nous, qui vivons en 2025, grâce à leurs
témoignages regroupés dans le nouveau « témoin » de Dieu que constituent les témoignages de la
nouvelle alliance de la sainte Bible. Cependant, dans Apocalypse 11:3, Dieu ne
présente pas un seul témoin, mais ses « deux témoins »,
confirmant ainsi la nature indispensable de l’enseignement écrit dans les
livres de l’ancienne alliance.
Dans
le projet de Dieu, « le premier jour et le septième »
représente « l’alpha et l’oméga » de l’unité du temps que représente la
semaine ponctuée au fil du temps par la célébration de son saint sabbat honoré
pendant 6000 ans par ses vrais serviteurs humains. Chaque fois que Dieu a
construit une relation intime privilégiée avec l’un de ses serviteurs, depuis
Adam, Dieu lui a fait connaître ses lois, ainsi que la bénédiction et sa
sanctification du sabbat du septième jour. Mais ces précisions ne furent pas
transmises par des écritures comme la Bible écrite sur des parchemins par Moïse
a pu le faire ; sous la dictée directe de Dieu.
Le
« premier jour et le septième » sont donc entièrement
complémentaires parce qu’ils marquent des temps fondamentaux du plan du salut préparé
et accompli par Dieu. Etant complémentaires ils ne s’excluent pas mutuellement
l’un par l’autre, et l’élu de Dieu doit honorer l’un et l’autre selon la forme
que Dieu leur a décernée.
Finalement
c’est encore la Bible qui va permettre de trancher au sujet de la concurrence
de ses deux jours respectivement placés « au début et à la fin »
de la semaine, écoutons l’Esprit nous dire par Salomon dans
Ecclésiaste 7:8 : « Mieux vaut
la fin d'une chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient qu'un
esprit hautain. » Le « sabbat
du septième jour » vaut donc mieux que « le premier jour », et sachant ce que les deux représentent,
tous ses élus partagent son avis. Dans ce verset, l’Esprit met en parallèle « la fin d’une chose » avec « l’esprit patient ». Il faut donc
que l’élu attende et fixe son attention « patiemment » sur le moment « de la fin » qui vient ; ce qui est le fruit de la sagesse.
M14- L’heure de la confusion
Je
pense avoir trouvé, avec ce titre, « l’heure de la confusion », la
définition du changement universel provoqué par l’élection du président des
USA, Donald Trump, entré en fonction depuis le 20 Janvier 2025.
Tel
un éléphant dans un magasin de porcelaine ou l’arrivée d’un chien dans un jeu
de quilles, il bouleverse, renverse et casse tout ce qui a prévalu avant lui.
Et grâce à lui, les pensées humaines les plus obscures sont démasquées. En
fait, son arrivée porte les effets du révélateur de la photographie ;
avant lui nous avions la vision du négatif inscrite sur la pellicule ;
après lui nous obtenons la photo positive sur papier glacé.
Depuis
le 8 Mai 1945, en entrant dans son temps de paix, l’humanité s’est reconstruite
sur des bases totalement hypocrites établies entre des pays fatigués de se
combattre et rendus capables d’accepter les conditions imposées par les deux
grands vainqueurs ; dans l’ordre d’arrivée à Berlin : Les Russes,
puis les Américains. La fin du XXème siècle s’est déroulée dans
cette ambiance tendue opposant le bloc Ouest au bloc Est replié derrière son
« rideau de fer ».
En
1989, le mur de Berlin est tombé, détruit par les Allemands de l’Est qui ont
profité de l’écroulement de l’URSS politique et économique. Cette action allait
dans le sens d’un désir occidental de s’étendre vers l’Est qui fut entièrement
confirmé par le regroupement des deux Allemagnes au profit de celle de l’Ouest,
cette Allemagne prospère et riche qui a été formée et enseignée par la culture
américaine capitaliste qui l’occupait.
Il
y a énormément de sagesse dans les proverbes et les dictons populaires, plus ou
moins connus. Mais je propose cet exemple qui dit : « la faim fait
sortir le loup du bois » qui évoque le principe qui veut qu’une chose peut
favoriser l’apparition d’une autre chose. Et appliqué à notre situation
mondiale et plus encore, occidentale cela signifie que la ruine économique
démasque les caractères humains cachés.
Etant
français, et c’est la raison du choix de Dieu pour mon ministère, la plus
grande partie des 80 années de paix établies depuis le 8 Mai 1945, s’est
accomplie sous le régime de la 5ème République. Or cette
constitution établie par le général Charles de Gaulle a fait cesser les
recherches des compromis politiques. La forte majorité présidentielle de
l’assemblée des députés imposait ses lois et les faisait adopter sans aucun
problème, au point que les groupes de l’opposition n’étaient là, que pour la
forme, afin de conserver un aspect démocratique très hypocrite. Les Français
n’étaient plus sensibilisés par les soucis des sujets politiques, si ce n’est dans
les syndicats ouvriers qui couraient derrière les ajustements créés par
l’inflation monétaire traduite par des hausses constantes du coût de la vie
pour tous, riches et pauvres. Mais, pendant le septennat du général de Gaulle,
la France ne manquait pas de travail car elle se relevait de ses ruines et son économie prospérait à cause de la
croissance de la consommation de sa population. Les bons patrons se disputaient
les bons ouvriers, très appréciés à cette époque par des patrons qui géraient
leurs entreprises en « pères de familles ». Il fallait reconstruire
les immeubles et les maisons détruites et loger les nouvelles générations
auxquelles venaient s’ajouter les premières vagues de l’immigration musulmane
maghrébine. Les Français se sont ainsi totalement déconnectés de la politique,
étant uniquement préoccupés par leur vie individuelle devant laquelle la
liberté des mœurs s’est ouverte et offerte. On est ainsi passé progressivement,
à Paris, du « métro, boulot, dodo » au « vélo, chômo,
porno ». La crise favorise le déplacement en vélo, la destruction des
emplois provoque le chômage, et la recherche du plaisir individuel ou en couple
conduit à la pornographie qui suscite les « gay pride » ou
« fierté homosexuelle ».
Les
Français de source ont été envahis par des européens qui ont profité de
l’Europe Unie pour s’installer en France. La photographie d’une scène urbaine
des années 50 comparée à la même réalisée en notre époque nous donne le
meilleur témoignage de cette vérité controversée. De plus, il suffit de relever
les noms de famille portés sur les boîtes aux lettres des maisons et des
immeubles pour en être totalement convaincu. Mais ce constat ne règle pas le
problème, parce que les jeunes générations le constatent comme les anciennes mais
sans y relever le moindre problème. Et c’est normal, puisqu’ils n’ont connu la
France que sous cet aspect cosmopolite qui leur convient. C’est en cela, que
nous pouvons comprendre la raison pour laquelle Dieu a donné 80 ans de paix aux
« dix cornes » européennes
occidentales dont la France et l’Italie en cibles principales. Car il fallait
que disparaissent les anciennes générations sensibles à l’immigration. Et en
authentique signe de ce raisonnement, le chef de tête de cette opposition à
l’immigration musulmane, Jean-Marie Le Pen, vient de mourir au début Janvier
2025. J’ai moi-même 80 ans depuis 2024, et je vois disparaître beaucoup de gens
de mon âge qui n’ont pas bénéficié de la protection de Dieu comme moi ; et
ceci, en toute justice, parce qu’ils ne se sont pas souciés de le rechercher
pour obéir à ses ordres, et ses décrets bénis.
Je
vois donc en la mort de Jean Marie Le Pen la confirmation du principe appliqué
pour les Juifs retenus dans le désert par Dieu pendant 40 ans.
La
déconnection du peuple français de la politique a donc eu pour cause l’unique
importance donnée aux députés et aux ministres élus et mis en postes. Mais à ce
drame s’est ajouté un deuxième niveau d’affaiblissement qui a concerné cette
fois le législatif et l’exécutif français. La construction de l’U.E. a rendu la
plupart de leur décision dépendante des autorisations du gouvernement européen.
Nos hommes politiques ont donc eux aussi après le peuple, réagi de la même
manière soit, dans un état d’esprit désabusé, ils ont ressenti pour leur
activité une partielle inutilité.
La
gouvernance à deux étages est une totale malédiction qui confirme la valeur
d’imperfection donnée au chiffre « 2 ». A cause de leurs vieilles
existences nationales, les nations
européennes restent fondamentalement accrochées à leur indépendance nationale.
L’U.E. n’existe à l’heure actuelle que pour des intérêts commerciaux et malgré
l’intensification de son pouvoir législatif, le gouvernement européen reste à
l’image du premier « marché commun » de 1957.
Les
effets de la ruine sont très différents selon les individus concernés touchés.
Certains tombent dans un grand abattement, mais d’autres réagissent de manière
coléreuse, pleins de rancœur envers les hommes politiques qui ont pu faire les
choix désastreux qui ont tué la prospérité de leur pays. La ruine imposée par
l’organisation de Dieu a précisément le but de réveiller la colère et
l’indignation des victimes des politiciens. En 1789, la faim a fait sortir du
bois les loups affamés révolutionnaires et en 1793, Louis XVI a perdu sa tête
parce que son aide donnée aux Américains avant 1776, a ruiné son royaume et
conduit son peuple à la famine. « Famine ! » Ce mot me fait
frémir, car l’humanité n’a jamais été autant menacée par ce fléau qu’en nos
jours actuels. Les populations ont augmenté en nombre constamment et des villes
gigantesques les ont accueillies repoussant toujours plus loin leurs limites
urbaines. Pour nourrir ces populations, en temps de paix, des multitudes de
véhicules apportent depuis la campagne ou les centres alimentaires, d’énormes
quantités d’aliments de toutes sortes. En situation de guerre, ces déplacements
des véhicules sont bloqués, empêchés, par les services armés qui doivent avoir
l’exclusivité des voies routières. C’est pourquoi la dépendance alimentaire va
apparaître comme étant la cause majeure de la mort des habitants des grandes
villes du monde touchées par la Troisième Guerre Mondiale qui vient. Comment se
préparer à un tel avenir ? Bien difficile à dire ; car stocker un
minimum de conserves ne permettra que de survivre un minimum de temps. D’autre
part, détenir un gros stock de réserves peut susciter chez d’autres affamés, la
convoitise qui peut dans ce cas causer la mort de l’homme prévoyant. Nous
devons donc nous préparer à devoir faire face à des temps de jeûnes forcés où
nous découvrirons l’inimaginable résistance du corps humain créé par Dieu. Et
c’est encore là, le but que Dieu donne à la famine : contraindre l’homme à
apprendre à ne compter que sur lui et sur sa compassion. Car d’une manière
perverse, dans la paix et la prospérité, l’être humain apprend à « vivre de pain et surtout de viande seulement », oubliant que Jésus a
aussi ajouté « mais aussi, de toute
parole sortie de la bouche de Dieu ». Et ce rajout est plus important
que le pain lui-même, car Dieu peut faire vivre un homme sans manger et sans
boire comme il en a donné en Moïse, une preuve vivante réelle ; et ceci,
pendant « 40 jours et 40 nuits »
selon Exode 34:28 : « Moïse fut
là avec YaHWéH quarante jours et quarante nuits. Il ne mangea point de pain, et il ne but point d'eau. Et YaHWéH écrivit sur les tables les paroles
de l'alliance, les dix paroles. »
Ce
verset présente le grand avantage de mettre en parallèle la nourriture humaine
et sa nourriture spirituelle représentée par les deux tables des dix
commandements de Dieu. La scène qui nous est décrite nous transmet un message
divin que Jésus exprime clairement en disant : « l’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort
de la bouche de Dieu ». Disant cela, Jésus nous montre la fidélité
exemplaire de Moïse et nous invite à l’imiter, lui, Moïse, qui n’était
réellement, qu’un homme comme nous, toi et moi.
Les
« quarante jours et quarante nuits »
vécues par Moïse en présence de Dieu étaient à l’image du séjour au désert de
40 ans que Dieu allait imposer à Israël pour son manque de confiance envers
Dieu. Dieu montrait par cette scène, son projet d’inscrire sa loi sur les
tables de pierre que formaient les cœurs endurcis des Hébreux arrachés à
l’esclavage égyptien. Et au terme des quarante ans, Dieu confia les enfants
d’Israël aux deux seuls hommes dignes de cette charge, Caleb et Josué, les deux
espions qui firent confiance à Dieu pour vaincre les géants qui vivaient sur le
sol de la terre de Canaan. Dieu a réussi à graver sa loi dans les cœurs de
chair de ces deux hommes présentés en exemples à imiter. Il les élève, il les
honore, et s’offre la compagnie de Moïse, en lui permettant d’entrer au ciel
après sa mort, âgé de 120 ans et encore plein de force et de santé ; ce
qui est l’âge type que Dieu donne à l’homme avant de le détruire par les eaux
du déluge.
Depuis
1843, Dieu a formé le même projet en construisant sa religion « adventiste du septième jour ».
Depuis cette date, deux expériences adventistes américaines situées en 1843 et
1844 lui ont permis de sélectionner de véritables élus, peu nombreux, 50
personnes au 23 Octobre 1844. Mais le nombre réduit n’est pas le plus
important, car Dieu privilégie la qualité sur la quantité. Le bénéfice de la
grâce offerte par Jésus-Christ ne profite qu’à ceux des candidats rachetés dont
la confiance et la fidélité est conforme à la qualité exigée par Dieu.
Né
en 1944, je suis à l’image de Caleb et Josué, attentif aux messages donnés par
Dieu, par sa sainte Bible, dans ses prophéties mais aussi dans la vie globale,
dans nos faits qui créent l’actualité. J’ai vécu deux fois « quarante
ans » et je peux dire que toute sa divine loi est écrite dans mon
cœur ; et cette connaissance me permet de décrypter ses messages
subtilement codés. J’ai été baptisé dans l’année 1980 et j’ai vu arriver au
pouvoir, en 1981, cette gauche socialiste humaniste que j’ai, un temps approuvé
et en laquelle j’ai même espéré. Jusqu’à ce que je réalise, dès 1982, son
aveuglement chronique, parce qu’elle devait mettre en œuvre la terrible
malédiction divine qui frappe la France entière, son peuple et ses dirigeants
politiques et économiques.
Voici
une preuve concrète de cet aveuglement. Une journaliste faisait l’éloge du
président Macron qui, disait-elle, a su voir en premier le danger représenté
par la Russie du président Poutine. Cette personne oublie simplement que le
danger qui nous menace aujourd’hui n’est que la conséquence du risque qu’il a
fait prendre à sa nation et à l’Europe, en justifiant par son soutien à
l’Ukraine, une position agressive qui ne pouvait qu’irriter la Russie contre la
France et ceux qui la suivent dans son attitude agressive guerrière. En pleine
incohérence, ces gens dénoncent le comportement de Donald Trump et son
partenaire Elon Musk, les comparants aux Nazis hitlériens alors qu’ils
soutiennent l’Ukraine dont le groupe ouvertement et revendiqué Nazi nommé
« Azov » est l’idole du peuple ainsi que son fondateur le « SS
Bandera ». Des journalistes, des hommes politiques, d’anciens chefs
militaires, tous agissent et parlent d’une même voix, tous aveuglés par Dieu pour favoriser leur
agressivité envers la Russie afin qu’elle vienne sur eux pour les détruire.
Aujourd’hui,
Lundi 17 Février, se tient à Paris, à l’Elysée, un grand rassemblement des
chefs européens invités par Mr Macron pour trouver une solution aux problèmes
posés par la déclaration de la représentation américaine à Munich, la veille,
soit le dimanche 16 Février. Dans cette déclaration, les USA ont invité les
Européens à prendre seuls en charge le problème ukrainien. Les Européens se
voient donc seuls livrés au risque d’un affrontement direct contre la
Russie : Panique à bord. Je pense que ce 17 Février placé sous le signe
symbolique du jugement, va porter des conséquences graves et irréparables, mais
Dieu le veut, Dieu le peut, et Dieu l’obtient. De plus, se produisant un
« Lundi », jour de la Lune, ce rassemblement est placé sous le signe
des ténèbres.
Ce
changement, qui est la conséquence de l’élection du président Trump, transforme
fondamentalement la situation confortable établie depuis le 24 Février 2022,
dans un contexte de soutien et d’engagement américain donné à l’Ukraine et à
l’Europe. En fait, c’est le sol qui se dérobe sous les pieds des dirigeants
européens. Et je loue Dieu pour sa parfaite justice, car ce qui arrive
aujourd’hui est l’exacte contraire de ce qui s’est produit dans la guerre des
Balkans et en Ukraine le 24 Février 2022. Les attitudes agressives passées des
pays européens reposaient sur la confiance placée sur l’imposante puissance des
USA. Dans la guerre des Balkans, la Serbie fut écrasée par les bombes larguées
par les bombardiers américains. Et fièrement, les armées européennes ont arrêté,
le chef de la Serbie qui fut traduit devant le tribunal de la Haye auquel, seuls,
les Européens donnent le titre de « Cour pénale internationale » ;
mais en réalité « Cour pénale Européenne », et totalement illégitime,
car aucun grand pays ne l’a reconnu, ni les USA, ni la grande Russie, ni la
Chine, ni l’Inde. Il est intéressant de relever que cette C.P.I. qui siège à la
Haye au Pays-Bas a pris forme et naissance à Rome, en Italie, le 17 Juillet
1998, sous le nom de « Statut de Rome ». Après deux traités et un
Statut qui portent le nom de « Rome », qui peut nier l’implication de
l’autorité papale dans cette création de l’Union Européenne ?
Une
fois de plus, je fais appel à Mr Jean de La Fontaine et à ses fables dont l’une
a pour titre « la grenouille et le bœuf ». Dans cette fable, la
grenouille entreprend de devenir aussi grosse que le bœuf et à la fin
l’inévitable se produit : elle éclate. Ce que nous vivons est aussi la
fable « du corbeau et du renard ». En faisant l’éloge de la voix
du corbeau, le renard finit par manger le fromage que le corbeau serrait dans
son bec. Ces fables dénoncent les défauts de nos élites européennes marquées
par l’ambition et l’orgueil. En cela, les régimes des démocraties reproduisent
les défauts déjà trouvés dans les monarchies de l’ancien régime que Jean de La
Fontaine ciblait à son époque. Son corbeau et sa grenouille étaient le roi
Louis XIV et ses grands, ses courtisans.
L’histoire
de la grenouille est aussi celle de l’Europe. Le regard porté sur une carte du
monde révèle la taille réduite de cette Europe d’où sont sortis les conquérants
des immenses terres américaines, africaines, ainsi que l’Inde et l’Australie.
Ces grands continents, maintenant bien peuplés, dépassent en richesse la terre
européenne originelle et il ne reste aux Européens que l’héritage d’un passé
puissant et glorieux. Mais, le prestige ne fait pas la force, et les dirigeants
européens le découvrent aujourd’hui. Le piège divin a parfaitement fonctionné,
comme « Israël » en son temps, l’homme du type européen est
devenu « gras et replet »,
consumériste pendant 80 années de paix. Cette paix a été si longue que coupés
de Dieu, les penseurs des démocraties et des royaumes parlementaires ont été
convaincus que tout risque de guerre en Europe était écarté. Mais déjà dès le
24 Février 2022, une première pensée européiste a été contredite par les faits.
Pour les convaincre d’accepter de renoncer à leur complète indépendance
nationale, les constructeurs de l’U.E. disaient aux populations qu’en faisant
l’Europe, on éliminait le risque de guerre interne. Or, la guerre déclenchée en
Ukraine a été intensifié et a impliqué l’Europe et ses populations à cause de
l’engagement de la présidence européenne des députés soit, Mr Charles Michel,
et de la Commission soit, Mme Ursula Von der Leyen. Après
hésitations et double positionnement, après avoir été humilié par le mépris du
président Poutine, le président français a fini par s’engager de plus en plus
dans le combat mené par l’Ukraine revendicative nazie.
Dans
sa grande et impressionnante sagesse, Dieu sait organiser en les suscitant des
faits qui conduisent les hommes à changer leur comportement. Et par cette
contrainte, à révéler leur vraie nature, leur vrai caractère. Le lion paraît
paisible quand il est repu, mais quand la faim le tenaille, il devient
impitoyable même pour ses lionceaux et ses lionnes. Nous avons passé 80 ans
flottant dans une barque sur un lac apaisé et le temps change préparant une
grande tempête meurtrière. Devant les faits, les gens ne réagissent pas tous de
la même manière et aussi vite les uns que les autres. Certains semblent retenus
par une force invisible qui leur fait refuser l’évidence du changement. Et ce
principe concerne aujourd’hui l’U.E., composée de 27 nations aux expériences et
caractères particuliers et différents. L’entente parfaite est donc exclue et
chaque décision est âprement discutée pour être ou pas approuvée. Face au
risque d’une attaque russe, il y a deux manières de réagir, la résistance armée
si la force disponible le permet ou la capitulation si ce n’est pas le cas.
Toute l’histoire est une continuité de conquêtes victorieuses et de défaites
parfois cuisantes. Le grand temps de paix obtenu entre 1945 et 2025 a produit
un effet durable sur les esprits humains libérés de la peur de la guerre, ce
qui constitue une grande première dans toute l’histoire humaine, les guerres
ayant de tout temps été redoutées et craintes par les humains. Mais sur la fin
des 80 années, cet effet a été renforcé puissamment par la contrainte causée
par le virus Covid-19 qui a conduit les Français en confinement pendant deux
ans. Il faut relever la conséquence d’une privation de liberté d’aller et
venir, réellement traumatisante pour l’esprit humain. Nos esprits on été marqué profondément et
nous portons encore le traumatisme subi. Le mécanisme de la vie d’avant a été
rompu et n’est pas revenu ; ceci, parce qu’à la place d’un regain
d’activité, l’esprit humain subit constamment l’annonce de mauvaises nouvelles
qui créent l’angoisse et favorisent la déprime généralisée.
En
tant que serviteur de Dieu, nous échappons partiellement à ces effets, parce
que nous savons par la prophétie biblique que nous allons vivre « un temps de détresse tel qu’il n’y en a
jamais eu depuis que les nations existent, jusqu’à ce moment-là »,
selon Daniel 12:1. J’attends personnellement ces choses depuis l’année 1982 et
les faits attendus ne produisent pas sur moi ce que produisent les faits non
attendus qui surprennent des esprits humains non préparés. Aussi, avec
l’aggravation de la situation, des gens paniqués vont préférer se donner la
mort, eux-mêmes. On voit des gens agir ainsi pour des causes d’échecs
professionnels, causes de faillites ou échecs sentimentaux. Les mêmes personnes
ne supporteront pas de vivre dans l’angoisse d’être tuées.
Mais
ce qui condamne toute chance d’éviter le pire, c’est la ruine actuelle de la
France endettée de 3300 Milliards d’Euros, après 80 années de paix passées à
discuter de sujets secondaires et de lutte contre la dénonciation de
l’immigration musulmane. Mais ce n’est pas seulement cette immigration
musulmane qui a changé la nature de la France et lui a donné son visage actuel.
L’immigration intra-européenne constante est grandement en cause. Et, ce n’est que dans un contexte de guerre
que va apparaître la conséquence de ce brassage ethnique européen. Car la
construction européenne a tué l’esprit nationaliste des nations membres en
favorisant des mélanges ethniques sur l’ensemble de ses territoires. Mais
logiquement, les pays les plus riches sont ceux qui ont été le plus convoités
par les différentes immigrations, aussi, la France, l’Allemagne, et
l’Angleterre longtemps restée dans l’Europe, ont été transformées ethniquement
et présentent un aspect cosmopolite, cause de multiples problèmes relationnels.
Et en situation de guerres ce mélange va s’avérer épouvantable, les positions
et les engagements étant différents selon les ethnies concernées ; le plus
redoutable étant la présence de groupes internes hostiles, agissant en type de
« cinquième colonne ». L’ennemi de l’intérieur est plus efficace que
l’ennemi externe, c’est aussi vrai en religion qu’en politique et activité
guerrière. Cette pensée a été exprimée par celui qui a dit :
« protégez-moi de mes amis, car mes ennemis ; je m’en charge ».
Ce
que ne comprennent pas les êtres humains coupés de Dieu, c’est que les peuples
de la terre vivent et accomplissent le rôle que Dieu a programmé pour eux. Or,
dans toute son histoire, depuis la Révolution d’Octobre 1917, la Russie soviétique
et démocratique a toujours utilisé sa richesse pour construire des armes, des
bombes, des avions, des fusées, des missiles en vue d’une attaque venant de
l’Amérique capitaliste. Pendant qu’en Occident, l’argent était utilisé pour
acquérir des biens matériels de confort et de plaisir, en Russie, l’argent
détenu par l’Etat était consacré à la production de tanks, de navires, de
sous-marins Diésel puis nucléaire de plus en plus gros et performant.
Il
est vrai que l’apparition des drones a permis à l’Ukraine de détruire de
puissants navires russes, mais cette vulnérabilité de la flotte russe n’est pas
exclusive, un résultat identique serait obtenu contre un navire américain,
anglais ou français. Et la guerre qui vient confirmera bientôt mes propos.
La
réunion des dirigeants « forts » européens à Paris ce 17 Février a
été causée par l’avalanche de reproches présentés clairement par le
vice-président des USA, J.D.Vance, aux dirigeants européens et ukrainiens
réunis la veille à Munich. Ces chefs européens, droits dans leurs bottes, ne
supportent pas facilement d’entendre des reproches qui les condamnent ; et
qui cependant sont totalement justifiés, au point qu’il me semble entendre Dieu
leur parler. Ce qui est pour lui une habitude car il ne frappe jamais ses
ennemis sans leur faire savoir pourquoi il les frappe. Et les reproches
adressés pour des causes profanes sont aussi rejetés et refusés que les
reproches religieux venant de Dieu. Quand on est orgueilleux et rebelle, on
reproduit l’action de l’ange lumière qui a fait de lui, le diable et Satan.
Examinons
ces reproches faits par J.D.Vance. En Europe, la liberté recule. Les principes
démocratiques sont violés, et il prend en exemple, la Roumanie, où l’élection
du camp favorable à la Russie vient d’être annulée sous prétexte d’ingérence
russe pendant la campagne électorale. Et ce reproche est justifié, car les
électeurs sont responsables de leur choix étant placés devant des influences
contraires venant de toutes sortes d’origines. En quoi, un électeur dit libre
se voit-il interdit parce qu’il partage des idées soutenues à l’étranger ?
Depuis 1945, ce principe règne et divise l’Occident capitaliste des pays de
l’Est socialistes.
Le
plus étonnant, c’est que le reproche de ce non respect démocratique européen vient
d’un chef des USA capitalistes. Mais en regardant la situation historique,
c’est simplement normal, parce que les USA ont inventé la démocratie libre, ce
sont-eux qui sont à l’origine de cette prise de liberté que la statue porteuse
de ce nom proclame dans la baie de New-York. Et la France qui l’a offerte aux
Américains a donc bien reconnue par cette action leur paternité de la liberté.
A son tour et après eux, la France républicaine s’est dotée de sa devise
« liberté égalité fraternité », ajoutant ainsi, à la liberté
américaine, ses choix sociaux humanistes de « l’égalité et la
fraternité ». Hélas, pour ses peuples, l’Europe est devenu un monstre
d’inégalité et de mélanges ethniques cosmopolites hostiles à la fraternité.
Dans l’élection du FIS, le Front Islamique du Salut algérien, la France des
« droits de l’homme et du citoyen » a fait pression sur le
gouvernement algérien pour qu’il annule le vote du peuple algérien. Et voici,
qu’en 2025, en Roumanie, l’Europe approuve encore une annulation illégitime,
alors qui peut dire que les reproches formulés par J.D.Vance sont
injustifiés ?
Acceptant
de grandes inégalités sociales, les Américains restent les seuls défenseurs du
principe absolu de la liberté. Et, l’homme honnête doit reconnaître que leur
conception est conforme à celle que Dieu a voulu donner à la vie humaine. Le
bon sens humain de gens sages ne dit-il pas « Qui sème le vent récolte la
tempête » ? Qu’y a-t-il de mal dans le fait que l’homme subisse les
conséquences de ses choix et de ses actions ? Dieu agit ainsi, selon
Jérémie 17:10 : « Moi, YaHWéH,
j'éprouve le cœur, je sonde les reins, pour rendre à chacun selon ses voies, selon
le fruit de ses œuvres. ». En Europe, l’abus des mesures sociales
enlève aux individus toute leur responsabilité, et la société entière en pâtit.
Les dirigeants politiques achètent les âmes humaines par des protections
sociales qui évitent les rébellions populaires. Ils peuvent ainsi prolonger et
favoriser l’activité financière des grands groupes qui font, eux, beaucoup de
profit, comme c’est le cas, aux USA. Ainsi, paradoxalement, composée de grands
groupes industriels et financiers très riches, l’Europe est devenue réellement
de plus en plus pauvre.
Le
recul démocratique européen est une vivante réalité. Et la diabolisation des
ennemis politiques y est devenue la norme. Il suffit, que le désir du respect
de l’autorité nationale soit revendiqué et proposé pour que l’auteur de la proposition
soit comparé à Adolf Hitler le fondateur du parti nazi allemand. Mais le plus
risible dans l’affaire, c’est que ceux qui dénoncent constamment des
« Nazis » soutiennent l’Ukraine dont la forme actuelle rebelle et
nationaliste a été organisée par le groupe Azov publiquement et ouvertement
revendiqué « Nazi » et héritier de son fondateur SS, nommé Bandera.
On ne peut donc trouver meilleur exemple d’aveuglement des intelligences
européennes. Et c’est encore là, une œuvre du Dieu créateur venu sauver ses
élus sous le nom du Juif Jésus-Christ.
La
confusion ne fait que croître, tant dans le domaine profane que celui de la
religion. Sur toute la terre, la chaleur s’intensifie et paradoxalement, le
monde est de plus en plus enténébré. Et ce paradoxe est divinement justifié.
Les hommes sont victimes du culte qu’ils rendent inconsciemment au soleil,
l’astre qui diffuse la lumière de leur vie ; et cette lumière artificielle
les aveugle et les plonge dans de profondes ténèbres qui les conduisent à la
mort. Longtemps recherché et apprécié sur les bords des plages, le soleil brûle
à présent la chair et les récoltes, les terres et les forêts. Il fait évaporer
les eaux des rivières et des lacs et installe la sécheresse parce que les cœurs
humains sont devenus durs et secs.
Cette
sécheresse du cœur devient la norme nouvelle parfaitement incarnée en Donald
Trump, J.D.Vance, Xi-Jin-Ping le chef chinois, et tous les dirigeants européens
ainsi que Volodymyr Zelensky, Vladimir Poutine et son allié de la Corée du
Nord, Kim Yong Un, ainsi que Narendra Modi. Ce sont tous des autocrates
assoiffés de pouvoir et de puissance. Ils se lèvent et apparaissent sous cet
aspect nouveau parce que l’heure vient pour Dieu de « délier les quatre anges retenus » depuis 1840 soit, la dernière
confrontation guerrière des Occidentaux et des orientaux musulmans, à l’époque,
les Turcs Ottomans. Leurs héritiers sont aujourd’hui, la « Türkiye »
du président Erdogan dont le nom signifie « guerrier farouche », qui
est très hostile envers les Européens occidentaux tout en étant membre de
l’OTAN.
Apocalypse
7:1 à 3 et 9:13 à 15 évoquent respectivement le temps où les vents des guerres
religieuses ont été stoppés par Dieu et le moment où il les relâche :
« Après cela, je vis quatre anges
debout aux quatre coins de la terre ; ils
retenaient les quatre vents de la terre, afin qu'il ne soufflât
point de vent sur la terre, ni sur la mer, ni sur aucun arbre. Et je vis un autre ange, qui montait du côté
du soleil levant, et qui tenait le sceau du Dieu vivant; il cria d'une voix
forte aux quatre anges à qui il avait
été donné de faire du mal à la terre et à la mer, et il dit : Ne faites
point de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, jusqu'à ce que nous ayons
marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu. » …/… « Le sixième ange sonna de la trompette.
Et j'entendis une voix venant des quatre cornes de l'autel d'or qui est devant
Dieu, et disant au sixième ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve d'Euphrate. Et
les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année,
furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. »
Tu
peux ainsi le constater, ces deux thèmes du « scellage » et de la « sixième trompette »
reprennent les mêmes sujets et celui de la « sixième trompette »
referme le temps où la paix chrétienne religieuse universelle a officiellement
commencé soit, 1840. Parce que dans cette guerre de 1840, l’Europe chrétienne a
combattu l’islam ottoman lancé dans une conquête territoriale sur le sol
européen.
Il
est bon de relever la différence des mots soulignés de ces versets :
l’arrêt des guerres religieuses est rattaché à « la terre » alors que
la reprise de la guerre concerne le peuple européen symbolisé par « le
fleuve Euphrate ». Cette différence me porte à interpréter ce mot
« terre » comme symbole religieux du protestantisme
américain qui fut en 1843 et 1844, « la terre » où Dieu a semé et
fait germer le mouvement adventiste qu’il bénit en « adventisme du
septième jour » universel, en 1873. Il y eut bien aux USA en 1865 la
guerre civile fratricide dite « de Sécession », mais elle n’avait pas
une cause religieuse officielle. Et cependant, Dieu punissait déjà, le mépris
témoigné pour ses épreuves adventistes de 1843 et 1844.
Il
est essentiel de comprendre qu’au fil du temps, la culpabilité humaine
s’intensifie chaque fois que Dieu intervient pour offrir à ses élus une plus
grande lumière éclairant son projet de salut et son programme d’actions.
Ainsi,
l’Europe est, en premier, tombée par refus des restaurations des vérités
protestantes présentées par Dieu depuis 1170 par Pierre « Valdo ».
Puis à son tour, la religion protestante américaine calviniste, ou luthérienne
est tombée en 1843 et 1844 pour son mépris, son indifférence coupable, témoigné
pour des annonces prophétiques annonçant le retour glorieux de Jésus-Christ. Et
en 1873, Dieu officialise sa reconnaissance de « l’Eglise Adventiste du Septième
Jour » qui représente la dernière forme institutionnelle de son Elue. Toutes
les autres religions chrétiennes sont officiellement rejetées par Dieu et
livrées au diable et ses démons. Ensuite l’Adventisme du septième jour est
répandu dans toutes les nations de la terre entière où la chose a été possible.
En tête, la Suisse est de ce nombre suivie par la France. Dans cette France,
Dieu m’appelle en 1975 pour une mission prophétique que je découvre en 1980
après mon baptême par immersion totale et par choix adulte, réfléchi et assumé.
Dans l’année précédente, en 1979, Israël a fait alliance avec l’Egypte, et dans
cette nouvelle situation, le message prophétisé dans Daniel 11:40 à 45, devient
logique et donc interprétable et compréhensible. En 1982, la Troisième Guerre
Mondiale était annoncée pour 1983 par Jean de Fontbrune selon ses
interprétations des prophéties de Michel Nostradamus. Et ma lecture de Daniel
11:40 à 45 semblait lui donner raison. J’ai donc adopté ce point de vue que
j’ai justifié par mon décryptage de Daniel 11:40 à 45. Je conserve donc cette
compréhension depuis 1982. Et le décryptage complet de la prophétie Apocalypse
m’a fait découvrir la date 1994 obtenue comme terme des « cinq mois
prophétiques cités dans Apocalypse 9: 5 et 10 dans le thème de la « cinquième
trompette ». Convaincu par l’Esprit de Dieu comme William Miller
en son temps, j’ai donné à cette date 1994, l’annonce du vrai retour de
Jésus-Christ. En Novembre 1991, l’église m’a officiellement radié de ses
membres parce que je refusais de remettre en cause ce qui me semblait être une
évidence.
1994
est venu sans que Jésus ne revienne, mais je ne l’attendais plus pour cette
date depuis une année, n’ayant pas vu non plus, en 1993, la Guerre mondiale qui
doit précéder son retour. Ce n’est qu’ensuite en 1996, que l’Esprit a éclairé
mon intelligence. Mes fausses annonces n’avaient pour but que de faire
tomber le masque trompeur et hypocrite des dirigeants adventistes du septième
jour. Soit, une reproduction de l’œuvre accomplie par William Miller qui a
permis à Dieu de démasquer l’hypocrisie religieuse protestante de son époque.
Aujourd’hui
dans le monde, d’autres masques trompeurs tombent, et particulièrement, ceux
derrière lesquels se cachent les dictateurs en herbes des fausses démocraties
occidentales.
Je
le précise, ce terme « faux » que j’impute à mes
annonces non accomplies ne me gêne pas, car la sainte Bible nomme sagesse, le
principe de prêcher le faux pour obtenir
le vrai, comme en a témoigné en son temps, le sage roi Salomon. Dieu nous a
utilisés de la même manière, William Miller et moi, chacun en notre temps, pour
faire tomber les masques de la fausse religion qui répand la confusion dans les
esprits humains. Le « faux » est l’arme secrète du « Dieu
de vérité » source de la vraie sagesse.
La
confusion est la conséquence de l’esprit de Babel réveillé par les USA et après
eux par la France dont le modèle a été donné aux peuples réunis dans l’U.E.
actuelle. Il te faut comprendre que cette construction européenne est le fruit
d’une malédiction collective de l’Europe
entière ; l’Europe Occidentale des « dix cornes » de
Daniel 7:7-24 et Apocalypse 13:1, 17:3, auxquels il faut ajouter, les nations
entrées dans l’alliance des six pays du « marché commun »
originel ; l’ensemble regroupe aujourd’hui 27 nations. Dieu a réuni dans
cette alliance, toutes les cibles de sa principale colère ; les nations
chrétiennes ou originellement chrétiennes, catholiques, protestantes ou
orthodoxes.
Sous
le prétexte de protection de la paix, trahi par la présidente de la Commission
européenne et le président des députés européens après le 24 Février 2022, les
peuples signataires ont été victimes d’une gigantesque escroquerie. Et depuis
le traité de Maastricht, les députés européens et nationaux ont regardé les
prix des aliments et des produits divers monter, sans intervenir, comme les
vaches qui regardent passer les trains ; elles lèvent la tête, puis se
remettent à brouter l’herbe qui les rassasie. Et en plus, les commissaires
européens grassement payés pour agir se sont employés à ruiner les nations
riches pour favoriser les investissements dans les pays pauvres entrants. La
France est aujourd’hui ruinée, non par une guerre dévastatrice, mais par ses
seuls choix politiques idéologiques.
M15- Un pays trop loin
Le titre de ce
message reprend le titre d’un film traitant de la Seconde Guerre Mondiale soit,
« Un pont trop loin ». Dans le scénario basé sur un fait réel,
l’Angleterre lance une attaque contre l’armée allemande qui occupait encore la
Belgique. Dans le projet, plusieurs ponts devaient être pris et franchis. Le
dernier pont était celui d’Harleim. Et cette dernière bataille fut perdue à
cause d’une résistance allemande efficace et les difficultés des Anglais à
faire avancer les renforts nécessaires. Ce seul échec final rendit l’opération
entière vaine.
Dans leur vie
courante, il arrive souvent aux êtres humains de faire une fois de trop divers
types d’actions. La vie céleste créée premièrement par Dieu est sujette au
temps qui s’écoule comme nous. La différence entre les anges et nous est qu’ils
ont reçu de Dieu un corps incorruptible qui peut donc vivre aussi longtemps que
Dieu le permet. Ils ne sont donc pas pour autant immortels, car l’immortalité
est strictement divine. Mais possédant cette immortalité, il peut offrir à ses
créatures de vivre éternellement en sa compagnie. Et c’est la récompense que
Dieu promet à ses élus rachetés par Jésus-Christ.
Pour toutes ses
créatures, leur vie c’est du temps. Et ce temps offre à toutes, célestes et
terrestres, le moyen de comprendre les valeurs divines, de les approuver ou de
les rejeter. Au premier commencement de la vie céleste, l’ange de lumière, créé
en premier, a été créé parfait. Dieu ne lui a pas donné une femme, un vis-à-vis
féminin, mais des frères célestes, anges comme lui, en grands nombres.
Reconnaissants envers Dieu, leur Créateur, tous le louaient et le servaient
dans l’amour fraternel partagé, pur et sans ombre.
Parce que toute
assemblée de créatures doit être organisée, comme il l’a ordonné plus tard pour
Israël, Dieu a organisé dans la vie des anges, une autorité hiérarchique. Le
premier ange créé dominait tous les anges, n’ayant au-dessus de lui que
« Micaël » l’expression divine angélique. Tous servaient et
glorifiaient l’Esprit du Père, incomparable et unique. Les chefs célestes ne
reçoivent pas un salaire pour le service qu’ils font. Les anges vivent donc
dans des conditions entièrement égalitaires et seule l’autorité des chefs
marque une différence. Ces conditions auraient pu se prolonger éternellement.
Hélas, et Dieu
le savait depuis le début, l’obéissance qu’il obtenait des anges subordonnés a
fait mal réagir l’ange supérieur placé au-dessus de tous les autres. L’orgueil
s’est formé dans son esprit, et progressivement, cet orgueil a suscité dans son
esprit des pensées contestataires envers les valeurs divines. Ce qui est né
dans cet ange créé parfait était l’embryon du péché.
Dieu n’a pas
cherché à l’éviter, car pour l’éviter, il aurait été contraint de devoir se
contenter de vis-à-vis programmés pour l’obéissance servile, sans liberté, ni
l’intelligence libre qui peut l’apprécier. Il a créé des vis-à-vis pour
recevoir leur amour ou leur haine, et entre ces deux extrêmes, la froide
indifférence. Dans le temps de vie qui leur est donné par Dieu, ses créatures
peuvent choisir la forme qu’elles vont donner à leur rapport avec Lui. Et la
question qui se présente est alors celle-ci : jusqu’à quel niveau, Dieu
peut-il supporter la contestation de ses valeurs ? Ces différents niveaux
successifs sont à l’image des ponts du film anglais. Et Dieu seul décide de la
limite de ce qu’il supporte. Le mal est apparu dans le premier ange créé et
partageant ses idées avec d’autres anges, ce mal a été transmis à ces anges qui
l’ont approuvé. Tant que le mal était uniquement dans un seul ange, l’offre de
pardon de Dieu était possible ; à condition que le coupable reconnaisse sa
faute, et se repente sincèrement, étant décidé à ne pas recommencer son erreur
de jugement. Mais l’extension du mal rendait cette offre inefficace, parce que
celui qui avait eu en premier connu le mal était encouragé par le soutien qu’il
recevait des mauvais anges qui partageaient ses idées.
J’insiste encore
sur ce sujet, parce qu’il est fondamental pour notre compréhension : c’est
en parfaite connaissance des conséquences portées que Dieu a donné la liberté
entière à ses vis-à-vis célestes puis terrestres. Les valeurs s’étendent dans
les deux sens opposées, du bien ou du mal, et chaque chose, chaque principe, a
son contraire absolu ; c’est inévitable quand ces valeurs sont soumises à
l’entière liberté. Mais Dieu n’avait pas l’intention de vivre éternellement
avec des créatures contestataires ; et son projet du salut prévoyait de
les détruire et de les anéantir entièrement à la fin du temps des épreuves.
L’amour de ses élus étant le but recherché par Dieu, il fallait organiser une
démonstration divine de son amour pour ses créatures pour attirer vers lui
celles qui sont dignes de son amour.
Les Chrétiens
savent dire que « Dieu est amour » comme les Musulmans disent
« Dieu est grand ». Et malgré ces belles paroles, les deux lui
désobéissent, plus ou moins dans l’ignorance. Il faut vraiment qu’il soit
« amour » pour supporter aussi longtemps des vies rebelles qui
contestent son autorité exprimée dans ses lois, ses valeurs, ses principes, ses
commandements. La première des choses que nous devons reconnaître, c’est sa
divine patience, qui n’est pas à notre échelle humaine, mais à son échelle
divine immortelle et éternelle. Mais sa patience n’est pas éternelle et ne peut
qu’avoir une limite que le temps éternel ne permet pas de chiffrer, de mesurer.
Dieu avait besoin d’un instrument de mesure pour fixer la limite de sa patience
et c’est là, une raison de sa création terrestre.
En effet, dans
la vie céleste, la vie est une longue continuité sans coupure, se prolongeant
constamment. Dieu crée donc la dimension terrestre prophétisant sa durée pour
7000 ans par les sept jours de la semaine de la création. Ce fut une mauvaise
nouvelle pour les mauvais anges, car Dieu a ainsi mis en marche une horloge du
temps universel multidimensionnel, qui
va compter le temps parce que pour ses ennemis, les anges démoniaques, le temps est compté ! Imagine
l’effet produit dans leurs esprits ; les rotations de la terre sur son axe
et autour du soleil prennent l’aspect du tic-tac de l’horloge qui compte le
temps qui leur reste à vivre avant d’être anéantis par Dieu, comme le condamné
à mort attend l’heure de son exécution dans sa prison. En créant la dimension
terrestre, Dieu a lancé un défi à Satan et ses anges rebelles. Puisqu’il
conteste sa façon de gouverner, Dieu lui offre un terrain neutre pour donner
forme à ses idées. Dieu ne prend pas de risque parce qu’il sait d’avance ce que
va produire leur méchanceté. Et il a dans son projet de salut une arme secrète,
un joker qui lui permettra d’obtenir les élus désirés. Le combat qui s’engage
entre Dieu et le camp démoniaque n’a pas le même but dans les deux camps. Dans
le camp du diable, pour être vainqueur il faut remporter une victoire totale et
infliger à l’adversaire un échec complet. A l’opposé, Dieu ne combat que pour
obtenir l’amour de son petit troupeau d’élus rachetés par le sang versé par
Jésus-Christ. Et il sera pleinement satisfait de ce résultat ; et ayant
atteint son but, il pourra alors user de sa puissance divine pour anéantir tous
les rebelles : les anges et les humains.
Satan et tous
les démons ont un jour, dans le temps éternel, franchi la limite supportée par
Dieu et après eux, des milliards de créatures humaines ont fait et font encore
de même. Les anges avaient sur les humains un gros avantage : ils savaient
que Dieu existe et que sa puissance est redoutable. Car aujourd’hui, l’horloge
du temps qui marque celui qu’il leur reste à vivre ne sert aux êtres humains
qu’à mesurer un temps qu’ils croient éternel. Ils ont refusé de croire aux 6000
ans programmé par la sainte Bible pour conduire au retour du Christ et aux
« mille ans » du septième millénaire que seul et isolé,
Satan vivra sur la terre désolée, parce que ses habitants humains rebelles
auront été tous détruits jusqu’au dernier, quand le Christ divin reviendra
soit, au printemps 2030.
Je passe
maintenant du « pas trop loin » au « pays trop loin ». Et
depuis le partage de Yalta, en 1945, il existe de multiples exemples. Le régime
de Mac Arthur des USA a lancé une chasse meurtrière contre les communistes
américains, leur vouant une très forte haine. Devant cette agressivité, la Russie
soviétique a dressé un « rideau de fer » virtuel et réel prenant la
forme du mur de Berlin. A Yalta, la Russie a reçu en dédommagement de guerre, les
pays Baltes et la Pologne frontaliers de l’Europe occidentale capitaliste. La
domination russe s’est prolongée jusqu’en 1990 où une crise économique et
politique a fait cesser la domination soviétique. Profitant de la situation,
les pays conquis à Yalta se sont libérés et ont repris leur indépendance, sans
que la Russie soit en capacité de les empêcher de le faire. Et dans ce
contexte, les pays Baltes, la Pologne, et la Roumanie, ont rejoint l’alliance
européenne de l’U.E. Au fil du temps, la Russie s’est relevée économiquement et
politiquement et a accepté de perdre les pays obtenus à Yalta. Et c’est là que
je relève l’avant-dernier pas franchi par le camp européen et américain, quand
ils ont combattu la Serbie dans la guerre des Balkans. Là, ils ont déjà profité
de l’affaiblissement momentané de la Russie soviétique, pour intervenir sur des
territoires de l’ancienne Yougoslavie communiste où la Serbie orthodoxe, la Croatie
catholique, et la Bosnie-Herzégovine majoritairement musulmane, se combattaient
après la mort du dictateur Tito. Le camp occidental interventionniste a alors
choisi d’écraser les Serbes et de protéger les Bosniaques et les Croates soit,
d’écraser des alliés de la Russie et de protéger des Musulmans, et des
Catholiques adorateurs et serviteurs zélés du Pape romain. Pour mieux humilier
la Serbie, son territoire natal du Kosovo lui a été enlevé et donné aux
immigrés albanais qui étaient à l’origine de brutalités commises envers des
Serbes. Arrêté et jugé par le tribunal de la Haye, le président Serbe Slobodan
Milosevic est mort en prison. Ces injustices occidentales ont gravé dans les
esprits des Serbes une rancœur que le temps n’efface pas et qui se réveillera à
l’heure du grand affrontement de la « sixième trompette ». Ce pas là
était déjà de trop, mais la Russie n’a pas cherché à venger la Serbie son
alliée de toujours. La paix et les échanges commerciaux ont prévalu et la
Russie est devenue le pays fournisseur de gaz à l’Europe et principalement, à
l’Allemagne alimentée directement par le gazoduc de Gazprom Northstream 1
détruit ensuite par des saboteurs ukrainiens.
Le « pas de
trop » ou « pays de trop » a été accompli quand l’Ukraine s’est
mis dans la tête le projet de rejoindre le camp européen, libre, riche et
prospère. Dieu seul sait quelles ont été les causes et les responsables de ce
choix, mais une chose est sûre : l’Ukraine n’était pas une conquête de
Yalta ; elle était Russe et elle était devenue une république indépendante
des pays de l’Est qui vivait en bonne relation avec la Russie mère et les
autres républiques de l’Est.
Le vrai
« pas de trop » a été la demande de l’Ukraine à entrer dans le camp
de l’OTAN, mais la superficialité des européens qui diabolise le nationalisme
ne leur permet pas de comprendre ce qu’on ressenti les gens de la Russie,
peuple et dirigeants restés, eux, très conservateurs et ayant en mémoire le mal
que le capitalisme des USA et des Européens leur a fait, en profitant de leur
faiblesse passagère pour étendre leurs influence vers l’Est. Dans cette pensée,
on peut mieux comprendre l’effet de la présence de chars allemands, et
américains, sur le champ de bataille de l’Ukraine. Pour l’homme russe, l’Otan
attaque la Russie qui est donc mise en danger.
Dans
l’actualité, j’entends Donald Trump interpréter la guerre de l’Ukraine comme je
le fais moi-même. Car la Bible elle-même invite l’homme à vérifier sa capacité
de répondre au besoin rendu nécessaire pour faire la guerre à son ennemi. Et je
ne peux qu’approuver ce conseil divin de pure sagesse. Jésus dit dans Luc 14:31-32 :
« Ou quel roi, s'il va faire la
guerre à un autre roi, ne s'assied d'abord pour examiner s'il peut, avec dix
mille hommes, marcher à la rencontre de celui qui vient l'attaquer avec vingt
mille ? S'il ne le peut, tandis que cet autre roi est encore loin, il lui
envoie une ambassade pour demander la paix. » Quelle différence,
pouvons-nous relever entre cette conduite sage divine et la réaction agressive
du jeune dirigeant de l’Ukraine et du groupe Azov nazi qui l’a porté au
pouvoir ! Aussi, ne faut-il pas s’étonner de ce que les rebelles
occidentaux le soutiennent et lui rendent gloire.
Les détails du
début sont ignorés injustement par les analystes des faits. Car la guerre en
Ukraine n’a pas commencé le 24 Février 2022, mais beaucoup plus tôt, en 2013, à
cause d’un putsch populaire entraîné par le groupe nazi Azov qui voulait
enlever à la Russie son influence majoritaire russophone et russophile en
renversant, par la violence, le président légalement élu de l’Ukraine. Ce pays
était corrompu à l’extrême et le soutien venu des Occidentaux est si paradoxal,
pour ces chasseurs de nazis, que leur manipulation par Dieu devient évidente.
Le comportement
actuel des dirigeants politiques au sujet des groupes nazis est très paradoxal.
Les Occidentaux nazifient le président Poutine leur nouvel Hitler mais
soutiennent l’Ukraine actuelle soulevée contre la Russie et sa culture, par les
vrais nazis revendiqués du groupe Azov fondé comme je l’ai plusieurs fois
rappelé par le nazi SS ukrainien nommé Bandera qu’ils tiennent pour leur héros
national. De son côté, l’Amérique de Joe Biden, l’ancienne Amérique, n’est pas
préoccupée par le problème nazi. Ceci, pour la simple raison qu’en 1945, le
pays en a accueilli certains qui, étant scientifiques, ont été honorés et
appréciés par la nation et ses dirigeants. Et depuis 1945, 80 ans se sont
écoulés, le temps d’une génération né à la fin de la Seconde Guerre Mondiale.
En conséquence les générations actuellement au pouvoir ne donnent pas au
nazisme sa nature terrible originelle imposée par le socialiste allemand Adolf
Hitler porté légalement au pouvoir par son peuple.
L’appréciation
du nazisme est très particulière. Car, pour beaucoup de gens de tous âges, le
nazisme ne peut qu’être allemand. C’est une terrible erreur qui empêche de voir
la situation réelle qui se présente au fil du temps. Et on stigmatise encore
aujourd’hui les néo-nazis allemands mais on ne le fait pas quand ceux qui
portent l’uniforme des Waffen-SS et la croix gammée sont ukrainiens.
Une profonde
fracture vient de séparer le camp occidental en deux camps : celui des USA
qui imposent leur position et celui des Européens qui se sont toujours senti
forts en se croyant couverts par le bouclier nucléaire américain. C’est
pourquoi, il est intéressant de relever ce détail subtil : Donald Trump
est aussi celui qui « trompe » ;
je précise que cette idée n’est décelable qu’en langue française. Car, le
renversement de politique qu’il impose « trompe » toutes les espérances des alliés des USA. Etant
l’instrument principal de la « sixième
trompette » d’Apocalypse
9:13, par son retrait de protection, il livre l’Europe occidentale à la
vengeance russe.
Le « pas de
trop » n’est franchi que par les êtres maudits par Dieu. Ceux qu’il a
prédestinés pour être des vases conçus pour la perdition. J’utilise ici ce
verbe « prédestiner » qui définit une anticipation du destin. Ce
verbe a besoin d’être bien compris car il est communément mal interprété par
les multitudes chrétiennes. Cette prédestination est imputé à Dieu et à lui
seul. Car ayant mis en route une reproduction mécanique qui donne à chaque
individu un génome unique obtenu par des associations de certains gènes
paternels et d’autres gènes maternels, toutes les créatures humaines sont
génétiquement uniques. La « prédestination » doit son nom au fait
qu’avant de créer ses créatures entièrement libres et indépendantes intellectuellement,
Dieu a formé un plan de salut et un projet qu’il a programmé d’avance. Dans ce
projet, il y aura les élus et les perdus, mais Dieu n’impose à aucun d’eux
d’être l’élu ou le perdu. Le résultat dépendra entièrement de leur libre choix
individuel. Cependant, n’étant pas limité comme ses créatures angéliques et
humaines, Dieu voit le futur tel qu’il va s’accomplir, et il connaît donc avant
qu’elles soient nées, les choix que toutes ses créatures vont faire après leur
naissance soit, leur entrée dans la vie.
Ce sujet est
très important, parce que le diable inspire aux créatures les plus faibles des
idées défaitistes par lesquelles il tente de les convaincre que lutter est
inutile parce que son combat est perdu d’avance. Se sentant minable et
convaincue de n’y rien pouvoir changer, l’âme faible abandonne le combat et se
résigne à se considérée comme ayant été prédestinée à être perdue. Souvent dans
ce cas, j’ai entendu dire : « Tu as de la chance, tu as la foi, moi
j’ai bien essayé, mais je n’y arrive pas ». Que manquait-il à ces
personnes, la foi ? Non pas, mais la vraie connaissance de la vie humaine,
son fonctionnement sous le regard et le contrôle du Dieu créateur
Tout-Puissant.
Il est aussi
très important de savoir qu’aucun être méchant de nature ne peut se convertir
et devenir bon. C’est impossible et le salut est réservé qu’aux créatures
naturellement bonnes et remplies d’amour de la vérité.
Pour démontrer
cette affirmation je vais prendre pour exemple, deux hommes hors du commun
cités dans la sainte Bible : le roi chaldéen Nébucadnetsar et l’apôtre
Paul, né Saul de Tarse.
Nébucadnetsar
avait une nature que Dieu pouvait convertir. Son règne puissant et élevé, a
favorisé un comportement de fierté orgueilleuse. Mais relève-le avec moi, il
avait en lui un grand amour pour la vérité, et il en donne la preuve en
condamnant à mort ses sages, ses devins, ses scientifiques, qui se montrent
tous, incapables de dire au roi le scénario de sa vision nocturne. Ces gens se
targuent et se vantent d’être en contact avec les divinités, si c’est vrai,
rien ne leur est impossible. Dans ce raisonnement, Nébucadnetsar se rapproche
du vrai Dieu pour lequel son raisonnement est juste, logique, et conforme au
vrai pouvoir divin. Il n’avait donc qu’à être délivré de son orgueil, pour
devenir un élu glorifiant le seul vrai Dieu, ayant été prédestiné à le devenir.
Le cas de Saul
de Tarse est différent, parce que c’est son zèle pour Dieu qui le conduit,
aveuglément, à persécuter la religion chrétienne qui va, selon lui, mettre en
danger l’héritage religieux séculaire juif. Comme il en témoigne plus tard,
Paul a été instruit par le sage Gamaliel et il se montre respectueux envers ce
qu’il tient pour être la vérité divine. Paul n’est ni rebelle, ni désobéissant,
il est même l’extrême opposé de ces choses. Son attachement et son souci de ne
pas déplaire à Dieu est tel, qu’il faut un miracle divin pour l’arracher à sa
fidélité. Notre situation mondiale actuelle témoigne en faveur de Paul qui
redoutait les conséquences du changement. C’est en sachant tout cela que Jésus
est intervenu sur le chemin de Damas pour l’arracher à son aveuglement
spirituel. Et en le rendant réellement aveugle, il lui signale la nature de son
erreur de jugement. Le « trop » est comme le « pas assez » ;
on a coutume de dire que les extrêmes se rejoignent. Quand se présente à nous
quelque chose de nouveau, la méfiance est légitime, et seule l’analyse
approfondie des choses nouvelles annoncées peut légitimement conduire au rejet
ou à l’acceptation. Il est stupide de rejeter systématiquement une nouveauté,
mais il est tout autant stupide de l’accepter sans l’examiner attentivement.
L’aveuglement spirituel de Paul est de ce premier type. Mais, personne avant
Jésus n’avait remis en cause la norme religieuse pratiquée par l’Israël des
Hébreux et des Juifs. La loi de Moïse, les révélations des prophètes, et aussi
les écrits des grands rabbins composant le « Talmud », étaient
devenues un totem religieux supérieur à tout et devant lequel tout devait plier
et s’incliner. Le problème était l’incompréhension de ces textes auxquels Dieu
donnait des sens prophétiques et symboliques en plus du sens littéral
discernable par tous leurs lecteurs.
Si Jésus n’était
pas venu pour expliquer, lui-même, le message spirituel prophétique des rites
et des textes de la sainte Bible, personne n’aurait pu comprendre pourquoi il
est mort crucifié, en apparence, injustement, et le plus étonnant,
volontairement, en offrant sa vie au martyre.
J’ajoute ce
troisième exemple qui est l’opposé des cas précédents en évoquant Judas
Iscariot le traître choisi par Jésus pour être l’un de ses douze apôtres. C’est
encore en pleine connaissance de sa méchante nature que Jésus l’a choisi, non
pour le servir, mais pour le trahir. Un tel homme ne peut pas se convertir, car
il est comme une terre pierreuse sur laquelle rien ne peut ni germer ni
pousser. Jésus le sait voleur et cependant lui confie la trésorerie de son
groupe qui le suit. Judas assiste à ses miracles et au lieu de se réjouir
d’être privilégié par Dieu, il forme des projets de gloire terrestre, se voyant
déjà ministre du grand roi Jésus 1er. Il ne pouvait pas changer sa
nature et ne l’a pas changé. Au soir de l’arrestation de Jésus, il a franchi le
« pas de trop », en venant lui offrir un baiser, pour le désigner,
selon le moyen décidé avec le chef des gardes Juifs. Ensuite, pour ne pas lui
donner le temps ou l’occasion de se repentir, le diable lui a inspiré le désir
de se pendre pour mourir. Mais pourquoi s’est-il réellement pendu ? Est-ce
par honte et repentance ? Mais non, cet homme froid, menteur, voleur, ne
pouvait pas se repentir. La cause de sa mort fut la déception de voir ses
projets de grandeur s’écrouler sous ses yeux. Car au lieu de s’emparer du
pouvoir du pays entier, comme il l’avait espéré, Judas a vu Jésus, rester muet
et docile comme un agneau qui se laisse tondre ou égorger ; sans se
plaindre ou protester, Jésus a subi la flagellation romaine, sa chair étant
déchirée par les embouts métalliques attachées au bout des longues lanières de
cuir ; puis portant sur son épaule le lourd « patibulum »,
il s’est laissé crucifier au pied du
Mont Golgotha. Judas a fait ce jour-là, ce que beaucoup d’hommes font après une
faillite professionnelle ou un échec familial dans lequel le rejet est
insupporté, ou encore, paradoxalement, par peur de la mort : il s’est
suicidé ne supportant plus de vivre.
La vie est en
même temps la meilleure et la pire des choses. Quand elle est remplie
d’espérance placée dans le bonheur à venir, elle est la meilleure des choses.
Mais quand l’âme humaine est assaillie par des contrariétés qui la rendent
ténébreuse, la vie devient la pire des choses et beaucoup, dans ce cas, ne la
supportent plus.
Pendant
les trois ans et six mois de son ministère terrestre, Jésus a traité Judas comme
ses onze autres disciples, sachant qu’il était un agent du diable infiltré dans
son groupe apostolique, mais aussi sachant pourquoi sa présence était
nécessaire. Judas était un représentant de cette nation juive hostile envers
son « messie ». Il était aussi, le médium à travers lequel, Satan,
« l’arbre de la connaissance du bien
et du mal » faisait mourir son ennemi, Jésus, « l’arbre de la vie ». C’est à cette
occasion que « le serpent blessa le talon » de l’homme, lequel ressuscité
« lui écrasera la tête » selon Genèse 3:15 : « Je mettrai inimitié entre toi et la femme,
entre ta postérité et sa postérité: celle-ci
t'écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon. » De même,
l’annonce de Genèse 3:14 prophétise le confinement terrestre du diable sur la terre
après la victoire de Jésus : « YaHWéH
Dieu dit au serpent : Puisque tu as fait cela, tu seras maudit entre tout le
bétail et entre tous les animaux des champs, tu marcheras sur ton ventre, et tu mangeras de la poussière tous les
jours de ta vie. » Satan vivra seul sur la terre désolée pendant
« mille ans » et au jugement dernier, la terre sera son
tombeau.
M16- Le mirage de la paix
Il
en est de la paix comme d’un mirage ; plus on s’avance dans sa direction,
plus elle s’éloigne de nous.
Aujourd’hui,
c’était le Lundi 24 Février 2025. Chacun à sa façon a voulu marquer ce
troisième anniversaire de l’invasion russe sur le territoire de l’Ukraine. Les
principaux dirigeants européens se sont rendus à Kiev rejoignant le dirigeant
ukrainien, mais pour sa part, le président de la France, Emmanuel Macron, a
préféré se rendre aux USA, pour rencontrer le président Trump. Les deux chefs
d’Etat se sont donc rencontré et ont échangé leur position et leur avis. Sans
surprise, chacun d’eux est resté sur ses positions, maintenant bien connues
après de multiples déclarations publiques faites par chacun d’eux. Si bien que
la première idée qui m’est venue à l’esprit a été : tout ça pour ça !
Un échange téléphonique aurait pu remplacer ce coûteux déplacement apparemment
inutile. Puis une seconde idée m’est venue ; à la différence du téléphone,
cette rencontre a permis au président Macron de présenter au peuple américain,
ce que pensent les Européens au sujet de l’Ukraine et de la Russie. Il a ainsi
utilisé, une tribune offerte par son ami adversaire, le président Trump, et il
en a profité pour rencontrer le Sénat américain, semant ainsi l’idée du
positionnement européen dans les instances dirigeantes de la nation. A la
Maison Blanche, devant les journalistes et le président Trump, Macron s’est
exprimé dans un long discours en Français que le président ne comprend pas. Le
peuple américain aura donc entendu ses propos traduits pour l’information sans
que le président Trump puisse le contredire. Sur le plan tactique, le jeune
président s’est montré plus malin que le vieux Trump, qui pour autant n’a pas
été dupe, puisqu’il a lui-même fait l’éloge de sa malignité. Il a dit qu’après
avoir revu la traduction de l’un de ses discours fait en français, il n’avait
pas reconnu les propos qu’il lui avait tenus. Donc, la rencontre s’est
effectuée en apparence de manière chaleureuse et amicale. Mais les deux hommes
sont restés sur leur propre position initiale. Et quelles que soient leurs
déclarations, les deux présidents agiront selon leur propre point de vue.
En
conséquence, la situation n’a pas avancé d’un seul pouce. Et cette rencontre
n’aura encore été qu’une gesticulation de plus, de la part de gens pris dans
un piège et qui cherchent désespérément un moyen d’en sortir.
Pour
obtenir une paix favorable à des échanges commerciaux réciproques avec la
Russie, le président Trump est prêt à tout sacrifier : l’Ukraine et
l’Europe. Mais cette affaire se présente comme la peau de l’ours qui ne peut
être vendue que quand l’ours est tué. Et dans ce rôle de l’ours se trouve la
Russie qui est prête, pour sa part, à vendre sa peau très chèrement. Et ce prix
sera payé en Troisième Guerre Mondiale que Donald Trump déclare ne vouloir à
aucun prix.
Ce
que je constate, c’est que ce qui s’est engagé est un dialogue de sourds. En
Europe et aux USA, on n’entend que ce qu’on veut bien entendre. Et le piège
n’est pas pour les USA, car le président Trump ne se laissera jamais contraindre
à faire ce qu’il ne veut pas faire. Par contre, côté européen, prendre ses
désirs pour des réalités aura les plus terribles conséquences. Le dilemme est
le suivant : Trump veut laisser derrière lui l’image de l’homme qui a
réussi à imposer la paix sur toute la terre. Il n’est en rien un homme de
guerre car il déteste la guerre qui ruine et qui tue des vies humaines. Et à ce
titre, il ne se laissera jamais entraîner dans un affrontement guerrier ni pour
l’Ukraine, ni pour l’Europe, ni pour Gaza.
De
leur côté, les Européens considèrent l’Ukraine comme un pays européen qu’il
n’est cependant pas. Car candidat à entrer dans l’U.E., ce pays est un pays de
l’Est, devenu fraichement indépendant et longtemps considéré comme une province
de la Russie soviétique. Pour leur malheur, les Européens occidentaux ont
encouragé sa trahison envers ses nations sœurs de l’Est. Et ils l’ont aidé, en
se ruinant pour la soutenir dans sa guerre contre la Russie. Je rappelle donc une nouvelle fois les fautes
commises par les nations occidentales :
1-
Soutien
donné au renversement du président russe légitimement élu.
2-
Soutien
donné à un putsch populaire soulevé par les nazis d’Azov.
3-
Soutien
donné à une purification ethnique dirigée contre la Russie.
4-
Soutien
donné à l’interdiction ukrainienne d’utiliser la langue russe.
5-
Soutien
donné à l’un des camps d’une guerre civile ukrainienne.
C’est
pour ces cinq raisons que la Russie est entrée en action pour aider la minorité
russe attaquée et regroupée dans le Donbass à l’extrême Est du pays.
Contrairement aux Occidentaux, la Russie avait, elle, une juste raison d’aider
des russophones et russophiles ukrainiens à résister aux attaques meurtrières
lancées par les troupes recrutées par Kiev. C’est ainsi qu’en 2014, les armées
russes se sont emparées de la Crimée avec le soutien de ses habitants ;
soit, selon le principe de l’autodétermination gaulliste soutenu par la France,
notamment à Mayotte.
Le
commerce avait réussi à faire accepter, par la grande Russie, l’indépendance
des pays Baltes, de la Pologne, la Roumanie, qui depuis le partage de Yalta en
1945, se tenaient entre l’Europe et elle. Tous ces pays ont profité de la chute
de l’URSS pour rejoindre le camp occidental de l’U.E. et de l’OTAN. La Russie
restait séparée de l’U.E., par la Biélorussie et l’Ukraine. Et la Russie
acceptait cette situation. Mais lorsqu’en 2022, le chef de l’Ukraine a demandé
de faire entrer son pays dans l’OTAN, alliance militaire occidentale, un pas de
trop a été franchi. La Russie est entrée en Ukraine espérant que ses colonnes
de chars suffiraient pour ramener la présidence ukrainienne à la raison.
Cependant, soutenu par le président américain Joe Biden, l’Ukraine a réagi avec
violence détruisant rapidement les colonnes de chars russes grâce à ses drones
tueurs extrêmement efficaces. La Finlande et la Suède ont à leur tour rejoint
l’OTAN ; ce qui rend la guerre russe encore plus nécessaire. La Finlande
était aussi une séparation indépendante placée entre la Russie et l’Europe.
Chaque
bombe, chaque drone, chaque missile, tiré par le camp ukrainien contre la
Russie, oblige celle-ci à se montrer, plus forte et déterminée. Le camp
occidental est convaincu, à tort, que ses bombes peuvent lui donner la victoire
contre la Russie, alors que dans l’histoire passée, les témoignages de son
invincibilité sont nombreux. Pour la détruire, il faudra utiliser des bombes
atomiques, mais le conflit n’est encore que de forme conventionnelle et dans ce
style de guerre, les pays de l’Est et la Russie représentent une écrasante
force. Cette force russe n’est pas dans le nombre de sa population estimée à
environ 144 millions d’habitants. Sa force réside dans le dictat de sa
présidence qui peut agir ou réagir immédiatement en face de tout nouveau
problème. De plus, depuis 1917, la Russie a collectivement travaillé
presqu’uniquement pour construire son équipement militaire très coûteux :
en chars d’assauts, avions, navires, bombes et missiles nucléaires et
conventionnels. Ce peuple a constitué un énorme stock de bombes selon le rôle
que Dieu devait lui donner dans son projet programmé et prophétisé dans Daniel
11:40 à 45, Ezéchiel 38 et 39 et Apocalypse 9:13 à 21.
Les
Occidentaux se sont longtemps appuyés sur la protection nucléaire américaine
qui leur donnait la possibilité de se montrer arrogants et dominateurs. Ils se
sont comportés comme ce gamin chétif qui cherche querelle à plus fort que lui
en comptant sur son grand frère pour le défendre et le protéger des coups que
son arrogance mérite. Imagine que le grand frère refuse alors de le
protéger ; qu’arrive-t-il au gamin arrogant ? Il se fait massacrer.
C’est là, précisément, le projet que le grand Dieu créateur a conçu pour punir
les habitants de l’Europe Occidentale infidèlement chrétienne.
Après
trois ans pendant lesquels ils ont armé l’Ukraine et causé la mort de
500 000 russes, il est trop tard, pour revenir en arrière et réparer les
torts faits à la Russie. Ils n’ont donc pas d’autre choix, que celui de
prolonger le combat contre elle, en espérant, la vaincre, avec le soutien des
USA. Or, depuis 2024, le président Trump encore non réélu leur a fait savoir
qu’il ne les défendrait pas. Au pire pour eux, il avait dit qu’il les livrerait
aux armées russes. Depuis son élection en 2025, il ne dit plus cela, mais
n’annonce pas son intention de les aider autrement qu’en recherchant la paix
avec Poutine.
Certains
pays européens comprennent le changement de situation et refusent de s’engager
davantage dans cette guerre menée contre la Russie : la Pologne, la
Hongrie, la Slovaquie, l’Espagne, l’Italie. Mais d’autres sont d’avis de
combattre plus directement l’armée russe en se mettant aux côtés des
Ukrainiens : l’Angleterre et la France, deux pays nucléaires, et les pays
Baltes, la Finlande, etc.
L’Europe
occidentale est de ce fait, divisée et donc, affaiblie.
La
guerre menée en Ukraine n’est rien d’autre qu’une guerre civile où s’opposent
deux conceptions de sociétés différentes : l’une veut échapper au dictat
de la domination russe, l’autre veut rester sous cette domination de la grande
Russie. A la faveur des circonstances, les demandeurs de liberté ont approuvé
l’indépendance de l’Ukraine dont Kiev, la capitale est aussi le berceau de la
nation russe. Le chaos politique qui caractérisait la Russie au moment de sa
chute a favorisé l’enrichissement des oligarques russes qui se sont emparés des
richesses de la nation et sont à l’origine de la formation de nombreuses
républiques indépendantes restées liées à la grande Russie. Et l’Ukraine était
l’une d’elle. Sa gouvernance est restée dans la norme anarchique sous laquelle
elle s’est séparée de la Russie que l’arrivée au pouvoir de Vladimir Poutine a
redressée par la mise au pas de tous les oligarques russes du pays. L’anarchie
et la corruption caractérisaient cette Ukraine indépendante dans laquelle des
voix s’élevaient, demandant à rejoindre l’alliance européenne. Les pays Baltes
et la Pologne sont entrés dans l’U.E., retrouvant et affirmant ainsi leur
indépendance perdue depuis 1945 au partage de Yalta. La Pologne était
catholique et libérée du joug soviétique, elle a retrouvé son engagement
catholique, ayant donné au catholicisme romain, son pape, Jean Paul II, né
Karol Wojtyla.
En
2008, l’Ukraine a aussi fait sa demande pour entrer dans l’OTAN, mais la
chancelière allemande Angela Merkel a refusé son entrée à cause de son énorme
corruption interne, qui la caractérise depuis son indépendance en 1991. Dans
les années qui ont suivi, après le renversement du président russe en 2013, cette
corruption phénoménale a été confirmée par les exactions commises par ses
présidents et présidentes successifs qui ont été établis. Et en 2019, le jeune
acteur comédien nommé Volodymyr Zelensky a été élu, soutenu par le groupe Azov
nazi et son riche oligarque qui les finance. Exploiter, le caractère populaire
d’un artiste était un bon moyen pour rassembler les suffrages populaires. Et je
rappelle qu’en France, le comédien nommé Coluche, lui-aussi, en grand succès
populaire, était poussé à se présenter comme candidat pour la présidence de la
France ; ce qui crée un lien avec l’expérience de l’Ukraine. Il
représentait un risque réel pour ses concurrents politiques et eut la bonne et
heureuse idée de mourir, tué dans un accident de la route, en moto. Le
président ukrainien avait, lui, une tache à remplir : séduire les
dirigeants de l’U.E. et les impliquer dans sa guerre menée contre la Russie.
L’arrivée
du président Trump, de retour au pouvoir des USA, renverse la situation qui
prévalait jusque-là. Mais avant lui déjà en 2017, l’élection du jeune président
Macron a apporté un changement considérable à la gouvernance française et
européenne. L’importance qu’il donne aux textes de loi est nouvelle et change
réellement la France qui n’a longtemps regardé que ses intérêts personnels.
Avant lui, la France a lutté contre l’Algérie qui elle-aussi ne demandait qu’à
retrouver sa liberté et son indépendance. Et quand la Corse ou la
Nouvelle-Calédonie demandent elles-aussi leur indépendance, comment se comporte
la France qui aujourd’hui soutient l’Ukraine ? Elle réprime et étouffe les
révoltes. La question se pose alors : Quand et sous quelle condition une
nation peut voir son indépendance reconnue ? Depuis Macron, la situation mondiale
doit être figée, pour demeurer inchangée pour l’éternité. Ainsi, seules les
frontières établies et reconnues depuis 2017 sont pour lui légitimes. Pourquoi,
parce que selon lui, la territorialité des nations est inviolable et le droit
national, souverain. C’est là, la dernière conséquence de ce long temps de paix
que Dieu a donné aux habitants de l’Europe occidentale. Né dans ce contexte de
paix, ce jeune homme pense que cette paix est obtenue par le respect des règles
européennes établies. Il ignore qu’elle n’est qu’un temps conforme à une
stratégie divine par laquelle il favorise la démonstration des extrêmes excès
des populations européennes qu’il condamne et veut détruire. Et ce temps de
destruction se présente parce que nous approchons du jour de la fin du monde en
lequel Jésus-Christ va revenir dans sa gloire céleste, pour anéantir jusqu’au
jugement dernier, toute vie humaine et animale sur la terre. Et le retour de
Jésus-Christ est programmé pour le printemps 2030 et ceci sans changement possible,
car la date de son retour se présente 2000 ans après l’année de sa mort, datée
au mercredi 3 Avril 30. Mais le temps divin ne se compte pas de Pâque en Pâque
mais de printemps à printemps. Jésus se présentera donc au printemps de l’an
2030.
En
313, après 10 ans de terribles persécutions romaines, l’empereur Constantin 1er
a fait cesser l’opposition contre la religion chrétienne. Cette première paix
historique a été la cause de la transformation perverse de la religion
chrétienne apostolique. C’est pourquoi, il est bon de mettre en comparaison
cette première paix et la dernière que nous vivons depuis 1945. Nous pouvons le
faire car elles ont pour Dieu, le même but : conduire l’humanité dans ses
excès. Dans toute son histoire, jamais la religion chrétienne n’a atteint le
sommet d’abomination qu’elle commet aujourd’hui en acceptant de reconnaître la
légalité des lois civiles laïques qui justifient la vie homosexuelle et ses
perverses versions. Individuellement, nous ne pouvons pas empêcher ce genre de
chose, mais Dieu condamne ceux qui les approuvent et bénit ceux qui les
condamnent, comme il les condamne.
Aujourd’hui,
la démonstration voulue par Dieu a été faite et au 8 Mai 2025, les dernières 80
années de paix vont prendre fin. La paix tant désirée par les humains, dont le
président Trump, va s’évanouir comme cesse un mirage dans le désert du Sahara
ou autres. A sa place, la méchanceté humaine va dominer partout sur la terre.
Une grande partie de l’humanité ne connaîtra jamais plus la paix, car elle sera
détruite par « l’épée, le feu, la
famine, la mortalité » épidémique, et comme des « bêtes sauvages », les empires de la
terre vont s’affronter et faire mourir beaucoup de gens de tous âges et des
deux sexes. Et un temps de courte fausse paix attend les survivants rebelles
dans un contexte de dernier gouvernement universel. Ce point est intéressant à
relever : l’humanité occidentale est déjà mentalement prête pour accepter
un gouvernement universel car ses peuples ont partiellement renoncé à leurs
droits nationaux en se soumettant aux directives de la gouvernance européenne
ou celle des USA.
Ce
qui attend le président Trump est un avenir très paradoxal, car ce champion de
la paix devra ordonner la destruction de la Russie en l’anéantissant par une
attaque nucléaire. Il ignore encore cette phase finale et espère trouver avec
le président russe un accord de paix et des échanges commerciaux favorables à
leurs deux pays. Mais rien ne se passera comme il le souhaite. Aux USA, les
excès pervers ne sont plus supportés par l’Amérique puritaine qui se réveille
et soutient Donald Trump qu’elle tient pour instrument de la volonté de Dieu
depuis qu’une balle a éraflé son oreille droite sans le tuer. Cette action
confirme la fin des 80 années de corruption mentale et physique. La religion
reprend sens aux USA mais aussi en Russie où, devenu très religieux, mais
orthodoxe, le président Poutine condamne la corruption et la perversion du
monde occidental dont l’Ukraine incarne le pire exemple.
Rendons
grâce à Dieu qui offre à ses fils et filles fidèles, dans l’actualité, la
preuve que le protestantisme américain représente bien ces « marchands de la terre » cités dans
Apocalypse 18. En effet, Donald Trump, l’homme d’affaire immobilier replacé à
la présidence des USA se présente comme le modèle type du genre en achetant la
paix avec la Russie et l’Ukraine en entrant dans la gestion de leurs « terres
rares ». Il a, dit-il, 350 milliards de Dollars à récupérer de la part de
l’Ukraine et de son côté, Vladimir Poutine lui propose de gérer les terres
rares de la Russie. Avant lui, il faut remonter à la gouvernance de la première
ministre anglaise Thatcher pour retrouver un pareil esprit mercantile :
« I want my money back » ; « Je veux que mon argent me
revienne », disait-elle aux députés et commissaires européens. Et au sujet de
l’argent utilisé pour aider l’Ukraine, Donald Trump a précisé qu’il ne s’agit
que de prêts qui doivent être remboursés
d’une manière ou d’une autre. Mr Macron est alors intervenu pour préciser que
les Européens, eux, donnaient leur
argent à l’Ukraine ; les populations peuvent donc être fières d’être
ruinées pour une noble cause par leurs dirigeants qui ne leur demandent en
aucun cas leur avis sur la conduite à suivre ; si c’est cela la
démocratie, qu’est-ce qu’une dictature ? Car la facture est énorme :
plus de 170 Milliards d’Euros. Et cette somme, c’est de l’huile versée sur un
feu inextinguible soit, une action ruineuse qui ne favorise pas la paix, mais
la repousse, en favorisant la guerre et ses destructions. Les conséquences pour
nous, européens sont bien réelles, les prix de l’énergie s’envolent et cette
hiver ma facture d’électricité est énorme. Je relève qu’avant d’appliquer une
baisse de 15 % imposée à EDF, le prix du KW/Heure était de 0,1887 Euros HT. De
ce fait la baisse du 01/02/2025 l’a réduit à 0,1343 Euros HT. Mais
parallèlement, les coefficients bougent continuellement et les tarifs sont
appliqués en temps réel jour par jour grâce au relevé automatique des compteurs
jaunes Enedis. Ceci prouve encore que démocratie rime avec escroquerie.
Mais le pire est encore à venir… Car plus la technologie se développe, plus
elle coûte cher aux citoyens. Et avec Elon Musk aux côtés de Donald Trump, la
technologie et le contrôle total des individus ne vont que se renforcer.
L’Intelligence Artificielle va remplacer des multitudes d’emplois humains
ajoutant ainsi le chômage de masse aux autres difficultés présentes. Aussi ne
tarderons-nous pas à découvrir que le progrès tue : l’emploi, c’est déjà
constaté ; et la santé humaine subit elle-aussi les conséquences de la
pollution engendrée par la course au progrès. Mais, ce ne sont là que des
conséquences logiques de défis lancés contre les lois naturelles ; en
sorte que Dieu fait retomber sur les têtes des êtres humains les fruits de
leurs œuvres.
Aussi,
n’est-ce que pour quelques temps encore que les hommes vont espérer instaurer
la paix qui, réellement, tel un mirage, s’éloigne de nous chaque jour un peu
plus.
Mais,
paradoxalement, à l’opposé de la paix terrestre, pour les élus de Jésus-Christ,
la vraie paix éternelle et céleste qu’il leur apporte s’approche, elle aussi,
chaque jour, un peu plus.
L’évolution
politique et sociale du monde occidental s’explique ainsi : les partis
conservateurs de la droite libérale peu sociale profitent de l’exaspération des
masses populaires qui subissent les conséquences de la surpopulation immigrée.
Comme les partis de gauche sociaux ne répondent pas à ce problème, les masses
populaires n’ont pas d’autre choix que de se tourner vers ces droites libérales
qui ne peuvent et veulent que réduire les aides sociales. En France, le RN se
distingue des autres partis de droite par son souci social, mais il suffira que
les droites s’assemblent et s’accordent pour que ce signe distinctif du RN
disparaisse.
En
règle générale, la pensée de droite est morale et peu généreuse et celle de la
gauche est l’inverse en contraire absolu.
La
cause de la prochaine agression commise par le « roi du midi » de
Daniel 11:40, sera religieuse et musulmane soit, islamique. Or, une guerre
religieuse n’en est pas moins une guerre qui devrait être traitée par des
militaires et non des policiers. Car depuis 1995, les actions islamistes sont
traitées par les policiers et des tribunaux civils. Quelle erreur de
jugement ! Les djihadistes islamistes ont une position nationaliste
islamique, en conséquence de quoi, le combat et les tribunaux qui s’occupent de
leur cas devraient être militaires et non civils. Car une guerre religieuse ne
relève pas du statut de la justice commune civile dont le rôle est de juger la
délinquance et non la guerre faite pour un profit étranger.
Les
accords commerciaux que Donald Trump veut passer avec Vladimir Poutine pour
exploiter des minerais russes peuvent devenir la cause de la destruction de la
Russie par les USA. Ceci, parce qu’en attaquant l’Europe, la Russie va faire
échouer cet accord auquel le président américain donne une très grande
importance, comme un trophée, signe de sa victoire stratégique pour obtenir la
paix. Donald Trump ne lui pardonnera pas d’avoir été la cause de son échec,
mais comment Mr Poutine pourrait-il s’imposer de ne pas profiter de l’occasion
favorable pour attaquer l’Europe agressée par les combattants islamiques ?
Dans
l’immédiat, la bonne relation nouvelle qui s’établit entre la Russie et Donald
Trump isole encore plus l’U.E. ; ce qui confirme que Dieu la prend pour
cible de sa colère et qu’il prépare la mise en œuvre de son châtiment.
24
heures après mes précédents propos, Donald Trump franchit un pas de plus. Il
propose une carte nationale contre 5 millions de Dollar, invitant même des
oligarques russes, le même Trump annonce une taxe de 25 % sur les produits
européens, visant particulièrement les voitures allemandes. Il accuse
l’Europe d’avoir « arnaquée » (mot originel rectifié) les USA. Qu’en
est-il en réalité ? C’est le jeu de la libre concurrence imposé par les
USA qui se retourne contre eux ; leur haut niveau de vie les rend incapables
de combattre la concurrence étrangère moins chère. Les règles du jeu commercial
devenant défavorables aux USA, Donald Trump les casse, à la romaine.
Nos
journalistes occidentaux sont saisis et étonnés de voir que le gouvernement
Trump prie Dieu avant de travailler. Ce petit détail explique pourquoi il
utilise Donald Trump pour piéger le camp européen. En fait, que se
passe-t-il ? Dieu rassemble les gens riches aux USA, parce qu’ils seront,
après la destruction des Européens et des Russes, la dernière puissance
terrestre ennemie qu’il frappera par « les sept derniers fléaux de sa
colère » d’Apocalypse 16.
En
cette journée du Mercredi 26 Février 2025, le gouvernement français vient
d’annoncer des prises de mesure concrètes envers l’Algérie, parce qu’elle
refuse de reprendre les OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français). Il
se pourrait bien que cette querelle devienne la cause de l’attaque du « roi
du midi » de Daniel 11:40. L’application des mesures prises devrait
se faire dans quelques semaines ; soit, peu avant le 8 Mai.
Après
avoir hésité, le président ukrainien s’apprête à signer la transaction
commerciale concernant les terres rares de son pays qui doit être signée avec Donald
Trump, ce vendredi. L’air de rien, cette transaction va permettre d’expliquer
le futur comportement du président américain et sa destruction finale de la
Russie. La jouissance des profits espérés par cette transaction va entièrement
dépendre de l’acceptation du plan de paix par Vladimir Poutine. Aussi, ce
dernier sera tenu pour seul responsable si ce plan de paix échoue ; et ce
sera le cas, à cause du changement de situation que va créer l’intervention du
« roi du midi »,
probablement algérien et autres arabes alliés, contre la France et l’Italie.
Toutes
ces choses se produisent 48 heures après la rencontre entre le président Macron
et le président Trump qui confirme, en homme d’affaire, son rôle type des
« marchands de la terre » d’Apocalypse 18.
Pour
les Européens, les USA prennent subitement l’image de ce « pharaon »
de « l’Egypte » qui conduit Dieu à dire à son sujet dans 2
Rois 18:20-21 : « Tu as dit :
Il faut pour la guerre de la prudence et de la force. Mais ce ne sont que des
paroles en l'air. En qui donc as-tu placé ta confiance, pour t'être révolté
contre moi ? Voici, tu l'as placée dans l'Égypte, tu as pris pour soutien ce roseau cassé, qui pénètre et perce la main de quiconque
s'appuie dessus : tel est Pharaon,
roi d'Égypte, pour tous ceux qui se confient en lui. »
M17- Toute la gloire du Dieu suprême
Dans
ce message je vais évoquer des choses qui n’appartiennent qu’au seul vrai Dieu,
ce qui fait de lui, le glorieux Dieu suprême, créateur de tout ce qui vit,
existe, visible ou non.
Sans
que personne n’en sache la cause, l’inspiration démoniaque donnée aux hommes
rebelles les a conduits à croire à l’existence de multiples divinités, mais
jamais en une seule divinité. De ce fait, les démons inventent des religions païennes
dans lesquelles les fausses divinités reproduisent la vie humaine sous tous ses
plus odieux aspects : adultères, vengeance, méchanceté, violence…etc. Dans
ces fausses religions, souvent un dieu important domine les autres comme le
Zeus, grec, ou Jupiter, romain. Et dans le camp du mal, les humains trouvent
dans ces divinités des comportements identiques aux leurs ; ce qui
légitime toutes leurs méchantes actions. En conséquence, leur type d’existence
se transmet de génération en génération, comme ces Aztèques qui pratiquaient
des sacrifices humains offerts au dieu soleil. Sans une intervention divine,
ces pratiques se prolongent perpétuellement. Mais Dieu veille à ce que de
telles pratiques cessent avec la disparition de l’ethnie coupable entière.
A
l’opposé de ces conceptions païennes, le vrai Dieu est un, unique en esprit. Et
il est heureux pour ses élus qu’il en soit ainsi, parce qu’étant seul, il n’a
qu’une seule pensée, une seule norme de valeur qu’il n’a pas à disputer contre
une autre divinité. Et parce qu’il est unique, il possède la capacité de
construire un bonheur éternel. Je sais que soumis aux conditions de notre vie
présente, cette croyance au projet de Dieu est difficile à évaluer.
Quand
je regarde en arrière la vie que je menais avant ma conversion et mon baptême,
je vois un homme dont l’esprit s’intéressait à beaucoup de choses, dont la
musique sur la guitare qui absorbait tout mon intérêt. J’aimais tellement cette
activité que j’ai voulu en vivre. Mais depuis ma plus petite enfance, Dieu
s’était fait une petite place dans mes pensées, ayant eu la chance de
bénéficier de la connaissance religieuse de mon oncle et ma tante protestant et
darbyste. A l’âge de 36 ans, Dieu s’est fait pressant, et m’a voulu tout à lui.
La vérité concernant le sabbat du vrai septième jour m’a conquis et j’ai trouvé
alors le désir et la volonté de m’engager à son service en acceptant de
recevoir le baptême pratiqué en immersion totale ; ce que je n’avais
jamais voulu faire jusque-là. Une vision nocturne reçue en 1975, prenait alors
tout son sens et mon baptême l’accomplissait. Dès cette expérience, Dieu est
devenu le sujet de ma pensée constante. J’ai
étudié et découvert des explications nouvelles qui venaient compléter,
et parfois remettre en cause, celles que l’église adventiste du septième jour
avait déjà reçues de Dieu par le ministère de Mme Ellen White. Entre
1844 et 1980, 136 années s’étaient écoulées au cours desquelles beaucoup
d’événements mondiaux et spirituels s’étaient accomplis. Et déjà là, les
créatures que nous sommes savent que Dieu choisit les temps et les moments pour
faire avancer, souverainement, la connaissance de sa lumière. Qui suis-je pour
justifier ses choix ? Un souffle qu’il anime et inspire pour sa seule
gloire et mon grand bonheur.
Dans
la religion païenne, le gourou ou le marabout dont se servent les démons reçoit
des explications pour répondre à des questions que lui posent ses adeptes et
clients. Les sujets de ces questions concernent des faits de leur vie actuelle,
professionnelle ou amoureuse. Car les êtres humains sont naturellement inquiets
et aiment recevoir des informations sur lesquelles ils pensent pouvoir
s’appuyer et souvent les réponses qui leur sont données les encourage et les
fidélisent envers le médium révélateur. Ces derniers reçoivent divers noms que
la sainte Bible désigne dans Deutéronome 18:14 : « Car ces nations que tu chasseras écoutent
les astrologues et les devins ; mais à toi, YaHWéH, ton Dieu, ne le permet pas. »
Israël n’a pas obéit selon Jérémie 27:9 : « Et vous, n'écoutez pas vos prophètes, vos devins, vos songeurs, vos
astrologues, vos magiciens, qui vous disent : Vous ne serez point asservis au
roi de Babylone ! » Et leur désobéissance les a conduits effectivement
en captivité à Babylone pendant 70 ans prophétisés par Dieu à Jérémie (Jérémie
25:11-12 et 29:10).
Note
bien la différence : les païens se servent de leurs fausses divinités,
alors que le vrai Dieu se fait servir par ses élus rachetés et ses saints
anges. Contrairement aux fausses divinités derrière lesquelles se trouvent
uniquement les démons célestes, le vrai Dieu exige de ses élus qu’ils lui
fassent confiance, et ceci, d’une manière absolue, dans tous les instants de
leur vie. Il est leur seule garantie, leur seule sécurité, leur seule
protection, leur seul inspirateur, le seul objet de leur dévotion, de leur
culte et de leur destin. Et ce mot « culte » est la racine du verbe
« cultiver ». Pour Dieu le vrai culte qui lui est agréable n’est pas
ce moment hebdomadaire marqué par un jour de repos. La culture nécessite une
attention constante et elle est à l’image de la vie des élus rachetés qui
réjouissent l’amour de Dieu.
Le
vrai Dieu est constamment disponible, en tout moment et en tout lieu. Il ne
répond pas à l’image de ces commerces et de ces praticiens qui ne reçoivent
qu’aux heures d’ouvertures prescrites en dehors desquelles ils sont
indisponibles. Tu diras peut-être que Dieu a ordonné le repos du sabbat du
septième jour qui constitue un temps privilégié particulièrement important.
C’est vrai, mais ce temps privilégié par le repos ordonné par Dieu est un plus
qui n’enlève en rien la nécessité de rester en communion constante avec lui par
la pensée pendant les six premiers jours de la semaine prévus pour des
activités civiles « profanes ». Des soucis matériels constants,
eux-aussi, préoccupent nos pensées, mais même dans ces petites choses, l’aide
de Dieu est nécessaire et obtenue.
Dieu
est invisible, inodore, et peut facilement être ignoré par sa créature humaine.
Il dépend de chacun de nous que sa réalité prenne la puissance dans nos
pensées. Car, il reste invisible, mais reste également constamment actif. Nous
ne devons pas nous laisser tromper et influencer par nos yeux, notre vue
oculaire. Nous ne sommes pour lui, que des vies que sa puissance anime,
contrôle et dirige quand nous le reconnaissons pour notre seul et vrai Père
céleste. C’est seulement notre esprit obéissant tourné vers lui qui fait de nous
des « fils de Dieu ». Car n’est « fils » que celui qui
confesse et reconnaît son « Père ». Dieu est esprit et nous
sommes aussi, par sa volonté créatrice, des esprits auxquels il a fait le don
de la liberté et de l’indépendance. En sorte que ce que nous ne faisons pas,
personne ne peut le faire à notre place. Et cette liberté donnée par Dieu est
une arme redoutable, car mal utilisée, elle conduit l’âme humaine à la mort et
l’anéantissement éternel.
Les
démons inspirateurs et manipulateurs cachés derrière les fausses divinités
poussent leurs victimes à commettre le mal que Dieu condamne, car bien sûr,
pour les fausses divinités, le mal n’existe pas, ou s’il existe, c’est pour
donner au faux bien, une légitimité. Car dans sa vie terrestre, l’homme
ordinaire sait que toute chose a son contraire absolu. C’est pourquoi, le
paganisme ne fait pas exception et propose souvent les dieux du bien et le dieu
du mal. Il n’est donc pas étonnant que,
pour sa part, le vrai Dieu présente à l’inverse, au singulier, « sa lumière »,
et au pluriel, « les ténèbres » ; « sa lumière »
qui est une, comme lui, et « les ténèbres » qui sont
multitudes, comme les démons célestes et terrestres.
L’invisibilité
de Dieu favorise logiquement l’incroyance humaine parce que l’homme donne importance
qu’à ses yeux et plus largement, à ses 5 sens. Dieu le sait et le savait avant
même de le créer, et il a choisi néanmoins de rester invisible. Déjà ce choix
nous étonne, car nous avons de la peine à comprendre pourquoi Dieu se prive de
la gloire qui lui reviendrait s’il était visible par toutes ses créatures. Mais
ce raisonnement est humain et très limité. En réalité, Dieu n’a besoin d’aucune
créature pour savoir qu’il est glorieux au-delà de tout ce que nous pouvons
imaginer. Car il n’est pas en recherche de gloire, mais d’amour et rien que
d’amour. Peu lui importe que des créatures ingrates le glorifient ou pas, son
amour exige des sentiments d’amour et non des simagrées, des simulacres de
glorification. Et le texte d’1 Corinthiens 13 martèle ce discours amoureux de
Dieu. Il rend vaines toutes les formes de la fausse religion basée sur des
rites reproduits de manière traditionnelle de génération en génération. A
l’inverse de cette pratique digne de robots mécaniques, les ordonnances et
commandements divins ont toujours une intelligente explication et une bonne
raison d’être pratiqués et honorés. A travers la pratique, Dieu informe ses
serviteurs, il les enseigne et leur fait partager un aspect de son projet
salvateur. Ainsi, Dieu a sur sa concurrence diabolique l’avantage de donner de
l’intelligence à toutes ses ordonnances ; mais pour l’apprécier cette
intelligence, il faut l’avoir déjà reçue de Dieu. C’est pourquoi il dit dans
Daniel 12:3 et 10 : « Ceux qui
auront été intelligents brilleront
comme la splendeur du ciel, et ceux qui auront enseigné la justice, à la
multitude brilleront comme les étoiles, à toujours et à perpétuité …/…Plusieurs
seront purifiés, blanchis et épurés ; les méchants feront le mal et aucun des
méchants ne comprendra, mais ceux qui auront de l'intelligence comprendront. »
A
la lumière de ces versets, il est confirmé que la relation avec Dieu ne repose
pas sur ce mot « foi » d’origine latine que
j’évite de citer, mais sur une authentique intelligence qui n’a rien à voir
avec « la foi du charbonnier » de l’expression populaire. C’est un
raisonnement intelligent qui conduit des gens intelligents à l’évidence que l’intelligence
est de source divine. La réflexion humaine est placée devant un postulat qui
s’impose de lui-même. Il est ;
donc inutile de chercher à expliquer l’existence de Dieu : « Il est », un point c’est tout, ou
selon l’époque actuelle, point barre. Et je ne fais là, que prononcer en
français la traduction du nom hébreu de Dieu qui est :
« YaHWéH ».
A
partir de ce postulat, nous pouvons profiter des messages qu’il nous adresse
dans sa sainte Bible, dans ses deux témoignages successifs. Or, c’est
précisément la lecture de ces deux témoignages qui fait appel à la véritable
intelligence digne de Dieu. Car que font les êtres dépourvus de cette
intelligence ? Ils remplacent le premier témoignage par le second, comme
si ce second témoignage avait valeur de nouvelle loi divine qui annule
l’ancienne. Cette analyse est fausse, parce que la loi divine est représentée
par deux témoignages successifs que je peux définir comme l’avant et l’après
Jésus-Christ. L’Esprit confirme et rappelle cette vérité dans Apocalypse 11:3,
disant en désignant la sainte Bible entière : « Je donnerai à mes deux témoins
le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante
jours. »
Les
changements imposés par le passage sous le nouveau témoignage, concernent
uniquement des rites qui prophétisaient la mort de Jésus-Christ. Passer du
symbole à la réalité ne change pas toute la loi divine, mais simplement
quelques formes rituelles données à son application. Et Dieu confirme ce projet
en disant dans Daniel 9:27 en parlant du « messie » : « Il fera une solide alliance avec plusieurs
pour une semaine, et durant la moitié de la semaine il fera cesser le sacrifice et l'offrande ;… » « Le
sacrifice et l’offrande » sont donc les seules choses que la mort
de Jésus-Christ rend caduques et justiciables de prendre fin. En particulier, ni le second
commandement, qui interdit la prosternation devant des images de créatures, ni
le quatrième commandement, qui ordonne le repos du vrai septième jour, ne sont
modifiés par la mort de Jésus-Christ. Le texte entier des dix
commandements de Dieu n’est donc, en rien, changé par le changement de
l’alliance. Les seuls changements s’appliquent aux fêtes religieuses juives
listées dans Lévitique 23, après le sabbat hebdomadaire qui y figure en tête.
L’abandon des fêtes juives est aussi justifié par le changement d’aspect de
l’Israël de Dieu, qui n’est plus une nation terrestre regroupée derrière ses
frontières, mais une assemblée d’esprits terrestres sélectionnés par Dieu sur
toute la terre, au nom de Jésus-Christ. Et pour tous ses élus, jusqu’à son
glorieux retour, le repos du sabbat du vrai septième jour, notre actuel samedi
occidental, prophétise la venue du septième millénaire au début duquel, par son
retour, Jésus fera entrer ses élus rachetés dans sa glorieuse éternité céleste.
Le
titre donné à ce message est une exigence du Dieu créateur qui, après avoir
supporté, avec une patience inouïe toute divine, les abominations commises par
les catholiques et les protestants hypocrites, adresse un ordre à ses vrais
élus, du printemps 1843 à l’automne 1844, dans Apocalypse 14:7 : « Il disait d'une voix forte : Craignez Dieu,
et donnez-lui gloire, car l'heure de son jugement est venue ; et adorez celui
qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d'eaux. »
Ce
message n’est pas nouveau car Dieu a déjà dit dans l’ancienne alliance dans
Esaïe 42:8 et 48:11 : « Je suis
YaHWéH, c'est là mon nom ; et je ne
donnerai pas ma gloire à un autre, ni mon honneur aux idoles. …/…C'est pour
l'amour de moi, pour l'amour de moi, que je veux agir ; car comment mon nom
serait-il profané ? Je ne donnerai pas
ma gloire à un autre. »
Le
rappel fait en 1843 et 1844 n’est justifié qu’à cause du long temps de ténèbres
spirituelles qui a prévalu jusqu’à ces dates fixées par Dieu comme temps d’un
renouveau spirituel qui a reçu le nom « adventiste ». Et il est
édifiant de relever que le sujet qui a glorifié Dieu dans ces deux dates, a été
l’attente fervente du retour de Jésus-Christ par ses vrais élus de l’heure, peu
nombreux il est vrai, mais combien plus valorisés à cause de leur tout petit
nombre et de leur rareté. C’est donc uniquement au titre de signe de leur
adoption par Dieu qu’ils ont adopté les uns après les autres l’observance du repos
du vrai sabbat hebdomadaire par lequel comme l’indique Apocalypse 14:7, ils
montrent qu’ils « Craignent Dieu, et lui donnent gloire,
car l'heure de son jugement est venue ; et ils adorent celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les
sources d'eaux. »
Mais
1844 n’était pas l’an 6000 de l’histoire terrestre. Et pour les élus de
l’époque qui n’avaient pas encore pris conscience du sabbat transgressé, le mot
« jugement » a mal été interprété. Ce mot ne prenait sens qu’à la
lumière éclairant le sabbat du septième jour. Et sans ce regard, les idées
humaines ont prévalues ; ils ont ainsi construit la doctrine du jugement
dit « investigatif », anticipant pour 1844, l’action du jugement
céleste qui ne commencera qu’après le printemps 2030. Cette fausse
interprétation du jugement céleste est devenue une pierre d’achoppement qui
juge et condamne les Chrétiens « adventistes du septième jour »
hypocrites. Car les gens hypocrites sont aussi orgueilleux et refusent
d’admettre leurs erreurs ; ils se ferment ainsi eux-mêmes les portes du
ciel ; car Dieu n’accueille que la bonté, la douceur, la soumission, la
docilité et l’intelligence du cerveau et du cœur qui permet de comprendre et
d’aimer sa vérité.
La
gloire de Dieu a pris une forme humaine en s’incarnant sous l’aspect humain de
Jésus-Christ. Et pour les gens pleins d’orgueil, cette gloire divine est très
déconcertante et disons-le, paradoxale. Car sous l’inspiration du diable,
l’idée de la gloire est apparue dans la prestance, les beaux vêtements
richement brodés à l’or fin, les trônes somptueux, et les palais merveilleux
constitués de tentures et de marbre. Le méchant se dit alors au sujet de
Jésus-Christ : « Ce n’est pas sous cet aspect miséreux que le Dieu du ciel
peut apparaître ; lui qui possède la terre et toutes ses séduisantes
richesses ». Ce qu’il dit là, c’est ce qu’il penserait faire s’il était à
la place de Dieu ; et il montre par sa pensée qu’il ne le connaît pas. Car
c’est précisément parce que des richesses somptueuses lui appartiennent déjà
que Dieu recherche dans ses élus d’autres choses que la vie matérielle ne lui
donne pas. Dieu a essayé de définir l’objet de sa recherche par des mots, des
images, pendant toute l’ancienne alliance dans les écritures des prophètes et
autres écrivains bibliques. Mais les mots ne suffisent pas, alors il présente
un modèle vivant en Jésus-Christ. Il est humble, doux et parfaitement
obéissant, zélé pour Dieu jusqu’à l’indignation justifiée quand il chasse les
vendeurs du temple et prend à parti, en dénonçant leurs péchés, les hypocrites
religieux pharisiens et sadducéens de son temps. Puis il redevient calme et
serein envers ses douze apôtres, ses premiers disciples. Par lui,
l’intelligence de Dieu dénonce les incohérences humaines et leur indignité pour
juger leur prochain. Jésus a déclaré qu’il est venu « non pour juger, mais pour sauver le monde ». Certes, son
ministère s’est achevé par sa mort qui peut sauver ses élus rachetés, mais
avant de mourir, sa vie exemplaire a bel et bien condamné à mort le monde
pécheur rebelle. Car Dieu a offert au monde, le maximum de chance qu’il pouvait
espérer de sa part. Avant de mourir, Jésus a fait découvrir les vraies valeurs
célestes que les humains n’avaient jamais imaginées possibles. Ceux qui ont
approché Jésus ont éprouvé des sensations uniques étant irradiés par son amour
contagieux. Car en Jésus-Christ, le royaume des cieux était descendu au milieu
d’eux. Après avoir goûté à ces effets désirables, ils sont restés seuls ;
Jésus s’est livré pour leurs péchés, mais ils l’ignoraient et ne pensaient qu’à
la perte de l’ami qui leur procurait tant de bonheur. Jésus leur avait
dit : « si le grain de blé ne
meurt, il ne peut porter du fruit ». Il fut mis en terre, dans le tombeau
du riche, mourut et germa, ressuscité au troisième jour, il est apparu en germe
le quatrième jour au matin, à ses élus terrestres. Incarnant et reflétant toute
la gloire divine, Jésus a semé cette gloire divine dans le sol de la terre du
péché. Et ce « germe » a
formé « l’arbre de vie »
qui nourrit ses fruits soit, ses élus rachetés.
Nous
lisons dans Zacharie 3:8 : « Écoute
donc, Josué, souverain sacrificateur, toi et tes compagnons qui sont assis
devant toi ! Car ce sont des hommes qui
serviront de signes. Voici, je ferai
venir mon serviteur, le germe. » Ce « germe » était
annoncé aux élus de l’ancienne alliance, et il est venu en Jésus-Christ. Dieu
dit encore dans Jérémie 23:5 : « Voici,
les jours viennent, dit YaHWéH, où je susciterai à David un germe juste ; il régnera en roi et prospérera, il pratiquera la justice et l'équité
dans le pays. » Il dit aussi dans Jérémie 33 :8 : « En ces jours et en ce temps-là, je ferai
éclore à David un germe de justice ; il
pratiquera la justice et l'équité dans le pays. »
Est-il
venu en Israël quelqu’un de plus juste qui ait pratiqué la justice et l’équité
mieux que Jésus-Christ ? Telle est la question que ces versets posent à
tous les lecteurs de la sainte Bible et à laquelle Dieu les somme de répondre.
M18- Les fruits de la malédiction divine
Dans
toute l’histoire de la terre, les infidélités de ses serviteurs sont toujours
ou très souvent punies par Dieu, en les livrant à leurs ennemis.
C’est
en livrant Israël aux Philistins que Dieu faisait savoir à son peuple que ses
péchés n’étaient plus supportés. Le livre des Juges témoigne de l’application
de ce principe. En Maître et Juge suprême du jeu terrestre et céleste, Dieu
impose son juste jugement en faisant accomplir, par ses créatures, les œuvres
qui accomplissent son jugement : certaines de ses créatures en tant
qu’instruments de ses châtiments, et les autres humains en observateurs et
témoins oculaires au titre de victimes châtiées ou au titre de simples
observateurs étrangers.
Si
l’action de Dieu en esprit est invisible, il n’en est pas de même de ses
châtiments qu’il veut rendre bien visibles et inoubliables. Il agit ainsi comme
le doit un bon père de famille auquel il dit dans Proverbes 22:15 :
« La folie est attachée au cœur de
l'enfant ; la verge de la correction l'éloignera de lui. » ; il
dit également dans Proverbes 23:14-15 : « N'épargne pas la correction à l'enfant ; si tu le frappes de la verge,
il ne mourra point. En le frappant de la verge, tu délivres son âme du séjour
des morts. » Ces ordres sont donnés par le Dieu créateur source et
témoin du plus bel amour qui se puisse concevoir et sur ce sujet personne ne
peut lui apprendre quelque chose. Mais faut-il encore tenir compte que ses
propos sont adressés à ses vrais serviteurs qui sont seuls en capacité de le
comprendre. Le père auquel il adresse ce type d’ordre n’est pas un malade
mental, un fou furieux qui prend plaisir à frapper son enfant. C’est un père
aimant qui frappe à regret l’enfant qu’il aime et doit éduquer. Et cette
éducation débute par l’apprentissage de l’obéissance qui, comme Dieu le dit,
« délivre son âme du séjour des morts ». Dans
l’histoire d’Israël, ce « séjour des morts » a souvent
ouvert sa bouche pour engloutir des milliers de vies rebelles frappées par les
châtiments de Dieu. Sachant combien la mémoire humaine est oublieuse, Dieu a
fait écrire dans la sainte Bible, le témoignage de ses multiples châtiments
historiques de la perverse désobéissance humaine. L’enfant qui n’apprend pas à
obéir à ses parents terrestres n’obéira pas davantage aux ordres donnés par le
Père céleste, et condamné comme pécheur rebelle, il finira « poussière »
dans le sol de la terre qui est le seul et unique « séjour des morts ».
Les
ténèbres spirituelles ont dominé dans l’Europe occidentale depuis 313 jusqu’en
1843, année marquée pour un jugement divin qui a concerné la religion
protestante sommée d’achever la Réforme engagée entre 1170 et 1843. De même que
les ténèbres n’ont point reçu la lumière au temps de Jésus-Christ dans la
nation juive, les ténèbres catholiques et protestantes n’ont pas non plus reçu
la lumière adventiste apparue entre 1843 et 1873. Les ténèbres ont été livrées
au diable et ses démons et la lumière a éclairé uniquement le peuple adventiste
du septième jour entre 1873 et 1994 (plus précisément : 1993). Quand je dis la
lumière, je désigne l’approbation de Dieu pour une organisation religieuse
qu’il a reconnue comme étant sa dernière assemblée chrétienne. Mais la lumière
divine est définie par ce verset cité dans Proverbes 4:18 : « Le sentier des justes est comme la lumière
resplendissante, dont l'éclat va croissant jusqu'au milieu du jour. »
Dans ce verset, le mot qu’il convient de relever, vu son importance, est le
verbe « croissant ». Il
donne à la lumière divine une progressivité dans le temps. De ce fait, la
lumière du début est faible alors que la lumière finale est forte. Et ce principe
exige donc des serviteurs de
Dieu qu’ils restent constamment
attentifs à toute lumière nouvelle que Dieu leur présente par ses prophètes
soit, des hommes qu’il choisit pour porter et présenter ses nouvelles lumières.
Et cette attention est nécessaire jusqu’au jour du retour glorieux de
Jésus-Christ où le besoin de lumière prophétique cessera pour toujours. Il y a
un début et une fin pour toutes les époques évoquées par les 7 messages
d’Apocalypse 2 et 3. Or, sous le message de « Pergame », Dieu
désigne dans Apocalypse 2 : le début du temps de « l’adultère »
spirituel commis par la religion chrétienne romaine contre Dieu. Les dix années
de persécutions du message précédent soit, de « Smyrne » place ce
début du temps de « l’adultère » sur l’an
313 ; l’année où la paix religieuse ordonnée par Constantin fait cesser
les persécutions et fait la promotion mondaine de la religion chrétienne. Ceci
au détriment de la vérité écrite dans la sainte Bible. 313 est donc l’année du
début du temps des ténèbres qui va se prolonger jusqu’en 1843-1844. Au cours de
cette période, le régime papal s’insère entre 538 et 1798 soit, de l’instauration
du premier pape jusqu’à la fin de la Révolution française en laquelle le pape
Pie VI a été arrêté à Rome et conduit jusqu’à Valence-sur-Rhône en France, où à
cause de la maladie, il est mort en prison, en 1799 ; dans cette ville où
je vis et sers le Dieu de vérité. A l’intérieur de ce règne papal, la Réforme
protestante s’insère à son tour dans ce règne de 1260 années entre 1170 et
1843. Le grand temps fort de cette Réforme est le XVIème siècle
marqué en France par les 8 « Guerres de Religion » dans lesquelles les
ligues catholiques et les Huguenots protestants s’affrontent férocement, se
rendant coup pour coup.
Sortant
d’un long temps de ténèbres, les protestants du XVIème siècle
avaient peu de lumière, car la capacité de lire la Bible, vendue sous le
manteau depuis sa reproduction mécanique, était encore très restreinte,
persécutée, car interdite par le papisme et la monarchie catholique romaine. En
conséquence, la vérité répandue concernait particulièrement le salut par la foi
en Jésus-Christ qui rend les œuvres catholiques entièrement inutiles et
maudites. Cette vérité conserve toute sa valeur depuis cette époque jusqu’à la
nôtre et dans Apocalypse 2:24-25, Dieu le confirme en disant aux
Protestants : « A vous, à tous
les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme
ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau
; seulement, ce que vous avez,
retenez-le jusqu'à ce que je vienne. » Dans le verset 24, le verbe
« connu » prend son sens spirituel divin de l’expérience
sexuelle de Genèse 4:1 : « Adam
connut Eve, sa femme ; elle conçut,
et enfanta Caïn et elle dit : J'ai formé un homme avec l'aide de YaHWéH. »
Et cette allusion à la sexualité dénonce l’acte d’adultère religieux papal
cité dans Apocalypse 2, au verset 22 : « Voici, je vais la jeter sur un lit, et envoyer une grande tribulation à
ceux qui commettent adultère avec
elle, à moins qu'ils ne se repentent de ses
œuvres. » Dans le texte original grec, la traduction est bien
« ses œuvres » et non « leurs œuvres » comme beaucoup de traducteurs le
présentent.
En
1843, le décret de Daniel 8:14 condamne la religion protestante, car Dieu exige
à partir de cette date, la restauration de toute la vérité qu’il rappelle à ses
derniers serviteurs « adventistes du premier jour » dans un premier
temps, jusqu’en 1863 où, aux USA, ils fondent « l’église adventiste du
septième jour » que, par Daniel 12:12, Dieu bénit et confirme à la date de
l’année 1873 où leur mission universelle commence.
La
prophétie divine fixe des dates qui marquent les grands moments de l’évolution
de la lumière divine qui commence avec la découverte de la sainte Bible par le
premier protestant, le Lyonnais Pierre Vaudès dit « Valdo » qui à
partir de 1170 l’a en premier traduite en sa langue locale franco-provençale et
l’a mise en pratique parfaitement. Il a fallu attendre 1873 pour retrouver
cette perfection, conforme au christianisme apostolique du premier
commencement. Mais cette perfection ne concernait pas la compréhension
prophétique dont l’importance est apparue progressivement. Depuis 1982, ne voyant
que le retour de Jésus-Christ pour marquer la date 1994, j’ai présenté cette
interprétation à mes frères et sœurs adventistes de l’église locale de
Valence-sur-Rhône. L’adventisme du septième jour étant dans la prophétie
apocalyptique la septième et dernière église, cette date ne pouvait que
désigner le temps du retour de Jésus-Christ. Cependant, je n’avais pas pensé à
une autre explication que l’Esprit m’a fait découvrir en 1996 : 1994
marquait la fin de la bénédiction de l’adventisme du septième jour officiel.
Dans toutes les étapes de l’avancement de la vérité divine, le refus de la
lumière a toujours été châtié par Dieu de la même manière ; il rompt sa
relation avec les coupables individuellement et collectivement soit, au titre
d’église officielle. Animé des meilleures intentions possibles envers mes
frères et sœurs adventistes, je n’avais pas pensé de moi-même que l’adventisme institutionnel
pouvait être abandonné par Dieu, et à ma grande surprise, c’est cependant ce
qu’il a fait, et finalement rien n’est plus logique, puisque Dieu nous prévient
qu’il ne fait exception pour personne ; en conséquence, le refus de sa
lumière par l’adventisme institutionnel l’a condamné ; Jésus l’a « vomi » dès 1994.
Les
châtiments spirituels ne sont identifiables qu’à la lumière de la prophétie rejetée
officiellement en Décembre 1991, date où ils m’ont radié solennellement de
l’œuvre ; et confirmant leur vomissement par Jésus, dès le Printemps 1995,
ils ont rejoint ouvertement et officiellement l’alliance protestante. Ces
sentences de Dieu et leurs applications sont uniquement révélées par la
construction prophétique dans Apocalypse 3, et 9 où sont citées deux fois, aux versets
5 et 10, la durée des « cinq mois » qui déterminent la
date fatidique de 1994. Mon travail prophétique a confirmé le caractère « croissant »
de la lumière divine qui devient avec le temps une arme redoutable remis à ses
vrais serviteurs ; cette épée de l’Esprit sort de la sainte Bible, « la
Parole de Dieu » ainsi définie dans Hébreux 4:12 : « Car la
parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu'une épée
quelconque à deux tranchants, pénétrante
jusqu'à partager âme et esprit, jointures et moelles ; elle juge les sentiments et les pensées du cœur. » De
plus, la parole prophétique est recommandé par l’apôtre Pierre qui nous dit
dans 2 Pierre 1:19-20 : « Et
nous tenons pour d'autant plus certaine la parole prophétique, à laquelle vous faites bien de prêter attention,
comme à une lampe qui brille dans un lieu obscur, jusqu'à ce que le jour vienne
à paraître et que l'étoile du matin se lève dans vos cœurs ; sachant tout
d'abord vous-mêmes qu'aucune prophétie
de l'Écriture ne peut être un objet d'interprétation particulière, car ce
n'est pas par une volonté d'homme qu'une prophétie a jamais été apportée, mais
c'est poussés par le Saint Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu. »
Et
de plus, le ministère de l’esprit de la prophétie constitue le témoignage de
Jésus, selon Apocalypse 19:10 : « Et
je tombai à ses pieds pour l'adorer me prosterner ; mais il me dit :
Garde-toi de le faire ! Je suis ton compagnon de service, et celui de tes
frères qui ont le témoignage de Jésus. Adore Prosterne-toi devant Dieu. Car le témoignage de Jésus est l'esprit de
la prophétie. »
Ce
témoignage de Jésus est aujourd’hui vital, tant la domination des ténèbres
spirituelles est grande et dominante. Avec le temps, les différences entre le
bien et le mal sont devenues de plus en plus subtiles. Les adventistes ont
commis la même erreur que les Juifs de l’ancienne alliance. Ils se sont appuyés
sur l’héritage donné par Dieu pour justifier leur refus de la nouvelle lumière
qui apporte des explications nouvelles. C’est pourquoi, dans Apocalypse 3:17,
le message de Jésus déclare nul l’héritage retenu jusqu’à la nouvelle lumière
que l’Adventiste indigne de ce nom rejette impudemment : « Parce que tu dis : Je suis riche, je me
suis enrichi, et je n'ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu
es malheureux, misérable, pauvre,
aveugle et nu, …»
Passons
maintenant au châtiment visible, cuisant et ressenti, par l’homme charnel
moderne. Deux Guerres Mondiales l’ont exprimé en 1914 et en 1939 sur le même sol
européen. Ces deux guerres reproduisent par analogie les deux premières
interventions du roi chaldéen Nébucadnetsar qui a envoyé ses armées contre son
Israël juif infidèle, successivement, en – 605 et en – 597. Ces deux
avertissements ont été suivis en – 586 par une troisième intervention dans
laquelle Israël a été entièrement détruit avec son temple et ses habitants
survivants ont été conduits en déportation à Babylone. En analogie, avec ce
troisième châtiment, nous allons subir la Troisième Guerre Mondiale ou « sixième trompette » d’Apocalypse
9:13. Elle se prépare sous nos yeux depuis l’année 1990, date où profitant de
l’affaiblissement de la Russie jusque-là soviétique, les pays passés sous
contrôle russe au partage de Yalta de 1945 ont repris leur indépendance et sont
entrés dans l’alliance de l’OTAN et dans l’U.E. Sont concernés, les pays
Baltes, la Pologne, et la Roumanie. Cette remise en cause du partage de Yalta
est fondamentale parce qu’elle est la cause de tous les événements qui se sont
accomplis après cette date et ont construit notre situation actuelle. Notons
que l’Ukraine était déjà une terre russe et n’a pas été concernée dans le
partage de Yalta en 1945. Cependant, profitant de la situation, elle a aussi
pris son indépendance en 1991 et a demandé plus tard en 2008 à être admise dans
l’OTAN et l’U.E. Pour cause de grande corruption sa demande a été rejetée par
l’Allemagne très influente et autoritaire dirigée par Angela Merkel, originaire
de « l’Allemagne de l’Est » longtemps soumise à la Russie soviétique.
La
double composante ethnique ukrainienne et russe, et la corruption interne du
pays ont rendu ont rendu la gouvernance de l’Ukraine très difficile ;
plusieurs présidences se sont succédé et dans la composante ukrainienne du
peuple, frontalière de l’Europe occidentale, le désir d’Europe s’est maintenu.
Au point qu’en 2013, un soulèvement populaire entraîné par le groupe nazi Azov
a renversé du pouvoir, parce qu’il s’opposait à cette demande, le président
russophile légitimement élu. Une guerre civile a alors opposé l’ethnie d’origine
ukrainienne à l’ethnie ukrainienne russophile. Les puissances occidentales sont
alors intervenues pour tenter de régler pacifiquement le problème. Un accord a
été passé à Minsk dans lequel, l’Ukraine a accepté de renoncer à près de trois
mille ogives nucléaires en échange de la garantie de la protection occidentale.
Le camp de Kiev espérait toujours pouvoir à terme rejoindre l’OTAN. En Ukraine
le combat contre le Donbass russophile frontalier de la Russie a repris. En
2014, voyant des ukrainiens russophiles en difficultés, Vladimir Poutine a
envoyé son armée qui a annexé par référendum la Crimée où se trouve Yalta. Et
là nous touchons en 2014, un sujet très significatif qui prépare la Troisième
Guerre Mondiale, 69 années après le partage de Yalta. Vladimir Poutine fait
alors construire un long pont qui relie la Crimée à la Russie. La guerre civile
éclatée en Ukraine se poursuit pendant 8 années jusqu’en 2022 où le jeune
président Zelensky élu depuis 2019, lance un appel pour rejoindre l’OTAN, ce
qui conduit le président russe Poutine à faire entrer les chars d’assaut de son
armée sur la terre ukrainienne dans le Donbass à l’Est et au Nord depuis la
Biélorussie. De Kiev, la capitale ukrainienne mais aussi berceau historique de
la Russie, Zelensky s’appuie sur le groupe Azov ultranationaliste nazi pour
résister à l’invasion russe. De nombreux volontaires dont des russophones,
comme le jeune président, les rejoignent. La jeune présidence ukrainienne est
très en avance sur la Russie pour les nouvelles technologies qui produisent des
drones qui viennent changer la forme des affrontements guerriers. De grandes
quantités de drones sont achetées à la Turquie qui les construits. Sur le
terrain, des colonnes de chars sont clouées sur place pilonnées par de toutes
petites machines volantes aussi difficile à tuer qu’un moustique ; et de
plus, mille fois moins chères qu’un tank. Cette arme nouvelle a donné
l’avantage immédiat à l’Ukraine dans l’année 2022. Les aides occidentales
arrivées sous la forme des canons ultra-précis français « César » et
américains « Himars » donne encore un avantage à l’Ukraine qui frappe
en touche chirurgicale, des cibles hautement stratégiques qui mettent la Russie
en grande difficulté. En 2023, des chars américains et allemands sont donnés
aux Ukrainiens mais en 2024, leurs offensives sont stoppées devant les lignes
de fortification préparées par les Russes pour empêcher l’avancée ukrainienne
vers la Crimée. Entre temps, la Russie reçoit des drones fournis par l’Iran
qu’elle fabrique à son tour elle-même. Dès lors, la Russie résiste et reprend
l’offensive contre l’Ukraine aidée par des armes et des combattants venus de la
Corée du Nord.
Combattant
avec les mêmes armes, les deux camps s’équilibrent et les positions
s’enterrent, un peu comme dans la guerre frontalière de 1914-1918. Le canonnage
des lignes est réciproque et le besoin d’obus des deux camps est immense.
Battu
aux élections de 2021, et convaincu d’avoir été frustré de sa victoire, l’ex-président
Donald Trump regarde impuissant à l’empêcher, le nouveau président démocrate
Joe Biden donner à l’Ukraine de l’aide et des armes pour des centaines de
milliards de Dollar qui partent en fumée. Pour cet homme d’affaire, ce
gaspillage est insupportable. Et vainqueur aux élections de 2025, il le fait
savoir. L’homme d’affaire n’apprécie que la paix parce qu’elle ne tue pas des
gens et favorise les échanges commerciaux et l’enrichissement des commerçants.
Parvenu
au pouvoir depuis le 20 Janvier 2025, il met en pratique le programme qu’il a
annoncé pendant sa campagne électorale. Son projet est d’obtenir la paix en
faisant cesser tous les grands conflits actuels, en Ukraine et à Gaza. Pour
obtenir ce résultat il est prêt à sacrifier les grands principes internationaux
qui ont prévalu dans le monde jusqu’à lui. Depuis Yalta, en 1945, 80 années de
paix se referment comme la charnière d’une porte, car en 2025, son grand désir
de paix va paradoxalement provoquer la Troisième Guerre Mondiale. En effet,
comme ce fut le cas longtemps sur la terre, l’instauration de la paix entre des
adversaires est obtenue au prix de compromis et de perte de territoire par le
plus faible. C’est ainsi que Donald Trump pense pouvoir faire cesser le combat
de l’Ukraine qui est malheureusement pour elle la plus faible. De son côté,
Poutine se montre ouvert et reconstruit des relations avec l’Amérique ;
chose qui met en fureur le président ukrainien et ses soutiens fidèles
occidentaux dont la France et l’Espagne.
Pensant
par ce moyen amadouer Donald Trump, Zelensky lui a proposé de passer un accord
pour lui vendre la gestion de ses terres rares d’une grande valeur. Ceci pour
répondre à la demande du président américain de lui rembourser la valeur de 300
milliards de Dollar donnés à l’Ukraine par son prédécesseur détesté Joe Biden.
Une rencontre officielle en vue de signer un accord a eu lieu ce vendredi 28
Février 2025 à Washington, à la Maison Blanche.
Cette
rencontre a donné lieu à une dispute publique entre Zelensky et Trump et son
équipe politique dont le vice-président JD.Vance. L’échange s’est si mal passé
que la conférence finale devant les journalistes a été supprimée.
Je
pense pouvoir légitimement dire, qu’en ce jour du 28 Février 2025, le glas a
sonné la proche fin pour l’Ukraine et son alliée, l’U.E. Je vais maintenant
expliquer les causes de cet échec.
Dès
que son regard se porte sur Zelensky, Donald Trump voit ses 300 milliards de
Dollars partis en fumée. Et cette seule pensée rend Zelensky détestable. C’est
donc dans cet état d’esprit que l’homme d’affaire a rencontré le chef de guerre
ukrainien auquel tout a réussi jusqu’à ce jour. Si bien qu’il pense encore
pouvoir convaincre Donald Trump de garantir la sécurité de l’Ukraine par une
présence active de l’armée américaine en sa faveur ; ce que Donald Trump a
fondamentalement exclu. De même que la guerre et la paix sont des contraires
absolus, les caractères et les objectifs des deux personnages sont opposés dans
le même absolu soit, inconciliables.
Au
cours de l’échange, deux moments ont été décisifs pour conduire à la
dispute : Dans sa haine envers la Russie, Zelensky a cité Poutine en le
traitant de tueur ; ce que ne pense pas Trump qui travaille pour renouer
des liens amicaux avec lui. Le deuxième moment a été cette réflexion adressée à
Trump par Zelensky ; je cite : « Ce n’est pas parce que vous
parlez plus fort que vous avez raison ». JD.Vance silencieux jusque-là,
est sorti de son silence et a reproché à Zelensky de ne pas respecter
l’Amérique en reprenant son président. Le ton et les échanges ont encore monté
jusqu’à la décision du président Trump de mettre fin à la rencontre. Mais cette
rencontre avait mal commencé, l’un des hommes présents ayant fait à Zelensky
des reproches sur sa tenue militaire habituelle jusqu’à lui demander s’il
possédait un costume.
Ainsi,
comme je l’ai dit plus haut, les objectifs de ces deux hommes sont
inconciliables. Et c’est en plaçant au pouvoir des USA, un homme d’affaire qui
n’est pas un homme politique, que Dieu renverse une situation jusque là
favorable à l’U.E., la cible principale de sa colère. L’actualité confirme mes
précédentes analyses dans lesquelles je donnais à la présidence de Joe Biden, un
temps favorable pour séduire l’U.E. et l’impliquer dans la guerre faite à la
Russie par l’Ukraine.
Le
futur proche est facile à décrire. Se sentant trahis par les USA, les pays
européens les plus vindicatifs vont s’unir pour défendre leur chère Ukraine et
ils vont en payer un prix très cher. Car la Russie n’est pas la Serbie si
facile à dominer avec l’aide des Américains en 1992 (Bosnie) et surtout en 1999
(Kosovo). Cette fois, cette aide indispensable sera absente et à l’heure de
l’offensive russe lancée contre l’U.E., les pays européens vont devoir compter
que sur leur faible force et faible armement conventionnel.
L’échec
de la rencontre de Washington repose sur l’esprit « jusqu’au-boutiste »
du jeune dirigeant ukrainien et de ses soutiens européens. Face à ce constat,
je relève l’analogie entre cet entêtement forcené rebelle et celui du pharaon
égyptien du temps de l’Exode. Et cette comparaison est très justifiée parce que
dans les deux cas, Dieu châtie pour détruire et tuer ses ennemis et ceux de son
peuple fidèle. L’immoralité publique qui a caractérisé Volodymyr Zelensky, le
comédien graveleux « joueur de piano (sans ses mains)» avant sa présidence
de l’Ukraine, ainsi que les exhibitions honteuses de ses « Femen »,
ont fait de l’Ukraine, le laboratoire d’expérimentation du péché le plus
avancé, le plus extrême. C’est donc par elle, que Dieu a séduit les pays de
l’U.E. pour les conduire vers leur commune destruction.
Pour
autant le modèle Trump est loin d’être glorieux, car son amour pour l’argent le
rend hideux. Mais son intérêt pour la vie des gens le rend supportable. Car
comme chacun des êtres humains, cet homme produit du bien et du mal. Son amour
immodéré de l’argent en fait un riche au sujet desquels Jésus a déclaré dans
Luc 6:24 : « Mais, malheur à vous, riches, car vous avez
votre consolation ! ». Et 1
Timothée 6:10 nous dit : « Car l'amour de l'argent est une racine de
tous les maux ; et quelques-uns,
en étant possédés, se sont égarés loin
de la foi, et se sont jetés eux-mêmes dans bien des tourments. » ;
et « les maux » qui le frapperont ainsi que son pays viendront
directement de Dieu et déjà, en premier, de la part de cette Russie dont il
veut devenir l’ami, en « marchand de la terre » dans le
contexte de la « sixième trompette » ou
Troisième Guerre Mondiale qui vient. Il frappera, en premier, la Russie, parce
qu’il ne lui pardonnera pas d’avoir trahi sa démarche amicale et il lui
imputera la responsabilité de son échec dans sa tentative d’instaurer la paix
universelle sur toute la terre.
Ceci
dit, son attitude envers la réduction de la richesse de l’Amérique est
justifiée. Car son intérêt pour l’argent le rend plus lucide que les gens
politiques de son pays et des Européens. Il est le premier qui prend conscience
que la suppression des « écluses financières », que constituent les
taxes imposées aux importations étrangères, est responsable de l’endettement
colossal de son pays. En France, la suppression de ces taxes avait été dénoncée
par des observateurs déjà plus lucides que ses dirigeants politiques. Et le
temps finit par leur donner raison. Je précise que j’étais de ce nombre et que
j’ai été témoin du sabotage économique de la France par ses élites politiques
vendues à l’Europe financière.
Les
autres pays tels que la l’Inde, le Pakistan, la Chine, le Japon, l’Australie,
seront eux aussi, détruits par leurs adversaires respectifs potentiels. L’U.E.
détruite par la Russie, la Russie détruite par les USA, c’est en grand
vainqueur sans partage que ces USA obtiendront la domination universelle
convoitée depuis la Seconde Guerre Mondiale qui a réveillé le monstre endormi.
Le
dernier châtiment divin prendra pour cible le dernier gouvernement universel et
les survivants humains dispersés sur toute la terre irradiée après les échanges
nucléaires. Après la loi dominicale, le fruit de la malédiction extrême, la
colère de Dieu s’abattra sur les rebelles sous la forme de ses « sept
derniers fléaux » décrits dans Apocalypse 16. Avant le « septième »,
Jésus reviendra dans sa gloire divine céleste, pour enlever de terre tous ses
élus rachetés ; les morts seront ressuscités et les vivants seront
transmués, tous recevront un corps céleste comme les saints anges fidèles de
Dieu pour entrer au ciel dans le royaume de dieu. Alors sous l’image de « la
vendange » d’Apocalypse 14, sur la terre, la colère des victimes des
mensonges religieux se portera sur les enseignants de ces mensonges, juifs,
catholiques, orthodoxes, protestants, anglicans et adventistes, tous rebelles
abandonnés et livrés au diable par le Dieu de vérité, le Tout-Puissant, Jésus-Christ,
Micaël, YaHWéH.
Au
sujet de la Chine gloutonne qui vampirise les emplois occidentaux, nous ne
devons pas oublier que ce sont les USA et les Européens qui l’ont enrichie en
lui abandonnant tous leurs secteurs économiques. Cette erreur stratégique est
directement imputable à la malédiction divine qui frappe l’Europe. Elle a
construit son malheur en voulant reproduire le modèle des USA qui ont imposé
leurs règles. De plus en Europe, l’abandon économique des souverainetés
nationales a placé tous les peuples sous la domination d’un dictat économique
et financier. Les Européens se sont retrouvés prisonniers d’une « pensée
unique » imposée par la gouvernance européenne. La France, sans laquelle
l’U.E. n’existerait pas, a été victime de sa 5ème Constitution
républicaine de type monarchique présidentiel. L’absence d’implication du
peuple français dans les choix économiques a donné aux pouvoirs exécutifs
successifs une liberté de choix et d’actions incontrôlables. D’une manière
insensée digne d’un aveugle, les politiques ont privilégié le capital soit le
profit immédiat au détriment de l’emploi qui construit la richesse sur le long
terme. Les profits pharamineux obtenus par l’exploitation des travailleurs
chinois ont rendus fous les financiers de toute la planète dont ceux de la
France et de l’Europe. Après la casse des emplois, apparaît la ruine et la
faillite d’une société devenue folle à en mourir. Tous ces choix désastreux ont
enrichi des individus et des groupes cotés en « Bourse ». Mais les
pauvres sont aujourd’hui encore plus pauvres et de plus en plus mécontents,
irrités et insatisfaits. Ils mourront bientôt tués dans une guerre qui ne les
concernait pas, mais que les riches argentiers ont encouragée et financée
espérant tirer de gros profits par les reconstructions au temps où la paix sera
rétablie. Erreur fondamentale ! La paix ne reviendra pas et personne ne
relèvera les ruines qui vont être causées par la guerre à outrance qui vient.
M19- L’Europe divisée
L’U.E.
actuelle est, malgré son nom, très divisée. Cette Union n’est pas celle des
peuples qui restent divisés par leurs langues et leurs propres intérêts. Les
peuples n’ont été d’ailleurs que tardivement consultés au sujet de la
construction de la nouvelle Europe occidentale ; celle du marché commun
n’était qu’un traité passé entre les hautes sphères dirigeantes de six pays qui
ont accepté les normes mises au point par la France et l’Allemagne. Les deux
pays riches dont l’injustice a été démontrée par leur acceptation de l’entrée
de l’Angleterre dans cette alliance sous les conditions particulières qu’elle a
exigées. Ainsi est né l’Europe de l’injustice, l’Europe à la carte, construite
à l’image d’un « fast-food » où chacun entre, prend son plateau, se
sert en choisissant ses plats, paie, s’assoit et mange. Elle est encore plus
injuste par son système dit « Robin des bois ». Si elle prenait aux
riches pour aider les pauvres ce serait presque louable bien qu’injuste. Mais
ce n’est pas ce qu’elle fait : Elle nourrit et engraisse les plus riches,
les investisseurs, et leur livre de nouveaux pays pauvres à exploiter. Elle
fait ainsi payer par les anciens pays riches la création de nouveaux
concurrents qui les privent de leurs emplois, en leur faisant payer les grosses
subventions qui sont allouées à ces
nouveaux entrants.
Je
veux ici, signaler la malédiction que représente pour les Européens, leur
accueil des pays de l’Est qui se sont auto-libérés de la Russie en 1990. Jusqu’à
cette date, les Européens des « dix cornes » de Daniel 7:7 et
plus précisément d’Apocalypse 17:3, vivaient en paix, dans la prospérité, et
l’insouciance. Cependant, ils ignoraient que la date 1994 a été fixée par Dieu
pour mettre fin à son alliance avec son institution officielle instaurée aux
USA depuis 1863 et qu’il bénit officiellement prophétiquement en l’année 1873.
Il a choisi son nom : église adventiste du septième jour. Dans ce constat
je mélange volontairement les faits civils et religieux, parce que Dieu
organise les deux et chacun d’eux confirme l’unité de son projet.
Après
avoir porté mon ministère prophétique auprès des adventistes de l’institution,
le grand Dieu créateur m’a fait découvrir la signification du sabbat du
septième jour : l’anticipation prophétique du septième millénaire. Depuis
2018, l’Esprit m’a permis de connaître la date du commencement de ce septième
millénaire soit, le jour du printemps 2030, le 20 Mars qui sera le jour où
notre divin Seigneur et sauveur reviendra dans la gloire céleste de ses saints
anges.
L’histoire
humaine chrétienne est ainsi marquée par une succession de dates proposées par
Dieu dans ses prophéties. Il offre ainsi à ses élus, mais à eux-seuls, un
parcours fléché qui trace le programme préparé par Dieu. A la base de cette
construction, se trouve la mort de Jésus, le mercredi 3 Avril 30 qui permet de
situer son retour final pour le printemps 2030 soit, 2000 ans moins quelques
jours.
Entre
temps, les ténèbres du catholicisme romain ont prévalu depuis 313. Son règne du
type papal s’est étendu entre 538 et 1798, cessant par l’action de la
Révolution française qui a mis Pie VI en prison à Valence où il est mort en
1799.
La
date suivante est 1844. Elle est obtenue comme terme des « 2300 soir-matin » soit 2300 années
posées sur la date – 457 (réelle : – 458) ou « 7ème année du roi Artaxerxès » d’Esdras 7:7, qui
conduit à la « 70ème semaine »
(d’années) du ministère terrestre de Jésus-Christ, le « messie » prophétisé dans Daniel
9:25. La date 1844 ouvre le temps d’une grande purification de l’Evangile
éternel déformé par des siècles de pratique enténébrée abominables. Et dans la
Réforme protestante engagée au XVIème siècle, les protestants hypocrites, bien
plus nombreux, ont captivé les esprits humains au détriment des vrais élus de
Jésus-Christ de l’époque. C’est si vrai, que dans Daniel, dans sa prophétie,
l’Esprit n’évoque pas cet événement de la Réforme, mais cible et développe
uniquement le ministère du Christ (Daniel 9:24 à 27), le règne papal ténébreux
(Daniel 7:8-24-25), et le temps de la purification doctrinale de 1844 (Daniel
8:13-14).
Mais
1844, n’est que le début d’une dernière phase qui s’achève tragiquement en
1994. Je précise qu’en raison de la découverte d’une erreur sur la date de base
qui est – 458 et non – 457, les dates réelles de cette chaîne sont 26, 1843 et
1993. Cependant cette erreur ne change rien pour le jugement que Dieu a porté
sur l’institution adventiste du septième jour ; ses fautes mortelles ayant
été commises le 22 Octobre de l’année 1991 (demande d’entrer dans la Fédération
protestante). Dans la même année, en Décembre, le message prophétique que je
présentais au nom de Jésus-Christ a été rejeté et j’ai été radié officiellement
de l’œuvre.
Les
dates 1990 et 1991 se suivent et je relève qu’au même moment, l’église
adventiste vivait le temps final de son alliance avec Dieu et que l’Europe des
« dix cornes » accueillait dans son alliance, les pays de l’Est et
leur haine de la Russie. La ressemblance est encore plus grande, puisqu’en même
temps, les deux accueillent la malédiction qui va à terme causer leur
perte ; pour l’Europe, les pays de l’Est, et pour l’Adventisme, le
Protestantisme maudit par Dieu depuis 1843.
En
entrant dans l’Europe, les pays de l’Est admis on reçu des aides financières
européennes qui les ont aidés à se relever économiquement. En 2008, la
candidature de l’Ukraine a été refusée à cause de sa corruption par
l’Allemagne. Mais les 8 autres pays de l’Est ont été admis dans l’UE et l’OTAN
en 2004 et 2007. Dans les pays Baltes et dans tous les pays sortis du camp de
l’Est, la population comprenait des Russes. Et en raison de leur longue
exploitation par la Russie, les vrais Baltes vouaient une grande haine à la
culture russe. Et c’est dans ces pays Baltes que les premières mesures
antirusses ont été adoptées ; ceci au détriment de la composante
russophone et russophile. Un autre pays, la Pologne, a pris quelques temps pour
revenir à son catholicisme historique, ayant eu elle-aussi à combattre l’esprit
russe de la culture soviétique. Ainsi, elle est passée de
« Solidarnosc » à l’adoration de Marie et de son pape Jean-Paul II.
Son émigration vers les différents pays riches occidentaux a fini par causer le
« Brexit » ; la sortie de l’Angleterre de l’Union Européenne.
L’Europe
a donc connu deux époques successives marquées par 2 traités de Rome. La
première était une alliance commerciale, la seconde était une alliance beaucoup
plus politique, exigeant des partenaires l’acceptation de gros compromis et la
renonciation à leur indépendance. Et dans la seconde, la malédiction est entrée
sous l’aspect des pays échappés du camp de l’Est à partir de 1990. Ensuite,
renouvelant sa demande d’adhésion à l’Europe et l’OTAN, l’Ukraine a agressé la
culture russe en persécutant les ressortissants russes vivant sur sa terre
nationale à partir de 2013. Par cette action, un piège était tendu aux
Européens victimes de leur nature maudite par Dieu. Ils ont réagi comme en 1992
au sujet des Balkans où la Bosnie-Herzégovine était agressée par les Serbes.
Rendus arrogants par le soutien américain de l’époque, ils ont voulu intervenir
pour imposer leur justice européenne.
La
guerre des Balkans a eut lieu à cause de la division des ethnies qui
composaient l’ancienne Yougoslavie du dictateur Tito. Ce mot division est une
clé biblique que présente Daniel 5. La nuit où le royaume de Babylone tomba
entre les mains du roi Mède Darius, Dieu mit à l’épreuve le roi chaldéen Belschatsar,
petit fils et successeur du roi Nébucadnetsar. Ce roi impie qui ne tira aucune
leçon de l’expérience de son grand-père utilisa de manière profane les vases de
sainteté du trésor du temple hébreu rapporté de Jérusalem. Dieu fit alors un
miracle qui épouvanta le roi. Il vit une main écrire sur le mur quatre
mots : « méné, méné tekkel, upharsin ». Daniel fut appelé pour
expliquer la chose ; les mots signifiaient « compté, compté, pesé,
divisé » : début du règne, « compté » ; heure de
l’épreuve, « compté » ; jugement de Dieu,
« pesé » ; sentence mortelle, « divisé ».
Ce
principe compté, compté, pesé, divisé, est appliqué par Dieu dans toutes ses
alliances provisoirement passées avec des serviteurs ; le diable en
premier, Adam en second, les antédiluviens en troisième, Sodome et Gomorrhe en
quatrième, Israël en cinquième punie après 40 ans d’épreuve, puis Israël en
tant que nation sur la terre de Canaan, et la fin est arrivé avec la première
venue de Jésus-Christ, pour le temps de son épreuve de confiance et de
fidélité. Le messie étant rejeté Dieu porte son jugement :
« pesé » ; en 70, les Romains détruisent Jérusalem et la
sainteté, clergé, population et temple : « divisé ».
Le
principe est encore plus évident pour l’ère chrétienne que la prophétie marque
et découpe par des dates fixées par Dieu. Mais là encore, seule la période qui
commence en 1843 débute sur une date obtenue par des durées bibliques
chiffrées : 1828 ; 1843-1844 ; 1873, trois dates construites
respectivement sur Daniel 12:11, Daniel 8:14, Daniel 12:12 ; 1994 obtenue
par Apocalypse 9:5-10, et là s’achèvent les dates construites sur les durées
chiffrées proposées et écrites dans la sainte Bible. A ce stade de l’avancement
de l’histoire du christianisme tout ce qui devait s’accomplir avec l’église de
Jésus-Christ en forme institutionnelle a été accompli. Je peux ainsi affirmer
que le premier compté de l’église adventiste du septième jour est attaché à la
date 1873. Cependant, l’épreuve de fidélité du type adventiste prend sa source
au printemps 1843, date de la première attente du retour de Jésus-Christ. Cette
attente fut renouvelée et suivie par une seconde pour la date du 22 Octobre
1844. Ce type d’annonce n’a pas été renouvelé avant mon annonce du retour de
Jésus-Christ pour 1994, qui a été pour l’adventisme du septième jour, l’heure
officielle de la fin du délai de « cinq mois » soit, 150 ans que
Dieu avait programmés pour la mettre à l’épreuve. Les tractations engagées le
22 Octobre 1991 ont abouti et l’église a officiellement confirmé son
rattachement à la Fédération protestante, dans l’année 1995.
Il
est temps de comprendre que les dates construites par Dieu ont aujourd’hui
l’intérêt de montrer à ses élus que son jugement est justifié, et qu’il a tout
révélé ce qu’il allait faire. C’est alors qu’on peut comprendre que la
précision des dates était réellement secondaire, puisque les vrais dates n’ont
pas été connues avant 2018 par ses serviteurs ; l’année où la septième
année du roi Artaxerxès m’est apparue comme étant – 458 et non – 457. Le
message prophétique était donc faussé d’une année. Mais ce qui rend cette erreur
sans importance, c’est l’intérêt que prend l’année 1991 et surtout le 22
Octobre 1991, date anniversaire de la seconde épreuve adventiste dans laquelle
Jésus était attendu pour le 22 Octobre 1844. Ainsi, connaissant leur projet de
rejoindre l’alliance protestante, Dieu leur a fait engager cette décision au
jour anniversaire de la date où pour la première fois, les pionniers de l’œuvre
ont été sélectionnés : « compté » ; la deuxième fois est
arrivée en 1991 date du second « compté » ; en 1994, fin du délai
accordé, Dieu a jugé « pesé » ; et en 1995 ils ont confirmés
leur alliance avec la Fédération protestante écrivant spirituellement le mot
« divisé ».
Alors
que la prophétie de Daniel, l’ignore, Apocalypse donne sa plus grande part de
révélation au protestantisme pour révéler aux élus de Dieu la malédiction qui
frappe ce protestantisme depuis 1843. Car, cette prophétie était destinée à
éclairer les derniers adventistes fidèles concernés par le vrai retour final de
Jésus-Christ. Et tout adventiste digne de ce nom ne peut ignorer qu’en exigeant
le respect de la pratique du repos du vrai sabbat, Dieu condamne son anti-modèle,
le repos du premier jour de la semaine appelé par l’église catholique impie
« Jour du Seigneur » ; ce qui est la traduction du nom d’origine
latine « dimanche » ; ceci, afin de dissimuler son vrai nom romain
originel qui est le « jour du soleil invaincu » comme l’appelait, avec
ses autres adeptes païens, l’empereur romain Constantin 1er qui l’a
imposé dans l’empire le 7 Mars 321 par un décret.
En
évoquant le « dimanche » du catholicisme romain, je tiens le sujet
qui explique toute la malédiction qui pèse sur nos sociétés occidentales
européennes. Ainsi se crée le lien qui relie le religieux à la vie civile. Car
croyant ou incrédule tout être humain subit le jugement de Dieu qui le justifie
ou le condamne. Comme le nom de Daniel l’enseigne, Dieu est mon Juge, ton Juge,
notre Juge. Le sort de chacun de nous dépend de son jugement. Alors peut-on
trouver sur la terre quelque chose de plus précieux que ces révélations
bibliques de Daniel et Apocalypse, dans lesquels Dieu écrit son jugement et les
épreuves de fidélités successives, et par lesquels il va, jusqu’à la dernière
minute de la vie terrestre, tester la fidélité de ses élus ?
L’incroyant
va devoir payer comme le croyant infidèle sur la terre actuelle les
conséquences du mépris des avertissements que Dieu a rendus disponibles à toute
personne désireuse de l’honorer et le servir. C’est l’inspiration de l’Esprit
qui me permet de comprendre aujourd’hui comment mon pays la France a construit
les malheurs qui vont le frapper terriblement. Mais sachant ces choses, je ne
me considère déjà plus comme un français mais comme un habitant du monde parce
que le jugement de Dieu est à cette échelle universelle. Depuis Babel, le monde
est divisé par des langues qui ont justifié le regroupement des hommes en
tribus, en peuples, en royaumes et en nations. En notre époque, le
développement d’internet, des réseaux d’informations, des traducteurs
automatiques, et dernièrement de l’IA, ont permis de surpasser le problème des
langues. En conséquence, l’Europe s’est construite dans un grand rassemblement
de langues différentes parlées. Mais pour chaque simple individu de cet
ensemble, son lien relationnel ne passe que par son langage natal. L’intérêt
des alliances n’est pas pour la masse populaire qui ne quitte parfois pas les
limites de son département ou sa région. Les alliances comme celles de l’U.E.
n’ont réellement d’intérêt que pour les dirigeants politiques et les grands
patrons d’industrie ou du commerce. Le but recherché est l’extension
commerciale : plus de clients pour plus de profits. La guerre qui vient a
pris sa source dans le soutien donné à l’Ukraine, mais qui a décidé de donner
ce soutien ? Le peuple ? Non, ses dirigeants politiques, aveugles
envers tout ce qui n’est pas la politique. Car il est encore une terrible
malédiction qui explique la facilité de diriger une masse populaire ;
cette malédiction est la spécialisation professionnelle des individus. Les
multitudes humaines sont divisées par les sujets de leurs intérêts. Chacun
devient un expert dans son domaine, mais devient un âne envers ce qui n’est pas
dans son centre d’intérêt. Je compare l’homme moderne à une personne myope
comme une taupe qui marche au ras du sol, les yeux fixés sur le sol qui est
devant eux. La vie est un tout multiple, elle ne peut être comprise que dans un
regard panoramique englobant le plus large possible. Mais cette description
n’est pas celle de gens spécialistes diplômés qui ne comprennent rien à ce qui
sort de leur spécialité, simplement, parce qu’ils n’y prennent pas d’intérêt. La
personnalité des gens repose sur leur profession ; on est docteur,
professeur, secrétaire, ouvrier agricole, ouvrier dans l’industrie ou le
bâtiment, alors qu’il faudrait simplement être l’homme fait à l’image de Dieu.
Non seulement, la spécialisation professionnelle restreint le champ de
l’analyse mais encore elle concentre l’attention sur la vie charnelle, la vie
physique et elle rend difficile aux gens la possibilité de s’intéresser au
sujet spirituel qui traite de l’invisible, l’immatériel.
Dieu
a été contraint de m’arracher à ma vie active, en me présentant deux fois en
une année sa « Tragédie des Siècles » tant mon activité de musicien
me retenait. Quand je pense à cet appel de Dieu, je pense à l’appel d’Abram
cité dans Genèse 12:1 : « YaHWéH dit
à Abram : Va-t-en de ton pays, de ta patrie, et de la maison de ton père, dans
le pays que je te montrerai. » En vérité, nous ne pouvons évaluer
l’offre du Seigneur qu’en étant déconnecté de nos activités professionnelles
qui exercent sur nous une puissance qui nous tient esclave. Une fois libéré,
j’ai pu apprécier à sa juste valeur le privilège d’être ainsi délivré d’une
passion que je trouvais normale et que tout homme trouve normal. Le problème
est ainsi, dans notre normalité qui exclut l’intérêt pour le sujet spirituel.
Et je parle d’un intérêt basé sur l’intelligence, le désir de comprendre, afin
d’obéir au Dieu invisible pour entrer dans ses grâces. Dans mon cas, ma
normalité gardait une place pour le spirituel, je lisais, sans la comprendre,
la prophétie d’Apocalypse et c’est pourquoi, Dieu m’a appelé pour le servir. Je
n’avais besoin que d’être détaché de l’activité de musicien guitariste qui
faisait danser les gens les samedis et les dimanches, dans ma région. Dieu m’a
laissé le choix et j’ai dû prendre la décision de la rupture, à l’évidence,
nécessaire.
Je
suis maintenant convaincu que tout être humain a la nécessité d’être libéré de
tout ce qui le rend spirituellement aveugle. Cette libération peut être
partielle car l’homme doit vivre de son travail, mais son travail ne doit pas
le rendre esclave afin de garder du temps pour son instruction spirituelle. La
connaissance spirituelle devient alors une normalité compatible avec une vie
professionnelle active modérée et équilibrée.
Les
conditions de vie de la Genèse ont disparues en notre époque moderne.
L’incrédulité généralisée et particulièrement en France, l’incroyance, sont les
fruits de la vie moderne qui offre à l’humanité, le confort matériel et une
relative sécurité ; de plus en plus attaquée et mise en danger. Après le
péché originel, Dieu a transformé sa création ; nous lisons dans Genèse
3:17-18 : « Il dit à l'homme :
Puisque tu as écouté la voix de ta femme, et que tu as mangé de l'arbre au
sujet duquel je t'avais donné cet ordre : Tu n'en mangeras point ! Le sol sera maudit à cause de toi. C'est à
force de peine que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie, il te
produira des épines et des ronces, et tu mangeras de l'herbe des champs. C'est
à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu'à ce que tu
retournes dans la terre, d'où tu as été pris ; car tu es poussière, et tu
retourneras dans la poussière. »
Pour
Adam et sa descendance, le travail était devenu dur et indispensable pour
survivre. Dieu a volontairement rendu dur le travail de la terre, trouvant là
le moyen de rappeler à l’homme sa culpabilité qui en fait un être devenu
mortel. Relève l’intérêt de cette expression : « C'est à la sueur de ton visage
que tu mangeras du pain ». Qui
aujourd’hui en Occident, mange son pain à la sueur de son front ?
Quand j’étais encore un enfant j’ai assisté au battage du blé et j’ai vu des
hommes sur les fronts desquels coulait la sueur dans laquelle se collait la
poussière créée par la batteuse de l’époque. Aujourd’hui, c’est assis
confortablement dans un gros véhicule agricole que l’homme moissonne et récolte
le grain de blé ; sans sueur et sans poussière. La vie moderne fait
oublier le péché et ses conséquences. En perdant de vue le péché, l’être humain
ne voit plus non plus le Dieu créateur qui a condamné son péché. Dans de
nombreux domaines, la vie moderne efface les conséquences du péché et il en est
ainsi depuis Babel où Dieu sépara les hommes par des langues ; mais
aujourd’hui, les langues ne les séparent plus, des appareils informatiques
traduisent en temps réel toutes les langues en toutes langues. Pour la santé
c’est pareil ; des médicaments permettent de soigner toutes sortes de maux
et maladies. La pharmacopée offre ses productions pour soustraire l’homme aux
conséquences de ses transgressions alimentaires ou de son type d’existence.
Tous ces palliatifs modernes suppriment la pensée vers Dieu. Et nous avons là,
l’explication des paroles tenues par Jésus qui a dit dans Luc 18:18 :
« Je vous le dis, il leur fera
promptement justice. Mais, quand le Fils
de l'homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? » La
question que Jésus pose concerne la
quantité et la qualité de la foi que la vie moderne rend rare. Pour lui le
modèle parfait fut son expérience et celle de ses onze apôtres, le douzième
étant un démon. Si Jésus met en doute cette possibilité de trouver la foi quand
il viendra, c’est parce que le long temps de paix des 80 années comprises entre
1945 et 2025 a presque intégralement tué la vraie foi. La guerre, la vie
précaire menacée de mort vont réveiller la vraie foi mais uniquement pour la
dernière épreuve adventiste.
Nous sommes
entrés dans cette dernière épreuve adventiste du septième jour depuis le
printemps de l’année 2018, en lequel Jésus-Christ m’a fait connaître avec mon
frère en Christ, Joël, la date de la dernière attente de son retour glorieux
qui sera le jour du printemps 2018 pour l’hémisphère Nord de la terre. C’est
donc la quatrième annonce de sa venue depuis 1843. Cette fois, le calcul
donnant ce résultat est des plus simples et sans lien avec les chaînes datées
précédentes. Sur un total de 6000 années de sélection des élus par Dieu, les
4000 premières années conduisent à la mort de Jésus-Christ ; et les 2000
années restantes nous mènent à sa seconde venue, cette fois glorieuse, divine et
céleste, au printemps 2030 où s’achèveront les 6000 années de la vie terrestre
et des péchés humains.
Cette
dernière attente adventiste est prophétisée par Jésus dans sa parabole des
« dix vierges ». Et je
relève encore une application parallèle de cette parabole sur le plan spirituel
et sur le plan civil profane. Dans la parabole, des « vierges sages » se préparent pour le retour de « l’époux ». Les « vierges folles » ne se préparent
pas et quand « l’époux »
revient, elles ne sont pas prêtes. « L’époux »
repart avec les « vierges sages »
et les « vierges folles »
sombrent dans le désespoir. Ce récit résume l’essentiel de cette parabole.
J’ajoute cette précision : la préparation consiste à remplir les vases
d’huile symbole du Saint-Esprit de Dieu en Jésus-Christ.
Le
sujet de cette parabole est donc l’impréparation. Et que se passe-t-il en cette
heure dans l’U.E. ? Un brutal changement de comportement du chef des USA,
place l’Europe impréparée militairement à devoir faire face à une menace Russe,
justifiée depuis que l’Europe s’est associée à la cause de l’Ukraine. Dans le
spirituel et le civil, l’impréparation est mortelle ou porte des conséquences
mortelles. Je n’exagère pas en disant que pour mes Français ex-gaulois, le ciel
leur tombe sur la tête. Et à son tour, Jean de la Fontaine leur dit, moqueur,
par sa fable du lièvre et de la tortue : « Rien ne sert de
courir ; il faut partir à point ». Un autre dicton dit :
« le temps perdu ne se rattrape jamais ». Pris de panique en
apprenant que Donald Trump gèle momentanément toutes les aides militaires
destinées à l’Ukraine, les nations de l’U.E. s’entêtent et cherchent le moyen
de remplacer l’aide des USA. Problème ! Les finances européennes ne sont
pas au mieux. Et les décisions pour des énormes dépenses militaires sont
difficilement acceptées dans des nations démocratiques. Mais, la 5ème
République est une monarchie républicaine et le grand pouvoir détenu par son
président autoritaire saura obtenir des députés l’investissement que sa seule
décision guerrière personnelle rend nécessaire pour honorer son engagement
envers l’Ukraine. Le jeune président Macron va coûter de plus en plus cher aux
Français qui l’ont élu.
Aujourd’hui,
le mercredi 5 Mars 2025, Donald Trump vient de porter un coup décisif contre
l’Ukraine, en lui coupant l’aide de la recherche satellite si précieuse pour
expliquer ses destructions précises d’objectifs stratégiques russes. Cette
décision provoque la panique des dirigeants qui réalisent qu’ils sont cette
fois vraiment seul en face de la Russie. En conséquence, en France, le
président Macron adresse ce soir un discours aux Français pour dit-on
officiellement, rassurer les Français soudainement très inquiets. Il est grand
temps pour eux de se réveiller, car à ce sujet, je relève encore la même longue
indifférence pour la politique civile et la religion du Dieu créateur. Le
président a cité le temps de l’innocence des Français insouciants ; le mot
innocence ne convient pas pour désigner une coupable indifférence qui les rend
aveugles et sourds. Le discours dont le but annoncé est de rassurer les
Français a en réalité le but de les inquiéter suffisamment pour qu’ils soient
prêts à consentir à de gros sacrifices financiers et sociaux.
S’ils
avaient été réveillés et intelligents les Français auraient comme moi relevé la
véritable escroquerie que constitue la création de l’U.E. Et à ce sujet je
relève encore une démarche identique entre le fonctionnement de l’Europe et la
gestion nationale interne française. Un président français a eu l’idée de faire
payer par l’entreprise nationalisée d’EDF la création de nouveaux concurrents.
Faut-il être stupide pour croire que cette concurrence peut faire baisser les
prix, alors qu’elle n’ajoute que l’enrichissement de personnes qui se nourrisse
en parasite sur la production d’EDF. Et l’Europe fonctionne de la même manière,
faisant financer leurs concurrents par les pays membres anciens les plus
riches.
Quatre
personnes ont décidé d’aider l’Ukraine et portent l’entière responsabilité du
drame vers lequel nous nous dirigeons : Joe Biden, Volodymyr Zelensky,
Ursula Von der Leyen, Charles Michel, et après leurs engagements, le ministre
anglais Boris Johnson et Emmanuel Macron. Les Français sont désinformés par 3
chaînes info privées appartenant à des propriétaires privés richissimes, dont
la puissante famille Bouygues, père et fils, qui fut à l’origine de la demande
de la loi du regroupement familial. Je suis né avant la création de l’Europe et
j’ai donc pu assister, jour après jour, à l’abandon de l’indépendance nationale
et ses conséquences : un abandon laxiste de la gestion du pays par les
hommes politiques. Quant à l’Europe, elle n’a pas cessé de détruire l’emploi
français pour favoriser l’investissement des actionnaires dans les pays pauvres
entrants.
La
malédiction divine s’est installée sur la France très progressivement et le
premier signe de celle-ci, a été le passage à la 5ème République, à
demi, démocratique et à demi, dictature. Les presque pleins pouvoirs remis à un
seul homme étaient un vrai danger, un vrai risque qui a conduit à notre situation
actuelle. Le président Sarkozy a mis le chaos en Libye, son successeur François
Hollande a trahi ses électeurs ; l’ennemi de la finance l’a grandement
enrichie. Et en nommant ministre E.Macron, il a facilité sa présidence, bien
qu’il ait témoigné d’arrogance envers la population. Et sur ce sujet, les deux
présidents se valent ; le vieux se moque dans le privé des « sans
dents » et le jeune harangue et tangue des jeunes hommes au cours de ses
déplacements.
Il
est évident et logique que l’indifférence est un trait de caractère qui se
révèle autant dans les sujets civils que les sujets religieux. Ainsi les mêmes
gens marqués par ce comportement indifférent sont les victimes des escroqueries
politiques et des escroqueries religieuses qui conduisent l’une et l’autre à la
mort ; la première mort, pour l’escroquerie politique, et la seconde mort,
pour l’escroquerie religieuse. Mais en réalité, c’est le comportement envers le
sujet religieux qui détermine la réaction de Dieu qui livre, alors, sa créature
à l’aveuglement de l’indifférence et ce faisant, à ses ennemis politiques et
religieux qui causent sa perte.
Le
peuple français qui n’a pas d’oreille pour écouter la vérité de Dieu est
abreuvé de mensonges par les hommes politiques et les médias sur les plateaux
desquels des anciens officiers en retraite rejouent l’arrogance de 1914 et
1939. Ces plateaux télévisés se transforment en réunions d’Etat-major où chacun
présente son opinion, dans la pensée unique de la culpabilité russe. Non !
La guerre n’a pas commencé en 2022, mais en 2013 par un renversement du
président ukrainien russophile élu, et après ce renversement, par la chasse à
l’homme russophile sur tout le territoire de l’Ukraine, jusqu’en 2022, où la
Russie est intervenue pour défendre ses ressortissants ukrainiens russophiles
et russophones.
En
résumé, que s’est-il passé ce soir ? Un président pompier incendiaire
s’est adressé aux Français plus divisés que jamais dans toute l’histoire de
France pour demander leur aide afin d’éteindre le feu qu’il a allumé. Sur qui
compte-t-il ? Sur ces Français adoptés ayant fui la guerre dans leur pays
d’origine ? Ou sur ces Français porteurs de deux ou trois
nationalités ? Et parmi eux se trouvent les vrais ennemis de la France
qu’ils détestent, étant eux-mêmes motivés par un engagement religieux musulman.
L’Europe
et la France partagent les mêmes problèmes, les deux sont extrêmement divisées
et ne savent pas dire « non » aux pays qui veulent entrer dans leur
alliance. Pourtant, aux deux, savoir dire « non » aurait évité la
guerre de l’Ukraine et pour la France, l’adoption de l’île de Mayotte peuplée
uniquement de Musulmans. Le « non » est regardé comme une réponse
autoritaire, alors que le « oui » témoigne de l’humanisme bien
pensant. Plus nombreux, les soutiens du « oui » sont responsables de
toutes les erreurs de choix acceptées, dont l’U.E.
M20- Regard spirituel sur le monde de 2025
Il me
semble l’avoir déjà dit, mais, longtemps, la cause de la séparation de l’Amérique
de l’Europe occidentale était pour moi une question sans réponse, car elle
n’était pas encore l’U.E. arrogante actuelle. Dieu avait donc une bonne raison
de cibler en priorité cette U.E. des « dix cornes » qui
concentre toute les causes de sa colère sur le Vatican, l’Etat pontifical
romain. S’il est vrai, que les USA sont historiquement une excroissance de
l’histoire européenne, il est tout aussi vrai que ce fils est entré en
concurrence avec sa mère, qu’il est prêt à sacrifier, commettant ainsi un
matricide typiquement grec, sa mère étant nommée « Europa ». Mais le
serviteur éclairé que je suis ne s’étonne pas de cette chose, puisque je répète
depuis longtemps que les nations n’ont pas d’amis, mais que des concurrents qui
privilégient leurs propres intérêts et Donald Trump est, sur ce sujet, pire que
l’Harpagon avare de Molière. La vie réelle n’est pas celle que fantasment les
« Bizounours » de la télévision enfantine. Et les symboles de « bêtes »
auxquelles Dieu compare les régimes autoritaires du monde occidental confirment
ce jugement.
Ce jour
est le Jeudi 6 Mars, le jour du Jupiter romain ou Zeus grec. Après son discours
adressé au peuple français, le président Macron, fortifié par bientôt 8 années
de présidence, a lancé un appel vers ses collègues étrangers pour organiser la
défense européenne. Et des journalistes ont évoqué le retour du
« Jupiter » français, fort à propos. Il est vrai que depuis son
apparition dans le cadre du Louvre, en 2017, ce jeune nouveau
« Bonaparte » ambitionne de devenir le nouveau
« Napoléon ». Et pour s’en convaincre, il suffit de se rappeler de
cette déclaration qu’il fit à propos du virus Covid-19, dans un discours
adressé aux Français : « Nous sommes en guerre ». Notre jeune ambitieux
pensait combattre un virus alors qu’il combattait déjà contre Dieu. Il avait
raison, car Dieu lui a, dès ce moment, déclaré la guerre. Nous serons demain le
vendredi 7 Mars, date anniversaire du 7 Mars 321, en laquelle le sabbat du « sceau
du Dieu vivant » fut remplacé par le « jour du soleil
invaincu » de l’empereur romain païen Constantin 1er le grand.
Dieu va-t-il marquer cette date par un fait grave et important ? Je le
saurais dès demain. Mais déjà aujourd’hui, la rencontre organisée à Bruxelles
peut favoriser pour notre « Bonaparte » un pas de plus vers le futur
« Napoléon ». Ce qui est sûr, c’est que son discours dans lequel il
présente la menace russe a fortement irrité les dirigeants de la Russie qui
prennent ce discours comme une déclaration de guerre. Pour devenir le nouveau
« Napoléon », le président Macron a quelques avantages sur ses
collègues européens. Et le premier de ces avantages est qu’il dispose de l’arme
nucléaire et qu’il est le seul à la détenir en Europe depuis la sortie des
Anglais de l’U.E. Ceci me conduit à confirmer la malédiction de la maîtrise de
cette arme redoutable, décision prise par le valeureux Général de Gaulle.
Pourquoi, malédiction ? Mais parce que cette arme terrifiante a conduit
les présidents français à se croire plus puissants qu’ils ne l’étaient en
réalité. Pour être clair, disons qu’elle a favorisé leur « arrogance » ;
cette « arrogance » que le Tout-puissant Dieu créateur tient en
horreur depuis qu’elle a été la cause de sa punition humiliante infligée à
l’orgueilleux roi Nébucadnetsar.
De
l’avis de militaires qui savent de quoi ils parlent, la restructuration de
l’Europe pour produire son propre armement ne donnera des résultats que dans un
délai de dix à 15 années. Ce qu’ils ignorent, c’est que Dieu ne leur laisse
plus que cinq ans avant de les exterminer. Ils vont donc prendre des
résolutions et décider de beaucoup de choses qui ne seront jamais appliquées.
Si je compare leur situation à la « parabole des dix vierges », ils
viennent de découvrir que leurs vases d’huile sont vides et qu’ils doivent se
rendre chez les marchands d’huile pour les remplir de nouveau. Et au milieu de
leur projet, ils sont surpris par les attaques successives du « roi
du midi » et du « roi du septentrion » de Daniel
11:40. Quelle précieuse prophétie qui a changé mon âme entière !
L’explication de Daniel 11:40 à 45 est si subtile que seul l’Esprit qui l’a
fait écrire par Daniel pouvait en donner l’explication. Et comme on peut le
constater, cette annonce ne visait pas à prévenir les humains pour qu’ils
empêchent Dieu d’accomplir son projet destructeur. Mais elle avait pour but de
faire savoir aux saints élus que ce drame doit venir de Dieu, qu’il en est
l’auteur et l’organisateur suprême. En effet, désormais, personne devant
l’évidence ne va ignorer les faits réels vécus, mais seuls, les élus avertis de
ces choses vont les attribuer à la volonté du Dieu créateur, lui-même. Pour un
lecteur superficiel, la prophétie de Daniel 11 met en scène 2 entités
principales qui sont les « rois du midi » lagides et les
« rois du septentrion » séleucides ; et de temps en
temps, une troisième entité qui concerne Rome. A Partir du verset 36, l’Esprit
cible en priorité, cette entité romaine devenue papale en 538 pour 1260
jours-années cités en années solaires dans Daniel 7:25 : « Il prononcera des paroles contre le Très Haut, il
opprimera les saints du Très Haut, et il espérera changer les temps et la loi ;
et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps, et la moitié d'un temps. »
L’idée
d’un saut de plusieurs siècles d’histoire entre les versets 33 et 36 ne
s’invente pas ; elle est inspirée par Dieu ou ne l’est pas. Pour s’ouvrir
à cette explication, mon esprit avait été préparé par Dieu à une analyse de synthèse de tous
les chapitres du livre de Daniel, ce qui n’a jamais été fait avant moi. Car en
effet, l’étude individuelle des chapitres est édifiante, mais ne conduit pas
loin le lecteur, alors que la synthèse globale construit des révélations
subtiles impossibles à identifier sans ce moyen. Pour saisir la logique de la
pensée de Dieu, il faut impérativement lui ressembler soit, bénéficier d’une
grande ouverture d’esprit et regarder la Bible entière comme étant le support
d’une gigantesque somme de données fournies pour éclaircir un code secret.
Comme les robots informatiques, les hommes superficiels ne voient que les mots,
car ils sont eux-aussi incapables de discerner les allusions subtiles proposées
par Dieu ; et ceci, tout simplement parce qu’il ne le leur permet pas.
Dans
Apocalypse 18, Dieu a utilisé des termes qui permettent de comprendre la
séparation des USA du camp de l’U.E. soutien de la Rome papale. Le camp
européen est associé à « Babylone la grande, devenue un repaire de
tout esprit impur et odieux » ; l’Esprit évoque en dehors de
ce camp, « les marchands de la terre » qui désignent subtilement les
marchands protestants américains soit, ce qui caractérise ce que devient
l’Amérique nouvelle de Donald Trump, le modèle du genre, qui n’hésite pas à
profiter de la faiblesse de l’Ukraine pour lui faire signer son accord pour
gérer les richesses minières, les terres rares du pays.
Apocalypse
18 cible l’heure du dernier châtiment de Rome après le retour du Christ et
l’enlèvement de ses élus rachetés vers son royaume céleste. La Rome catholique
papale est ainsi livrée à la colère de ses adeptes trompées par ses mensonges
religieux. Cette action cible particulièrement les survivants de l’Europe. Nous
lisons les versets 9-10 : « Et tous les rois de la terre, qui se sont livrés avec elle à l'impudicité et au
luxe, pleureront et se lamenteront à cause d'elle, quand ils verront la fumée
de son embrasement. Se tenant éloignés,
dans la crainte de son tourment, ils diront : Malheur ! Malheur ! La grande
ville, Babylone, la ville puissante ! En une seule heure est venu ton jugement
! »
Ces « rois de la terre » sont les puissants dirigeants européens
qui ont soutenu le catholicisme ou l’Etat pontifical romain. La phrase clé du
verset 19 est : « Se tenant éloignés dans la crainte de son
tourment ». L’ayant soutenue et approuvée, ces dirigeants
craignent d’être traités comme « Babylone la grande ». Et la
colère de leur peuple les frappera en toute divine justice.
Cette
action punitive est prophétisée dans Apocalypse 17:16 : « Les dix cornes que tu as vues et la bête
haïront la prostituée, la dépouilleront et la mettront à nu, mangeront ses
chairs, et la consumeront par le feu. » Selon Apocalypse 17:12,
« l’heure » citée désigne le temps de la dernière épreuve de
foi finale : « Les dix cornes
que tu as vues sont dix rois, qui n'ont pas encore reçu de royaume, mais qui
reçoivent autorité comme rois pendant
une heure avec la bête. » « Mais qui reçoivent autorité comme roi » cible « l’heure »
où les « dix cornes et la bête qui monte de la terre » jugeront et
détruiront la « prostituée » soit, la ville de
Rome. Cette subtilité repose sur la définition du rôle des « rois
et des trônes » donnée dans Apocalypse 20:4 : « Et je
vis des trônes ; et à ceux qui s'y assirent fut donné le pouvoir de juger… »
Après
le camp des coupables catholiques, l’Esprit cible les Protestants, les derniers
grands « marchands de la terre », au verset 11 : « Et
les marchands de la terre
pleurent et sont dans le deuil à cause d'elle, parce que personne n'achète plus
leur cargaison, …»
Ensuite
nous lisons les versets 15-16 : « Les marchands de ces choses, qui se sont enrichis par elle, se tiendront éloignés, dans la crainte de
son tourment ; ils pleureront et seront dans le deuil, et diront : Malheur !
Malheur ! La grande ville, qui était vêtue de fin lin, de pourpre et
d'écarlate, et parée d'or, de pierres précieuses et de perles ! En une seule
heure tant de richesses ont été détruites ! » Relevons avec intérêt,
que ces Protestants « marchands de la terre »
craignent eux-aussi de subir le sort de la Rome catholique, et la cause de cette
« crainte », justifiée,
est leur soutien donné au « jour du soleil » romain, le
« dimanche » qu’ils ont justifié en tant que « premier
jour » qui honore la résurrection de Jésus-Christ ; ce que Jésus ne
leur a jamais ordonné de faire. Les adeptes du protestantisme auront donc
autant de raison, que les catholiques, de verser le sang de leurs pasteurs qui
ont soutenu la justification du repos dominical romain maudit par Dieu. Dans
ses dernières déclarations officielles, Donald Trump a confirmé son projet de
prendre le contrôle du canal de Panama et son désir de construire de nombreux
navires, pour transporter les produits commerciaux confirmant ainsi sa nature
de « marchand de la terre » prophétisé par Dieu.
Ayant
maintenant démontré ce qui fait sa priorité, Donald Trump sera prêt à tout pour
parvenir à préserver la paix mondiale qu’il veut instaurer. Autant dire que
ceux qui vont être tenus pour responsables de son échec devront en payer
chèrement le prix. Et c’est dans ce rôle néfaste pour ce projet de paix que le
chef de guerre Macron va intervenir dans son action défensive réactive à la
crainte d’une attaque russe. Et il agit bien ainsi depuis le commencement en
pompier incendiaire qui allume le feu qu’il prétend vouloir éteindre. Depuis le
début, la Russie ne voulait que retenir l’Ukraine dans son camp de l’Est et
elle n’avait aucunement l’intention d’arrêter ses échanges commerciaux avec
l’Occident ; et donc aucune raison de l’attaquer. Le drame qui vient
repose sur une fausse interprétation des faits qu’on appelle un procès
d’intention. Et toutes les décisions prises par les dirigeants de l’U.E. n’ont
consisté qu’à se ranger sous la bannière de l’agressif Joe Biden qui détestait
la Russie et son président Vladimir Poutine. Ce dernier est resté au pouvoir depuis
l’année 2000, ce qui a offert à la Russie une grande stabilité politique et
économique. En opposition complète à ce modèle, les nations occidentales
démocratiques libérales changent de gouvernement tous les 4, à 7 ans, selon les
pays. La protection du bouclier américain a rendu les Occidentaux arrogants et
interventionnistes. Et là, les ONG humanistes sont principalement en cause.
Elles ont exercé une pression constante sur les hommes politiques et les
journalistes des médias pour les pousser à intervenir dans des conflits
étrangers comme la guerre des Balkans, allant jusqu’à faire juger le chef Serbe
par le tribunal européen de la Haye prétendu international, alors que seule
l’Europe occidentale le reconnaît. Et je dois encore rappeler le rôle belliqueux
et agressif tenu par le président Sarkozy qui a mis le chaos en Libye et
offert, aux islamistes ennemis de l’Occident, un nouveau territoire, pour
élargir leur influence agressive.
Alors
que l’actualité continue de diriger les regards vers l’Ukraine et la Russie,
dans l’ombre et le silence, « le roi du midi » prépare son attaque
contre l’Occident. C’est encore Dieu qui va choisir le moment pour la lancer.
Car la haine islamiste ne s’achète pas et ne peut s’éteindre par un quelconque
moyen parce que Dieu lui-même l’attise. La religion de l’islam a été instaurée
uniquement pour être pour Dieu un instrument punitif contre l’infidélité du
catholicisme romain. C’est pourquoi elle fut fondée par son prophète Mahomet
sur la fin du VIème siècle immédiatement après l’instauration du
régime papal en 538. Il est temps de tenir compte de cette prophétie que Dieu a
fait sur la descendance arabe d’Ismaël le patriarche des arabes musulmans
actuels. Dieu dit d’Ismaël et subtilement, de sa descendance, dans Genèse
16:12 : « Il sera comme un âne sauvage ; sa main sera contre tous, et la main de
tous sera contre lui ; et il habitera en face de tous ses frères. »
Ce portrait robot n’est-il pas conforme à la réalité témoignée par
l’histoire ? Si les dirigeants français avaient eu connaissance de cet
avertissement divin, auraient-ils pris le risque de laisser l’islam s’installer
en France sur leur territoire national ? Certainement, non ; sous
condition qu’ils croient à son existence et qu’il est bien l’auteur de ces
propos bibliques. Ce récit de Genèse 16 prend pour nous en 2025 une très grande
importance, en raison de l’agression imminente des islamistes contre l’Europe
« chrétienne », même si elle l’est infidèle envers Jésus-Christ. Dans
Genèse 16 la scène décrite est semblable à la situation relationnelle actuelle
des Juifs et des Musulmans. On y voit, Agar la servante égyptienne être
maltraitée par sa maîtresse Saraï, l’épouse légitime d’Abram l’Hébreu ;
ceci, de même, qu’à Gaza, les Palestiniens subissent de la part des Juifs la
colère allumée par le raid meurtrier du 7 Octobre 2023. Et Dieu, pensant au rôle des descendants
d’Ismaël permanent jusqu’à leur disparition finale dit à sa mère Agar, au
verset 10 : « L'ange de YaHWéH
lui dit : Je multiplierai ta postérité,
et elle sera si nombreuse qu'on ne pourra la compter. » J’ajoute,
malheureusement, pour l’Occident.
Dans
l’invisibilité, les anges de Dieu s’activent auprès des personnes de grande
influence comme l’ange Gabriel qui révèle son action à Daniel dans Daniel
10 :13 : « Le chef du
royaume de Perse m'a résisté vingt et un jours ; mais voici, Micaël, l'un des
principaux chefs, est venu à mon secours, et je suis demeuré là auprès des rois
de Perse. » Gabriel a reçu l’aide de Micaël, celui qui allait venir
s’incarner et naître sous le nom de Jésus de Nazareth. Où est donc Gabriel en
ce début du vendredi 7 Mars 2025 ? Avec Donald Trump, Vladimir Poutine, ou
encore Emmanuel Macron ? Toute l’œuvre divine est assurée par des
multitudes de bons anges chargés d’orienter les décisions humaines face aux
mêmes tentatives pratiquées par les anges démoniaques. Mais les bons anges
bénéficient de la puissance divine pour vaincre le camp ennemi et imposer le
projet décidé par Dieu ; ceci, de même que le vainqueur impose sa loi au
vaincu. L’exemple présenté dans Daniel 10:13 le prouve, quand la chose est
nécessaire, Micaël intervient en personne directement.
Nous
sommes entrés, juste avant le printemps qui vient, en ce 7 Mars 2025,
anniversaire du 7 Mars 321, dans un temps de vérité qui revient en force. En
effet, l’extrême franchise décomplexée du président Trump met fin à des
décennies de situations hypocrites dans tous les domaines, à cause des
conventions établies par les sociétés démocratiques républicaines dès la fin de
la Seconde Guerre Mondiale. Seule l’époque du Général de Gaulle fut marquée par
cette franchise politique. Le général ne cachait pas ses idées et il a donné à
la France une totale indépendance que ses successeurs ont sacrifiée pour
construire l’U.E. actuelle. La construction de cette alliance européenne a
reposé sur une hypocrisie majeure, puisque cette démarche a été présentée comme
un facteur de paix durable pour ses membres adhérents. En réalité, c’était la
paix installée qui a permis la construction de cette alliance hypocrite que
Dieu a supportée jusqu’en 2022, année où la guerre est revenue sur le
continent, après celle des Balkans. L’Europe devait assurer la paix ; elle
a pris parti pour la guerre au côté de l’Ukraine. Elle devait assurer la
prospérité ; la France est plus appauvrie et endettée que jamais. Elle
devait défendre ses valeurs ; elles sont plus compromises que jamais,
étant prête à être détruite par ses ennemis du « midi » et du « septentrion ».
Et je me dois de rappeler que depuis l’abandon des monnaies nationales et
l’adoption de l’Euro, les prix alimentaires des fruits de saison ont été
multipliés par 10 soit, ils ont progressivement augmenté de 1000 % ; ce
qu’aucun journaliste ou homme politique dénonce. Ceci est directement la
conséquence du passage sous les directives du gouvernement européen qui laissant
libre le marché engraisse les gens les plus riches et les plus cupides ;
les seuls qui profitent de l’Europe et de sa libre concurrence.
En
ce jour du 7 Mars 2025, des messages publics sont échangés par médias
interposés, entre Vladimir Poutine et Emmanuel Macron. Hier, Mr Poutine a
comparé Mr Macron à Napoléon (j’avais eu cette même idée) et Mr Macron a
rappelé depuis Bruxelles que le seul pays envahisseur actuel c’est la Russie
qu’il a jugée « révisionniste ». Au cours de la réunion tenue à
Bruxelles proposée par Mr Macron à ses collègues européens, le président
français a déclaré ouvertement que la menace pour l’Europe était la Russie.
Aujourd’hui, visiblement irritée par cette présentation ; la Russie menace
l’Europe de mesures prises contre elle. Ainsi, la confrontation entre l’Ukraine
et la Russie change et devient l’Europe
contre la Russie. Ces propos ne font que prophétiser la situation vers laquelle
on se dirige, jour après jour. Après un intense bombardement sur l’Ukraine
rendue aveugle par l’arrêt des renseignements américains stratégiques, nous
apprenons que deux mirages offerts par la France sont entrés en activité pour
protéger le ciel de l’Ukraine. Ce n’est qu’un début mais qui fait la guerre, le
soldat ou son armement ? Quand cet équipement représente, la formation
militaire, la dotation d’armes sophistiquées modernes précises, en camions,
tanks, en canons et obus, en missiles et en avions ? Qui fait la
guerre ? L’homme ou le fournisseur du matériel ? Je crois que Mr
Poutine s’est déjà fait une opinion sur ce sujet et qu’il ne manquera pas
l’occasion de la faire connaître brutalement et soudainement dès que
l’opportunité de l’heure le lui permettra et l’y contraindra. J’ajoute ceci,
quand les relations internationales deviennent aussi tendues et publiques,
quelle valeur les conventions relationnelles établies jusque là peuvent-elles
conserver dans les camps opposés ? Entre l’Occident européen et la Russie,
les prises de position sont de plus en plus clairement et publiquement
présentées, l’engrenage infernal mis en route le 24 Février 2022 se prolonge et
arrive vers son terme : l’heure de l’engagement officiel de la Troisième
Guerre Mondiale que Dieu a prophétisée dans Daniel 11:40 à 45, dans Apocalypse
sous le symbole de la « sixième trompette »
d’Apocalypse 9:13 à 21 ; et dans Ezéchiel 38 et 39.
Il
a suffit à Dieu, de conduire au pouvoir des USA, son « joker »,
Donald Trump qui vient, comme Antiochos IV Epiphane pour les Juifs, favoriser
le châtiment des Européens qui le haïssent très largement, du politique au
journaliste, les deux agents informateurs, et beaucoup plus souvent
désinformateurs, des populations européennes.
Connaissant
la fin que Dieu va donner aux événements, la bonne entente actuelle entre Mr
Poutine et Mr Trump reproduit ce moment de l’histoire qui concerne le roi grec
séleucide Antiochos IV et son neveu égyptien lagide Ptolémée VI, dans
Daniel 11:27 : « Les deux rois
chercheront en leur cœur à faire le mal, et
à la même table ils parleront avec fausseté. Mais cela ne réussira pas,
car la fin n'arrivera qu'au temps marqué. »
Tout en évoquant « la fin » de l’expérience du roi
grec séleucide Antiochos IV, l’Esprit suggère que la situation décrite ressemble
à celle qui prévaudra avant le vrai « temps de la fin » qui nous
concerne aujourd’hui et qui vient « au temps marqué » par Dieu qui
le décrit dans Apocalypse 9:15 comme étant : « l’heure, le jour, le mois et
l’année ». Ce vrai temps de la fin qui nous concerne aujourd’hui
est évoqué dans Daniel 11:40 : « Au
temps de la fin, le roi du midi se heurtera contre lui. Et le roi du
septentrion fondra sur lui comme une tempête, avec des chars et des cavaliers,
et avec de nombreux navires; il s'avancera dans les terres, se répandra comme
un torrent et débordera. ». La guerre qui a éclaté en Ukraine depuis
l’année 2013 et dans laquelle je situe son commencement sur le sol ukrainien de
la place Maïdan, à Kiev où un soulèvement populaire d’Ukrainiens nationalistes a
renversé le président ukrainien Russe légitimement élu en exercice parfaitement
légal, a pour cause ce soulèvement populaire créé par la demande de
l’entrée de l’Ukraine dans l’alliance européenne par une composante ukrainienne
du peuple. Et je me souviens encore de cette réflexion faite par un journaliste
d’une télé-information qui a dit, parlant des insurgés : « Oh !
Et parmi eux, il y a des nazis ! » Ce témoignage prouve combien l’Occident ignorait tout de
l’Ukraine. Mais ce qui est le plus étonnant, c’est qu’après cet événement, il a
été souvent rappelé que les Ukrainiens ont pour héros national ce SS nazi
ukrainien nommé Bandera. Et malgré cela, le soutien a été donné à ce peuple qui
honore un SS nazi. Mais le pire, c’est que ce culte pour les nazis y est encore
publiquement et officiellement reconnu puisque représenté par le groupe Azov,
ouvertement revendiqué « nazi ». Où sont donc passées les voix qui dénonçaient
les « nazis » réfugiés en Argentine et autres pays de l’Amérique du
Sud et du Nord ? Pour l’homme que je suis, ayant été témoin de ces choses,
ce changement de comportement est injustifiable ; si ce n’est par la
disparition progressive des hommes et des femmes de mon âge. Pour les jeunes
gens nés sous l’U.E. le nazisme se réduit à ce qu’il nomme « l’extrême
droite » et qu’ils continuent d’imputer au RN, malgré son aspect plus
social que l’ancien FN. Mr Gabriel Attal, l’ex-premier ministre dont la
nomination a été la plus courte de l’histoire de la 5ème République,
donne tout son soutien massif à la cause ukrainienne et ne cesse de dénoncer le
RN d’extrême droite. Il incarne, avec Mr Macron qui agit de même, la preuve
vivante de la justesse de mon analyse et de ma remarque.
De
manière totalement inconsciente, l’humanité actuelle témoigne d’une incohérence
immense qui constitue le fruit apparent de la malédiction divine qui la frappe.
Et cette incohérence est la conséquence des 80 années de paix au cours
desquelles progressivement, les peuples européens ne se sont préoccupés que de
s’enrichir ou de s’amuser. Et dans cette démarche, libérée de la tutelle russe
en 1991, la jeune nation de l’Ukraine a fait pire que les nations européennes.
J’avais déjà relevé le fait que l’Espagne devenue libre avait rapidement
renversé les tabous religieux et moraux que le général Franco faisait encore
respecter. Dans sa libération des mœurs, elle est allée plus loin que les
autres nations européennes. Et à son tour, l’Ukraine a surpassé en abominations
le modèle espagnol.
A
ce sujet, il faut relever la concordance de ces deux faits survenu en
2013 : En France, le vote de la loi qui a légalisé l’abominable mariage
des homosexuels, et en Ukraine, le début de la guerre menée contre la culture
russe qui va provoquer à terme, le châtiment des Français abominables.
Ce
développement toujours plus rapide en faveur du mal condamné par Dieu est le
signe le plus évident de l’approche du temps où il ne peut que châtier durement
les outrages commis par des gens rebelles irrécupérables. Et ce temps est là,
juste devant nous, quelque part après le 8 Mai 2025, date où s’achèveront les
80 années de paix commencées le 8 Mai 1945. La guerre en Europe a
officiellement cessé à cette date par la reddition sans condition de
l’Allemagne nazie. Mais la « sixième trompette » a un
caractère universel qui fait d’elle, la Troisième Guerre Mondiale. En 1945, il
a fallu attendre la victoire des USA sur le Japon, après l’utilisation de 2
bombes atomiques, détruisant les villes d’Hiroshima et de Nagasaki, le 6 et le
9 Août 1945, contraignant le Japon à une reddition aux Alliés le 15 Août 1945, pour
que la Seconde Guerre Mondiale soit officiellement terminée le 2 Septembre 1945.
La
guerre est contagieuse, ceci d’autant plus quand Dieu ne la freine plus mais la
provoque. L’humanité entière va se retrouver comme aspirée dans un tourbillon
de violences, car l’agressivité libérée des uns crée l’agressivité retenue des
autres. Remarque-le, tous les commentateurs politiques journalistes ou
essayistes quelconques sont unanimes et pensent que la paix est la seule issue
possible pour sortir d’une guerre. Il est vrai qu’ils ont derrière eux des
siècles et des millénaires d’histoire qui leur donne raison. Mais ce que je
sais et qu’ils ignorent, c’est en quel temps je vis dans le programme conçu par
le grand et unique Dieu créateur, mon « Père céleste » qui éclaire
mon intelligence sur ce qu’il fait accomplir en le mettant en œuvres
concrètement. Et mon raisonnement est que la formule, « au
commencement », que je lis dans Genèse 1:1, suggère que ce
commencement va être suivi d’un « fin » que je retrouve confirmée
dans Daniel 11:40 : « Au temps de la fin …». C’est
cette connaissance qui fait de moi un « fils de Dieu » qui reconnaît son « Père céleste » ; ceci, après avoir été racheté par le
sang versé par Jésus-Christ dont la victoire a rendu possible mon rachat et
celui de tous ses élus sélectionnés pendant 6000 années jusqu’à son retour
glorieux du jour du printemps 2030.
Cette
prise de conscience du temps réel compté par Dieu a fait de moi un vrai « citoyen
du royaume des cieux », en sorte que je peux moi-aussi prétendre
avoir deux nationalités ; celle de la vie céleste éternelle et celle de la
vie terrestre provisoire. Le regard que je porte sur la vie terrestre en a été
complètement transformé. Ce que d’autres tiennent pour impossible, Dieu l’a
programmé et j’attends son accomplissement. Dans Daniel 12:12, l’Esprit
dit : « Bienheureux celui qui attendra jusqu’à 1335 jours ». Dieu
désigne ainsi ses élus comme étant « ceux qui l’attendent » ;
or, n’attend réellement que celui qui a été prévenu du temps de sa venue. Pendant
des siècles de ténèbres, les chrétiens ont pensé que Jésus viendrait « comme
un voleur » et que le jour de son retour ne pouvait pas être
identifié. Mais en 1843, en annonçant le retour de Jésus pour cette date, le
prophète William Miller a changé la règle du raisonnement. Ce qui paraissait
impossible dépendait d’une révélation divine appropriée cachée dans les textes
des prophéties de Daniel et Apocalypse. Bénéficiant d’encore plus de lumière
que lui et devenu observateur fidèle du saint sabbat du septième jour, j’ai
découvert, conduit par Dieu, l’importance prophétique du récit de la Genèse
dont la semaine de la création nous fait entrer dans le temps réel programmé
par Dieu. Je ne doute pas que, si le repos du sabbat du septième jour avait été
présenté comme type prophétique du septième millénaire, beaucoup de chrétiens
l’auraient mis en pratique sans discuter. Mais une preuve, même la plus
évidente, ne permet pas d’identifier un vrai élu sélectionné par Dieu. C’est
pourquoi, les vérités divines les plus importantes sont restées cachées et
scellées afin que les élus démontrent par leurs recherches approfondies, la
profondeur de leur attachement au Dieu de vérité qui a inspiré ses prophéties
d’aspect obscur. Dieu avait averti Daniel que le livre de son témoignage devait
rester « scellé jusqu’au temps de la fin » : Daniel
12:9 : « Il répondit : Va,
Daniel, car ces paroles seront tenues
secrètes et scellées jusqu'au temps de la fin. »
Le
vrai « temps de la fin » est le moment précis où la Troisième
Guerre Mondiale de la « sixième trompette » va
s’accomplir. Tout s’est accompli tel que Dieu l’avait annoncé, car il avait dit
dans Daniel 12:4 : « Toi,
Daniel, tiens secrètes ces paroles, et scelle le livre jusqu'au temps de la
fin. Plusieurs alors le liront, et la connaissance augmentera. » Ainsi, la connaissance du livre de Daniel a
simplement commencé publiquement en 1843 et pour William Miller, en privé, en
1816. Mais ce n’était pas encore le « temps de la fin ». Le « temps
de la fin » a été encore seulement préparé entre 1980 et 1991,
quand l’Esprit m’a inspiré pour décrypter entièrement le livre de Daniel du chapitre
1 au chapitre 12 ; ce n’est qu’alors que la connaissance du livre de
Daniel a atteint son « augmentation » maximale. Et
Dieu a attendu ce décryptage complet de Daniel et Apocalypse pour condamner, en
Décembre 1991, le refus de cette divine lumière par l’adventisme
institutionnel.
Avec
2013, l’année 2017 a aussi été marquée par la malédiction de Dieu en menant au
pouvoir les deux chefs d’Etat actuels des USA et de la France, Donald Trump et
Emmanuel Macron. Donald Trump avait été critiqué, moqué, grandement méprisé et
détesté par les Français. Elu, le président n’a pas oublié cette attitude
méprisante, renouvelée pour son élection en 2025, par les mêmes Français.
Aujourd’hui, sa rancœur prend forme de vengeance d’autant plus qu’il se
retrouve en face du même jeune président de ces Français irrespectueux. Son
comportement paternel envers le jeune Macron avait plutôt favorisé de bons
rapports entre eux. Mais aujourd’hui, aigri par sa défaite officielle des
élections de 2021, Donald Trump se trouve confronté au président Macron qui a
fraternisé avec son vieil adversaire national Joe Biden. Et on ne change pas
ses sentiments comme on change de chemise. La haine portée sur Joe Biden,
longtemps éprouvée et ressassée pendant 4 ans, se reporte aujourd’hui sur tous
les alliés qui le soutenaient et souhaitaient sa victoire en 2025, et
après son retrait, la victoire de sa suppléante, Kamala Harris ; le président
Macron étant en tête de cette espérance.
Cette
expérience a aussi son type analogue dans celle du peuple Juif qui sur une
fausse rumeur a cru que le roi Antiochos IV était mort et il fêtait celle-ci
dans la joie et l’allégresse. Mais en campagne contre l’Egypte, le roi n’était
pas mort et parvenu jusqu’à lui, la nouvelle de la joie exubérante des Juifs causée
par l’idée de sa mort l’a rendu fou de rage. Et en remontant vers son pays,
traversant Israël, il a vidé sa colère sur le peuple de Jérusalem et son clergé
religieux ; et c’est alors, qu’en – 168, il a dressé « l’abomination
du dévastateur » citée dans Daniel 11:31 : « Des troupes se présenteront sur son ordre ;
elles profaneront le sanctuaire, la forteresse, elles feront cesser le
sacrifice perpétuel, et dresseront
l'abomination du dévastateur. » Derrière cette expression se
cachent des sacrifices humains et celui de porcs sur l’autel du temple de Dieu ;
des morts en grands nombres.
En
ce « jour du Seigneur », le
premier jour de la semaine où il est apparu ressuscité à ses apôtres,
l’actualité de la Syrie de ce 9 Mars 2025 est marquée par le massacre de gens
Alaouites par des islamistes dans le Nord du pays ; le nombre des victimes
civiles serait entre 300 et 700. Le nouveau dirigeant promet de punir les
responsables appelant à l’unité du pays. Mais l’insécurité et l’instabilité de
ce pays pourrait lui redonner le rôle majeur du « roi du midi » cité
dans Daniel 11:40. Si la chose se confirmait, nous aurions alors
l’accomplissement le plus logique que ce texte biblique nous suggère. Car
Daniel 11 a pour sujet les « sept guerres de Syrie », celle qui va
s’accomplir étant la septième du récit. Et la France est fortement impliquée
par le lien qui la relie au Liban voisin qui a été sa création…
M21- Les nouveaux Romains
L’actualité
vient confirmer cette vérité que la prophétie divine a révélée il y a de
cela ; environ 2000 ans. Les Etats-Unis d’Amérique du Nord sont réellement
les nouveaux Romains qui imposent pleins de force et d’arrogance leurs lois et
leurs normes au reste de l’humanité. Ils ont avec la Rome ancienne plein de
choses en commun.
Et
déjà cette vocation impériale visible dans l’aigle qui apparaît dans son sigle
national et sa monnaie, son dollar devenu l’Etalon de la monnaie mondiale. A
l’époque de Jésus, la monnaie romaine était utilisée à Jérusalem. Jésus
confirme que la pièce de monnaie payée pour l’impôt portait l’effigie de César.
L’Amérique possède les plus gros stocks d’or de la terre et constitue ainsi le
pays le plus riche du monde. De même que le dicton dit « tous les chemins
mènent à Rome », toutes les richesses se retrouvent en terre américaine
dirigée depuis Washington, sa capitale présidentielle.
La
domination de l’ancienne Rome s’étendait sur toute l’Europe Occidentale et sur
les rives Sud de la mer Méditerranée. La nouvelle Rome règne sur tout
l’Occident.
La
Rome latine imposait sa loi par la force de ses légions qui étaient composées
de soldats engagés provenant des pays conquis de l’Empire. De même, les
nouveaux romains américains sont les descendants des pays qui composent
l’Europe, l’Afrique et jusqu’à la Chine. Les deux Rome ont un caractère
cosmopolite.
Les
deux Rome ont aussi en commun de n’agir que pour l’intérêt de leur propre
puissance. Et les deux, poursuivent un rêve hégémonique.
Les
deux Rome accèdent à la norme impériale en venant aider des pays en guerre.
Dans Daniel 8:9, Dieu prophétise l’extension de l’ancienne Rome républicaine en
ces termes : « De l'une d'elles
sortit une petite corne, qui s'agrandit beaucoup vers le midi, vers l'orient,
et vers le plus beau des pays. » L’identification de la Grèce dans
l’expression « de l’une d’elles » justifie une fois de plus le rôle
de ce pays que Dieu présente comme type du péché dans les symboles qui le
représentent dans Daniel 2 : « le
ventre et les cuisses » ; Daniel 7 : « le léopard tacheté aux quatre ailes d’oiseau » ;
Daniel 8 : « le bouc ».
Ainsi, de conquête en conquête, c’est « le péché » grec qui
s’est étendu dans tout l’Occident traditionnellement chrétien. Le parcours de
sa transmission est le suivant : Grèce, Rome, Europe, Etats-Unis
d’Amérique du Nord.
Le
plus ancien type du « péché »
était celui de « l’Egypte »,
mais la domination qui a suivi était occidentale et comme Daniel 8:21 le
précise, « le péché » grec s’est imposé par les conquêtes de son
jeune roi conquérant, Alexandre le grand : « Le bouc, c'est le roi de Javan, La grande corne entre ses yeux, c'est
le premier roi. » Il suffit de remplacer le mot « bouc » par le mot « péché » ; le nom « Javan » par le nom « Grèce » ; pour désigner
Alexandre le grand, « le premier roi »
grand conquérant des Grecs, lui-même étant macédonien.
Il
est donc clair, que Dieu a pris le péché de la civilisation grecque comme cible
prophétique de sa juste colère. La civilisation grecque s’est imposée pendant
quatre siècles dans tout l’Occident et jusqu’au fleuve de l’Indus, lieu où la
conquête d’Alexandre le grand s’est arrêtée. Il est mort empoisonné à l’âge de 33 ans, son
règne dura dix ans, et il ne laissa derrière lui aucun héritier. Et c’est
critère en font un type parfait de l’anti-christ dont la domination guerrière
en fait un type prophétique de Rome qui va lui succéder après environ deux
siècles. Le morcellement de son empire va permettre à Rome d’intervenir dans la
Grèce en proie à une guerre civile qui oppose l’Achaïe à l’Etolie qui lui
demande son aide. C’est ainsi que comme l’ange Gabriel l’avait dit à Daniel,
par le « Sac d’Apamée » de – 160, Rome a fait de toute la Grèce une
colonie romaine. Cette leçon historique révélée dans la Bible méritait d’être
prise en compte et retenue. Mais dans sa malédiction continuelle, l’humanité
n’a pas su bénéficier des avertissements écrits dans la sainte Bible. Et
continuellement, des peuples en guerres internes ont appelé à leur aide des
pays étrangers qui les ont finalement dominés et exploités. Et ce dicton de
sagesse populaire se vérifie et se confirme : « Mieux vaut un petit
chez-soi qu’un grand chez-les-autres ». Loin de cette sagesse, les
dirigeants des pays riches se sont jetés dans le piège et ont apprécié pour un
temps seulement de profiter de la puissance d’un pays dit « ami » et
plus justement « allié ».
A
ce sujet, la confiance européenne s’est construite sur deux interventions de
l’Amérique pour aider l’Europe en 1914 et en 1942. Toutefois, pour cette
seconde intervention, il faut relever qu’elle n’est pas intervenue dès le début
de cette seconde Guerre mondiale qui n’était en 1939-1940 qu’européenne. En
1914, les corps armés américains engagés étaient composés de volontaires. Et en 1939, l’Amérique restait ce peuple
éloigné, peuplé de blancs dispersés sur un pays immense et de quelques Etats où
se trouvait une majorité de Noirs sortis de l’esclavage. L’Amérique n’était
regardée que comme une grande campagne peuplée de paysans, d’éleveurs et
d’agriculteurs et déjà en 1939, son regard était tourné vers l’océan Pacifique
qui la rattache au Japon et à la Chine. Elle disposait déjà de puissants
navires de guerre ancrés dans le port militaire de Pearl Harbour.
Je
vis en France, au centre de cette Europe occidentale qui a dominé le monde
pendant presque 2000 ans. Mais si j’étais américain, je placerai mon pays au
centre du monde portant mon intérêt vers l’Atlantique mais aussi vers ce Pacifique
riche de cultures orientales très particulières et si différentes des cultures
occidentales. C’est d’ailleurs de la Chine que le grand voyageur Marco Polo a
rapporté des épices, le tissu de soie, et la poudre à canon utilisée pour des
feux d’artifice éblouissants. Notre vie occidentale a été complètement
transformée par cet apport venu de l’Orient, aux mœurs et coutumes raffinés
bien supérieurs à ceux qui prévalaient jusque-là dans toute l’Europe. Mais
cette Europe avait une raison spirituelle pour devenir la zone centrale du
monde : la religion chrétienne ; celle du vrai Dieu de l’ancien
Israël. C’est donc ce christianisme favorisé par l’empereur Constantin en 313,
puis imposé par la Rome papal à partir de 538, qui a fait de l’Europe
Occidentale actuelle le territoire des « dix cornes » évoquées
dans Daniel 7:7 et 24 et dans Apocalypse 12:3, 13:1, 17:3.
Il
est intéressant de relever que la croissance de la lumière divine s’accomplit
du Moyen-Orient soit, d’Israël, vers l’Extrême Occident suivant ainsi
l’avancement du « soleil » qui se lève à l’Est et se couche à
l’Ouest. En effet, la religion chrétienne est né en Israël et sa dernière forme
terrestre disparaitra sous la domination tyrannique des actuels USA. Déjà cette
croissance vers l’Occident apparaît dans ces versets de Daniel 8:4-5 : « Je vis le bélier qui frappait de ses cornes à l'occident, au septentrion et au midi ;
aucun animal ne pouvait lui résister, et il n'y avait personne pour délivrer
ses victimes ; il faisait ce qu'il voulait, et il devint puissant. Comme je
regardais attentivement, voici, un bouc venait
de l'occident, et parcourait toute la terre à sa surface, sans la toucher ;
ce bouc avait une grande corne entre les yeux. » Israël est le lieu géographique de référence
de ces actions successives concernant ; « le bélier »
mèdes et perses ; et « le bouc »
grec. Ces identifications sont clairement données dans Daniel 8:20 et 21. L’identification
de Rome est moins évidente et exige le partage de la vérité divine disponible
en Jésus-Christ. Pour la recevoir de Dieu, l’appelé doit avoir jugé
correctement les religions, catholique, orthodoxe, protestante et adventiste,
en sachant de manière précise ce que Dieu reproche à chacune d’elles. Car la
vérité divine n’est offerte par Dieu qu’à ceux des humains qui partagent son
jugement sur la base unique de ses valeurs. Dieu ne prend rien à personne car
c’est lui qui a tout inventé, imaginé, créé et qu’il fait accomplir.
L’imitateur, c’est le diable, qui au titre de créature est comme nous soit,
limité. Il n’a fait qu’inspirer à ses victimes humaines l’idée de reproduire
les rites sacrificiels par lesquels Dieu prophétisait son œuvre en Christ, son
jugement du péché et des pécheurs. Mais les païens pratiquent ces choses
vainement en les adressant à de fausses divinités qui n’existent pas et n’ont jamais
existé. Les fausses célébrations n’honorent que le diable et les multitudes
de démons qui l’accompagnent dans sa
voie de perdition.
En
créant Israël, Dieu a donné aux humains une leçon vitale. Son peuple n’est en
sécurité terrestre qu’à l’abri derrière ses frontières nationales. Ayant une
vocation universelle, la religion chrétienne ne pouvait pas bénéficier de cette
sécurité frontalière absolue. Mais la leçon donnée par Dieu constitue néanmoins
un solennel avertissement contre le danger des cohabitations des religions
concurrentes dont les conséquences sont ravageuses et mortelles. Le
catholicisme avait bien compris la nécessité de ne pas cohabiter avec les
protestants rebellés contre son ordre religieux. Et l’Europe des « dix
cornes » est restée essentiellement catholique, jusqu’à l’extension de
l’Europe Unie dont les membres sont passés de 6 à 27, incluant la religion
orthodoxe et l’anglicanisme qui est une version catholique sans son pape
remplacé par l’archevêque de Canterbury. Mais peu importe, car ce mélange
odieux ne fait que confirmer le nouvel aspect de l’alliance des « dix
cornes » depuis l’adhésion des protestants nordiques et des pays
de l’est orthodoxes, telle qu’Apocalypse 18:2-3 la décrit : « Il cria d'une voix forte, disant : Elle est
tombée, elle est tombée, Babylone la grande ! Elle est devenue une habitation
de démons, un repaire de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau impur et
odieux, parce que toutes les nations ont bu du vin de la fureur de son
impudicité, et que les rois de la terre se sont livrés avec elle à
l'impudicité, et que les marchands de la terre se sont enrichis par la
puissance de son luxe. » Ce verset est la description exacte du
jugement que Dieu porte sur toute la société occidentale qu’il cible plus
particulièrement que les autres nations de la terre parce que le nom de
Jésus-Christ y est revendiqué et profané.
Dans
le rôle de Babylone, nous avons la ville de Rome et son siège papal du Vatican.
Dans
le rôle des esprits impurs nous avons le diable et ses démons célestes.
Dans
le rôle du « vin bu par les
nations », nous avons la doctrine catholique romaine et sa pratique du
repos du premier jour « dominical ».
Dans
le rôle des « rois de la terre », nous avons les puissants monarques
et les puissants présidents des Républiques modernes occidentales.
Dans
le rôle des « marchands de la terre », nous avons, depuis Marco Polo et
avant et après lui, tous ces riches armateurs et groupes financiers qui
enrichissent des commerçants occidentaux. Et bien sûr, en derniers, les
commerçants de l’Amérique impérialiste capitaliste libérale dont Donald Trump
le président élu en 2025 est le type même du genre.
En
ce jour du Mardi 11 Mars 2025, on signale une grave catastrophe concernant un cargo américain
transporteur de Kérosène victime d’un incendie après avoir été heurté par un
navire. En mer du Nord.
Cette
expression « marchands de la terre »
raisonne dans la prophétie comme ces « marchands
du temple » que Jésus a dénoncés et chassés, dans sa juste
indignation. En fait, Dieu a une bonne raison pour pointer du doigt, dans cette
dernière prophétie de l’Apocalypse, l’activité commerçante. Le commerce
enrichit de biens matériels l’être humain, et la richesse détourne le riche de
son attention pour Dieu. Le principe n’est pas nouveau ; il est perpétuel.
Dans
le style de sa composition, le message du Christ est confirmé par cette double
citation, « elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande ». On
se souvient que Jésus utilisait l’expression, « en vérité, en vérité, je vous le
dis » ; ceci, pour
donner plus de force à la vérité de ses propos. Ici, il signe sa déclaration
qui dépose une accusation contre la ville papale de Rome et ses adorateurs
directs ou indirects.
L’impérialisme
américain est à l’origine de la rencontre qui est organisée aujourd’hui, en Arabie où des émissaires ukrainiens
et américains doivent se rencontrer en vue de construire les bases rendant
possible la paix entre la Russie et l’Ukraine. La puissance des USA qui a, à
l’origine, encouragé et aidé le combat de l’Ukraine contre la Russie est
maintenant renversée à l’extrême ; le président Trump ne partageant pas
l’opinion de son prédécesseur Joe Biden.
Le
constat de l’inconvénient du régime démocratique versatile et changeant, risque
de faire apprécier le régime des dictatures longtemps combattues et
discréditées par les populations occidentales.
Nous
assistons à un brusque renversement de situation qui conduit les humains vers
la remise en cause de leurs valeurs qui ont condamné le nationalisme exacerbé
jusqu’au simple nationalisme du type français RN. En fait, la construction
européenne et son verbiage ont placé les populations occidentales dans une
pensée analogue à celle de l’humanisme universaliste qui prévaudra après la fin
de la Troisième Guerre Mondiale sur toute la terre pour toute l’humanité
survivante. Cet état d’esprit commun va ainsi être frappé de mort
successivement par la « sixième
trompette » et après elle, par la « septième trompette » de Dieu au retour de Jésus-Christ. Ce qui
va séparer ces deux trompettes c’est la dernière épreuve de foi que l’Esprit
prophétise et confirme dans Apocalypse 3:10 : « Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l'heure de la
tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la
terre. »
Ce
message ne peut pas profiter aux faux chrétiens qui n’ont pas la clé de sa
compréhension. Jésus l’adresse uniquement à ses élus et le présente en forme
positive, affirmative, mais aussi, conditionnelle, précisant : « parce
que tu as gardé la parole de la persévérance en moi ». Il confirme
ainsi, qu’il juge ses rachetés sur leurs « œuvres » qu’il
constate ; des « œuvres » accomplies,
individuellement, par chacun de ses élus rachetés. L’importance donnée aux
« œuvres » confirme la déclaration inspirée à l’apôtre
Jacques, citée dans Jacques 2:17 : « Il en est ainsi de la foi : si
elle n'a pas les œuvres, elle est morte en elle-même. »
Le
jugement de Dieu sur ses créatures est permanent, jour et nuit. Je relève l’importance
du critère que constitue l’appréciation du temps par l’humanité. Elle pense
toujours avoir devant elle le temps de se préparer pour répondre au problème
qui se présente soudainement devant elle. Depuis le début de la guerre de
l’Ukraine soit, depuis trois ans, la perspective et la crainte d’un
affrontement des Européens contre la Russie existent et ont épouvanté les
dirigeants européens. Dans sa parabole Jésus a donné son avis sur la valeur du
temps de vie donné aux humains citée dans Luc 12:16 à 20 : « Et il leur dit cette parabole : Les terres
d'un homme riche avaient beaucoup
rapporté. Et il raisonnait en lui-même, disant : Que ferai-je ? Car je n'ai pas
de place pour serrer ma récolte. Voici, dit-il, ce que je ferai : j'abattrai
mes greniers, j'en bâtirai de plus grands, j'y amasserai toute ma récolte et
tous mes biens ; et je dirai à mon âme : Mon âme, tu as beaucoup de biens en
réserve pour plusieurs années ; repose-toi, mange, bois, et réjouis-toi.
Mais Dieu lui dit : Insensé ! Cette nuit
même ton âme te sera redemandée ; et ce que tu as préparé, pour qui cela
sera-t-il ? »
Le
problème qui se présente aux êtres humains qui vivent aujourd’hui est le
même : ils ne savent pas que Dieu a décrété l’heure de leur mort, avant
celle de l’anéantissement complet de toute l’humanité au retour de
Jésus-Christ. Et s’ils ignorent ses desseins, c’est à cause de leur sous-estimation
de l’importance de ses textes prophétiques et surtout, l’importance de leur
obéissance qui constitue la seule preuve de la confiance qu’il place en lui.
Dieu ne peut bénir que des êtres absolument convaincus qu’il est la source
parfaite de l’intelligence, de la sagesse, de la vraie science, parce qu’il dit
et qu’il est réellement le seul et unique Dieu Tout-puissant.
Comme
« l’homme riche » de la parabole, les dirigeants européens
se consultent pour renforcer leur équipement militaire. En ce jour-même une
réunion à Paris rassemble à la demande du président Macron des chefs militaires
de 30 nations occidentales. Mais pas un seul d’entre eux et des journalistes ou
des hommes politiques n’envisage la possibilité d’une attaque russe très
proche. Leur équipement militaire ne peut atteindre le niveau suffisant avant
plusieurs années, entre 5 et dix ans, voire davantage. Et comme à « l’homme
riche » de la parabole, Jésus s’apprête à leur dire « Insensé
! Cette nuit même ton âme te sera redemandée ; et ce que tu as préparé, pour
qui cela sera-t-il ? » Leur situation est réellement comparable à
celle de « l’homme riche », parce qu’ils représentent les pays dits
« riches » et qu’ils ignorent que toute vie humaine va
disparaître sur la terre, après le retour glorieux de Jésus-Christ attendu pour
le printemps 2030.
Le
modèle type suprême de cet homme riche est l’Américain si bien représenté par
son président Donald Trump qui convoite les richesses minières de l’Ukraine
depuis que le président Zelensky s’est servi d’elle pour tenter de gagner le
soutien américain. Mais il faut relever que l’opinion de Donald Trump, sur
l’Ukraine, était déjà faite et arrêtée avant cette offre des ventes des terres
rares ukrainiennes.
De
même que l’élection de Donald Trump a produit un renversement de situation pour
l’Europe entière, l’attaque islamique prophétisée dans Daniel 11:40 va de
nouveau étonner et épouvanter les peuples européens méridionaux. L’agressivité
islamique est bien connue mais elle est restée sous estimée, étant considérée
seulement à la lumière de quelques actions individuelles ou groupées accomplies
depuis 1995 en France, aux Pays-Bas et récemment en Allemagne, principalement.
La France compte néanmoins déjà quelques 300 morts civils tués par les
islamistes.
Il
est certain que l’attaque menée par l’islam intégriste va constituer la plus
grande surprise pour les dirigeants occidentaux préoccupés par une éventuelle
attaque menée par la Russie. Ainsi, la Russie et l’Ukraine portent un rôle de
diversion qui fait sous-estimer le risque islamique. Et à son tour, l’attaque
islamique fera diversion, pour favoriser l’attaque russe redoutée.
Au
jour de cette attaque imprévue par les êtres humains, mais révélée par Dieu à
ses seuls vrais élus, tout le travail laborieux effectué par les politiciens
américain sera réduite à néant. Je précise qu’une fois de plus, la priorité au
risque islamique dénoncé continuellement par le RN de Marine Le Pen, va donner
raison à ce parti diabolisé par le président Macron.
Quelle
sera la réaction de Donald Trump quand il verra fondre tous ses espoirs de paix
universelle ? Ne voulant pas la guerre il se retirera, ruminant l’heure et
la forme de sa vengeance contre la Russie conquérante et victorieuse sur le sol
entier de l’U.E.
Car
Donald Trump place réellement son espoir dans la paix universelle, pensant que
tout homme ou pays s’achète ; question de prix uniquement. Son état
d’esprit étonne et choque les caractères des gens européens habitués à l’opposé
à se sacrifier pour l’intérêt partagé par toute la communauté de l’U.E. C’est à
ce titre, que les pays riches subventionnent les aides des pays pauvres
entrants. Mais cette générosité demandée et exigée de la part des peuples est
une escroquerie hypocrite, car en réalité, l’entrée de pays pauvres favorise par leur exploitation
l’enrichissement des groupes financiers investisseurs. L’attitude de Donald
Trump a au moins le mérite d’afficher clairement sa nature mercantile
insatiable. Et s’il peut se permettre d’être aussi transparent c’est
précisément parce qu’il n’a pas reçu de formation politique.
Au
terme de cette journée du Mardi 11 Mars 2025, la rencontre entre les Américains
et les Ukrainiens se solde par l’accord d’une cessation de feu provisoire de 30
jours, sur terre, sur mer, et dans le ciel. La proposition sera ensuite
présentée à la Russie, mais aucune autre condition n’a été évoquée. En théorie,
l’idée de cesser le feu est souhaitable pour tout être pacifique, mais pour les
chefs militaires engagés dans le combat cette idée est insupportable, voire
inacceptable. Toutefois, ils peuvent se résigner et obéir à leur chef national,
mais ils garderont pour longtemps des sentiments vengeurs contre l’ennemi. Le
sujet explosif de l’accord est évité car il dépend de la position russe. La
paix ! Oui ! Mais sous quelles conditions ?
Ce
détail est de loin le plus important de la démarche : que peut lâcher
l’Ukraine dans cet accord ? De plus, au moment de la décision que
l’Ukraine doit prendre, un soutien militaire européen se construit sous
l’engagement du président Macron. Si la victoire ou l’éventuelle possibilité de
la victoire se dessine pourquoi signer des accords préjudiciables ?
Ainsi
les efforts du président Trump en faveur de la paix sont paradoxalement
affaiblis par les arrogances guerrières organisées par le président Macron. Le
chef des nouveaux Romains saura se souvenir de cet effet destructeur de sa
démarche, et il trouvera là, une juste raison de laisser la France subir la
dévastation perpétrée par les armées russes.
La
situation mondiale actuelle rappelle étrangement celle qui prévalut en – 168
pour le roi séleucide Antiochos IV Epiphane, ce qui signifie l’illustre. Daniel
11 le présente entre les versets 21 à 33. Mais c’est le témoignage des
historiens qui rapporte des détails intéressants à relever. Dans sa dernière
campagne menée en – 168 contre ses ennemis qui n’étaient autres que ses neveux
et sa nièce lagides égyptiens, deux Ptolémée et une Cléopâtre, Antiochos IV fut
bloqué et stoppé par l’intervention du légat romain nommé Popilius Laenas.
Détail parlant, il traça un cercle sur le sol autour des pieds du roi grec séleucide
et lui intima l’ordre de ne sortir de ce cercle qu’avec l’acceptation ou le
refus d’obéir à l’ordre donné, au risque d’être tenu pour ennemi de Rome, en
cas de refus. A l’époque, Rome disposait d’une puissante base maritime
installée sur l’île de Chypre. Elle était devenue l’autorité suprême mondiale
du moment et pour longtemps. Avant lui, et avant le roi Séleucos IV mort
assassiné puis son fils Démétrios écarté par les Romains, le roi Antiochos III,
son père, avait subi une cuisante défaite en étant battu par l’armée romaine.
Son pays fut soumis à une lourde dette et le futur Antiochos IV, son plus jeune
fils, fut pris en otage par les Romains. Les rois séleucides avaient donc
compris ce qu’était la puissance militaire romaine dont la devise latine était
« lex dvra lex » soit, la loi est dure mais la loi est la loi.
Aujourd’hui,
dans ce rôle de Popilius Laenas, nous avons le président Trump qui, s’appuyant
sur sa puissance militaire bien réelle, se contente de faire pression sur les
deux belligérants ukrainien et russe. Seulement, convaincre le chef ukrainien
en difficulté est beaucoup plus facile que convaincre la Russie en situation de
force et de domination, étant elle-même depuis longtemps un pays puissamment
armé.
Dans
sa situation actuelle, sans la force des USA, l’OTAN est comme la foi qui renie
ce qui en fait sa force soit, une ombre trompeuse affaiblie. Pour la Russie,
qui se trouve en position de force et reprend, lentement mais sûrement, le
territoire russe de Koursk occupé par les Ukrainiens, l’heure actuelle n’est
pas favorable au « cessez le feu » proposé par Donald Trump. Je pense
que les Russes vont demander aux Américains de mettre au frais l’offre
actuelle, en attente de leur reconquête complète du territoire de Koursk.
Je
pense que le jugement que les Occidentaux européens portent sur la capacité
militaire de la Russie est faussé parce que Vladimir Poutine a voulu donner à
son intervention contre l’Ukraine une forme conforme à son « opération
spéciale » qui contredit tout projet d’attaque contre l’Occident. Ils
oublient qu’en situation de guerre mondiale, la Russie lancera des attaques
multiples simultanées contre tous les pays occidentaux qui ne sauront pas
unifier leurs forces, ayant à résister localement chacun chez soi.
Du
côté de l’Ukraine, la rencontre tumultueuse entre Zelensky et Donald Trump a
porté son fruit. Le très combattif Volodymyr Zelensky vient de vivre la plus
grande peur de sa vie qui consiste à perdre totalement le soutien américain. Il
n’est donc pas étonnant qu’il revienne soumis et prêt à signer tout ce que les
USA lui présente, car rien ne serait pire pour lui que d’avoir contre lui, la
colère américaine. Il ne perd pas espoir que la tentative de paix américaine
échoue mais préfère en laisser la responsabilité à la Russie qui n’a réellement
rien à gagner dans une paix immédiate.
J’apprends
que ce 11 Mars 2025, 40 ans se sont écoulés depuis l’élection de Mr Gorbatchev
soit, depuis l’année de la fin de l’alliance soviétique et l’heure de
l’ouverture de la Russie aux Occidentaux ; l’heure de la
« Transparence ». Les 80 années de paix commencées en 1945 sont donc
aussi 40ans + 40 ans pour la Russie ; 40 ans d’alliance soviétique + 40
ans d’ouverture vers l’Occident.
J’entends
des gens critiquer l’autocratie de Donald Trump par des Français qui oublient
que la 5ème Constitution de leur République offre un pouvoir
autocrate à son président, sans qu’ils trouvent la chose anormale ;
l’autocrate est toujours chez les autres. A l’inverse, aux USA, le président
Trump bénéficie d’une majorité exceptionnelle dans toutes les sphères
gouvernementales du pays.
M22- L’actualité mondiale en fables
Ma
première fable est une parodie calquée sur « le corbeau et le
renard » attribuée à Jean de la Fontaine, sauf que le corbeau est remplacé
par des poules.
Je
n’en ferai pas mystère, mon renard a pour nom Volodymyr Zelensky président de
l’Ukraine depuis l’année 2019.
Ce
renard ukrainien voulait entrer dans le poulailler européen, mais un grillage
bien solide et une porte l’empêchait d’entrer. En 2013, il défoula sa colère
sur les petits oursons d’une ourse puissante qui le regardait faire ruminant sa
vengeance. Il attendit quelques années et revint en 2022 se présenter devant le
poulailler européen se disant en danger de mort parce que menacé par une ourse
mal léchée. Bonnes enfants mais pas dupes, les poules et le coq du poulailler
hésitaient sur la conduite à suivre. Faire entrer un renard dans un poulailler,
c’était livrer à la mort plusieurs poules ; d’autre part, peut-on rester
insensible à la détresse de ce pauvre renard menacé de mort ? Le renard se
souvint de la fable du corbeau et du renard et se mit à flatter les poules,
leur disant que leur plumage était beau et que leur caquetage était le plus
beau chant entendu dans les ramages de la nature. Rougissantes de plaisir
devant ces compliments, nos poules européennes prirent la décision d’offrir une
partie de leurs œufs au renard flatteur, mais ne lui ouvrirent pas, cependant,
la porte du poulailler. Le renard était ainsi pris en charge par les poules,
mais il avait à répondre aux attaques de l’ourse rendue furieuse par la mort de
ses petits oursons. Nos poules européennes s’étaient conduites comme le corbeau
de la fable ; elles étaient victimes d’un rusé flatteur. Les poules
européennes avaient été influencées par l’avis des poules américaines dont le
coq en chef était Joe Biden. Puis ces poules américaines changèrent leur chef
de basse-cour. Un nouveau coq fut élu, nommé Donald Trump.
Le
nouveau coq était l’opposé absolu du précédent. Sa seule politique était de
type mercantile. L’aide en œufs donnée au renard coûtait fort cher et le
nouveau coq voulait mettre fin à cette aide, mais il sous-estima la force de la
ruse du renard. Le renard savait combien le nouveau coq était intéressé par la
richesse et il lui proposa de gérer ses terres rares d’une très haute valeur,
après leur exploitation difficile et coûteuse. Dans un premier temps, le renard
refusa de signer l’acte de vente du projet minier. Dans la puissance absolue
d’un aigle royal, suite à un second refus de signer, le coq américain malmena
le renard dans une rencontre officielle qui eut lieu, chez lui, à Washington, le
lieu de sa basse-cour. Ceci eut tant d’effet mondial qu’une partie des poules
américaines lui en fit le reproche. Or, dans son orgueil naturel, le coq
américain ne veut pas déplaire à ses poules américaines et il organisa une
nouvelle rencontre, cette fois en Arabie, avec des renardeaux représentant le
renard. Ayant été menacé par le coq de cesser de l’approvisionner en œufs et de
l’abandonner à la colère de l’ourse, le renard changea sa stratégie. Il ne
devait perdre à aucun prix le soutien du coq américain. Il était donc dans l’intérêt
du renard d’impliquer le coq dans son camp ; car ce coq américain puissant
comme un aigle royal aurait, dans le territoire du renard, des intérêts à
défendre contre l’agressivité de l’ourse. Son attitude changea donc subitement,
acceptant toutes les conditions imposées par le coq américain.
Dans
cette stratégie nouvelle employée par le renard, celui qui se fit avoir, fut le
coq américain, pris au piège de sa convoitise insatiable. Car la soumission du
renard l’oblige à lui redonner les œufs de ses poules ; ce qui était exclu
à l’origine de sa démarche ; le voilà donc piégé par ses propres
décisions.
En
Arabie, le renard et le coq américain sont tombés d’accord pour un
cessez-le-feu d’un mois entre le renard et l’ourse. Mais l’ourse n’a encore pas
dit qu’elle acceptait de signer l’accord qui, en plus, ne répond pas aux
conditions imposées par l’ourse dans ses échanges téléphoniques avec le coq
américain. Tous les animaux de la planète qui suivent avec passion le
déroulement de ces faits se font balader par les actions du coq, qui manquent
visiblement de clarté et de ligne ferme, excepté son désir de paix. Et pour
notre coq américain faire accepter par l’ourse d’autres conditions qu’elle a
établies et déjà fixées, c’est une autre affaire qui frise l’impossible. Ceci,
d’autant plus que le coq ne dispose plus de moyens de pression sur l’ourse, car
tous, ou presque tous ceux qui étaient possibles ont été déjà appliqués, et
sans obtenir le résultat recherché.
La
suite du feuilleton de l’actualité est donc facilement prévisible. L’ours va
refuser cet accord non conforme à son exigence déjà formulée. Après le temps
d’une trompeuse réussite, le coq américain va à terme essuyer un terrible échec
et, très contrarié, il va devoir se résigner à abandonner son projet de paix.
Il vient d’ailleurs de dire en ce 12 Mars qu’en cas de refus de l’ourse, je
cite : « des gens continueront à mourir pour rien ». Quel sera
alors sa décision ?
Je
pense que contrairement à ce qu’espèrent des poules journalistes européennes,
le coq américain va se désengager du problème du renard, acceptant même de
renoncer à ses richesses minières. Il reviendra donc à son programme initial,
abandonnant le renard au seul soutien des poules européennes, jusqu’à ce que
l’ourse vienne les croquer tous en même temps.
Dans
sa basse-cour américaine, le coq va se changer en aigle royal puissant et
redoutable. Plein de rancœur, il en veut à tout le monde, à l’ourse bien sûr,
au renard qui l’a manipulé, mais aussi au coq français qui se faisant chef de
guerre du poulailler européen a affaibli ses chances de faire la paix avec
l’ourse. Car parlant tous pour obtenir la paix, la basse-cour européenne pense
l’obtenir par la guerre, alors que le coq américain pense l’obtenir par la paix
immédiate. Or, les deux tentatives sont vouées à l’échec, parce que le Dieu
tout-puissant fait échouer les tentatives de paix et favorise tout ce qui
provoque la guerre. Le temps lui appartient, la décision est sienne, et l’animale
humanité rebelle dispersée sur toute la terre est depuis longtemps son ennemie.
Le
poulailler européen va être surpris par l’attaque de multitudes de pintades
agressives venues du « midi », et parmi elles, de
nombreuses déjà présentes dans la basse-cour. Cette attaque
« surprise » va obliger les poules européennes à envoyer leurs forces
combattantes dans ce « midi » agressif. L’ours
trouvera là, l’occasion idéale pour assouvir sa vengeance et elle forcera les
défenses du poulailler européen, dérobant les œufs et croquant des poules, elle
se remboursera les intérêts de ses avoirs gelés, et peut-être confisqués, pour
les donner en aide au renard et ses renardeaux. Mis à feu et à sang, le
poulailler européen est dévasté. C’est le moment que l’aigle royal choisit pour
intervenir et anéantir la maison de l’ourse et ses oursons. Reposé et bien
préparé, l’aigle royal frappe en premier l’ourse par surprise. Et ce coup fatal
décide de l’issue du combat. L’aigle est vainqueur et l’ourse n’est plus.
Ma
deuxième fable parodie cette fois la fable de « la cigale et la fourmi »
du même Jean de la Fontaine, dont le nom même évoque une pureté enfantine quasi
divine. Je renvoie les lecteurs intéressés vers les œuvres originales et me
contente d’exploiter leurs leçons.
Distribution
des rôles
La
fourmi : la Russie
La
cigale : l’Europe
La
thermite : l’Amérique
C’est
si vrai ! Depuis 1945, la fourmi soviétique s’est montrée besogneuse avec
ses symboles parlants de « la faucille et du marteau » qui ont permis
de créer des richesses essentiellement consacrées à la production de l’armement
militaire. Car depuis 1945, la concurrence s’est engagée entre la fourmi et une
grosse thermite grosse mangeuse, insatiable, américaine.
Entre
les deux extrêmes, au centre, en Europe, une cigale passait son temps à chanter
car c’était l’été, le temps chaud qui ne favorise pas l’amour du boulot. Elle
allait et venait, faisant des tournées artistiques et dépensait sans compter
tout ce qu’elle avait et recevait, mais sans préparer ses armées ; car
c’était la paix.
De
son côté depuis le printemps, la fourmi travaillait pour son équipement ;
prévoyant sagement des temps moins cléments. De la cave au grenier, elle a fait
le plein, en obus, en fusées, préparés pour la fin.
Le
beau temps ayant comme toute chose une fin, l’automne vint et la cigale eut
faim. Un danger la menaçait, car la fourmi était irritée. Et le comportement de
l’amie thermite s’était inversé. Aux armes ! Aux armes, criait-elle !
Mais d’armes, elle n’en avait point ou pas assez pour résister à la fourmi
quand elle vint l’attaquer. Moralité : chantez et dansez cigales, mais
demain, vous serez mangées.
Le
temps perdu ne se rattrape jamais – Notre cigale réalisa trop tard son erreur,
alors qu’elle ne pouvait plus produire l’armement nécessaire dans le temps de
vie que Dieu lui a destiné dans son programme.
Jean
de la Fontaine a imagé tant de situations différentes en regardant les humains
et les animaux que les leçons de ses fables constituent un recueil de sagesse.
Aux deux fables déjà présentées, j’ajouterai volontiers la morale finale du
corbeau et du renard : « le corbeau honteux et tout confus jura mais
un peu tard qu’on ne l’y reprendrait plus ». Mais la réalité actuelle est
bien plus dure, car elle n’offrira pas à nos corbeaux actuels la possibilité de
profiter de leur malheureuse expérience qui va les conduire massivement à la
mort.
M23- Le vrai sens des choses
Pour
le grand Dieu créateur venu se révéler en Jésus-Christ, l’humanité entière est
à l’image de la vie animale, composée de végétariens, de carnassiers et même
d’espèces cannibales. Parmi les plus dociles et les plus doux, se trouvent les
brebis, les agneaux, soumis au bélier conducteur du troupeau. En l’absence d’un
berger assisté par ses chiens, les brebis avancent continuellement uniquement
préoccupées de brouter l’herbe qui est devant leurs yeux. Elles peuvent ainsi
se disperser sans s’en rendre compte et s’égarer, en se retrouvant isolées dans
des lieux pleins de dangers mortels.
Note
que Dieu n’a pas doté la brebis d’armes agressives ou défensives, ni de la
capacité de fuir rapidement. Elle n’a pas de crocs ni de griffes et
incarne la totale vulnérabilité. Ceci parce qu’elle représente exactement
l’image de ce que doit être un élu racheté par Jésus-Christ. C’est sur ce
modèle que Jésus a construit son Eglise, son Assemblée d’élus fondée sur ses
douze apôtres, tous choisis par lui en connaissance absolue de leurs différents
caractères ; celui de Judas, compris. Et déjà son nom « Judas »
faisait de lui l’image prophétique du royaume de Juda ayant pour capitale la
ville de Jérusalem. Celui qui vendit Jésus aux Juifs religieux pour trente
deniers était à leur image ; le traître pour la cause de Dieu. Les onze
autres apôtres formaient avec Jésus en pierre angulaire, la principale, le
fondement de son Elue spirituelle ouverte aux humains de toute race, de tout
peuple, sur toute la terre.
En
l’an 65, les terribles persécutions, du diabolique empereur mégalomane et
matricide, Néron, nom qui vient du latin « nero » qui signifie noir
soit, ténébreux, ont fait mourir cruellement et injustement tous les apôtres
excepté Jean. Son nom signifie : Dieu a donné. Persécuté à son tour par
l’empereur Domitien, il s’avéra que Jean était rendu par Dieu indestructible,
ayant résisté et survécu à un bain d’huile bouillant. L’empereur le mit donc à
l’écart en l’exilant isolé sur l’île de Patmos où Dieu lui a donné la vision
nommée Apocalypse ; mot traduit du grec « Apocalupsis » qui
signifie : Révélation.
Le
sort donné aux 12 apôtres prophétisait le projet de Dieu de 2000 ans d’histoire
terrestre.
1-
La
mort de l’apôtre Judas prophétisait la mort de l’Israël charnel et rebelle de
l’ancienne alliance.
2-
La
mort de 10 apôtres prophétisait le temps de la domination romaine ténébreuse
impériale, puis papale à partir de 538. (10 apôtres pour le temps des « dix cornes » de Daniel 7:7-24)
3-
La
vie indestructible de Jean prophétisait « le temps de la fin »
vécu par les derniers adventistes du septième jour dissidents attendant le
retour de Jésus-Christ pour le printemps 2030.
C’est
en effet aux derniers adventistes que Jésus destine cette Révélation précieuse
qui ne devait ni ne pouvait être comprise qu’en 1995 soit, après avoir tiré les
leçons de la 3ème fausse attente du retour de Jésus pour le 22 Octobre
1994.
Tu
peux le relever, dans ces trois points, je ne cite pas l’œuvre de la Réforme
protestante. Je ne fais que tenir compte du jugement divin qui est révélé
prioritairement par le livre historique et prophétique écrit par le prophète
Daniel dont le nom signifie, précisément : Mon Juge est Dieu. Dieu tient
en horreur la tiédeur et il le dit dans Apocalypse 3:16 : « Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma
bouche ». Ce message condamne l’adventisme institutionnel que Jésus
juge « tiède ». Or l’adventisme du septième jour honore le sabbat
qui est pratiqué de manière traditionnelle et universelle officiellement depuis
1873 ayant eu un caractère uniquement américain depuis 1863, année de la
création de l’Eglise adventiste du septième jour. En quoi consiste sa « tiédeur » ?
Le manque d’amour de la vérité, et de la vérité prophétique qui garde encore
tous ses secrets même au sujet du sabbat à l’heure où Dieu m’a appelé pour
éclairer progressivement intégralement cette compréhension vitale soit, au
printemps 1975, par une vision nocturne, et en 1980 par mon baptême adventiste.
Etant
une outre neuve, Jésus pouvait me remplir d’un vin nouveau, je n’avais jamais
été baptisé avant ce 14 Juin 1980 et je n’avais que fréquenté, plus ou moins
assidûment, l’église Réformée protestante. Entre 1974 et 1980 mon intérêt pour
la Bible n’a fait que croître et la « Tragédie des Siècles »,
l’ouvrage écrit par Ellen White la messagère adventiste du Seigneur
Jésus-Christ a réussi à m’arracher à ma passion musicale, après deux
présentations différentes de l’ouvrage par deux personnes qui ne se
connaissaient pas. J’ai trouvé dans ce livre les clés qui me manquaient pour
comprendre le juste jugement de Dieu. Avec ces clés, la prophétie s’ouvrait
devant moi, et l’Esprit de Dieu ou de son ange a dirigé ma lecture, les
déductions, mes raisonnements, et ma juste exploitation des preuves bibliques
donnant la signification des symboles cités dans les textes prophétiques de
Daniel et Apocalypse. Je pense pouvoir réellement dire que j’ai été le premier
homme pour lequel Apocalypse est devenue Révélation. Pour ne pas créer de
confusion, je continue à le nommer Apocalypse, mais ce nom obscur ne correspond
plus à la claire compréhension que j’ai maintenant de tout ce qui y est
révélé ; c’est pourquoi, Apocalypse est devenue dans mon cœur et mon
esprit : Révélation.
Ainsi
l’adventisme institutionnel officiel est tombé en disgrâce à cause de sa « tiédeur »
puisque Jésus l’exigeait « bouillant » pour rester digne de sa grâce.
La pratique traditionnelle du sabbat ne le protège plus et ne le sanctifie
plus. Car selon son programme dans lequel sa lumière est comme la lumière
resplendissante du soleil qui s’en va croissant depuis l’aube jusqu’au milieu
du jour, son exigence concernant ses élus croît, elle aussi, parallèlement.
Qu’est-ce
que l’adventisme du septième jour ? Rien d’autre qu’une assemblée de
chrétiens protestants décidés à achever la réforme restée inachevée depuis le
XVIème siècle. C’est cette satisfaction d’une réforme inachevée qui
conduit Dieu à contester aux Protestants, leur nom « protestants »
qu’ils ne méritent plus de porter ; précisément, parce qu’ils ne
protestent plus mais fraternisent avec le catholicisme papal, l’ennemi de Dieu
depuis sa création, catholique en 313 et papal en 538. Cette alliance constitue le fruit d’un
jugement humain différent du jugement divin. On voit que les faux protestants
et Dieu ne reprochent pas à la religion catholique les mêmes choses. Les faux
protestants ne lui reprochaient que la violence de ses persécutions. Pour sa
part, Dieu lui reproche son mépris pour toute sa parole divine écrite : sa
sainte Bible ; dont elle a fait interdire la lecture personnelle dans son
règne ténébreux ; dont elle a réduit et transformé le texte originel de
ses dix commandements.
Il
n’est pas difficile de comprendre ces choses :
1-
le Juif qui n’a pas la foi pour Jésus-Christ
n’est plus un Juif pour Dieu.
2-
Le
Catholicisme n’a jamais été reconnu par Dieu.
3-
Le
Protestantisme a perdu son statut protestant en 1843.
4-
L’Adventisme
du septième jour institutionnel a perdu son statut béni et sanctifié en 1994.
Toutes
ces chutes sont causées parce que les groupes cités refusent d’offrir au Dieu
créateur la gloire d’une Réforme complète et achevée qui redonne à l’Elue de
Dieu sa gloire resplendissante apostolique et plus encore si la chose est
possible. Notre dernière génération d’élus bénéficie d’une lumière divine
incomparable, car Dieu a éclairé sa prophétie qui révèle le sens du vécu passé
et celui de l’avenir.
Dieu
a permis à ses élus d’identifier les mensonges que de fausses traductions des
textes bibliques originaux écrits « en hébreu et en grec »
comportent pour justifier des pratiques condamnées par Dieu. Je souligne ces
deux fruits diaboliques que sont le culte du premier jour de la semaine et la
prière adressée à Dieu en position debout. Pour le culte du premier jour, la
seule référence trompeusement revendiquée pour le justifier est ce
verset : Actes 20:7, mal traduit du grec. Dans le texte grec, il est
écrit : « Le premier sabbat,
nous étions réunis pour rompre le pain. Paul, qui devait partir le lendemain,
s'entretenait avec les disciples, et il prolongea son discours jusqu'à minuit. »
Le mot « jour » rajouté
par le traducteur n’existe pas dans l’original grec. Et le mot « semaine »
désigne donc le « sabbat » et non la « semaine » ;
les deux mots étant désignés en grec par le même mot « sabbaton ». Le
récit décrit devient ainsi très logique après le verset 6 où il est dit :
« Pour nous, après les jours des
pains sans levain, nous nous embarquâmes à Philippes, et, au bout de cinq
jours, nous les rejoignîmes à Troas, où nous passâmes sept jours. » l’homme Juif converti au Christ, qu’est Paul,
respecte le temps « des pains sans levain » de la
fête de Pâque. Son séjour à Troas est de « sept jours » et dans ces « sept jours » se présente le premier sabbat, jour du culte
chrétien où les saints « rompent le
pain », comme Jésus l’a enseigné. Le fait que Paul devait repartir le
lendemain, confirme que ce jour de réunion était un sabbat honoré par son repos
à Troas.
Cette
tromperie repose sur l’ajout du mot « jour » qui fait de cette
traduction une interprétation et non une traduction sincère et honnête. Ce
verset étant dénoncé, il ne reste aucun moyen de justifier le culte rendu à
Dieu le premier jour de la semaine. Il ne reste donc que le signe hérité du
paganisme romain impérial de Constantin 1er qui l’a ordonné par son
décret du 7 Mars 321.
La
deuxième faute concerne l’abandon de la prosternation dans la prière adressée à
Dieu. Faut-il que je le répète ? Ce comportement révèle la perte du sens
du mot sacré, du mot sainteté, du mot divinité que seul le Dieu créateur
représente, n’ayant en face de lui aucun autre esprit créateur comme le sien.
Et à ce sujet, il a fallu encore une injuste traduction du texte grec de Marc
11:25 dans lequel le verbe grec « istemi » présenté sous la forme « stékété »
désigne une attitude de fermeté et non la position debout qui est rendue par la
forme « stasis ». Il semble que le diable ait particulièrement choisi
le traducteur Oltramare pour falsifier sa version du texte grec de la nouvelle
alliance. Ce n’est donc pas sans raison que sa version a été reprise par Louis
Segond pour ses célèbres versions très appréciées par les lecteurs de la langue
française privilégiée par les imprimeries protestantes calvinistes de Genève.
Ceci
est la version faussée : « Et,
lorsque vous êtes debout faisant votre prière, si vous avez quelque
chose contre quelqu'un, pardonnez, afin que votre Père qui est dans les cieux
vous pardonne aussi vos offenses. »
Ceci
est version la plus correcte : « Et,
lorsque fermement, vous faites votre prière, si vous avez quelque chose contre
quelqu'un, pardonnez, afin que votre Père qui est dans les cieux vous pardonne
aussi vos offenses. »
L’attitude
que nous avons dans la prière révèle la conception individuelle que nous avons
de Dieu. Etant en prière, nous sommes des suppliants qui s’adressent et parlent
au Dieu vivant qui nous regarde et se tient devant nous, même s’il reste
invisible. Celui qui se prosterne devant sa face montre qu’il le voit tel qu’il
est. Celui qui reste debout en prière montre qu’il ne le voit pas tel qu’il
est, puissant et redoutable pour ceux qui le méprisent, mais bon et
compatissant pour ceux qui l’honorent comme on doit l’honorer.
Le
thème de ce verset est l’obtention du pardon de « Dieu » qui « résiste
aux orgueilleux et fait grâce aux humbles », selon ce qui est
écrit dans Jacques 4:6 et 1 Pierre 5:5. Or, cet « orgueilleux » et cet
« humble » sont les exemples cités par Jésus dans Luc 18:10
à 14 : « Deux hommes montèrent
au temple pour prier ; l'un était pharisien, et l'autre publicain. Le pharisien, debout, priait ainsi en
lui-même : O Dieu, je te rends grâces de ce que je ne suis pas comme le reste
des hommes, qui sont ravisseurs, injustes, adultères, ou même comme ce
publicain; je jeûne deux fois la semaine, je donne la dîme de tous mes revenus.
Le publicain, se tenant à distance,
n'osait même pas lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine,
en disant : O Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur. Je vous le dis, celui-ci descendit dans sa
maison justifié, plutôt que l'autre. Car quiconque s'élève sera abaissé, et
celui qui s'abaisse sera élevé. »
Quiconque
s’approche de Dieu pour obtenir sa protection et son salut doit comprendre,
qu’étant lui-même parfaitement parfait, ses leçons ne mettent en mots que des
sens opposés à l’extrême. Entre les deux, se situe la tiédeur, l’imperfection
qu’il déteste et insupporte. Il oppose ainsi ; le froid au bouillant, les
ténèbres et la lumière, l’orgueilleux à l’humble, définissant ainsi les
critères de son camp et celui du diable ; les deux camps étant porteurs de
valeurs diamétralement opposés.
Quel
était le problème du pharisien cité par Jésus ? Tout ce qu’il dit est
justifiable, mais il montre son orgueil en oubliant qu’il est porteur du péché
qu’il a hérité comme tous les humains depuis Adam et Eve. Il est peut-être
trompé sur la valeur qu’il donne aux sacrifices animaliers offerts pour le
pardon des péchés selon les rites ordonnés par Dieu dans l’ancienne alliance.
Mais, l’intelligence humaine est tenue responsable quand elle donne à un animal
la même valeur qu’à l’être humain créé à l’origine à l’image de Dieu. Or, les
pharisiens de son époque se trouvent confrontés à cette parfaite image de Dieu
portée par Jésus-Christ. C’est pourquoi par cette parabole, Jésus accuse
d’orgueil tous les pharisiens de son ministère, et au-delà, tous les pharisiens
chrétiens qui vont apparaître jusqu’au moment de son retour glorieux au printemps
2030.
Les
vrais « fils de Dieu »
passent inaperçus, tant ils sont rares en nos jours où la science et la
technologie accaparent les priorités des esprits humains. Mais au fil du temps,
d’une manière intemporelle, la lecture de la sainte Bible est restée le moyen
de porter l’attention sur Dieu et ses glorieuses activités.
L’expression
« jour du Seigneur » apparaît en de nombreux textes de la
nouvelle alliance, mais partout où elle apparaît, elle désigne uniquement le
jour glorieux de son retour final, en lequel, précisément, le repos du sabbat
du septième jour qui le prophétise trouvera son parfait accomplissement dans le
septième millénaire au début duquel il apparaîtra dans sa gloire céleste.
On
ne trouve donc, dans les écrits de la nouvelle alliance, aucune citation de
l’expression « jour du Seigneur » qui soit rattachée à un jour de repos
particulier qui puisse justifier le repos actuel du premier jour.
Le
faux christianisme qui honore le repos de ce faux « jour du Seigneur »
se trouve donc dans la situation paradoxale d’être détruit par Jésus-Christ au
moment du vrai « jour du Seigneur ». La sagesse
de Dieu est confondante, car je relève qu’il fait prophétiser par ses ennemis
leur sort terrible final.
A
l’opposé, les élus obéissants qui honorent Dieu en pratiquant le sabbat du
septième jour prophétisent leur entrée dans l’éternité du septième millénaire.
Le premier jour et le septième jour sont bien des signes d’appartenance aux
deux camps diamétralement opposés ; celui du diable et celui du Dieu
vivant, le grand Dieu créateur.
Notre
lecture de la Bible s’enrichit considérablement quand on entre dans le mode de
la pensée de Dieu qui regarde la vie par le prisme de ses opposés absolus.
C’est en appliquant ce principe que j’ai eu la certitude que Dieu ferait
connaître à ses serviteurs fidèles la date du temps de son retour final. Ceci
grâce à ce verset d’Apocalypse 3:3 : « Rappelle-toi donc comment tu as reçu et entendu, et garde et
repens-toi. Si tu ne veilles pas, je viendrai comme un voleur, et tu ne sauras
pas à quelle heure je viendrai sur toi. » Il suffit de renverser la
forme négative du texte en forme positive et nous obtenons : « … Si tu veilles, je viendrai comme un
voleur, et tu sauras à quelle heure je viendrai vers toi. »
Ma
confiance a été récompensée puisqu’en 2018, au début du printemps, l’Esprit a
dirigé mon esprit vers le calendrier juif qui a permis de situer la mort de
Jésus le mercredi 3 Avril 30. 2000 ans plus tard mais au premier jour du
printemps, Jésus reviendra confirmant cette explication.
Nous
ne devons individuellement jamais nous sentir liés par la participation ou le
baptême pris dans une église quelle qu’elle soit. Le seul lien qui reste
indispensable c’est notre lien avec l’Esprit de Dieu et toute sa vérité. En son
temps, l’apôtre Paul a commis l’erreur de rester fidèle à sa religion juive
héritée. Et il a persécuté les saints rachetés de Jésus-Christ en croyant
honorer Dieu par son zèle. Depuis son expérience, d’innombrables âmes humaines
se perdent pour la même raison. Les amitiés, la famille, terrestres, n’offrent
pas la vie éternelle ; Dieu seul la propose et encore, sous ses
conditions.
Etant
libres dans tous nos choix, nous avons tous des opinions personnelles au sujet
de beaucoup de choses dans tous les domaines de la réflexion. Mais nos opinions
personnelles ne comptent que pour peu de chose quand on les compare au jugement
de Dieu. Seule sa façon de juger la vie importe, car elle est obligatoirement
la meilleure, la plus sage, la plus juste donc, la plus précieuse à connaître
et à partager avec lui.
Après
un échange sur ce sujet, j’aborde ici un principe utilisé par Dieu. Ce principe
consiste à prêcher le faux pour savoir le vrai. Dans ce cas précis le faux
diffère du mensonge parce que sa motivation est bonne. J’ai été ébloui par la
sagesse divine révélée par le roi Salomon qui réussit à démasquer la fausse
mère et à identifier la vraie mère d’un enfant objet de la dispute. Pour
obtenir ce résultat, prévoyant la réaction de la vraie mère, il n’hésite pas à
ordonner de couper le corps de l’enfant en deux parties. La vraie mère
s’identifie en préférant dans ce cas renoncer à son enfant.
Cette
méthode est si efficace que Dieu l’emploi constamment quand il met à l’épreuve
de l’attente du retour de Jésus ses rachetés en 1843, 1844, et 1994. Ces dates
ne sont pas des inventions humaines mais des poteaux indicateurs construits sur
des durées chiffrées citées dans la sainte Bible. Et la chaîne complète de ces
dates utilisées dans l’histoire accomplie est – 457 ; + 27 ; 538 à
1798 ; 1828 ; 1844 ; 1873 ; 1994. La précision de ces dates
était si peu importante que les dates construites sur la chaîne, ayant pour
base – 457, est fausse d’une année ; car j’ai découvert cette erreur
tardivement. Dans Esdras 7:7, « la
septième année du roi » Artaxerxès est – 458 ; sa première année
étant en – 465 ; ce qui donne ensuite les dates + 26 ; 1843 ; 1993. Mais cette
rectification justifiée n’a plus de réelle utilité, les événements ciblés par
ces dates ayant tous été accomplis.
A
chacune de ces dates Dieu rattache un enseignement vital, car dans toutes les
épreuves qu’il organise, le principe des opposés absolus est appliqué, le
conduisant à bénir un comportement et à maudire le comportement inverse. Les
trois fausses attentes du retour de Jésus-Christ ont été pour Dieu le moyen
d’identifier ses rachetés jugés dignes de sa bénédiction et de démasquer à
l’inverse ceux de ces rachetés trouvés indignes de sa bénédiction et donc
seulement dignes de sa malédiction. Quand une date annonce le retour de Jésus-Christ,
chaque créature humaine réagit selon sa propre nature, avec foi, ou sans foi,
ou encore dans l’indifférence. Dieu agit alors envers elle en conséquence,
selon ce qu’elle mérite.
Dans
la prophétie, une deuxième chaîne de dates se construit sur la date 538 qui a
marqué l’heure de l’instauration du régime papal romain. Les dates suivantes
obtenues sont : 1798, fin du règne intolérant papal ; 1828, début de
l’attente adventiste et 1873 fin du temps des deux premières épreuves
adventistes. Le Seigneur de vérité m’a réservé l’exclusivité de la définition
de ces deux dates 1828 et 1873 obtenue par les durées 1290 et 1335 jours citées
dans Daniel 12:11-12. Cette chaîne commence en 538 et s’arrête en 1873. Elle
vient révéler le statut maudit de la religion protestante mise à l’épreuve
entre 1828 et 1873. Car ce n’est qu’en 1873 que la lumière divine éclaire la
justification des deux attentes adventistes de 1843 et 1844. En réalité, c’est
l’instauration officielle universelle de l’église adventiste du septième jour,
en 1873, qui condamne définitivement la religion protestante testée et
condamnée par son attitude en 1843 et 1844. C’est la restauration du « sabbat
du septième jour » qui est venue confirmer la poursuite de l’œuvre
de réforme exigée par Dieu. Mais il serait faux de retenir uniquement la
pratique du sabbat, car la cause principale de la malédiction protestante
concerne d’autres vérités très importantes, comme la réforme sanitaire et
l’abandon du dogme de l’immortalité de l’âme ; choses rectifiées dans la
doctrine « adventiste du septième jour ». En donnant un sens à ces
deux épreuves, Dieu peut condamner en toute justice les chrétiens protestants
qui ne tiennent pas compte de ses exigences.
Dans
Apocalypse 2:24-25, Dieu expose les bases de son jugement des protestants
auxquels il dit : « A vous, à
tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont
pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je
ne mets pas sur vous d'autre fardeau ; seulement, ce que vous avez, retenez-le
jusqu'à ce que je vienne. »
La
présentation du règne papal cité dans Daniel 7:25 est adressée aux protestants
en ces termes : « Il prononcera
des paroles contre le Très Haut, il opprimera les saints du Très Haut, et il
espérera changer les temps et la loi; et
les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps, et la
moitié d'un temps. » C’est cette durée retrouvée dans Apocalypse
12:6-14 qui, traduite en « 1260 jours » détermine pour son
début, l’année 538 et pour sa fin, 1798. Et nous venons de le voir, les
protestants de l’époque « Thyatire » sont confrontés à ce
règne catholique intolérant. Ils connaissent donc ses péchés et tout ce que
Dieu lui reproche. Cependant, à l’époque, le problème du sabbat est ignoré
ainsi que les autres points évoqués plus haut, c’est pourquoi, faisant allusion
à la future restauration de la vérité exigée par le décret de Daniel 8:14, à
partir de 1843 et de 1873, Dieu leur dit dans Apocalypse 2:24-25 : « A vous, à tous les autres de Thyatire, qui
ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de
Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre
fardeau ; seulement, ce que vous avez, retenez-le jusqu'à ce que je vienne. »
Mais bien sûr, déjà à l’époque concernée, les protestants à qui Jésus adresse
ce message devaient être des êtres doux et pacifiques, reproduisant la docilité
du Christ prophétisé comme un agneau qui se laisse tondre docilement sans
bouger ou chercher à s’échapper.
En
résumé, en 1843 et 1844, Dieu condamne les protestants qui méprisent l’annonce
prophétique de son retour. Et en 1873, il condamne les protestants qui méprisent
son exigence de restaurer les vérités foulées aux pieds par le
catholicisme ; choses qui constituent des péchés qu’ils ont hérité de lui
et continuent de pratiquer. En fait, la vérité rétablie dans l’église
adventiste du septième jour les condamne définitivement.
Mais
à son tour l’église adventiste va être menacée par ce message qui va la
condamner à la fin des « cinq mois » d’Apocalypse 9:5-10
soit, 150 ans réels que Dieu lui donne soit, en 1994. Car Dieu déclare dans
Apocalypse 2:25 et 26 : « seulement,
ce que vous avez, retenez-le jusqu'à ce
que je vienne. A celui qui vaincra,
et qui gardera jusqu'à la fin mes œuvres, je donnerai autorité sur
les nations. » Or, béni en « Philadelphie », l’adventisme
officiel est maudit en « Laodicée » pour cause de
n’avoir pas « gardé jusqu’à la fin ses œuvres » présentées par son
prophète Samuel, en France, à Valence sur Rhône. Ceci, en dépit de
l’avertissement donné dans le message de « Philadelphie » dans
Apocalypse 3:11 : « Je viens bientôt. Retiens ce que tu as, afin
que personne ne prenne ta couronne. » Et « sa
couronne » a été prise en 1994 à cause de la disparition de
l’amour de la vérité.
Ce
message fait apparaître le fait que le jugement de Dieu s’exerce sur deux
niveaux. Le premier niveau juge l’attitude envers la révélation biblique
prophétique ; le second niveau juge l’homme sur son aptitude à mettre en
pratique les vérités que sa sanctification exige.
Pour
être encore plus clair et précis, je dis que le premier niveau du jugement de
Dieu juge la croyance et le second niveau juge l’obéissance des chrétiens et
avant eux, des Juifs qui ont bénéficié de trois ans et six mois pour accepter
ou rejeter après la mort de Jésus-Christ, le salut qu’il a apporté par sa mort
volontaire expiatrice, le mercredi 3 Avril 30.
Ces
deux niveaux du jugement de Dieu sont absolument complémentaires mais très
différents. Car la croyance non mise à l’épreuve peut être très trompeuse. Ce
qui n’est pas le cas pour l’obéissance dont le témoignage est spontané et donc
rendu évident sans possibilité de masquer ou de tromper quiconque. Et ces deux
niveaux du jugement divin concernent en fait, la foi et les œuvres qu’elle
produit.
Le
bon sens est la clé de la véritable intelligence. Le retrouver permet d’accéder
à la lumière divine. Seul, il permet de tirer de la sainte Bible une lecture
nourrissante et favorable. Et à ce sujet, nous pouvons mieux comprendre ces
paroles de Jésus-Christ citées dans Matthieu 5:18 : « Car, je vous le dis en vérité, tant que
le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre,
jusqu'à ce que tout soit arrivé. »
Il a dit au verset 17 qui le précède : « Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes ; je suis venu non pour abolir, mais pour
accomplir. »
Sur
la croix, les derniers mots de Jésus ont été : « Tout est accompli »,
mais pas « tout est arrivé ».
Ces deux verbes, bien que ressemblant, marquent deux étapes du programme de
Dieu séparés par 2000 ans. Par sa mort, Jésus a « accompli » la
mission prophétique de la loi au seul plan sacrificiel. 2000 ans plus tard, à
son retour en gloire, le jour du printemps 2030 qui vient, « tout sera arrivé ».
Le
verset 18 confirme donc d’une manière absolue que la loi ne perd aucun de ses enseignements
jusqu’au retour final de Jésus-Christ et jusqu’au renouvellement des cieux et
de la terre au début du 8ème millénaire éternel. La loi ne
disparaîtra que lorsque le problème du péché aura été entièrement solutionné
soit, après la « seconde mort » infligée aux
rebelles célestes et terrestres. Car pendant le septième millénaire, le
jugement rendu par les saints rachetés et Jésus-Christ reposera sur
l’enseignement complet de toute la loi biblique construite sur ses deux
alliances successives.
La loi
divine est un recueil de témoignages et les témoins sont utiles à l’heure du
jugement. Chacun des coupables sera tenu responsable en fonction de la lumière
divine donnée à son époque.
Au
niveau de la mise en pratique de la loi divine, légalement puisqu’annoncée par
Dieu dans Daniel 9:27, par sa mort expiatrice, Jésus fait « cesser
le sacrifice et l’offrande » d’animaux, parce qu’ils n’avaient
qu’une valeur symbolique et prophétisaient son sacrifice humain parfait. La
veille de sa mort, par la sainte Cène, Jésus a révélé à ses apôtres l’unique
changement apporté dans la nouvelle alliance : le sacrifice de son corps
en remplacement des sacrifices animaliers. Ce seul changement est scellé par le
versement de son sang, juste, et parfaitement innocent. Mais dans la sainte
Bible, la présentation des fêtes et des rites sacrificiels restent les témoins
du plan du salut conçu par Dieu. Il en est ainsi, pour toutes les prophéties
qui s’accomplissent et qui représentent des étapes de son grand programme
salvateur propice à ses seuls élus.
A nous
qui vivons le temps de la fin, Dieu nous offre le privilège, de découvrir
toutes les étapes successives de l’histoire de la terre victime du péché et de
toutes ses conséquences. Dieu fait de nous, de notre génération d’élus, ses
témoins devant ses anges fidèles et devant les multitudes démoniaques célestes
et terrestres. C’est en recevant ces choses dans nos cœurs et nos esprits, et
en les mettant en œuvre, que le projet prophétisé dans Daniel 8:14 trouve son
complet accomplissement ; en première fausse traduction : « le
sanctuaire est purifié »
et en bonne traduction : « la sainteté est justifiée ».
M24- Le véritable temps du calendrier de Dieu
Le sujet
que je présente aujourd’hui est un cadeau du ciel qui vient marquer le passage
du premier jour du printemps qui vient ce Jeudi 20 Mars 2025, jour où l’année
5996 depuis la création commence, à 5 ans du retour en gloire du divin Seigneur
Jésus-Christ.
Avant de
lancer une opération militaire ou de sécurité policière, les membres actifs du
commando règle tous leurs montres à la même heure, puis ils déclenchent
l’action de leur programme. Nous allons découvrir ainsi un nouveau sens qui vient
éclairer dans Apocalypse 9:15, l’expression : « prêts pour l’heure, le jour, le
mois, et l’année » ; une heure décisive en laquelle le grand
Dieu tout-puissant Jésus-Christ, Micaël, YaHWéH, livre les « paisibles »
mais ingrats habitants des « dix cornes » européennes, aux
cornes redoutables de leurs ennemis musulmans et orthodoxes russes rendus
furieux.
Ce
printemps 2025 est donc le temps choisi par Dieu pour que ses élus comptent en
années le temps comme il le compte lui-même. On se souvient que dans Daniel 7:25,
ce que Dieu impute à la « petite corne » soit, le roi
papal romain, c’est qu’il « espérera changer le temps et la loi. »
Que signifie ce verbe « espérera » ?
Déjà en premier, c’est qu’il n’y parviendra pas, ou plus précisément, que
pendant un certain temps, même si ce temps a été assez long, dépassant
largement le temps de son règne intolérant de « 1260 jours-années »
annoncé dans ce même verset. La restauration de la vérité engagée depuis 1170
par l’œuvre quasi-parfaite de Pierre Vaudès dit « Valdo » devait
atteindre ce même niveau avant le moment marqué par « l’heure, le jour, le mois et l’année » dont le temps réel
devient calculable depuis que ces choses sont connues et rattachées à la mort
expiatrice de Jésus-Christ soit, le 13ème jour du printemps de
l’année 30, « à 15 heures, le mercredi 3, Avril, 30 ». Le jour de la
Pâque du rite juif était célébré le 14ème jour entre les deux soirs
soit, exactement « 3 heures » après que Jésus a remis son esprit à
Dieu. C’est donc sur la connaissance de ce calendrier juif que repose notre
compréhension de l’année du retour en gloire final du Sauveur ressuscité et
entièrement divinisé, dont la date est le jour du printemps 2030 qui vient ;
et qui n’est plus, en ce printemps 2025, qu’à 5 années pleines devant nous.
Ce
nombre « 2030 » est en vérité l’an 6001 du calendrier compté par Dieu
de manière ascendante depuis le péché d’Adam et Eve ou le premier jour de la
création terrestre ; les deux possibilités ayant leur logique, je ne peux
encore pas trancher et dire quelle est la bonne. Mais connaissant maintenant la
date de la fin, nous pouvons retrouver, les dates réelles des événements
bibliques fixées par des durées chiffrées dans les textes prophétiques de Jérémie,
Daniel, Ezéchiel ; et Matthieu et Apocalypse ; et Genèse, dont j’ai
révélé le caractère prophétique.
L’année
6001 correspondant à notre année 2030 du calendrier usuel romain actuel, nous
sommes en 2025, en 5996. De la même manière, nous pouvons situer la mort de
Jésus-Christ en l’an 4001 depuis le début du comptage du temps par Dieu. Et
l’année 2029 représente la 2000ème année de ce comptage qui débute
sur sa mort salvatrice des élus.
Mais il
est utile de retrouver la vraie date de la naissance de notre divin sauveur.
Car notre calendrier actuel est faux, ayant été établi stupidement sur la date
de la mort du roi Hérode le Grand, ce roi arabe qui dominait la Judée pour
Rome. Et déjà, des historiens ont décelé pour ce seul événement une erreur de
« 4 ans » dans la date retenue par le moine Denys-le-Petit ; un
nom prédestiné pour ne pas entrer dans le royaume des cieux. Ces « 4
ans » réduisent donc de 4 ans l’estimation des dates de notre calendrier
actuel. Mais dans mes calculs établis depuis mes études prophétiques achevées
vers 1982, je donnais à ce retard « 2 années » de plus, citées dans
Matthieu 2:16 : « Alors Hérode,
voyant qu'il avait été joué par les mages, se mit dans une grande colère, et il
envoya tuer tous les enfants de deux ans
et au-dessous qui étaient à Bethléhem et dans tout son territoire, selon
la date dont il s'était soigneusement enquis auprès des mages. »
A
l’origine je n’ai tenu compte que de ces « deux ans » entiers,
parce que Dieu l’a voulu ainsi. Car, en effet, ces « deux ans » ajoutés
aux « quatre ans » d’erreur de la mort du roi Hérode, portaient
le retard total à 6 années qui donnaient à ma date 1994, obtenue comme fin des
« cinq mois » d’Apocalypse 9:5-10 soit, 150 années réelles
écoulées depuis le 22 Octobre 1844, la date de la plate-forme adventiste ;
la seconde date où les premiers adventistes espéraient entrer au ciel.
En ce
printemps 2025, je remets en cause cette valeur de « deux ans » tenant
compte, cette fois, de la précision, « et en dessous »,
qui l’accompagne dans le verset biblique. Le raisonnement qui s’impose
aujourd’hui est le suivant : Le roi Hérode ne voulait manquer à aucun prix
de tuer le messie susceptible de le remplacer sur le trône de la Judée. Aussi,
choisit-il une marge supérieure et inférieure d’une année, en prenant pour
repère, la date où les mages venus le visiter lui avaient dit avoir vu l’étoile
conductrice pour la première fois ; ce que le texte précise dans ce même
verset : « selon la date dont il s'était soigneusement enquis
auprès des mages ». Sous cette nouvelle analyse, notre calendrier
actuel ne retarde que de 5 années au lieu de 6 années. Ce nouveau calcul donne
à Jésus au jour de sa mort l’âge de 34 ans, et le début de son ministère, en
Automne, à 30 ans et six mois ; ce que confirme ce texte cité dans Luc
3:23 : « Jésus avait environ trente ans lorsqu'il commença son ministère, étant, comme on
le croyait, fils de Joseph, fils d'Héli,… »
Les
données que je viens de présenter sont solidement imposées et confirmées par le
texte biblique et l’inspiration de Dieu. Mais les utiliser présente des
difficultés qui favorisent la possibilité de faire des erreurs de calculs. En
son temps William Miller en a fait et à mon tour, j’en ai également fait. Entre
1980 et 1991, j’ai utilisé les calculs reconnus dans l’église adventiste du
septième jour au sujet des « 70 semaines » de Daniel 9 et
des « 2300 soir-matin » de Daniel 8:14. Plus récemment, j’ai
découvert que « la septième année » du roi
Artaxerxès 1er était l’année – 458 et non – 457. Or, une nouvelle
vérification du comptage imposée par les données nouvelles reçues concernant la
mort de Jésus-Christ qui représente l’an 4001, la date – 457 s’impose comme
base du calcul. Les historiens attribuent bien l’année – 465 comme étant la
première année du règne du roi mais ce règne a commencé en – 463 et dans ce
calcul, l’an – 457 est effectivement « la septième année »
de son règne. Ce sujet est névralgique et hautement stratégique puisqu’il
permet de fixer l’année, du baptême et de la mort de Jésus, et celle de la fin
de l’ancienne alliance juive.
Dans
Daniel 9, par la prophétie des 70 semaines du verset 24, Dieu nous donne, à
partir du verset 25, des détails précis permettant le calcul : « Sache-le donc, et comprends ! Depuis le moment
où la parole a annoncé que Jérusalem sera rebâtie jusqu'à l'Oint, au
Conducteur, il y a sept semaines et
soixante-deux semaines, les places et les fossés seront rétablis, mais en
des temps fâcheux. » Les « sept semaines » concernaient
les Juifs de retour de la captivité et à cette durée, l’ange ajoute « soixante
deux semaines », ce qui représente en tout : « 69
semaines ». L’explication qui suit va concerner « la 70ème
semaine » au milieu de laquelle, Jésus-Christ devait être
crucifié : « Après les soixante-deux semaines, un Oint sera retranché, et il n'aura pas
de successeur personne pour lui. Le peuple d'un chef qui viendra détruira
la ville et le sanctuaire la sainteté, et sa fin arrivera comme par une
inondation ; il est arrêté que les
dévastations dureront jusqu'au terme de la guerre. » Cette
dernière phrase casse la chronologie du sujet de la guerre, et permet à l’ange
de revenir sur l’œuvre du Messie : « Il fera une solide alliance avec
plusieurs pour une semaine, et durant la moitié de la semaine il fera cesser le
sacrifice et l'offrande ; …» J’arrête ici volontairement ce
verset, parce que la dernière phrase concerne « le dévastateur abominable »
romain et papal clairement désigné : « le dévastateur commettra les choses les plus abominables, jusqu'à ce que la ruine et
ce qui a été résolu fondent sur le dévastateur. » Le vrai message en
hébreu est beaucoup moins clair et plus spirituel : « Et sous l’aile seront les abominations de la
dévastation et jusqu’à la ruine et ce qui a été résolu fondent sur la désolée ».
« L’aile » présente la double image symbolique du pouvoir
romain impérial « aux ailes d’aigles »
et du pouvoir papal qui se place « sous
l’aile » des anges démoniaques. « La désolée »
concerne la terre qui deviendra l’abîme désolé, privé de ses habitants humains,
et la prison du diable pendant le septième millénaire.
Nous
avons maintenant toutes les données nécessaires pour calculer la date du
baptême de Jésus, de sa mort, et de la fin de l’alliance. Pour ce faire, nous
avons en plus depuis 2018, la connaissance du calendrier hébreu dans lequel la
semaine pascale ou « 70ème semaine » place
la mort de Jésus, le Mercredi 3 Avril 30 soit, littéralement, « au
milieu de la semaine » pascale et le 13ème jour du
premier mois de l’année 30. Trois heures après 15 heures, l’heure de sa mort,
le sabbat exceptionnel de la fête de Pâque commençait, marquant à 18 heures le
début du Jeudi, sur le 14ème jour prévu par la loi. Le vendredi fut
un jour normal suivi par le jour du sabbat hebdomadaire du quatrième
commandement de Dieu.
Le calcul
Les
données en jours et semaines doivent être converties en jours qui représentent
des années selon le code divin donné à Moïse dans Nombres 14:34 : « De même que vous avez mis quarante jours à explorer le pays, vous
porterez la peine de vos iniquités quarante
années, une année pour chaque jour ;
et vous saurez ce que c'est que d'être privé de ma présence. » Le code
est également présenté au prophète Ezéchiel contemporain de Daniel :
Ezéchiel 4:5-6 : « Je te compterai un nombre de jours égal à
celui des années de leur iniquité,
trois cent quatre-vingt-dix jours ; tu porteras ainsi l'iniquité de la maison
d'Israël. Quand tu auras achevé ces jours, couche-toi sur le côté droit, et tu
porteras l'iniquité de la maison de Juda pendant quarante jours ; je t'impose un jour pour chaque année. ».
La
plus grande durée est celle des « soixante dix semaines » :
70 x 7= 490 jours. La plus courte est celle des « 69 semaines » :
69 x 7 = 483 jours. Et entre les deux, « le milieu de la semaine »
pascale est un printemps et le 487ème jour.
Les
483ème et 490ème jours-années ciblent deux automnes mais
commencent par deux printemps. Le printemps est donc la saison que nous devons
retenir. En commençant par le printemps, ces trois durées prophétiques axent la semaine pascale sur une durée
totale de huit années comprises depuis la 483ème jusqu’à la 490ème
année réelle comprise. Les durées prophétisées représentent des années que
l’histoire empile les unes sur les autres dans la vie réelle comme les cubes
d’un jeu d’enfant. Il importe donc de ne retenir que cet aspect du type
« intervalle » et non de date anniversaire du type « piquet ».
Notre calendrier romain ne pose pas de problème causé par la fausse ou la vraie
naissance de Jésus-Christ. Dans notre calendrier usuel erroné, sa naissance est
précédée par l’an – 1 et suivie par l’an + 1. De la sorte, les jours-années
se suivent et leurs valeurs s’ajoutent comme des « cubes » d’enfants.
Les
durées chiffrées bibliques converties en jours-années, 483 jours, 487 jours, et
490 jours présentent la 70ème semaine sur une forme axée sur le 487ème
jour, le jour-année central en lequel Jésus est mort, d’une manière
parfaitement symétrique construite depuis l’automne 26 à l’automne 33. Les six
derniers mois de l’an 26 entre dans cette semaine d’année et à la fin, ce sont
les six premiers mois de l’an 33 qui sont retenus. Cette symétrie graphique est
à l’image de la perfection divine, puisqu’on la retrouve dans le lieu très
saint du tabernacle, dans lequel l’arche de l’alliance et son autel, le propitiatoire,
est placée au centre de la pièce, entre deux gigantesques chérubins aux ailes
déployées qui se rejoignent au-dessus de l’arche dans une symétrie parfaite que
nous retrouvons dans le chandelier à sept branches et lampes.
Cette
configuration a une signification. Jésus apporte au printemps 30, désigné par
le jour central, le 487ème, le salut et son sacrifice parfait, dans
une humanité pécheresse frappée de mort comme la saison de l’automne qui la
symbolise : la saison appelée morte. La mort est avant lui, et la mort est après
lui, mais entre les deux, Dieu a réglé le problème du péché, car il est venu
l’expier dans la chair de Jésus-Christ. Une autre explication prioritaire place,
dans cette configuration, la Pâque de sa mort expiatrice entre deux « Yom
Kippour » ou « Jour des Expiations » du péché, fête juive célébrée chaque automne, « le septième mois, le 10ème jour »,
selon Lévitique 23:27.
Donnée
approximative, confirmée dans Luc 3:23, « Jésus avait environ trente ans quand il commença son
ministère ». A l’automne de la 483ème année, il avait 30
ans et six mois, étant né au printemps, 30 ans plus tôt. Cependant, établissant
son calendrier que nous utilisons, le moine Denys le Petit a ignoré cette
vérité, et pensant trouver dans la mort du roi Hérode un repère proche, il a
opté pour ce choix. Mais ce faisant, la mort du roi Hérode est décalée par une
erreur de quatre ans, identifiée depuis, mais non rectifiée. En conséquence
l’âge du Christ réel de 30 ans est devenu 25. « Au milieu de la semaine »
pascale, l’âge de Jésus estimé faussement est donc 29 ans et les « 490
années » se sont achevées en 33.
Ces
valeurs fausses sont cependant les seules qui permettent de situer les
événements dans le temps historique accompli ou à accomplir. Mais à titre
indicatif, je peux dire que les valeurs véritables des trois dates d’années
commencées toutes par un printemps et fixées par la prophétie sont : 31 ;
35 ; et 38. Cependant, Jésus avait réellement 34 ans, lorsqu’il a offert
sa vie sur la croix. J’ai rajouté aux fausses dates 26 ; 30 ; 33 :
« 5 années », qui regroupent les « 4 ans » de l’erreur du
moine Denys-le-Petit, et « l’âge d’1 an » que Jésus avait, à l’heure
du massacre des enfants de Bethléhem auquel il échappa, se trouvant en cette
heure, en Egypte.
Disposant
des fausses dates 26 ; 30 ; 33, nous pouvons établir la date commune
de leur commencement. Il suffit de retrancher 33 à 490 ; ou 30 à
487 ; ou encore 26 à 483 pour obtenir dans les trois calculs la date – 457.
Cette date est « la septième année » du règne du
roi perse Artaxerxès 1er dit « Longue main » ; ce qui
place sa première année en l’an – 463. Et en dépit de la datation des
historiens qui la situent en – 465, c’est celle que Dieu atteste et qu’il a
choisie. Car nous trouvons dans Esdras 7:7, « la parole qui a annoncé que Jérusalem sera rebâtie » selon
Daniel 9:25. Le calcul impose donc cette année – 457 et fixe le début du règne
de ce roi à l’année – 463. Nous lisons dans Esdras 7:7 : « Plusieurs des enfants d'Israël, des
sacrificateurs et des Lévites, des chantres, des portiers, et des Néthiniens,
vinrent aussi à Jérusalem, la septième
année du roi Artaxerxès. » Le verset 9 indique la saison du
printemps : « il était parti de
Babylone le premier jour du premier mois,
et il arriva à Jérusalem le premier jour du cinquième mois, la bonne
main de son Dieu étant sur lui. » Le verset 13 confirme l’ordre
royal : « J'ai donné ordre de
laisser aller tous ceux du peuple d'Israël, de ses sacrificateurs et de ses
Lévites, qui se trouvent dans mon royaume, et qui sont disposés à partir avec toi
pour Jérusalem. ». Avant ce roi, successivement, le roi Cyrus et le
roi Darius avaient eux-aussi autorisé la reconstruction de la maison de Dieu.
Mais c’est le décret du troisième, Artaxerxès, qui est pris en compte.
La
date – 457 est aussi la base des « 2300
soir matin » de Daniel 8:14 et là encore, une simple soustraction des
deux nombres donne la fin de cette durée pour le printemps 1843 ; ce qui
donne : 2300 – 457 = 1843. Dieu a organisé une deuxième épreuve adventiste
dans laquelle le retour du Christ était fixé au 22 Octobre 1844. Cette date est
donc uniquement historique et rattachée à cette seconde épreuve adventiste qui
a marqué la fin de ce type d’épreuve de foi, pour cette époque. Cette date 1844
a pris une grande importance pour les pionniers de l’adventisme et ceci non
sans raison, parce que « la fin
d’une chose vaut mieux que son commencement », lit-on dans Ecclésiaste
7:8. Et ce fut dans cet automne 1844, que Joseph Bates adopta, le premier, la
pratique du repos du sabbat du septième jour avant ses frères et sœurs en
Christ adventistes.
Dans
notre calendrier romain, la mort de Jésus-Christ est située sur l’an 30 qui
reste encore aujourd’hui l’année 4001 des 6000 ans de l’histoire du péché
terrestre. Or, l’an 30, auquel 5 ans doivent être rajoutés pour retrouver la véritable
année marquée par la mort de Jésus-Christ, place l’année de sa vraie naissance
35 ans avant sa mort. Ce décalage de 35 ans qui sépare sa vraie naissance et
l’année de sa mort explique notre actuel dépassement de l’an 2000.
Basé
sur la fausse naissance de Jésus estimée « an 1 », 31 ans avant sa
mort, notre calendrier atteindra l’an réel 6000 ou 2000 en 2029. Et le
printemps de l’an 2030 sera « l’an 1 » du « septième millénaire »
qui s’ouvrira pour Jésus-Christ et ses fidèles rachetés.
Dans
ce nouveau calcul, la fin des « 2300 soir matin » établit la
date 1843 sur laquelle se posent les 150 années des « cinq mois »
d’Apocalypse 9:5-10. Nous obtenons ainsi la date 1993, qui justifie la
malédiction adventiste survenue sur l’église officielle le 22 Octobre 1991, jour du vote secret de la décision des dirigeants
de l’œuvre d’entrer dans l’alliance de la Fédération protestante. En Novembre
1991, après une tentative de conciliation mal vécue par le pasteur local, l’une
des trois personnes venues témoigner avec moi a vu une lumière tomber du ciel
verticalement dans une zone non éclairée. Le sabbat suivant, j’ai été
officiellement radié de l’œuvre adventiste institutionnelle.
Dans
l’ancienne datation et le décalage de 6 ans au lieu des 5 actuels, la date 1844,
sur laquelle j’ai posé les « cinq mois » ou 150 années
réelles d’Apocalypse 9:5-10, était utile pour justifier mon annonce du retour
de Jésus-Christ pour 1994, qui était donc réellement dans notre faux calendrier
le possible an 2000. A l’époque, l’an
4001 était sensé marquer la naissance de Jésus-Christ, au printemps. Mais ce
calcul était faux, parce qu’il reposait sur la naissance de Jésus-Christ, alors
que l’année 4001 était celle de sa mort ; ce qui explique une erreur de 35
années soit, l’âge atteint par Jésus quand il est mort. Parce qu’il est né au
printemps 3966, 5 ans avant l’an 1 de notre calendrier. La 34ème
année de la vie de Jésus-Christ qui précède l’an 4001 de sa mort était l’an
4000. Je relève avec intérêt, que la somme de la date 3966 de la vraie
naissance de Jésus-Christ est le nombre 24 soit, 12 + 12 comme les deux
alliances (12 patriarches ; 12 apôtres ; 12 tribus scellées).
Pouvant
ainsi partager avec Dieu sa manière de compter le temps, notre relation avec
lui s’intensifie et augure d’une vrai rencontre physique et spirituelle qui
n’est plus qu’à 5 années devant nous. Et c’est en ce printemps, que Dieu dirige
notre attention sur cette vraie naissance de Jésus-Christ qu’il nous faut
situer en – 5 soit, 5 ans avant l’an 1
de notre calendrier usuel latin et romain soit, faussement chrétien. Nous
allons entrer dans ce printemps 2025 en partageant la connaissance du temps
divin exact. Ce qui me conduit à dire que le message concernant « le
temps » dans Daniel 7:25 est définitivement réglé par Dieu.
L’espérance du roi papal subit un cuisant échec : ses changements sont
identifiés et rectifiés.
Dans
le même verset, l’espérance du changement concerne aussi « la
loi » divine. Elle a en effet subi beaucoup d’outrages de la part
des catholiques dans un premier temps, mais aussi depuis 1844, par les
protestants. La loi divine se compose des écrits canoniques des deux alliances
successives, les premières révélations divines ayant été faites par Dieu à
Moïse, le guide de l’Exode et les dernières ayant été reçues en vision par
l’apôtre Jean sur l’île de sa captivité nommée Patmos. Le début et la fin de la
rédaction biblique s’accomplissent dans la captivité organisée par ces deux
monstres symboles du péché, « l’Egypte », et Rome »,
successivement, impériale puis papale.
L’histoire
d’Israël est construite par Dieu de manière à rappeler aux êtres humains qu’ils
naissent porteurs du péché et qu’il n’existe aucun innocent parmi eux à l’égard
du péché ; ce que Paul confirme dans Romains 3:19, en disant : « Or, nous savons que tout ce que dit la loi,
elle le dit à ceux qui sont sous la loi, afin que toute bouche soit fermée, et que tout le monde soit reconnu coupable
devant Dieu. » Il n’était donc pas utile pour le diable et Rome de
déformer la loi divine, puisque cette loi ne visait qu’à accuser et condamner
l’être humain héritier du péché par nature depuis Adam et son péché.
Dans
l’ancienne alliance, sous son aspect national, l’Israël de Dieu restait fidèle
à la lettre de la loi écrite en hébreu, lue et comprise par tous les Hébreux
qui composaient cet Israël. Le diable n’avait donc aucun moyen de falsifier ces
textes de l’ancienne alliance.
Dans
la nouvelle alliance qui s’ouvre aux païens cette impossibilité disparaît,
parce que les païens ignorent l’hébreu et qu’ils n’ont connaissance
principalement, que du grec et du latin romain. L’enseignement biblique n’est
alors constitué que de textes originels traduits de l’hébreu, pour l’ancien
« témoin » et du grec, pour le nouveau « témoin »,
qui n’offrent plus la garantie de la précision des paroles originelles. En 313
soit, 318 ou 4284, la multitude de gens faussement convertis maîtrise le grec
et le latin mais écarte volontiers la version hébraïque de l’ancienne alliance.
Ainsi, l’hébreu et le grec sont considérés, « langues mortes ». Sous
la domination tyrannique romaine, le latin s’impose comme langue religieuse,
favorisant ainsi l’adoption des mensonges inspirés aux faux pères de l’église
catholique romaine. Pour les Chrétiens, les « ténèbres » spirituelles
s’approfondissent et s’épaississent ; l’enseignement de l’ancienne
alliance disparaît et le missel catholique romain remplace les écritures de la
nouvelle alliance. La norme romaine remplace la norme divine.
En
538, avec l’instauration du régime papal, cette fois, c’est « le Chef »
céleste de l’Eglise, Christ, qui est remplacé par un chef terrestre élu par les
cardinaux du clergé catholique romain et qui reçoit le titre religieux de Pape
soit, le père spirituel supérieur que ses adeptes osent nommer
« Très-saint père » malgré l’interdiction ordonné par Jésus-Christ
dans Matthieu 23:9 : « Et n'appelez personne sur la terre votre père
; car un seul est votre Père, celui qui est dans les cieux. »
Ce remplacement du Christ par le pape est prophétisé dans Daniel 8:11 et
25 : « Elle s'éleva jusqu'au chef de l'armée, lui enleva le sacrifice perpétuel, et renversa le lieu la
base de son sanctuaire…. /…A cause de sa prospérité et du succès de ses ruses,
il aura de l'arrogance dans le cœur, il fera périr beaucoup d'hommes qui
vivaient paisiblement, et il s'élèvera
contre le chef des chefs ; mais il sera brisé, sans l'effort d'aucune main. »
Le terme « perpétuel »
désigne l’intercession céleste que Jésus possède en exclusivité. Sur la terre
les Chrétiens perdent son intercession croyant la trouver dans le pape
terrestre.
En
1170, c’est en traduisant la Bible et en la mettant en pratique
scrupuleusement, que Pierre Vaudès permet au Christ de reprendre momentanément
et exceptionnellement son sacerdoce perpétuel. Car les ténèbres se referment
après lui sur son œuvre et son groupe des Vaudois du Piémont italien. Au XVIème
siècle, des protestants sincères et pacifiques ont pu bénéficier encore
exceptionnellement de sa grâce et de son intercession céleste. Ils ont
bénéficié du progrès technique qui a favorisé, par l’impression littéraire
mécanique, la diffusion de la sainte Bible en diverses langues parlées dans
l’Europe occidentale. L’œuvre de la Réforme ne repose que sur la découverte de
la vérité divine écrite dans la sainte Bible entière que Dieu présente au titre
de ses « deux témoins » dans Apocalypse 11:3 : « Je donnerai à mes deux témoins le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs,
pendant mille deux cent soixante jours. »
Cette
Réforme ne fut que partielle et la gloire de Dieu exigeait une restauration
complète qu’il a imposé par son décret de Daniel 8:14 à partir de la date 1844
que ce verset construisait entre 1816 et 1982. La date construite apparaît aujourd’hui comme
étant l’année 1843.
Aujourd’hui,
Jeudi 20 Mars 2025, c’est le premier jour du printemps et à l’heure où Dieu me
fait rectifier le calendrier de son programme en appliquant le recul de 5
années au lieu de 6 de la date de la naissance de Jésus-Christ, en ce même
jour, à Bruxelles, les dirigeants européens se sont réunis et se sont donné un
délai de 5 ans pour préparer le relèvement de leur force militaire et commerciale.
Ils se donnent jusqu’en 2030, pour réussir leur projet et ne savent pas que
Dieu a pour eux, en 2030, formé le projet de les anéantir tous.
M25- Devenir citoyen du royaume des cieux
Il
y a la théorie et la pratique pour devenir un citoyen du royaume des cieux. En
théorie, les symboles de l’engagement religieux du baptême par immersion
totale, et la participation à la sainte Cène, quand elle est précédée du
lavement des pieds, font d’un racheté, officiellement, un citoyen du royaume
des cieux. Mais qu’en est-il réellement ? La nature de la personne
baptisée est encore très attachée aux valeurs terrestres. Et le symbolisme
du rituel religieux observé n’a que la valeur d’un but à atteindre. Et
selon les personnes et le plus grand nombre, ce but ne sera même jamais
atteint. C’est le cas pour des multitudes de faux chrétiens victimes de la
présomption de la foi. Ils veulent plaire à Dieu sous condition qu’il les
accepte tels qu’ils sont avec leurs défauts de caractère et leurs péchés. Ils
se tranquillisent trompeusement en s’appuyant sur le grand nombre de gens qui
pensent comme eux. Ils ignorent que la
loi du nombre est une valeur humaine et uniquement humaine. Leurs priorités
sont terrestres et aujourd’hui très humanistes. Les mêmes personnes qui
méprisent les valeurs célestes divines, tout en se réclamant de son salut,
sacrifient volontiers les valeurs nationales de leur pays natal. Les valeurs
humanistes écrasent tout, les exigences religieuses, commerciales, politiques,
nationales, car les esprits de ces gens ont été formatés sur le modèle
mondialiste sous lequel ils sont nés, en grande majorité.
Le
changement actuel des relations internationales vient les frapper au foie ou à
l’estomac. Et il faut du temps pour qu’ils réalisent pleinement que le monde
entier se trouve menacé par la guerre. Ceci, parce qu’ils ne se sont en rien
préparé mentalement à cette éventualité. A l’opposé, j’ai pensé voir
s’accomplir la grande Troisième Guerre Mondiale en 1983, puis en 1993 ; et
la voici qui vient en 2025 ou 2026, à cause d’une situation ukrainienne
instaurée en 2022 et d’une situation juive en guerre à Gaza depuis 2023. Ceci,
parce que, comme Habakuk, je veillais sur une « tour de garde » spirituelle. Avant mon baptême, ma lecture de
la sainte Bible entière en 1974 portait déjà ses effets bénéfiques ;
j’attendais le drame final et j’ai pensé devoir le vivre en 1983 et en 1993.
Les gens
devraient comprendre que pour entrer dans le royaume céleste de Dieu, une
préparation spéciale est autant nécessaire que celle à laquelle sont soumis les
cosmonautes pour leurs expériences spatiales. Les deux préparations exigent
beaucoup de la part des candidats. La préparation pour le royaume des cieux
concerne l’esprit des rachetés, alors que la préparation pour l’expérience
spatiale concerne le corps humain et sa résistance physique. Mais dans les deux cas, l’être humain doit
dépasser les limites de sa normalité.
Entre
2025 et 2030, nous allons vivre la leçon enseignée par la parabole des dix
vierges, pour la quatrième et dernière fois. Il est encore temps pour tous les
êtres vivants de se préparer à rencontrer leur Dieu. Et cette préparation est
nécessaire et exigée par Dieu comme le prouve son message imagé dans Apocalypse
19:7-8 : « Réjouissons-nous et
soyons dans l'allégresse, et donnons-lui gloire ; car les noces de l'agneau
sont venues, et son épouse s'est
préparée, et il lui a été donné de se revêtir d'un fin lin, éclatant, pur.
Car le fin lin, ce sont les œuvres justes des saints. »
Relève au passage l’intérêt de retrouver dans ce verset l’expression « justes
des saints » qui authentifie ma rectification donnée à la
traduction de Daniel 8:14 : « Et
il me dit : Jusqu’à soir matin, deux mille trois cent, et sera justifié la sainteté » Ce
verset était traduit avant moi : « Et il me dit : Deux mille trois cents soirs et matins ; puis le sanctuaire sera purifié. »
La
première leçon donnée par Dieu par ces deux messages est la suivante :
Entre 313 et 1843, date de la fin des 2300 années citées, le sanctuaire
religieux que représentait l’Eglise chrétienne était « impur »,
souillé par les péchés instaurés officiellement par le catholicisme romain
devenu papal en 538. Ce sanctuaire représentait le catholicisme et le
protestantisme sorti de lui comme « la terre sort de la mer », dans Genèse 1:9-10 : « Dieu dit : Que les eaux qui sont au-dessous du ciel se rassemblent en un seul
lieu, et que le sec paraisse. Et cela fut ainsi. Dieu appela le sec terre, et il appela l'amas des eaux mers. Dieu vit que cela était bon.
» Les fruits portés successivement par « la mer » symbole du
catholicisme dans Apocalypse 13:1 et par « la terre » symbole
du protestantisme apostat dans Apocalypse 13:11, sont restés « impurs ».
En
1980, Dieu m’a appelé pour clarifier la prophétie restée obscure et incomprise.
En 1991, j’ai présenté officiellement à l’église adventiste du septième jour
locale de Valence, un ouvrage polycopié intitulé « la Révélation de la
Septième heure ». Et ce livre présentait ma nouvelle traduction du texte
de Daniel 8:14 dans laquelle les mots « sainteté justifiée »
remplacent les mots « sanctuaire purifié ». Cette
traduction réelle nouvelle était adaptée pour une présentation à l’église
adventiste du septième jour « sanctifiée », contrairement au
catholicisme et au protestantisme restés « impurs ». Les
destinataires des deux versions n’étaient pas les mêmes. Aussi en rejetant le
message et en radiant de l’œuvre son auteur, l’adventisme du septième jour
officiel a perdu dès 1991 et définitivement en 1994, son statut de « sainteté justifiée
» par la grâce de Jésus-Christ.
En
vérité, le sanctuaire « impur » jusqu’en 1843-1844 est
resté « impur », relayé par la « sainteté »
adventiste à cette date. De même dans l’image symbolique de la « nouvelle
Jérusalem » d’Apocalypse 21, l’église chrétienne a pour fondement
les noms des « douze apôtres » et à partir de 1843, date actuelle du calcul,
l’Elue adventiste est symbolisée par « douze portes » et « perles »
portant les noms des « douze tribus scellées »
d’Apocalypse 7.
Que
peut exiger en priorité le Dieu de vérité de la part de ses rachetés en
Christ ? Qu’ils identifient et honorent sa vérité et qu’ils prennent en
horreur le mensonge comme il le tient en horreur lui-même. Qu’ils prouvent
par leur comportement qu’ils croient à son existence, en obéissant à ses
ordonnances et ses commandements. Qu’ils choisissent le bien et rejettent le mal.
Qu’ils s’intéressent à ces activités et identifient l’accomplissement de ses
annonces prophétisées. Que toutes leurs œuvres témoignent qu’ils sont les
futurs citoyens du royaume céleste éternel de Dieu. Et enfin, que leurs œuvres
témoignent qu’ils sont devenus des citoyens du royaume des cieux en
privilégiant en toute chose le choix céleste, ce qui implique le détachement
envers les valeurs terrestres.
Ce
programme ambitieux élève la valeur du salut payé, par sa douloureuse et atroce
mort, par Jésus-Christ.
Ma
préparation a été longue et progressive. J’ai aujourd’hui 80 ans, bientôt 81,
et je découvre maintenant le fruit porté par cette longue préparation. J’écoute
les informations répétées inlassablement sur les chaînes info télévisées. Et en
entendant répéter en boucles des paroles vaines par des gens qui ignorent le
sort que Dieu leur prépare, je mesure, je savoure mon privilège d’homme préparé
et éclairé par le Dieu créateur tout-puissant. Je loue et bénis le nom de
Jésus-Christ par lequel Dieu m’a arraché à une vie superficielle qui menait à
la mort. La passion musicale a été remplacée par la passion prophétique qui
dirige toutes mes pensées vers le Dieu céleste invisible, mais si puissant dans
son action.
Cette
relation éternelle qui a commencé au jour de mon baptême en 1980, me conduit en
ce jour du printemps de son année 5996 à glorifier et à célébrer dans mon
esprit l’anniversaire de son œuvre de sa création terrestre, aujourd’hui
menacée de grandes destructions et dévastations que je sais inévitables.
Ma
lecture de la Bible entière me permet de retrouver dans les événements
internationaux des reproductions des expériences rapportées dans ses divins
écrits. Je vois les grands de ce monde foncer tout droit dans les pièges que
Dieu et le diable leur tendent, parce qu’ils sont leurs ennemis communs. Le
diable n’aime pas ceux qui lui obéissent comme Dieu peut le faire. Les démons
agissent comme peuvent le faire ceux qui ont déjà tout perdu, excepté le droit
de vivre jusqu’au retour de Jésus-Christ, au printemps 2030 qui vient.
Le
mot « printemps » signifie premier temps
L’étude
de ce sujet est pleine d’enseignements spirituels. Et ce n’est pas sans raison
que ce Jeudi 20 Mars 2025, premier jour du printemps, est choisi par Dieu pour
me donner de nouvelles lumières spirituelles. Observons la terre sur le plan
astronomique. Le printemps est causé par l’inclinaison de 23,5 degrés de l’axe
de la terre qui passe par ses deux pôles Nord et Sud.
Au
début de la création terrestre, avant le péché commis par Adam et Eve, la terre
tournait sur son axe parfaitement perpendiculaire ce qui donnait à la nuit et
au jour, une rigoureuse exacte longueur ; cette égalité était l’image de
la neutralité de la vie terrestre, créée par le Dieu créateur pour régler le problème
du péché produit par le libre choix donné à ses créatures célestes. Et le même
libre choix a été donné ensuite à l’homme et la femme créées par Dieu au
sixième jour. Nous pouvons alors comprendre ce qui est arrivé quand Eve, se
retrouvant momentanément seule, est interpelée par le diable qui lui parle en
utilisant le serpent, comme un médium occulte, devin ou astrologue, le fait
aujourd’hui.
Eve
est séduite par la beauté et l’apparente intelligence de cet animal visiblement
supérieur, puisqu’il parle. Dans sa pensée, se forme l’idée que Dieu l’a trompé
et que son avertissement de peine de mort, si elle ou son époux Adam mange du
fruit interdit, a simplement le but de leur faire peur pour les priver d’un don
supérieur. C’est ce que suggère, les paroles dites par le serpent selon Genèse
3:1 et 4-5 : « Le serpent était
le plus rusé de tous les animaux des champs, que YaHWéH Dieu avait faits. Il
dit à la femme : Dieu a-t-il réellement dit : Vous ne mangerez pas de tous les
arbres du jardin ? …/…Alors le serpent
dit à la femme : Vous ne mourrez point ; mais Dieu sait que, le jour où vous en
mangerez, vos yeux s'ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant
le bien et le mal. » Alors au moment même où Eve porte le fruit à sa
bouche, l’axe de la terre chute et s’incline de 23,5 degrés. Cette chute
terrestre témoigne de la chute spirituelle d’Eve, puis d’Adam qui l’imita parce
qu’il préférait mourir avec son épouse, à cause de l’amour passionnel qu’il
éprouvait pour elle. Le péché fut donc la cause de la perte de la neutralité
printanière. En péchant contre Dieu, Adam et Eve ont épousé la cause du
diable ; ils n’étaient plus neutres mais passés à l’ennemi. Se découvrant
nus et éprouvant pour cela de la honte, ils ont témoigné qu’un grand changement
s’était produit en eux. Cette réaction de honte témoignait qu’ils avaient
maintenant en eux la connaissance du bien et du mal. Avec la perte de
l’équinoxe toute l’année, la terre entière a été maudite et touchée par le
processus de la mort. Mais rien n’était encore visible pour eux. Leur tragique
situation, devenue nôtre, leur a été présentée par Dieu lui-même dans une scène
de jugement décrite dans Genèse 3:8 à 24. Mais dans le verset 21 nous
lisons : « YaHWéH Dieu fit à
Adam et à sa femme des habits de peau, et il les en revêtit. » La
compassion de Dieu pour ses faibles créatures humaines prophétise, par « des habits de peaux », la
couverture de la justice qui est imputée, au nom de Jésus-Christ, aux seuls
vrais élus qui produisent le fruit de la repentance.
Ainsi
chaque année, une fraction de seconde, durée réelle d’un équinoxe du printemps
et de l’automne, vient rappeler aux êtres humains, le péché qui a causé la
perte de leur innocente neutralité et les a rendus dignes de la mort. Le péché
est consommé, le cycle des saisons s’enclenche par le basculement de l’axe
terrestre et le jour augmente au dépend de la nuit ; puis arrivé au
solstice de l’été, le processus s’inverse, passe par l’équinoxe de l’automne et
se prolonge jusqu’au solstice de l’hiver après lequel la nuit se raccourcit au
bénéfice du jour qui croît jusqu’au nouvel équinoxe du printemps.
Les
deux solstices de l’été et de l’hiver symbolisent la vie maximale et la mort
maximale qui sont les témoins des deux offres que Dieu présente au pécheur
humain, selon Deutéronome 30:19 : « J'en prends aujourd'hui à témoin
contre vous le ciel et la terre :
j'ai mis devant toi la vie et la mort,
la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta
postérité, »
Renseignements
pris, cette année sous le méridien de Greenwich, l’équinoxe est passé à 9
heures 01 minute 30 secondes GMT soit, à l’heure où Jésus-Christ a reçu dans
ses poignets et ses pieds les clous acérés qui ont percé sa chair pour le
clouer sur « le patibulum et le stipes » de sa croix, pour sa
crucifixion douloureuse et atroce. Je relie ce message avec celui de la « sixième
trompette » d’Apocalypse 9:11 à 21 qui cible la zone géographique du
camp de l’U.E. regroupant les « dix
cornes » citées dans Daniel et Apocalypse, et symbolisées dans
Apocalypse 9:14, par « le grand
fleuve Euphrate » ciblé par la colère de Dieu : « et disant au sixième ange qui avait la
trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve
d'Euphrate. »
Ce
message est précédé, au verset 11 et 12, par la mise en scène du Christ
intercesseur dont les ordres produisent l’effet cité au verset 15 :
« Et les quatre anges qui étaient
prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. »
La mort ainsi ordonnée est la conséquence de la colère que Dieu porte sur
l’Europe occidentale qui méprise la valeur de sa mort, en sacrifice volontaire
expiatoire. Ayant méprisé l’offre et les conditions de la vie, l’Europe
faussement chrétienne est livrée à la destruction et la mort. Et le nom
Euphrate qui lui est symboliquement attribué révèle sa soumission à « Babylone
la Grande » soit, la Rome papale dont le nom Rome a été donné aux
deux « traités » sous lesquels son Union a été officiellement
construite.
Ce
jour du printemps est marqué par une intensification de la tension qui oppose
l’Europe Unie occidentale, lâchée par les USA, à la Russie. S’accusant
mutuellement, les deux camps se préparent pour la guerre. J’entends sur les
ondes les Européens annoncer qu’ils se donnent jusqu’à 2030 pour se préparer. Et
en ce même jour des menaces de mort adressées à la France arrivent de
l’Algérie, disant : « l’heure est arrivée de faire payer la
France ! »
La
question se pose : comment les Européens peuvent-ils croire que la Russie
va attendre qu’ils soient prêts pour les attaquer ? Le piège de leur
longue insouciance et aveuglement coupable se referme sur eux. Dieu les livre à
leurs ennemis, comme il l’a fait tant de fois pour son peuple Israël dans
l’ancienne alliance, jusqu’à sa destruction par les Romains en l’an 70,
conformément à la prophétie de Daniel 9:26 : « Après les soixante-deux semaines, un Oint sera retranché, et il n'aura pas
de successeur personne pour lui.
Le peuple d'un chef qui viendra détruira
la ville et le sanctuaire la
sainteté, et sa fin arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que
les dévastations dureront jusqu'au terme de la guerre. »
Dieu
ne bénit le premier temps qu’au titre de première saison. Car paradoxalement,
il fait dire par Salomon dans Ecclésiaste 7:8 : « mieux vaut la fin d’une chose que son
commencement ; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. »
Ces paroles exaltent la longue expérience qui permet à l’esprit hautain de
devenir un esprit patient. Dieu dirige les regards humains sur la fin de
l’histoire terrestre, bien préférable à ses commencements marqués par le péché
et ses conséquences. Car la fin, c’est l’heure du « jugement » et de la « récompense »
des saints élus rachetés comme Apocalypse 11:18 le prophétise : « Les nations se sont irritées ; et ta colère
est venue, et le temps est venu de juger
les morts, de récompenser tes serviteurs
les prophètes, les saints et ceux qui craignent ton nom, les petits et les
grands, et de détruire ceux qui détruisent la terre. »
Si
Dieu place le printemps en première saison, c’est parce que ses conditions
équinoxes sont conformes à celles de la terre originellement pure de tout
péché. L’organisation par Dieu de la semaine de sept jours exprime la mise en
œuvre du principe cité par Salomon : « la fin d’une chose vaut mieux que son commencement ; …»
Qui peut contester le fait que « mille
ans » de vie céleste est meilleur que 6000 ans sur la terre du
péché ? Psaumes 84:10 répond : « Mieux vaut un jour dans tes
parvis que mille ailleurs ;
je préfère me tenir sur le seuil de la maison de mon Dieu, plutôt que d'habiter
sous les tentes de la méchanceté. »
Dieu
a gravé dans la vie humaine, depuis la première semaine de la création du
monde, la prophétie du « septième millénaire » céleste
en « sanctifiant » le « septième jour » de
la semaine par le repos mental et physique. Dieu ne donne pas sa lumière aux
pourceaux et il le prouve en ayant masqué le vrai sens du sabbat qu’il a caché
sous son rôle de mémorial de son œuvre créative du commencement. Il a
jalousement gardé secrète cette vérité révélée à ses derniers serviteurs
adventistes comme un signe qui concrétise le dernier « témoignage
de Jésus ».
Au
printemps 2018, la découverte du calendrier juif présentant la semaine pascale
du mois d’Avril 30, a permis d’établir la date du retour de notre Sauveur
Jésus-Christ prévue pour le printemps 2030 dont le premier jour soit, le 20
Mars, marquera le premier jour du septième millénaire céleste pour les seuls
élus reconnus et rachetés par Jésus-Christ ; soit, l’an 6001 du calendrier
de Dieu.
On
donne au printemps le nom de « renouveau ». Ce critère marque les
deux venues du Messie Jésus. Dans son ministère terrestre vécu entre les années
31 et 35 du vrai temps divin a instauré les bases du « renouveau »
spirituel que constitue la nouvelle alliance dont l’élément principal est
l’offrande de son sang humain venu remplacer et valider le sang animal qui le
symbolisait et le prophétisait jusqu’à lui. Puis, au printemps 2030, il
reviendra pour apporter le « renouveau » spirituel d’un corps et
d’une vie céleste offerts à ses élus rachetés.
Prophétisant
le temps de ce « renouveau », le sabbat instaure le repos de l’âme,
après 6000 ans de travail éreintant à cause du péché.
Le
« renouveau » prend aussi une forme politique internationale en ce
jour du printemps 2025, et je rappelle que c’est seulement aujourd’hui que nous
entrons dans la fausse année 2025 marquée par cette saison du printemps. Car
cette année 2025 est réellement l’année 5996 du calendrier ascendant compté par
le grand Dieu créateur ; et depuis la mort de Jésus-Christ en l’an 4001,
l’année 1996. La grande destruction nucléaire est pour l’année 2028 ; ou
5999 ; ou 1999.
La
perception du septième millénaire était invisible avant mon témoignage. Car après
quelques pionniers adventistes du XIXème, j’ai été dans le XXème
siècle le premier adventiste du septième jour convaincu que le temps terrestre était limité à 6000
années ; et je précise que j’avais en moi cette conviction bien
avant ma rencontre avec l’église adventiste. Cette idée était tellement
naturelle pour moi que la confirmation donnée par Ellen White dans sa
« Tragédie des Siècles » ne m’a pas étonné. J’avais évoqué
l’expression « six mille ans » dans le chant intitulé « On ne
croit plus en rien » que j’ai composé et écrit en 1974, alors que j’étais
musicien guitariste chanteur dans un cabaret, au Havre ; un chant que tu
peux retrouver sur le site « retourjc2030.com » avec d’autres chants
et documents. Les derniers 4 mois de 1974, de retour à Valence, j’ai entrepris
la lecture complète de la sainte Bible m’attardant sur le livre Apocalypse. Et
au printemps 1975, le Dieu lumière m’a annoncé en image dans une vision son
appel pour ma mission prophétique. En 1980, mon baptême adventiste du septième
jour scellait la vision après deux présentations de la « Tragédie des
Siècles » au cours de l’année 1979.
Le
« renouveau » de la lumière exige une outre neuve capable de porter
le vin nouveau. J’avais cette caractéristique ayant été préparé par Dieu pour
cette mission prophétique. Et comme au temps des Juifs de l’ancienne alliance,
comme le dit Jean 1:5 : « la
lumière luit dans les ténèbres mais les ténèbres ne l’ont point reçue ».
Aussi, de même que Dieu a mis fin à son alliance avec les Juifs nationaux en
l’an 33, selon Daniel 9:25, il a mis fin à son alliance avec l’adventisme
institutionnel, après 1991, en 1994 selon Apocalypse 9:5-10.
Dans
sa sainte Bible, Dieu a donné les avertissements qui justifient sa condamnation
des gens qui n’en tiennent pas compte. Je cite Matthieu 24 :
Verset
42 : « Veillez donc, puisque
vous ne savez pas quel jour votre Seigneur viendra vient. »
Verset
43 : « Sachez-le bien, si le
maître de la maison savait à quelle veille de la nuit le voleur doit venir, il
veillerait et ne laisserait pas percer sa maison. »
Verset
44 : « C'est pourquoi, vous
aussi, tenez-vous prêts, car le Fils de l'homme viendra vient à l'heure
où vous n'y penserez pensez pas. »
La
lumière donnée en 2018 par Jésus-Christ confirme ce message. Car la date du
vrai retour de Jésus ne repose pas sur une donnée biblique chiffrée mais sur la
découverte d’un calendrier juif et ce que sa datation du 3 Avril 30 implique
par déduction.
Verset
45 : « Quel est donc le
serviteur fidèle et prudent, que son
maître a établi sur ses gens, pour leur donner la nourriture au temps
convenable ? »
Cette
précision soulignée en gras rend toute mystification impossible. La qualité de
la nourriture donnée l’atteste. Le « temps
convenable » désigne l’attente adventiste que le verset 46 qui
suit confirme en disant « à son arrivée ».
Verset
46 : « Heureux ce serviteur,
que son maître, à son arrivée, trouvera faisant ainsi ! »
Verset
47 : « Je vous le dis en vérité,
il l'établira sur tous ses biens. »
Ceci
est la part réservée au bon serviteur …
Verset
48 : « Mais, si c'est un
méchant serviteur, qui dise en lui-même : Mon maître tarde à venir, »
Cette
méchanceté est ressentie en premier par Dieu qui sonde les pensées les reins et
les cœurs. L’expression « Mon maître
tarde à venir » résume le fruit de l’impatience humaine des êtres
méchants. On ne trouve chez ces gens aucun besoin de comprendre les désirs de
Dieu et ses Révélations.
Verset
49 : « s'il se met à battre ses
compagnons, s'il mange et boit avec les ivrognes, »
Mon
frère en Christ Joël a été témoin d’une bagarre entre des adventistes irrités,
dans l’église de Valence, un jour de sabbat après ma radiation.
Ces
« ivrognes s’enivrent du vin
d’impudicité de Babylone la Grande ».
Dieu désigne ainsi les Catholiques, et les apostats protestants et depuis 1994,
les adventistes qui les ont rejoints, selon Apocalypse 17:2 : « C'est avec elle que les rois de la terre se
sont livrés à l'impudicité, et c'est du vin de son impudicité que les habitants
de la terre se sont enivrés. »
Verset
50 : « le maître de ce
serviteur viendra le jour où il ne s'y attend pas et à l'heure qu'il ne connaît
pas, »
Ce
sort est réservé aux apostats protestants selon Apocalypse 3:3 : « Rappelle-toi donc comment tu as reçu et
entendu, et garde et repens-toi. Si tu ne veilles pas, je viendrai comme un
voleur, et tu ne sauras pas à quelle heure je viendrai sur toi. » ;
Ces Protestants apostats sont rejoints par les adventistes apostats après 1994.
Verset
51 : « il le mettra en pièces,
et lui donnera sa part avec les hypocrites
: c'est là qu'il y aura des pleurs et des grincements de dents. »
Dans
ce verset, le mot « hypocrites » désigne comme dans
Daniel 11:34 les ligues catholiques et protestantes armées : « Dans le temps où ils succomberont, ils
seront un peu secourus, et plusieurs
se joindront à eux par hypocrisie. »
Le « secours » cité
repose sur l’usage des armes par des protestants qui luttent contre les ligues
catholiques meurtrières. Sous ce mot « hypocrite » Dieu
désigne tous les faux chrétiens qui ne tiennent pas compte de ses ordres, car
ils ne l’aiment pas et ils le prouvent par leurs œuvres.
M26- La ruine avant la mort
Dieu
dispose de multiples moyens de nuire à ses ennemis terrestres, et nous avons
déjà subi l’un d’eux sous l’aspect du Virus Covid-19 apparu en Chine en 2019,
et en Europe ainsi que dans le reste du monde en 2020.
Le
climat est aussi entre ses mains et sa volonté, une arme redoutable. Et
l’actuel dérèglement des températures relevées en divers lieux de la terre en
est l’exemple parfait. Le désordre et le chaos sont les signes extérieurs de
son courroux et de l’approche de la limite de sa divine longue patience. Les
grands glaciers fondent de plus en plus vite et les humains s’angoissent à la
pensée de ne plus obtenir des rivières utiles pour arroser les cultures et
permettre à des poissons et d’autres créatures aquatiques de vivre. Des lacs se
rétrécissent et disparaissent progressivement. Par ces choses, Dieu annonce
l’approche de la fin de la vie sur la terre.
La
fausse religion chrétienne dite « catholique romaine » a changé son
langage depuis que, contrainte et forcée par la ruine que lui a imposée la
Révolution française, elle évoque le « bon Dieu » que la colère
humaine invoque souvent indignement…en imprécation injurieuse. Ainsi, après
avoir été, selon elle, inspirée par lui de manière infaillible, et avoir ainsi
torturé à mort toute personne osant la contredire, ce même « Dieu »
est soudainement devenu « le bon Dieu » qui pardonne tout et de
préférence à prix d’argent s’il vous plaît.
La
vérité concernant Dieu est bien différente. Il est parfaitement amour et
parfaitement justice de manière perpétuelle et éternelle. Son amour a été
démontré et sublimé par son incarnation en Jésus-Christ, le messie terrestre
qui a offert sa vie pour le rachat des péchés de ses seuls vrais élus.
Sa justice a été elle aussi démontrée par les châtiments infligés à son Israël
souvent rebelle, au cours du temps de l’ancienne alliance. Mais subitement, dès
l’entrée dans la nouvelle alliance, les Chrétiens ne voient plus la justice de
Dieu qui pourtant se prolonge de la même manière qu’elle le faisait envers les
Juifs rebelles.
Cette
nouvelle manière de présenter Dieu uniquement sous son caractère amour,
explique le comportement des chrétiens protestants. Je ne parle pas des gens
qui héritent de la religion protestante mais de ceux qui la choisissent et
l’adoptent par leur libre décision. Le Dieu que les pasteurs leur ont présenté
est à l’image de la France humaniste qui supporte toutes les injures et les
vexations sans réagir. Le Dieu que ces gens construisent dans leur esprit est à
l’image du Christ ensanglanté cloué sur sa croix après avoir subi une terrible
flagellation par trois lanières de cuir au bout desquelles des crochets
métalliques étaient fixés pour déchirer la peau du supplicié. Les multitudes
chrétiennes sont restées sur cette image du Christ pacifique, faible et
agonisant.
En
plein paradoxe, alors qu’ils célèbrent le jour de sa résurrection, chaque
dimanche en observant le jour du repos instauré par l’empereur Constantin 1er,
ces gens semblent oublier que Jésus s’est lui-même ressuscité apparaissant à
ses disciples le premier jour de la semaine qui a succédé aux deux sabbats de
la semaine pascale. Car le Jésus qui leur est apparu, portait encore les
stigmates de sa crucifixion, mais il avait un corps glorifié sans trace de sang ;
un corps physique qui pouvait apparaître et disparaître subitement au gré de sa
seule volonté. Ce Jésus renouvelé était Micaël, le grand YaHWéH, le Dieu
créateur. Son corps n’avait plus rien pour épouvanter, comme les visions de
Daniel 10 et Apocalypse 1 le décrivent ; « un corps brillant comme la lumière du soleil, des pieds comme de
l’airain embrasé, des yeux comme des flammes de feu ». Ces images
terrifiantes ne sont que symboliques. Dieu est en Christ, redoutable, non par
son aspect visuel, mais par sa puissance active. Il a créé le ciel et la terre,
et tout ce qui s’y trouve, il y a de cela, 5996 années. Ainsi, poursuivant les
Hébreux sortis de l’esclavage égyptien, Pharaon, les chars égyptiens et leurs
cavaliers furent retenus momentanément par un grand feu qui descendait du ciel,
mais ce ne fut pas par ce feu qu’ils furent détruits ; c’est par les eaux
de la Mer Rouge qui se refermèrent sur eux qu’ils furent noyés et périrent.
Ce
témoignage suscite cette question : Comment après avoir vu ce feu du ciel,
ces gens ont pu s’engager dans un chemin séché creusé dans l’eau par Dieu
devant eux ? Cet exemple est très utile pour comprendre qu’ils ont été
aveuglés par Dieu qui avait résolu de les exterminer.
Comme
les Egyptiens de cet exemple, aujourd’hui nous voyons des dirigeants, des chefs
d’Etats, des ministres, des députés, des hommes politiques, des journalistes,
tenir des propos déraisonnables, parce qu’ils sont aveuglés par Dieu comme les
Egyptiens de l’Exode. Ainsi, le témoignage de l’expérience des Egyptiens
constitue pour moi la preuve absolue de l’accomplissement du projet de Dieu
concernant les rebelles de mon époque.
Aujourd’hui,
Vendredi 21 Mars 2025, les médias européens apprennent horrifiés qu’aux USA,
Donald Trump signe un décret par lequel il ferme et supprime le ministère de
l’enseignement. Ainsi avant la ruine et la mort, Dieu attaque la norme
politique qui a caractérisé les démocraties occidentales jusqu’à ce jour. Déjà
le président Milei prenant en main une tronçonneuse a supprimé dans son pays l’Argentine,
beaucoup de ministères qu’il tenait pour inutiles. A son tour, le président des
USA veut tailler et réduire les dépenses des Etats-Unis et commence par le
ministère de l’éducation scolaire. Son but est de faire disparaître toute trace
de la pensée Woke qui a remis en question les valeurs religieuses américaines.
Les Français laïques et pour beaucoup, incroyants, n’en reviennent pas d’un tel
changement. Ce qu’ils ne comprennent pas, c’est qu’avant de les ruiner et les
détruire, Dieu attaque leurs valeurs démocratiques auxquelles ils sont très
attachés, convaincus que la longue paix maintenue en Europe depuis 1945 est due
à ces valeurs démocratiques.
Cependant
imperturbablement, aux USA, l’instrument utilisé par Dieu attaque, les uns
après les autres, tous les sujets sociaux créés par la liberté outrancière des
mœurs. Les aides contre le « sida » sont supprimées. Comment ne pas
voir là, l’action du Dieu qui condamne les pratiques homosexuelles de la
sodomie et autres pires perversions commises avec des animaux ? Visiblement,
la religion reprend les rennes du pays parti en dérive. Et cette religion est
celle du protestantisme évangélique qui soutient inconditionnellement Israël
contre les palestiniens arabes musulmans. C’est aussi celle qui livre l’Europe
à la Russie en lui refusant son soutien militaire. L’océan Atlantique se creuse
et prend la forme d’un abîme qui deviendra bientôt infranchissable tant les
idées européennes sont opposées aux idées des nouveaux Etats-Unis d’Amérique de
Donald Trump.
Cette
nouvelle situation oppose deux types de civilisations inconciliables que
l’histoire religieuse a construites. Le nouveau pouvoir est à l’image de la
religion protestante calviniste qui, la sainte Bible en main, sanctionne et
punit tous les hommes qui contestent son autorité. Jean Calvin revit dans cette
nouvelle Amérique religieusement amère et autoritaire. Mais ces excès sont
devenus nécessaires tant l’abus de liberté a perverti le pays entier. Seul le
changement permet de régler les problèmes créés par les excès.
A
l’opposé de ce modèle, l’Europe refuse tout changement et pense conserver son
autorité, que par ce moyen qui favorise la pensée unique. Ainsi paradoxalement,
revendiquant le nom démocratie, l’Europe impose une règle qui restreint et
empêche tous les changements rendus nécessaires par l’évolution de la situation
internationale et nationale. Ce comportement reproduit celui des Juifs que
Jésus-Christ a rencontré pour leur offrir les conditions de sa nouvelle
alliance. Le changement a été refusé parce qu’il a été considéré comme un
danger mortel pour la nation juive et les normes et rites de son ancienne
alliance. En premier, l’apôtre Paul a réagi de cette manière, et avant de le
juger, lui et ses frères et sœurs nationaux, nous pouvons comprendre cette
légitime crainte. Ceci d’autant plus, que Jésus n’est pas venu sur terre pour
convertir à tout prix les êtres humains, parce qu’il est simplement venu
chercher des brebis qui lui ressemblent et sont prêtes à apprécier et adopter
ses valeurs amour et justice. En dépit des apparences, Saul de Tarse était de
ce nombre dans son zèle aveugle. Dieu connaissait son cœur et il en a fait un
persécuteur de son Elue chrétienne pour donner de la force à cette doctrine
nouvelle par sa propre conversion chrétienne. Son témoignage était d’autant plus
puissant qu’il était reconnu comme un homme qui connaissait parfaitement la loi
divine. Il était donc le meilleur agent pour présenter avec l’Esprit saint de
Jésus-Christ tous les arguments bibliques qui justifient le projet salvateur
préparé par Dieu et accompli par Jésus-Christ. Sa création de nombreuses églises
chrétiennes dans l’actuelle Turquie a témoigné de son efficacité.
Hélas
pour l’Europe, un tel homme n’existe pas aujourd’hui pour convertir à la
sagesse divine les esprits fermés et bloqués des Européens. A l’opposé des USA,
où Donald Trump casse les lois et les règles qui ont prévalu jusqu’à sa seconde
élection, les dirigeants européens s’accrochent désespérément à la défense de
leurs principes légaux. Et l’engagement pour la cause de l’Ukraine a été la
conséquence directe de cette priorité donnée à la loi qui ne doit être changée
à aucun prix. Les 80 années de paix européenne ont conditionné les esprits des Européens
et leur ont fait croire que la stabilité des accords et des traités étaient la
cause du maintien de cette paix. En France, ils n’ont réussi, en vérité, qu’à
museler les mécontentements des électeurs, ce qui explique l’éclatement des
partis politiques et leurs profondes divisions qui sont apparues à l’occasion
des élections successives européennes et législatives faites en 2024.
Assis
sur un baril de poudre, le président Macron joue la carte de la peur, en
agitant le risque d’une guerre menée contre la France ou l’Europe par la
Russie. Le pompier incendiaire place ses contrats contre l’incendie.
Se
sentant lâchés par les USA les nations européennes s’affolent et redoutent une
agression russe et la situation exige un réarmement impossible à réaliser dans
un délai court immédiat. C’est pourquoi, les avis commencent à les diviser et
l’Italie refuse le réarmement, invoquant le fait que ce gaspillage de crédit
nuit aux besoins actuels de sa nation. Avec les mêmes besoins, les Français
réagissent différemment entraînés pour le pire par le jeune président
autoritaire Macron. Dans l’actualité, des échanges médiatisés entre la Russie
et la France deviennent de plus en plus menaçants. Il en est de même des
échanges entre la France et les USA. Le vice président Vance et le président
Trump s’accordent pour juger « parasites » les Européens.
Pourtant,
tout l’Occident subit aujourd’hui la crise provoquée par le libéralisme
capitaliste imposé comme modèle par les USA à tous leurs alliés depuis 1945,
jusqu’au président Trump. En arrivant au pouvoir national, les défenseurs du
capitalisme libéral découvrent que leur système crée des archi-milliardaires
mais ruine la gestion de l’Etat. C’est en ce sens que se confirment mes propos
par lesquels je considère que ce que la crise économique que nous vivons aux
USA et en Europe est une crise du système capitaliste libéral dont les
conséquences mondiales sont énormes et dépassent celles de l’écroulement du
régime soviétique des années 1990.
En
Arabie, les rencontres russes et ukrainiennes organisées par les USA se
prolongent et les avis mondiaux se partagent entre l’espoir et l’échec.
Aujourd’hui,
le Jeudi 27 Mars 2025, le président Macron réunit à Paris ses homologues
européens en vue de préparer la sécurité de l’Ukraine après un accord de paix
préalable. L’insistance de ce président français à défendre la cause de
l’Ukraine provoque la colère des Russes qui font de lui ouvertement la cible de
leur menace. La stratégie de la Troisième Guerre Mondiale qui vient est donc
confirmée et nous savons maintenant pourquoi les choses vont se passer de cette
manière. Se mettant en tête des pays européens pour défendre l’Ukraine, le
jeune et ambitieux, orgueilleux, caractériel et vindicatif, Macron prépare le
sort tragique de sa capitale Paris qu’une chaine info évoque aujourd’hui sous
un bandeau portant l’inscription : « Paris, la ville anti-Poutine ».
Nul doute que ce jeune homme orgueilleux et frustré par son échec national
cherche à se relever sur le plan européen international. Son animosité contre
la Russie est partagée par des générations de gens trop jeunes ayant pris le
train de la vie politique en marche. Une grande majorité d’entre eux est née
dans l’Europe unie sous son label U.E. Ces gens n’ont entendu parler de la
Russie que comme un peuple sous-développé dont le régime communiste s’est
écroulé en 1989. Ils ont longtemps ignoré les clauses du partage de Yalta de
1945, et beaucoup les ignorent encore. En conséquence, étant nés sous le régime
européen prospère, ils ne peuvent qu’approuver le jugement porté par un homme
de leur âge et de leur expérience. Jeune président lors de son mandat, Nicolas
Sarkozy a appris qui était Vladimir Poutine le nouveau « Tsar » de la
Russie et n’a pas caché que selon lui, l’idée de recevoir l’Ukraine dans l’OTAN
n’était pas réaliste pas plus que de l’accueillir dans l’U.E. Ceci explique
qu’après lui, l’élection d’un président socialiste François Hollande a détourné
l’attention de la Russie en imposant son abominable mariage pour tous. Et c’est
lui qui a mis en selle, comme ministre, le jeune Emmanuel Macron que Dieu a
imposé aux Français dans deux élections présidentielles successives. Son
caractère autoritaire, entêté et borné, fait de lui l’homme qui devait attirer
la colère russe sur la France républicaine et laïque. Les jours de Paris, reine
du monde, sont comptés. Le feu nucléaire russe la détruira en milieu de nuit,
pendant que ses habitants dormiront aussi paisiblement que le contexte du
moment le permettra. Le président Macron veut les lauriers de la gloire mais ne
veut pas porter seul les conséquences de ses décisions. C’est ce qui apparaît
dans ses propos et ses actions contradictoires. « La Russie ne doit pas
gagner » ; « il ne faut pas humilier la Russie » ; un
pas en avant et deux pas en arrière quand le risque devient trop grand, c’est
tout le « en même temps » du président Macron. Mais son comportement
agace la Russie, car il ranime le feu de la témérité quand ses partenaires
semblent se décourager. Il apporte son soutien aux pays les plus haineux des
Russes ; paradoxalement des pays anciennement russes tels que les pays Baltes,
petits mais hargneux comme des teignes à l’image de l’Ukraine.
Le
piège tendu à l’U.E. devient évident. Ils paient leur accueil des ces pays qui
étaient sous le joug de la Russie soviétique. La Pologne fut prise en dommage
de guerre en 1945, contrairement aux autres pays qui étaient depuis longtemps
dans l’empire Russe. Ainsi, ces pays entrés dans l’Europe et l’OTAN ont apporté
dans l’U.E. leur haine de la Russie. Et sans intelligence, les Européens
soutiennent ceux qui ont apporté la peste dans l’Europe, que la guerre menée,
par les Russes et leurs alliés, va bientôt dévaster.
Les
réunions se succèdent à Paris et en d’autres villes, ensemble on se sent fort
et puissant ; mais on est ruiné dans tous les pays et particulièrement en
France. Les deux années frappées par le Covid-19 ont épuisé la prospérité et
seul l’endettement a permis de surnager au naufrage. De son côté, préparée par
Dieu pour son œuvre destructrice, la Russie de l’Esclavonie a méticuleusement
et sans répit produit des armes, des bombes terrifiantes et maintenant des
drones copiés sur le modèle iranien, son premier fournisseur de drones.
Selon
le bon vieux principe capitaliste, l’argent achète tout, même les âmes
humaines. Dans ce tout il y a le pouvoir, la domination sur les autres peuples ;
alors quand il n’y a plus d’argent ou pas assez, le pouvoir est perdu ainsi que
la domination, la gloire, l’honneur, et la force ; le vainqueur se
retrouve vaincu.
Je
relève en cette soirée du 27 Mars 2025, une information qui révèle que Vladimir
Poutine dénonce la militarisation de l’île Mayotte. Il se peut que cette
annonce nous donne la cause des attaques menées par le « roi du midi » contre l’Europe
catholique papale, dans Daniel 11:40. Le président russe soulève là, un sujet
qui met la France en accusation de non respect des règles internationales
définies par l’ONU. Car, pour garder Mayotte en sa propriété, la France n’a
tenu aucun compte des résolutions onusiennes votées et imposées lors de l’offre
de liberté et d’indépendance proposée aux 4 îles de l’archipel des Comores
situé entre l’Afrique et l’île de Madagascar. Le résultat du vote proposé était
selon l’ONU, indivisible. L’archipel des Comores était considéré comme une
nation composée de quatre îles. Or, en 1974, seuls, les Comoriens de l’île de Mayotte
ont voté pour rester attachés à la France ; les trois autres ayant voté et
choisi leur complète indépendance. En ne respectant pas les clauses
préalablement prévues pour ce vote, la France s’est mise en situation de non
respect du droit international onusien. En fait, elle a fait à Mayotte,
ce que la Russie a fait en Crimée en 2014. Le président russe tient dans
cette affaire un solide argument contre la France qui condamne son annexion de
la Crimée soutenue en 2014 par un vote exprimé par les habitants locaux.
Vladimir Poutine dispose donc du moyen d’enflammer la colère des Comoriens,
tous musulmans. Et cette colère ne peut qu’être partagée par les autres peuples
musulmans déjà remplis de haine contre la France longtemps coloniale. Mayotte signifie
dans la langue arabe : « mort ». Cette île de la « mort »
peut donc devenir idéalement l’étincelle du feu qui va frapper de « mort »,
la nation haïe française et ses partenaires « concurrents » de l’U.E.
Par
son accusation au sujet de Mayotte, le président Poutine allume un feu de
diversion qui favorisera, en « roi du septentrion », son
invasion des terres de l’Europe occidentale. Le « heurt » prophétisé
qui désigne l’attaque du « roi du midi » est encore plus
justifié, puisque Mayotte est non seulement proche de la France, mais porte le
statut de département français et de région ultrapériphérique européenne. En
fait, étant indivisibles légalement, trois îles des Comores sont frustrées de
leur droit sur l’île Mayotte. Le sujet est grave, parce que dans cette affaire,
la France est en faute et a imposé son choix au nom de la loi du plus fort ; soit, ce que la France
reproche à l’action actuelle de la Russie. Ce sujet de Mayotte est d’autant
plus stratégique pour la Russie qu’elle est présente dans le canal du Mozambique
et soutien la cause des îles comoriennes. En ce même jour, le président russe,
que le camp occidental veut boycotter et isoler, rappelle qu’il a dans le monde
de nombreux amis, ce qui est exact. Alors qui est aujourd’hui, le plus isolé,
la Russie ou l’Union Européenne lâchée même par les USA ?
Le
Dieu créateur ne se contente pas d’imposer sa justice et ses châtiments ;
il dénonce avant cela, la culpabilité de la cible de sa colère, de manière
concrète irréfutable. Et la chose étant ignorée par la majorité des jeunes gens
français actuels, je le rappelle, déjà, pour empêcher les islamistes du FIS
algérien vainqueur aux élections du pays, la France a demandé aux autorités FLN
du gouvernement algérien de ne pas reconnaître ce résultat électoral.
Le
comportement des Français confirme leur incapacité à reconnaître leurs propres
fautes et comme les faux chrétiens ils pratiquent l’autojustification qui
irrite terriblement le Dieu créateur. Et cette incapacité de juger en toute
justice apparaît également au sujet de la guerre en Ukraine, car ils se font
laver le cerveau par des jeunes femmes ukrainiennes qui viennent sur les
plateaux des télévisions se plaindre de l’invasion russe de leur pays, sans
rappeler que des Russes civils étaient persécutés et tués en Ukraine, depuis le
putsch de Maïdan, à Kiev en 2013, par des nazis du groupe Azov soit, avant
cette intervention de la Russie de 2014 et 2022.
Après
« le mariage pour tous », Dieu présente sa réponse : « la
ruine pour tous ». Et c’est pour l’imposer à tous qu’il a fait élire
président des USA, Donald Trump (sa trompette),
dont l’aigreur construite par sa mise à l’écart momentanée et son humiliation l’a
préparé pour appliquer des mesures hostiles sans sourcilier. Sa décision
d’imposer 25%, sur tous les produits importés va porter la ruine à son apogée
pour tous les pays dits jusque-là, « riches ».
M27- Le piège prophétique
Le
grand Dieu créateur manipule toutes ses créatures et c’est bien son droit de le
faire. Il revendique être l’auteur du bien et du mal dans la mesure où il
inflige aux rebelles des maux. Il peut donc faire « du » mal et en
aucun cas, « le » mal. Il est source du bien qu’il représente dans
toute sa divinité.
Je
lis dans Deutéronome 29:29 : « Les
choses cachées sont à YaHWéH, notre Dieu ; les
choses révélées sont à nous et à nos enfants, à perpétuité, afin que nous
mettions en pratique toutes les paroles de cette loi. »
« La parole de Dieu est comme une épée à
double tranchant », mais aussi comme une pièce de monnaie pourvue de
deux faces. Bien comprise, elle est bénédiction pour une face, et incomprise et
mal interprétée, elle est malédiction sur son autre face. Même pour un usage
béni, par les serviteurs prophètes appelés par Dieu, la prophétie est exploitée
de manière différente par lui au fil du temps qui passe ; la compréhension
et l’interprétation des messages varient d’une époque à une autre. Et c’est
logique, puisque « le sentier des
justes est comme la lumière du soleil qui s’en va croissant depuis l’aube jusqu’au
milieu du jour ». Au fil du temps, la compréhension de la prophétie
s’améliore avec l’apparition des événements qui l’accomplissent. Il est donc
normal, que la prophétie soit mal interprétée jusqu’au temps où elle doit être
bien comprise.
Le
titre de ce message fait de la prophétie un piège uniquement pour les vrais
ennemis de Dieu. Et la prophétie n’est pas la cause de leur statut d’ennemis de
Dieu. Quand il prophétise, Dieu ne parle qu’à ses élus (Apocalypse 1:1),
auxquels il révèle l’identité de ses ennemis qui sont aussi les leurs.
Le
meilleur exemple que je peux donner d’un piège prophétique se trouve dans
Daniel 7 et Daniel 9, et dans les deux cas il concerne l’interprétation des
données de durées de temps chiffrées.
Dans
Daniel 7:25, la période citée soit : « un temps, des temps, et la moitié
d’un temps » désigne trois ans et six mois. Le premier piège est
de compter ces années en valeur d’années réelles de 365 ou 366 jours. En
prophétie, Dieu saute l’obstacle de l’imprécision de nos années solaires, en
donnant à ces années prophétique la valeur forfaitaire arrondie de 360
jours ; l’année se composant de 12 mois lunaires de 30 jours. Cette année
prophétique est purement symbolique et elle exploite le code de Nombres 34:14
et Ezéchiel 4:5-6 : « un jour pour une année ». La ressemblance très proche de la durée
réelle de « 1090 jours » de
cette durée de « 1260 jours »-années
prophétiques a conduit certains interprètes à imputer au contexte juif cette
durée prophétique qui concerne le règne persécuteur papal romain de notre ère
chrétienne. Les « 1090 jours »
concernent, en jours réels, le temps
de l’abomination établie par le roi séleucide grec Antiochos IV Epiphane dans
Daniel 11:31. Cette durée est révélée dans le livre apocryphe des Maccabées.
Daniel ne donne pas cette précision concernant la durée de cette action.
La
construction divine de la prophétie ressemble énormément à celle des pyramides
égyptiennes dans lesquels les architectes égyptiens multipliaient des pièges
mortels destinés à empêcher les violeurs de tombeaux de parvenir jusqu’à la
salle mortuaire du pharaon défunt. La prophétie biblique offre plus que l’accès
à l’or et aux richesses cachées près du pharaon endormi ; elle offre plus
que le « saint graal mythique » des chevaliers du roi Arthur ;
elle offre l’amitié et la protection amoureuse du Dieu vivant.
Les
gens qui s’intéressent aux prophéties bibliques sont rares et ceux qui le font
ne sont pas appelés à le faire, par Dieu. En conséquences, leurs
interprétations sont fausses et trompent les gens qui les découvrent et leur
font confiance. Mais cette utilisation trompeuse est prévue dans la stratégie
de Dieu. Un seul faux prophète est écouté par des multitudes de gens qui le
suivent et lui font confiance, à leurs dépens. Car Jésus a invité ses élus à la
plus grande prudence en prenant l’image du serpent qui ne peut ni courir, ni
s’envoler pour fuir ses ennemis. Seul Dieu est digne de confiance ; et la
chose peut sans doute choquer, mais aucun homme n’est digne de confiance, quel
qu’il soit, et je m’inclus dans ce nombre. La confiance ne peut reposer que sur
le résultat obtenu par une étude individuelle personnelle du sujet proposé qui
crée la conviction de la certitude de l’appréciation divine de la solution du
problème étudié. Ceci nécessite une lecture personnelle de la sainte Bible et
une bonne connaissance de son enseignement. Si la prophétie est d’origine
biblique, son explication est alors donnée dans cette même sainte Bible. Dieu
assiste notre étude de sa sainte Bible en dirigeant l’esprit de ses serviteurs
vers les textes où ils peuvent trouver les clés de l’interprétation.
Les
êtres humains ont tout à découvrir pour comprendre le sens de la vie dans
laquelle ils sont entrés sans en recevoir le mode d’emploi. Seul celui qui prend
conscience et connaissance du Dieu vivant peut comprendre ce que représente une
vie coupée de Dieu. C’est par cette reconnaissance mutuelle que l’élu et Dieu
sont fils et Père et que l’humanité ignorante et séparée est seulement
comparable à une vie animale de qualité supérieure.
En
2025, la prophétie de Daniel 9 va piéger des multitudes de chrétiens
protestants qui partagent la même interprétation de « la 70ème semaine » du verset 24. Et le piège est
dans les versets 26 et 27. L’Esprit a volontairement obscurci la construction
du récit prophétique en évoquant au verset 26 la destruction de Jérusalem par
les Romains qui dressent à leur tour, après Antiochos IV Epiphane, leur « abomination
du dévastateur ». Si bien que ne renommant pas, au début du verset
27, le nom du sujet soit, celui du messie concerné par l’action, l’ennemi
impute l’alliance d’une « moitié de semaine » au
dévastateur qui va agir à la fin du monde. Ainsi est née cette théorie qui
prophétise une guerre dévastatrice qui va durer « 3 ans et six mois ».
D’autres imputent cette guerre à la seconde moitié de la 70ème
semaine qui couvre réellement le temps entre la mort de Jésus-Christ et la mort
en martyr du diacre Etienne. Et le pire pour ceux qui croient à cette
explication est que la chose va effectivement prendre forme réelle et
s’accomplir entre 2025 et 2028 inclus. Et dans cette accomplissement, le
dévastateur ne sera pas seul, ni grec ni romain, mais russe, américain et chinois,
principalement, et d’autres pays nucléarisés.
Je
rappelle souvent dans mes échanges l’importance de ce verset de Daniel 10:12 où
l’ange Gabriel dit à Daniel : « Il
me dit : Daniel, ne crains rien ; car
dès le premier jour où tu as eu à cœur
de comprendre, et de t'humilier devant ton Dieu, tes paroles ont été
entendues, et c'est à cause de tes paroles que je viens. »
Dans
ce verset, le plus important est cette précision : « et de
t'humilier devant ton Dieu » ;
car il ne suffit pas d’avoir à cœur de comprendre pour que Dieu agisse
favorablement. Ce qui est déterminant, c’est cette attitude réellement humble
devant Dieu que personne ne peut tromper. Où trouvons-nous la preuve de cette
humilité tant appréciée par Dieu chez Daniel ? Dans la prière qu’il lui
adresse dans Daniel 9: 4 à 20 qu’il faut lire personnellement impérativement.
Dans sa prière, Daniel apparaît comme le publicain de l’exemple donné par
Jésus ; il se reconnaît pécheur et confesse les fautes commis par tout son
peuple précisant au verset 13 : « …nous n’avons pas été attentifs à
ta vérité ». Dans cette prière, Daniel présente toutes les causes
qui éclairent le sens que Dieu donne à la vision Apocalypse donnée à Jean à la
fin du premier siècle de l’ère chrétienne.
Car
dans Daniel 10, les versets 1 à 10 décrivent l’être apparu dans la vision de
Daniel. Il est presque identique à celui que décrit Jean dans Apocalypse 1:13 à
16. Selon Daniel 10:1 cette vision annonce « une calamité » qui
vient frapper l’alliance infidèle. Le personnage décrit dans les deux visions
est terrifiant et l’image donnée à son visage permet de définir son contexte
historique et son identification ; « l’éclair » du dieu
grec olympien nommé Zeus pour Daniel, et « le soleil qui brille dans sa
force » dans la vision donnée à Jean. Dans son action punitive,
Dieu s’identifie à la divinité païenne du peuple persécuteur qu’il utilise pour
frapper son peuple infidèle Au temps de Daniel le persécuteur prophétisé était
grec, et celui qui sévissait déjà au temps de Jean était Romain et adorateur du
« soleil invaincu ». Dans sa phase impériale comme dans sa phase
papale, la ville de Rome a été le trône de ses deux régimes persécuteurs successifs
adorateurs de ce dieu astral « solaire » païen.
La
vie a pris une apparence trompeuse, car la Rome papale officiellement
chrétienne et catholique est restée pour Dieu la Rome adoratrice du « soleil
invaincu ». Et si Dieu ne révèle pas ces choses dans ses prophéties à ses
serviteurs, personne ne réalise la malédiction du repos du premier jour de la
semaine qui, rebaptisé « jour du Seigneur » par l’église catholique
romaine, est restée pour Dieu le jour qui honore le dieu « soleil
invaincu », en latin, « sol invictus ». Ce que nous devons
comprendre, c’est que le problème n’est pas seulement le nom du jour, mais plus
encore son numéro d’ordre dans la semaine, car ce premier jour vient remplacer
son septième jour qu’il a sanctifié et béni dès sa création de notre dimension
terrestre, au septième jour. Cette sanctification avait une cause prophétique,
si bien que le changement du jour du repos attaque et déforme le projet
prophétisé par Dieu. Or, c’est déjà pour cette raison, qu’en son temps, à titre
d’exemple, Moïse se vit interdire son entrée en Canaan et resta seul pour
mourir sur la montagne du désert. Moïse avait seulement « frappé
deux fois le rocher d’Horeb » pour qu’il donne son eau, alors
qu’il devait simplement lui « parler » la seconde fois. Pour
Dieu, ce rocher prophétisait Jésus-Christ qui devait être « frappé
une seule fois » pour donner l’eau de la vie éternelle à ses élus
rachetés. Dieu a utilisé Moïse pour révéler l’importance qu’il donne à ses
prophéties qui révèlent le programme qu’il a préparé pour les six mille ans de
l’histoire du péché terrestre jusqu’à l’instauration de la vie éternelle
promise aux élus qu’il sélectionne au fil du temps.
Le
changement du jour du repos par Rome est du même type que la faute de Moïse,
mais aggravé par le mépris témoigné pour des ordonnances divines clairement
exprimées. Moïse avait, lui, l’excuse de l’ignorance du projet prophétisé par
Dieu et sa faute fut créée par un excès de colère envers son peuple rebelle et
contestataire. Pour Rome, seule, son arrogance envers Dieu est la cause de son
action rebelle et de ses outrages qui dépassent l’entendement normal.
Dans
le combat qui oppose Dieu au diable, ses créatures célestes et terrestres
doivent choisir leur camp, car il n’y a pas de place pour la neutralité. Les
deux choix proposés par Dieu s’impose : l’éternité avec lui dans la
soumission et l’obéissance à sa volonté, ou à l’opposé, la mort et
l’anéantissement de l’être tout entier pour tous les autres cas.
L’être
présenté dans Apocalypse 1 est bien Jésus-Christ lui-même en activité punitive.
Et finalement, l’explication est encore plus subtile. L’image présentée
illustre la compréhension chrétienne qu’avait l’empereur Constantin 1er
en 313 quand il a autorisé et soutenu la pratique de la religion chrétienne.
Cette description est le fruit d’un syncrétisme religieux qui associe le Christ
à son dieu solaire, ce qui était la conviction de cet empereur romain
Constantin 1er qui est à l’origine de la grande mystification
religieuse chrétienne pendant toute notre ère depuis son époque en 313,
jusqu’au retour de Jésus-Christ attendu pour le jour du printemps 2030 soit,
l’an 6001 du projet divin.
Dès
ma petite enfance, j’ai bénéficié de l’influence religieuse protestante
darbyste qui était pratiquée par mon oncle et ma tante paternels. Je n’ai pas
été baptisé et je suis donc resté libre jusqu’au véritable appel de Dieu pour
adopter en adulte responsable le sabbat et l’adventisme. Mon contact avec la
sainte Bible reposait sur les versions J.N. Darby et Louis Segond. Dans ma version
darbyste de 1916, une table des datations des événements est présentée dans la préface de l’ouvrage. La
naissance du Christ est située en l’an 4000 depuis Adam. C’est ainsi que j’ai
toujours eu la conviction que nous vivions les deux derniers milliers d’années
avant son retour en gloire. Ma conviction des 6000 ans terrestres menant à son
retour me préparait pour ma mission prophétique adventiste, mais je ne pensais
pas à chercher dans la Bible une prophétie concernant la datation de sa venue.
Seule la prophétie de l’Apocalypse retenait mon attention, car j’étais
convaincu que son message cachait des vérités très importantes. Et c’est
seulement en entrant dans l’adventisme du septième jour que j’ai découvert
l’intérêt de la prophétie de Daniel, et que William Miller avait un jour estimé
pouvoir dater son retour successivement en 1843 et 1844. Ces deux attentes
vaines n’encourageaient pas la démarche pour une troisième. C’est donc par
simple curiosité religieuse légitime que j’ai cherché les clés bibliques de
cette obscure prophétie de l’Apocalypse. Adoptant une pratique et une méthode rigoureusement
biblique, je savais que les noms propres avaient une signification précise dans
la langue grecque ou dans l’hébreu. Les noms cités des sept Eglises d’Apocalypse
1 définissent les époques des messages adressés par Jésus à son Elue au cours
de l’ère chrétienne dans Apocalypse 2 et 3. Et libre et sans contrainte, j’ai
déplacé dans le temps, la date 1844 que
l’adventisme traditionnel rattachait à la seule septième et dernière église
nommée « Laodicée ». Et c’est probablement la grande différence
entre mon interprétation et l’interprétation traditionnelle qui rattache à
chaque message une église et non une époque. Le principe époque m’a permis de placer
sous le temps adventiste tous les messages d’Apocalypse 3, ce qui m’a conduit à
comprendre que le découpage en deux chapitres des trois thèmes principaux
d’Apocalypse 2 à 9 soit, « les messages ou lettres, les sceaux et les
trompettes », était basé sur cette date 1844. La compréhension de
cette structure spirituelle a été fondamentale, car elle était d’une logique
incontestable. Et en conséquence de ce découpage, les « cinq
mois » de délai donnés par Dieu aux faux prophètes dans le thème
des « trompettes », dans Apocalypse 9:5-10, devaient être situés
après 1844 ; ce qui créa la date 1994. A ma grande surprise, cette date
pouvait révéler l’année du retour de Jésus-Christ ; un message difficile à
faire passer et accepter dans une église traumatisée par ce sujet depuis les
deux échecs des années 1843 et 1844. Mais, Dieu n’est-il pas le maître absolu
qui révèle à ses serviteurs ses secrets au temps choisi par lui ? De toute
évidence, c’était le cas. J’ai donc porté ce message jusqu’à ma radiation de
l’œuvre pour cette raison en Novembre 1991.
Après
1994, Dieu m’a permis de comprendre le sens qu’il a donné à cette expérience.
Le piège prophétique n’était pas pour moi, mais pour une institution tombée
dans l’apostasie la plus complète. Car désireuse d’être aimée, même par ses
ennemis spirituels, l’église adventiste de l’époque « Laodicée » a voulu
entrer dans l’alliance protestante où le repos du dimanche romain est fermement
pratiqué. Sans avoir son retentissement, mon action prophétique a eu les mêmes
effets que les deux annonces successives de William Miller. Par lui, Dieu a
criblé la religion protestante ; par moi, il a criblé, la religion
adventiste du septième jour qui se croyait en sécurité, parce qu’elle est
prophétiquement dans l’Apocalypse la septième et dernière église terrestre du
Christ. Son attachement irraisonnable au découpage traditionnel lui a été fatal,
mais logique, car l’institution se réclame d’un message dans lequel Jésus lui
annonce qu’il va la « vomir ». Son erreur a
été de ne pas retenir mon explication qui situe le temps de la bénédiction de
l’adventisme du septième jour dans le message adressé à « Philadelphie »,
l’époque précédente située en 1873, la date que j’ai pu construire par mon
décryptage de Daniel 12:11 et 12 : « Heureux celui qui attendra, et qui arrivera jusqu'à mille trois cent
trente-cinq jours ! » Et qu’en est-il de celui qui attend encore le
retour de Jésus pour le jour du printemps 2030, comme le Seigneur lui a
permis de le comprendre ? Il est encore plus « Heureux » et se sent
réellement béni par Dieu.
Et
pour lui et ses frères et sœurs en Christ encore très rares, la prophétie ne
sera plus jamais un piège.
Après
la mort expiatoire de Jésus-Christ en faveur de ses seuls élus, la prophétie
est la chose la plus sacrée et la plus « sanctifiée » que
Dieu présente aux êtres humains. Elle n’a pas vocation à être comprise par le
premier lecteur qui se présente pour la lire. Et pour tous les ennemis de
Dieu, elle reste un piège qui les rassure faussement dans leurs convictions.
Car en raison même de leur aspect obscur impénétrable, les prophéties divines
sont faussement interprétées par les faux prophètes qui s’emparent d’elles et
leur donnent leur propres interprétations avalées par tous les chrétiens
superficiels qui sont les plus nombreux, en multitudes.
C’est
encore en lisant le rouleau du prophète Jérémie, que Daniel découvrit la
prophétie des « 70 années » de déportation à
Babylone (Jérémie 25:11-12 et 29:10). Il trouva là, la réponse dont il avait
besoin. Comme William Miller, après lui, j’ai moi aussi trouvé les réponses à
toutes les questions que la foi suscite ; et me présentant en dernier, les
réponses que j’obtiens de Dieu et par sa sainte Bible sont précises et
définitives.
M28- La vengeance légitimée
Dans
la société sans Dieu, ce mot « vengeance » est mal jugé :
ce n’est pas bien de se venger dit-on, mais ce message ne s’intéresse pas à
l’opinion des sans-Dieu, mais à l’avis de ce vrai Dieu grand et redoutable.
Dieu
revendique son droit de se venger en punissant l’infidèle désobéissant. Mais il
ne se réserve pas ce droit pour lui seul, et il nous en donne la preuve en
autorisant sa créature à venger le sang versé ou tout autre dommage fait par un
autre être humain ou même par un animal.
Sous
son regard divin, la vengeance est la chose la plus naturelle qui soit dans les
relations humaines et plus largement dans tout ce qui vit, et lui, en premier.
Qu’est-ce que la « vengeance » ? C’est un
acte de justice, et de la justice la plus primaire qui puisse exister, étant
cependant parfaitement légitime.
Pour
mieux comprendre ce sujet, nous devons porter notre attention sur la loi divine
dite du talion : « Tu prendras œil pour œil, dent pour dent,
…etc. »
L’Israël
arraché à l’Egypte, par Dieu, est constitué des descendants de Jacob et ses
fils, et de gens égyptiens qui choisissent de suivre les Hébreux dans l’Exode.
Ils forment tous ensemble un échantillon de l’humanité héritière du péché et
produisent son fruit de méchanceté et de dureté de cœur. Cet Israël ne bénéficie
pas encore du Saint-Esprit qui va tout changer dans la nouvelle alliance. Cet
échantillon de l’humanité n’est le peuple de Dieu que parce que c’est lui, qui
le guide, l’enseigne, le protège, le nourrit et l’abreuve. Après la terrifiante
démonstration de sa destruction de l’humanité antédiluvienne, Dieu entreprend
de se révéler dans l’histoire humaine par cet Israël charnel. Le sort subi par
l’Egypte, frappée par les fléaux de Dieu et dont sa glorieuse cavalerie et ses
chars ont disparus dans la folle traversée de la mer Rouge, a terrorisé tous
les peuples du Moyen-Orient de l’époque. Le Dieu d’Israël s’est imposé par sa
puissance active inégalée et inégalable.
Après
l’expérience du déluge, en créant son peuple Israël, Dieu pose les bases de son
plan du salut et commence par rassembler, sous sa domination, des hommes et des
femmes aux multiples caractères, plus ou moins rebelles, auxquels il présente
ses lois et ses ordonnances. Conscients de la présence de Dieu, la grande
majorité du peuple obéit plus ou moins docilement aux règles qu’il a fixées.
Cette obéissance résulte d’une grande peur que cette présence de Dieu leur
inspire. Tout Israël a été témoin de la manière par laquelle Dieu a contraint
Pharaon à laisser partir ses esclaves. Mais peu d’entre eux prennent conscience
de son témoignage d’amour. Quittant l’esclavage égyptien, certains ont l’impression
d’être tombés dans un autre esclavage dirigé, cette fois, par Dieu, leur
nouveau maître. Ceux qui réagissent ainsi sont comme les faux chrétiens de
notre époque. Etant baptisés en Jésus-Christ, ils reconnaissent avoir Jésus
pour Maître et leur religion s’arrête là. Dans l’ancienne alliance la loi est
dure et implacable parce que ceux qui vont devoir la mettre en pratique sont
eux-mêmes, durs et implacables et portés naturellement à se rebeller et à
contester les ordres divins.
Au
moment où Dieu organise sur la terre son peuple charnel Israël, dans la vie
céleste, les mauvais anges rebelles côtoient les bons anges, car ils ont encore
accès au royaume céleste de Dieu. La première séparation effective est donc
terrestre et celle de cet échantillon de l’humanité auquel Dieu donne pour nom
Israël ; nom qui signifie « vainqueur avec Dieu ». Mais ce nom
est loin d’être mérité et justifié, car cet Israël n’est encore que l’image de
l’Israël spirituel que Dieu obtiendra en Jésus-Christ dans la nouvelle
alliance. En réalité, les élus sont déjà sélectionnés par Dieu depuis Adam et
Eve, de manière individuelle. Il y a des élus dans la lignée de Seth, mais la
Bible ne le précise pas. Tout ce qu’elle nous révèle, c’est que cette lignée
fidèle a fini par apostasier et s’est perdue par des mariages unissant la
lignée des saints et la lignée des humains rebelles selon Genèse 6. L’Israël
charnel est organisé en nation protégée par ses frontières et Dieu recommande à
cet Israël de ne jamais conclure des mariages avec les étrangers ; il fait
de ce principe, la condition de leur protection et de sa bénédiction. Mais
cette ordonnance et son obéissance ne changent pas pour autant les caractères
rebelles de ce peuple « choisi » pour une démonstration et non
« élu » comme on le dit souvent à tort. En fait, les Israélites sont
l’image prophétique des vrais élus qui eux ne seront pas rebelles, ni
contredisant, et que Dieu trouve déjà, en Moïse, Josué et Caleb.
Dans
Exode 21, Deutéronome 19, 29 et Lévitique 24, Dieu exprime les bases de sa
justice. Les humanistes peuvent trouver ces ordonnances très dures, mais ce que
Dieu propose est un idéal qui seul peut favoriser et obtenir le succès et la
réussite. En dehors de cela, les nations et les hommes sont libres d’en tenir
compte où d’ignorer cette norme présentée par Dieu. Et ceux qui le jugent trop
dur ne se privent pas d’ignorer ses normes tranchantes avec pour résultat
l’échec et les malheurs qui l’accompagnent.
Bien
qu’il soit charnel et soumis au péché, l’Israël national est construit, par
Dieu, en image prophétique de son Elue éternelle. Or, pendant le septième
millénaire, dans son royaume céleste, ses élus auront à juger les méchants
célestes et terrestres rebelles morts, excepté Satan retenu, vivant, isolé sur
la terre désolée. Pour être du nombre de ces élus, il va de soi, qu’en Christ,
ses rachetés doivent approuver les normes de justice présentées par Dieu à son
premier Israël charnel. Dans son exceptionnelle sagesse, Dieu réagit comme le
fait un chirurgien qui sait qu’il vaut mieux sacrifier un membre gangréné avant
que tout le corps soit atteint. Et je le rappelle, Jésus-Christ a lui-même dit
dans Matthieu 5:29 et 18:9 : « Et
si ton œil est pour toi une occasion de chute, arrache-le et jette-le loin de
toi ; mieux vaut pour toi entrer dans la vie, n'ayant qu'un œil, que d'avoir
deux yeux et d'être jeté dans le feu de la géhenne. » Le fait de
contester ce comportement divin et médical explique pourquoi nos sociétés
humaines gagnées par le péché portent un fruit épouvantable, d’insécurité, de
souffrances, de vols, de viols et de meurtres commis par des assassins.
Depuis
le 20 Mars, jour du printemps, nous sommes entrés dans la 5ème année
qui précède le grand et glorieux retour du « Roi des rois et Seigneur des
seigneurs », Jésus-Christ. N’est-il pas temps pour ses rachetés
humains de tirer leçon des 5995 ans de l’expérience terrestre qui est derrière
nous ? Notre temps actuel est idéal pour le faire, car nous voyons que les
puissances terrestres les plus grandes sont toute fondées sur un modèle de vie
sociale individuel et particulier. La puissante Chine païenne vit sous un
régime communiste, mais sans Jésus-Christ. La puissante Inde idolâtre subit la
malédiction de son hindouisme. La puissante Russie ayant abandonné le
communisme a adopté le capitalisme mais reste contrôlé par un Etat fort ;
et elle est revenue à sa religion chrétienne « orthodoxe »,
hélas ! Trop idolâtre et pas assez « droite » pour plaire à
Dieu. La puissante Amérique du Nord des USA a atteint l’apogée de son
capitalisme libéral et ce qui manque à son christianisme calviniste revendiqué,
c’est le vrai Jésus-Christ et son
obéissance parfaite donnée pour modèle. De son côté, l’islam présente l’aspect
justice enseigné par Dieu aux Hébreux, mais il lui manque l’Esprit saint de
Jésus-Christ et le véritable texte de la loi divine que seule la sainte Bible
présente et révèle à l’humanité.
En
Europe où le mélange ethnique est porté à son comble, toutes ces conceptions de
vie cohabitent et entrent en concurrence. L’une de ces conceptions est-elle
meilleure que les autres pour Dieu et ses élus rachetés ? Nullement, car
il manque à toutes, le vrai et unique Jésus-Christ, en dépit des revendications
des pays dits chrétiens. De plus, sur le plan social qui règle les rapports
humains, chacun de ses pays conserve un élément ou plusieurs que Dieu préconise
dans sa sainte loi, mais jamais plus, pour pouvoir profiter de cet avantage.
L’islam
reprend la nécessaire règle dure de l’application de la justice enseignée par
Dieu dans sa sainte Bible, dans la Torah de l’ancienne alliance mais aussi dans
les Evangiles de Jésus-Christ, mal compris et mal enseignés. Car Dieu ne change
pas, il reste invariablement le même ; à ce titre, Jésus-Christ ne peut
donc pas contredire ce qu’il a enseigné en Micaël aux Hébreux en Exode. Et je
vais donc développer ce sujet en comparant les deux enseignements traitant du
même problème. Mais déjà, retenons le fait que Dieu a la légitimité absolue
pour enseigner les normes de la justice et de l’amour, puisqu’il a payé de sa
personne en Jésus-Christ, pour porter à son maximum sa démonstration en faveur
des ces deux principes complémentaires, et jamais opposés, en ce qui le
concerne. Et ces deux principes justice et amour éclairent le sens que Dieu
donne aux deux alliances successives passées avec ses élus éternels. C’est
pourquoi, leurs enseignements sont complémentaires et ne s’excluent pas ni ne
s’opposent mutuellement.
Pour
Dieu, le principe est simple, l’humain qui pèche volontairement contre lui
mérite la mort ou doit se convertir et porter du fruit de repentance.
La
mort du coupable est le châtiment rendu nécessaire pour protéger le reste de la
communauté humaine. Des peuples nombreux sur la terre et non chrétiens, comme
la Chine, l’Iran et l’Arabie Saoudite ont compris cette nécessité et
l’appliquent systématiquement dans leurs pays. En Occident, où des luttes
religieuses sanglantes ont fait mourir beaucoup de gens, selon le principe de
la balançoire, dans une position contraire extrême, la condamnation à mort a
été abolie. Mais dans cet Occident, la conception de la justice a été pervertie
et n’a plus rien de commun avec l’enseignement biblique du sujet. Cette
perversion repose sur le rôle donné à l’avocat de la défense. En opposition à
ce modèle, dans la règle biblique, Dieu ne donne pas de rôle à l’avocat de la
défense ; sa justice repose sur le témoignage porté par des témoins
oculaires et le châtiment nécessaire est infligé par la communauté menacée,
elle-même. Les juges de Dieu ne connaissent pour statuer et rendre un verdict
que la loi divine écrite et la déposition des témoins oculaires.
Selon
Dieu, l’élimination par la mort du ou des coupables est l’unique moyen de
préserver le reste de la société humaine, et il n’a pas hésité à faire mourir
la population entière qui habitait la terre de Canaan, pour la donner à son
Israël charnel national.
Dans
l’ancien témoignage, la mort de l’assassin coupable est la seule solution
possible. Mais, dans sa sagesse divine, Dieu établit la différence entre
l’assassin et le meurtrier involontaire qui tue par accident. Pour répondre à
ce cas il prévoit des villes refuges : trois villes refuges vers
lesquelles le coupable peut se retirer et y vivre protégé des « vengeurs
du
sang » versé, selon Deutéronome 19 :
V.2 :
« tu sépareras trois villes au
milieu du pays dont YaHWéH, ton Dieu, te donne la possession. »
V.3 :
« Tu établiras des routes, et tu
diviseras en trois parties le territoire du pays que YaHWéH, ton Dieu, va te
donner en héritage. Il en sera ainsi afin que tout meurtrier puisse s'enfuir
dans ces villes. »
V.4 :
« Cette loi s'appliquera au
meurtrier qui s'enfuira là pour sauver sa vie, lorsqu'il aura involontairement
tué son prochain, sans avoir été auparavant son ennemi. »
V.5 :
« Un homme, par exemple, va couper
du bois dans la forêt avec un autre homme ; la hache en main, il s'élance pour
abattre un arbre ; le fer échappe du manche, atteint le compagnon de cet homme,
et lui donne la mort. Alors il s'enfuira dans l'une de ces villes pour sauver
sa vie, »
V.6 :
« de peur que le vengeur du sang, échauffé par la colère et poursuivant le
meurtrier, ne finisse par l'atteindre s'il y avait à faire beaucoup de chemin,
et ne frappe mortellement celui qui ne
mérite pas la mort, puisqu'il n'était point auparavant l'ennemi de son prochain. »
V.7 :
« C'est pourquoi je te donne cet
ordre : Tu sépareras trois villes. »
Par
ces villes refuges, Dieu m’éblouit par sa sagesse, car il a inventé la prison
idéale, parfaitement adaptée pour le meurtrier accidentel. Dans son principe,
c’est le meurtrier qui vient se réfugier dans une ville qui devient sa prison,
mais dans laquelle il va et vient librement, sans être enfermé et isolé. Ce
type de meurtrier n’est pas insociable, c’est un homme normal digne de
continuer à vivre. Et je profite de ce cas pour rappeler que le commandement
« Tu ne tueras point » est
déformé, car Dieu ne condamne pas l’exécution mortelle comme en témoigne le
verset 6 cité, mais seulement la mort donnée par l’assassin, le meurtrier
volontaire, en sorte que ce verset devrait être traduit par « tu ne commettras pas de meurtre ou
d’assassinat ». En hébreu, le verbe « tuer » est
« qittel » et ce n’est pas lui que ce commandement utilise, mais le
verbe « ratsoah » qui se distingue de « qittel » en
signifiant : assassiner, commettre un meurtre. Dans une coupable
superficialité, les Hébreux littéraires eux-mêmes confondent les deux
significations et trompent les traducteurs des textes hébreux jusque dans leurs
dictionnaires.
A
l’opposé de cette sagesse divine, dans nos sociétés occidentales, se retrouvent
enfermés dans les mêmes prisons, des assassins dangereux indignes de vivre
et des tueurs accidentels ou des voleurs, ou encore des gens qui ont
transgressé les lois du pays.
Au
contraire du meurtrier accidentel, pour l’assassin, Dieu se montre implacable
et exige sa mort au nom même de sa justice parfaite, selon Lévitique 24 :
V.17 :
« Celui qui frappera un homme mortellement sera puni de mort. »
V.18 :
« Celui qui frappera un animal
mortellement le remplacera : vie pour vie. »
V.19 :
« Si quelqu'un blesse son prochain,
il lui sera fait comme il a fait : »
V.20 :
« fracture pour fracture, œil pour œil, dent pour dent ; il lui sera fait la même blessure qu'il a
faite à son prochain. »
V.21 :
« Celui qui tuera un animal le
remplacera, mais celui qui tuera un
homme sera puni de mort. »
V.22 :
« Vous aurez la même loi,
l'étranger comme l'indigène ; car je suis YaHWéH, votre Dieu. »
Que
trouver à redire contre cette justice exemplaire, parfaitement logique et
équilibrée ? Et c’est celle que Dieu approuve exige et met en œuvre. Et la
« sharia » de l’islam lui est très ressemblante. Dieu place sa
justice au-dessus de tout, car c’est d’elle que les bonnes relations entre ses
créatures dépendent. La réussite de son plan du salut repose sur cette
prédominance de ses lois et ses principes. Et c’est à cause de cette
prédominance qu’il a dû souffrir en Jésus-Christ pour payer l’outrage commis
contre ses lois par ses élus rachetés. En fait, sa démonstration d’amour
accomplie et sublimée en Jésus-Christ confirme et révèle la prédominance de ses
divines lois qui déterminent sa conception de la justice.
Non,
le mot « vengeance » n’est pas un gros mot honteux indigne d’être
prononcé et en premier, Dieu le proclame dans toute sa puissance et sa divine
force, en disant dans Deutéronome 32:35 : « A moi la vengeance et la
rétribution, quand leur pied
chancellera ! Car le jour de leur malheur est proche, et ce qui les attend ne
tardera pas. » Dans ce chapitre, Dieu en veut terriblement à Israël,
son « premier né », sa
première alliance. Nous lisons aux versets 20 à 22 :
V.20 :
« Il a dit : Je leur cacherai ma
face, je verrai quelle sera leur fin ; car c'est une race perverse, ce sont des
enfants infidèles. »
V.21 :
« Ils ont excité ma jalousie par ce
qui n'est point Dieu, ils m'ont irrité par leurs vaines idoles ; et moi, j'exciterai leur jalousie par ce qui n'est
point un peuple, je les irriterai par une nation insensée. »
Le
projet de la nouvelle alliance ouverte aux païens est prophétisé.
V.22 :
« Car le feu de ma colère s'est
allumé, et il brûlera jusqu'au fond du séjour
des morts ; il dévorera la terre et ses produits, il embrasera les
fondements des montagnes. »
« Le feu de la seconde mort » du
« jugement dernier »
accomplira cette action sous la forme de « l’étang de feu et de soufre »
évoqué dans Apocalypse 20:14 : « Et
la mort et le séjour des morts furent jetés dans l'étang de feu. C'est la
seconde mort, l'étang de feu. »
Venant
sur terre en Jésus-Christ, Dieu a-t-il changé son jugement et son
programme ? Pas du tout, puisque Jésus menace toujours les gens sans foi
du « feu de la géhenne ».
Pourquoi
alors dit-il à son audience juive : « Vous avez entendu dire…mais moi je vous dis que… » ? Il
faut bien entendre ses propos, car Jésus ne réduit pas l’exigence de Dieu, mais
au contraire, il l’intensifie. Et ceci, en toute logique, car plus son plan du
salut lui coûte, plus grande est son exigence de la part de ses rachetés élus.
Et le prix de sa mort infligé de la plus cruelle manière rend ce coût fortement
élevé. Ayant ainsi payé le prix fort, Jésus est en droit d’exiger de ses élus
des preuves de confiance absolues. C’est pourquoi, il leur demande de renoncer
à se venger eux-mêmes comme la loi du talion les y autorise légalement et
en toute justice divine. Par ce renoncement volontaire, ils offrent à Dieu un
acte de foi qui rend crédible leur demande de grâce pour leurs propres péchés.
Et ce faisant, ils affirment leur croyance en son existence, mise en doute par
les êtres incrédules rebelles contestataires.
Pour
rendre concrète « sa vengeance » contre ses
ennemis terrestres rebelles, Dieu dispose d’une multitude de moyens et dans
Ezéchiel 14:21-22, il en cite 4 : « Oui, ainsi parle le Seigneur, YaHWéH
: Quoique j'envoie contre Jérusalem mes quatre châtiments terribles, l'épée,
la famine, les bêtes féroces et la peste, pour en exterminer les hommes et
les bêtes, il y aura
néanmoins un reste qui échappera, qui en sortira, des fils et des
filles. Voici, ils arriveront auprès de vous ; vous verrez leur conduite et
leurs actions, et vous vous consolerez du malheur que je fais venir sur
Jérusalem, de tout ce que je fais venir sur elle. »
A
ces 4 châtiments, nous devons ajouter, les désagréments climatiques qui
suscitent tant d’inquiétude en notre époque et les divers cataclysmes tels les
tornades, les cyclones, les tsunamis ou raz-de-marée, sans oublier les
tremblements de terre de plus en plus fréquents et meurtriers, ainsi que les
éruptions volcaniques. Et dans la liste difficile à compléter, j’ajoute et
rappelle que Dieu intervient pour diriger les pensées humaines quand sa
stratégie le rend nécessaire. Car l’homme ne dispose que de la liberté de
l’aimer et le servir ou de subir sa juste colère et sa redoutable puissance
active.
Sans
intelligence, la lecture de la Bible peut servir de prétexte à justifier
l’injustifiable. Première dans le genre, la religion catholique romaine n’a
retenu de la sainte Bible que les noms de ces acteurs les plus célèbres et
importants : Jésus, Marie, Joseph, et dans son culte rendu aux mauvais
anges, elle préconise l’adoration des saints innombrables sélectionnés
soit, canonisés par les papes successifs au cours de son histoire. On peut
alors comprendre que sur de telles bases, Dieu n’ait jamais reconnu pour sienne
cette organisation trompeuse satanique.
La
punition infligée à l’Israël rebelle de l’ancienne alliance est une leçon
gravée dans l’histoire humaine afin que l’humanité sache comment Dieu punit la
rébellion religieuse. Car, sa sélection d’élus est perpétuelle et se prolonge
donc jusqu’au retour de Jésus-Christ, au printemps 2030, heure bénie où son
dernier « reste » d’élus
fidèles, entrera dans son éternité céleste avec leurs frères ressuscités. Il y
a donc jusqu’à la fin, un Israël spirituel qui appartient à Dieu sur la terre,
et il a en face de lui, un Israël charnel frappé par la malédiction de Dieu
pour son rejet de Jésus-Christ, et un faux Israël spirituel représenté par les
religions chrétiennes tombées dans l’apostasie : catholicisme, orthodoxie,
anglicanisme, protestantisme et adventiste institutionnel.
Dans
son mélange cosmopolite multiethnique actuel, la société occidentale
européenne, construite sur le modèle des USA, a derrière elle, dans son passé
proche, un héritage religieux chrétien qui la culpabilise plus que les autres
peuples de la terre. C’est pourquoi, dans les prophéties de Daniel et
Apocalypse, Dieu la cible dans trois époques différentes dans lesquelles elle
est représentée par le symbole de « dix cornes » soit, dix puissances.
Et ce chiffre « 10 » est à la fois littéral à l’heure de sa formation
après le démembrement de l’empire Romain et symbolique en notre époque finale.
Car « 10 » c’est 2 fois « 5 » ; et « 5 »
c’est le nombre symbolique de l’homme. Le nombre ou chiffre « 10 »
désigne donc 2 sortes d’êtres humains : les fidèles et les
infidèles ; les élus et les faux rachetés déchus ; les vrais croyants
et les faux croyants que Dieu tient pour incrédules.
Nous
retrouvons dans ce jugement divin, les deux choix qu’il a placés devant l’être
humain en disant dans Deutéronome 30:19 : « J'en prends aujourd'hui à témoin contre vous le ciel et la terre : j'ai
mis devant toi la vie et la mort, la
bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives,
toi et ta postérité, …» Il n’y a pas de troisième choix, car le salut
est obtenu en entier ou il n’est pas obtenu. Et les causes de la perdition sont
innombrables ; depuis l’infidélité, jusqu’à la haine envers Dieu, en
passant par la simple indifférence au sujet de tout ce qui le concerne.
Cette
situation spirituelle binaire est confirmée dans ces paroles célestes et les
symboles « du fer et de
l’argile » qui prophétisent dans Daniel les conditions de la vie
humaine dans le temps du retour en gloire de Jésus-Christ soit, un cliché de
notre temps actuel qui va vivre dans 5 années ce moment glorieux :
V.41 :
« Et comme tu as vu les pieds et les
orteils en partie d'argile de potier et
en partie de fer, ce royaume sera divisé ; mais il y aura en lui quelque
chose de la force du fer, parce que tu as vu le fer mêlé avec l'argile. »
En
précisant de « l’argile de potier »,
Dieu rappelle qu’il est le maître potier qui façonne les vases qui symbolisent
les vies humaines. L’argile représente les croyants fidèles mais aussi les
infidèles que Dieu compare à des vases imparfaits destinés à être brisés. Pour
sa part, le symbole du fer désigne l’être humain rebelle qui ne tient aucun
compte de l’existence du Dieu vivant, le tout-puissant Créateur. Sous ce
symbole, il désigne Rome, successivement républicaine et païenne, puis
impériale encore païenne, et enfin, papale et faussement chrétienne.
V.42 :
« Et comme les doigts des pieds
étaient en partie de fer et en partie d'argile, ce royaume sera en partie fort
et en partie fragile. »
Notre
actualité confirme cette annonce. Depuis l’élection de Donald Trump aux USA,
l’Europe suiviste subit les attaques commerciales de ces USA. Et en ce jour,
des taxes imposées aux produits importés entrant en Amérique, sont rétablis
après des décennies de libre échange mondial. Ce nouveau coup de butoir va
mettre à mal l’Union Européenne déjà affaiblie par son engagement pour la cause
de l’Ukraine ; elle est victime des sanctions prises contre la Russie et
son financement de la guerre menée par l’armée ukrainienne. Dan l’U.E. des deux
traités de Rome, le mélange « du fer et de l’argile » est
confirmé par l’alliance des nations du catholicisme romain des pays du sud et
des nations protestantes nordiques, auxquelles s’ajoute, à la fin, son
excroissance américaine.
V.43 :
« Tu as vu le fer mêlé avec
l'argile, parce qu'ils se mêleront par des alliances humaines ; mais ils ne seront point unis l'un à
l'autre, de même que le fer ne s'allie point avec l'argile. »
L’alliance
de l’Union Européenne a été ainsi prophétisée par Dieu, quelques 26 siècles
avant notre époque finale. L’image de « l’alliance du fer et de l’argile » prophétise parfaitement les
incompatibilités des opinions humaines actuelles. Des esprits souples,
accommodants, prêts à accepter des compromis, cohabitent avec des gens dont les
résolutions sont fermes et qui refusent toute idée de compromis.
Aujourd’hui,
le Mercredi 2 Avril 2025, la « vengeance » du Dieu créateur
s’exprime par les mesures prises par le nouveau président des USA, Donald
Trump, l’homme par lequel Dieu sonne de la « trompette » pour la
6ème fois depuis l’an 313. Mercredi est le jour de Mercure le dieu
romain du commerce. Ainsi, l’annonce de taxes énormes américaines sur les
importations étrangères marque particulièrement de manière adaptée, ce jour du
Mercredi.
En
fait, Donald Trump fait aujourd’hui pour son pays, ce que les dirigeants
européens auraient dû faire pour les leurs quand l’Amérique a imposé sa
mondialisation qui les a livrés à la Chine. A l’heure de la suppression des
taxes, des gens avisés avaient dénoncé la suppression des « écluses »
des échanges mondiaux. Le temps leur donne raison et j’étais de cet avis.
A
la faveur de la paix donnée par Dieu, le monde occidental avait adopté la
mesure du libre échange international imposée par les USA victorieux, riches et
puissants. Ce développement du « mondialisme » du commerce a eu de
graves conséquences pour les pays européens, livrés à une concurrence
impitoyable mondiale. Des grandes usines ont fait faillite et les pays dits
riches sont devenus les clients de l’inconcurrençable Chine et de l’Asie en
général, dont le Japon et Corée du Sud. Déjà, auparavant, l’Europe avait été
victime de l’exploitation du Japon par les USA, et ce pays était devenu le
principal producteur des produits électroniques, étant le constructeur des
premiers transistors qui sont à la base de toute l’informatique actuelle. Les
dirigeants français et européens n’ont ni su ni voulu résister à ce courant
international et ils ont livré leurs populations à la ruine et au chômage. Ils
ne savaient pas qu’en détruisant leur puissance productrice industrielle, ils
préparaient la ruine qui frappe aujourd’hui tous les pays occidentaux nommés
« riches » et cependant plus « pauvres et endettés » que
jamais.
Cet
appauvrissement est le moyen par lequel Dieu s’apprête à livrer l’U.E. entière
à ses ennemis, comme il l’a déjà fait pour son Israël juif de l’ancienne
alliance. C’est donc dans ce type d’action, que Dieu proclame à qui veut
l’entendre : « A moi la vengeance ! A moi la rétribution ! »
Personne
ne comprend le sens de l’inversion soudaine et brutale de la politique
américaine. Mais connaissant le projet imminent de Dieu, je vois une grande
logique dans tout ce qui s’est accompli depuis la fin de la Seconde Guerre
Mondiale soit, depuis 1945. L’Amérique a imposé son régime capitaliste libéral
en s’appuyant sur son énorme richesse et l’Europe s’est soumise à toutes ses
volontés. La mondialisation a ruiné les Etats et les nations du camp occidental
tout en enrichissant fabuleusement individuellement des hommes et des femmes
dirigeants de grandes sociétés internationales. A l’heure où la guerre va
détruire la prospérité et les vies européennes, l’Amérique se replie sur
elle-même et prend les mesures pour favoriser sa réindustrialisation et sa
complète indépendance économique et financière. Cette indépendance va être
utile à l’heure où l’U.E. sera attaquée par ses ennemis « du
midi et du septentrion » comme Dieu l’a prophétisé dans Daniel
11:40. Ce repli nationaliste confirme le retrait militaire des USA qui ne
veulent plus agir en gendarmes du monde, mais souhaite le dominer par leur
puissance économique. Le commerce est l’arme de la puissance américaine qui
utilise ses sanctions économiques et ses embargos contre ses adversaires. On
reconnaît dans cette stratégie, la future « bête qui monte de la terre »
d’Apocalypse 13:11 qui, selon les versets 17 et 15, utilisera cette menace
économique contre ses adversaires religieux qui restent fidèles au saint sabbat
de Dieu, en Jésus-Christ et refusent d’honorer le dimanche papal romain :
« et que personne ne pût acheter ni
vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. …/…Et
il lui fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la bête
parlât, et qu'elle fît que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête
fussent tués. »
Le
renversement de l’ancien régime monarchique depuis la Révolution française a
placé les nations républicaines sous la gouvernance de gens élus pour quelques
années seulement à la tête de leur pays. Ce type de gouvernance alternée
momentanée a considérablement affaibli la puissance nationale sur le long
terme. La disparition de la tête royale a livré les pays républicains à des
esprits humains technocrates aux idées très contradictoires et controversées.
Le pays soumis à ce type de régime est sacrifié et subit les conséquences de la
peur et des caprices qui animent ces dirigeants éphémères. Car le président de
l’heure est l’objet de pressions multiples venant de tous les horizons et les
riches le sollicitent prioritairement pour défendre leurs intérêts de
l’instant.
Depuis 2020, le virus Covid-19, la guerre de
l’Ukraine, et Donald Trump, expriment le commencement de la vengeance du Dieu
vivant ignoré et méprisé par ses créatures, sur toute la terre. Les uns après
les autres, ces sujets ont construit la ruine de l’U.E. des « dix
cornes » prophétisées. L’Europe doit payer cher le privilège
d’avoir eu connaissance du nom du Sauveur universel Jésus-Christ le Juif et
Fils de Dieu. Ce constat nous parle et nous fait entendre Dieu dire :
« puisque vous avez de l’argent pour construire des armes de destruction,
voici, Donald Trump va déclencher contre vous une guerre économique qui
achèvera de vous ruiner, et je vous livrerai à vos ennemis pour qu’ils vous
détruisent ».
Ce
mercredi soir pour l’Europe, aux USA, Donald Trump a révélé la valeur des taxes
qui vont frapper tous les pays importateurs étrangers. En tête la Chine qui
taxe les productions américaines à 67% va subir une taxe de 34%. L’Amérique
impose à toutes les nations la moitié des taxes qu’elle subit de leur part. Pour
l’Europe qui la taxe à 39%, la taxe américaine sera de 20%. Les chiffres sont
contestés par les Français qui incluent leur TVA de 25% dans cette valeur, mais
peu importe, le président des USA ne reconnaît que ses chiffres. Et il retient
les prix payés par les consommateurs français victimes de l’impôt déguisé de
cette TVA, fruit de l’hypocrisie politicienne. Les conséquences de ces
nouvelles taxes vont être énormes et vont compromettre la survie de certains
secteurs commerciaux qui exportent particulièrement aux USA.
Cette
nouvelle guerre commerciale reproduit les effets de la politique des sanctions
prises contre la Russie. Et le résultat n’a pas été à la hauteur de l’espérance
des Occidentaux. Au contraire, ces sanctions ont contraint la Russie à produire
elle-même ce qu’elle achetait à l’Occident. Cette fois, le bras de fer qui
s’engage va produire les mêmes effets sur l’Amérique désireuse d’indépendance
industrielle et économique. Si bien que les « dindons de la farce »
restent les nations européennes, la cible principale de la colère du Dieu
créateur qui a laissé se détruire fortement sa production industrielle et reste
dépendante des importations chinoises.
Le
9 Avril, jour de l’application des taxes américaines, le temps des juteux
profits boursiers va se refermer. L’exploitation de la Chine avait détruit les
équilibres de l’heure en favorisant le profit boursier au détriment de
l’investissement industriel local. Aux USA, cette folie boursière avait eu pour
conséquence la délocalisation au Mexique des usines automobiles de Détroit. La
folie boursière prend donc fin par le choix américain de privilégier de nouveau
sur son territoire, la restauration des usines qui ont été fermées et la
construction de nouvelles. Le bon sens revient au grand dam des Européens
suivistes, imitateurs, mais toujours en retard sur les USA. Face à la
concurrence asiatique, les usines européennes, et principalement de la France,
ont été fermées et les dirigeants se sont crus bien inspirés en favorisant la
baisse du coût des produits en les important massivement de la Chine. Ils ont
ainsi favorisé la ruine lente et progressive de leur économie locale et sont
donc responsables du désastre constaté aujourd’hui. C’est ainsi que Dieu fait
construire par ses ennemis les causes de leur destruction.
Cette
politique isolationniste volontaire américaine confirme la décision prise par
le président américain de ne pas venir en aide à l’U.E. quand elle sera
agressée par l’islam et l’orthodoxie russe.
Une
question me vient et se pose : Comment font-ils pour ne pas réaliser que
l’enchaînement des malheurs successifs qui les frappent a une cause
irrationnelle soit, divine ? La preuve de l’action divine apparaît dans ce
texte de Joël 1:4 : « Ce qu'a
laissé le gazam, la sauterelle l'a dévoré ; ce qu'a laissé la sauterelle, le
jélek l'a dévoré ; ce qu'a laissé le jélek, le hasil l'a dévoré ».
Dieu
a dit à Jean, dans Apocalypse 13:10, « Si
quelqu'un mène en captivité, il ira en captivité ; si quelqu'un tue par l'épée,
il faut qu'il soit tué par l'épée. C'est ici la persévérance et la foi des
saints. » Le même Dieu juste et bon nous dit aujourd’hui :
« Celui qui a sanctionné la Russie sera à son tour sanctionné, par les USA
de l’heure de la « sixième trompette »
personnifiée en Donald Trump.
Par
ses taxes imposées actuellement à toutes les nations de la terre, Donald Trump
devient responsable de « l’irritation
des nations » prophétisée dans Apocalypse 11:18 : « Les nations se sont irritées ; et ta
colère est venue … ». « Irritation »
qui exprime la Troisième Guerre Mondiale de la « sixième trompette »
qui vient.
Les
« sept trompettes » d’Apocalypse peuvent être rattachées à
des noms d’hommes célèbres qui ont marqué leur époque et son caractère
particulier.
1ère
trompette : les châtiments
barbares : Attila
2ème
trompette : le papisme
catholique romain : Vigile 1er
3ème
trompette : la Réforme
protestante : Martin Luther
4ème
trompette : la libre pensée et
l’athéisme : Voltaire
5ème
trompette : l’adventisme institutionnel
: William Miller
6ème
trompette : le nationalisme
américain : Donald Trump
7ème
trompette : le retour du Chef
des chefs : Jésus-Christ
Le
thème de la « 5ème trompette » est particulièrement subtil
car Dieu y décrit la religion protestante. Mais cette description très imagée
cible en vérité l’adventisme institutionnel dont le comportement religieux
reproduit celui du protestantisme apostat. C’est à cet adventisme
institutionnel que Dieu accorde « cinq mois » prophétiques soit,
150 années réelles avant de le « vomir » ; il retourne
alors dans l’alliance des protestants apostats auxquels il ressemblait.
M29- La morale divine face à l’immorale et
amorale humanité
Ce
message apporte une suite logique au message précédent concernant la vengeance
de Dieu contre ses ennemis.
Pour
l’immorale humanité qui n’éprouve aucun scrupule moral dans ses décisions
prises pour obtenir, la prospérité, la richesse, la gloire, le plaisir…etc, la
fin justifie les moyens…tous les moyens, même les plus injustes et donc les
moins légitimes. Cette explication vient donc compléter l’analyse du personnage
le plus important de l’heure : Le nouveau président américain :
Donald Trump que je désigne comme étant l’homme ou signe divin de la « sixième trompette ». Il n’est pas
assuré qu’il sera l’homme de la « septième
trompette » et voici pourquoi.
Beaucoup
critiqué par la société suiviste habituée à se soumettre au plus fort et aux
plus riches, Donald Trump et son vice président J.D. Vance, ont en eux des
valeurs héritées de la religion chrétienne. Dans ce pays longtemps gouverné par
des présidents capitalistes sans scrupule, le sort des pauvres a été très dur.
Les aides sociales sont rares et très limitées et quand la rentabilité de la
production américaine des automobiles Ford de Détroit n’a pas été suffisante,
du jour au lendemain, impitoyablement, des multitudes d’Américains ont perdu
leur emploi et leur logis. Ils ont été contraints de déménager et de se
déplacer pour trouver un abri et un emploi ailleurs, quelque part, dans cet
immense pays. La cause de leur malheur a été la mise en concurrence de la
production américaine avec la production chinoise et européenne.
Car
comme je l’ai déjà expliqué, l’Amérique a été victime de son succès et de sa
prospérité. Son dollar, sa monnaie étalon mondiale, et ses investisseurs privés
ramènent en Amérique, d’énormes profits réalisés sur tous les marchés de la
terre. Mais cet enrichissement privé n’enrichit pas l’Etat de la nation américaine,
il ne fait que créer des milliardaires dans un pays où le seul souci consiste à
baisser le prix des impôts. Il y a donc quelques individus ultra-riches et un
peuple de plus en plus pauvre. Sur le marché mondial du libre-échange, c’est le
moins cher qui l’emporte sur le plus cher. Quand le moins cher est de très
mauvaise qualité, s’il est de meilleure qualité, le plus cher réussit à
s’imposer. Chacun en son temps, ces producteurs moins chers ont été le Japon puis
la Chine et pour les deux pays, la qualité de la première production n’était
pas au rendez-vous. Mais avec le temps, ces deux pays se sont substitués aux
productions américaines et européennes.
La
date du 11 Décembre 2001 est à retenir pour deux raisons.
La
première est l’entrée de la Chine dans l’Organisation du Commerce Mondial
nommée l’OMC. C’est cette date qui a préparé la destruction de l’industrie
européenne et américaine. Par ses conséquences à long terme, c’est une date qui
prépare des guerres commerciales et des guerres dévastatrices meurtrières, plus
funeste que le 11 Septembre 2001 dont les victimes furent seulement les 2 tours
du World Trade Center à New-York, et partiellement le Pentagone à Washington.
La
seconde raison est spirituelle et tient dans le message que Dieu adresse à
l’humanité en cette date du 11 Décembre 2001. Car je le rappelle pour ceux qui
n’étaient pas nés, mais dans les années 60, l’an 2000 était annoncé comme l’âge
d’or ; l’heure magnifique où les robots travailleraient à la place des
êtres humains qui pourraient alors s’occuper se livrer à leurs activités
quotidiennes dans le plaisir et la détente. Cet avenir faisait rêver et espérer
dans le futur radieux présenté comme l’apogée de la réussite humaine.
Cessons
donc de rêver et revenons sur la terre actuelle des êtres humains ; et que
voyons-nous ? Une Chine enrichie et prospère qui tel un monstre a avalé
tous les emplois des pays riches dominateurs.
Ce
constat, c’est celui que Mr Donald Trump a fait en entrant en politique ;
lui, le marchand d’immeubles et propriétaire de la Tour Trump, bâtie à New-York.
Ce richissime personnage aurait pu vivre égoïstement pour lui-même et sa
réussite personnelle individuelle. La soif de pouvoir peut expliquer
partiellement son engagement politique, mais cela ne justifie pas sa remise en
cause des choix faits avant lui par ses prédécesseurs. C’est alors qu’il
convient de découvrir des aspects de son caractère. Il s’émeut de la mort
injustifiée de multitudes de jeunes gens russes et ukrainiens et ne supporte
plus cette idée. De plus, sans se donner de limite, il attaque les intérêts des
investisseurs boursiers de son pays et provoque une chute des valeurs
boursières mondiales. Imperturbable et obstiné, il est décidé à mener son
programme présidentiel annoncé jusqu’au bout de ses promesses et de ses
engagements. Ce comportement a fini par étonner des journalistes et l’un d’eux
sur le plateau d’une chaîne info, a même fait remarquer qu’un tel respect des
engagements politiques n’était pas si fréquent et j’ajoute qu’il est même
exceptionnel et nouveau.
Il
y a quelque chose de divin dans ce comportement humain. Dans Ezéchiel 1, Dieu
montre en image l’ordre mondial et supra-universel qu’il donne à sa création.
L’image décrite présente la rectitude de ses créatures célestes et terrestres
et le fait qu’aucune d’elles « regarde en arrière ».
Ses
ennemis politiques ont cherché à exploiter ses failles, ses faiblesses
charnelles connues de tous, car un tel homme a été épié et scruté par des
journalistes depuis son entrée sur la scène politique. On a dénoncé ses
relations avec la mafia russe qui lui a prêté de l’argent dans des heures
défavorables. Son prédécesseur, Mr Joe Biden, le démocrate, a essayé de
l’entraîner dans une mort politique en lui imputant la responsabilité de
l’invasion du Capitole du Congrès de Washington. Il est vrai qu’il a encouragé
ses fans à faire pression sur les députés mais pas au point de les agresser.
L’homme
a ses défauts que tout le monde connaît mais il a aussi des qualités qui le
rendent dignes et adapté pour une mission divine. Car relève-le, tout ce qu’il
reproche à ses prédécesseurs, Dieu le leur reproche également.
Dans
la sainte Bible et dans son ministère terrestre en Jésus-Christ, Dieu condamne
les riches égoïstes et leurs convoitises insatiables, parce que leur
enrichissement a pour conséquence l’existence des pauvres. Dans sa norme de la
vie céleste idéale, il n’y a ni pauvre, ni riche et ces deux conditions
opposées ne sont que la conséquence de l’adoption d’une valeur céleste
diabolique héritée du péché originel. L’argent du riche, c’est la sueur et le
sang des pauvres. Et pour que cessent ces injustices, la destruction du monde
actuel et de ses valeurs est nécessaire et incontournable.
Sur
sa route, Donald Trump est confronté au même problème et pour obtenir
l’enrichissement de son pays ; celui de son Etat gestionnaire des biens
publics, la destruction du régime spéculateur boursier est, elle aussi,
nécessaire et incontournable. Il doit rendre à l’Amérique sa complète
indépendance que ses prédécesseurs ont sacrifiée au mondialisme commercial par
cupidité et convoitise.
Jésus
a chassé les marchands du temple et aujourd’hui, Donald Trump chasse les
abominables boursiers cupides.
Dieu
n’est pas contre le commerce et les échanges commerciaux mais il condamne
l’avarice et la cupidité qui transforment ces échanges en malédiction pour ses
créatures. La leçon qu’il adresse aujourd’hui par l’action de son instrument
actif Donald Trump révèle sa condamnation des valeurs diaboliques adoptées sur
la terre du péché, depuis 5996 années. Dieu s’exprime grandement par ce type
d’action qui remet en cause en le détruisant le système qui enrichit l’homme
cupide et fait progresser la pauvreté et la misère pour de grandes multitudes.
Donald
Trump agit comme Dieu quand il justifie son action pour des causes morales. Il
nous faut remonter à Moïse, le guide des Hébreux, pour retrouver un chef
soucieux des droits des plus humbles de son peuple. A son tour, Jésus a agi de
même envers les pauvres et les malheureux, condamnant par son témoignage la
méchanceté des Romains et celle de son peuple Juif.
La
vie terrestre nous absorbe et nous formate. Elle nous contraint de respecter
l’ordre sous lequel notre pays natal ou d’installation est organisé. C’est
pourquoi, le retournement de situation provoqué par Donald Trump est un message
d’espoir, car il démontre la capacité du renouveau terrestre et après lui du
renouveau spirituel à l’heure du retour glorieux de Jésus-Christ, au printemps
2030. Ce que Dieu et Donald Trump condamnent aujourd’hui, c’est l’héritage du
non respect de l’ordre organisé par Dieu à l’époque de la dispersion des
habitants de la tour de Babel. Cet aspect de la tour de Babel est complètement
ignoré mais le rassemblement des humains dans des nations protégées par les
barrières de leur langue et de leur frontière, devait favoriser des relations
commerciales intra-nationales. De cette manière, la même condition de vie régit
la vie commune de tous ses habitants. Sous cette condition, la spéculation
basée sur les écarts de niveau de vie est réduite au maximum. Les voyages sur
mer et sur terre des premiers commerçants internationaux sont à l’origine de la
spéculation boursière dévastatrice de notre époque. En toute sagesse divine
encouragée, la solution commerciale la plus normale est la norme locale qui
évite les frais des voyages et le nombre des intermédiaires spéculateurs.
Je
me souviens avoir été scandalisé par un reportage télévisé filmé à bord d’un cargo
transporteur de pétrole. Depuis son chargement en Asie jusqu’à la France, la
cargaison a changé 5 fois de propriétaire, ainsi 4 intermédiaires ont fait
monter le prix, en prélevant injustement en parasite leur part. Aujourd’hui, à
cause d’internet, des milliers, voire des millions de parasites agissent de
même en plaçant leur argent sur des actions boursières. Rien n’a été fait pour
freiner ce parasitage néfaste qui fait continuellement monter les prix pour
rendre plus pauvres les travailleurs et plus riches ceux qui ne travaillent
pas, mais boursicotent.
S’étant
coupé de Dieu, le monde occidental faussement chrétien est devenu complètement
insensible à la moralité des choses. C’est pourquoi, Donald Trump et son équipe
politique apparaissent pour les dirigeants étrangers comme une anormalité
sortie des enfers comme un dragon diabolique ou un serpent de mer sorti des
Océans. Il est puissant et déterminé, et ce qu’ils ignorent, c’est que le Dieu
tout-puissant Jésus-Christ l’utilise pour détruire le reste de leur prospérité
déjà mise à mal par l’abandon de la production industrielle au profit de la
Chine, progressivement, depuis 2001, le virus du Covid-19, et la dépense
militaire offerte à l’Ukraine pour la soutenir dans sa guerre contre la
Russie ; mais aussi, bien appauvrie par les sanctions prises contre cette
Russie, car ces sanctions se sont retournées contre les Européens qui ont
abandonné le gaz russe peu cher pour acheter le gaz américain et norvégien plus
cher.
Le
bien-être de la paix est lié à la stabilité de la vie politique, économique et
sociale. Les trois domaines sont attaqués en force par Dieu, aujourd’hui. Sous
ses coups de butoirs, l’Europe exsangue ne sera plus en mesure de résister
militairement à ses ennemis communs, les Russes, mais aussi les Musulmans
islamistes soutenus par de nombreux musulmans dits pacifiques.
Qui
est vraiment le personnage Donald Trump n’est pas la question utile que
nous devons nous poser. Bien plus important est le rôle que Dieu lui fait jouer
dans son action punitive des « dix
cornes » de l’U.E. Car sa détermination est de nature divine et le
Dieu qui l’anime est le « Tout-puissant »
le seul être vivant auquel rien n’est impossible. Devant lui, par la tempête,
les arbres fiers et orgueilleux se couchent pour mourir déracinés, séparés de
leur terre nourricière. Le modèle financier libéral du capitalisme qui a dominé
sur tout l’Occident depuis 1945, est devenu « la pensée unique »
longtemps considérée par des gens « iniques » comme indestructible. Ils
ont témoigné constamment de leur iniquité, faisant plier leurs lois sous
l’autorité du monde financier qui constitue le vrai pouvoir occidental. C’est
donc encore en conformité avec la pensée divine, que Mr Donald Trump a condamné
l’usage injuste de la fausse justice humaine pour tenter d’écarter de la
politique des gens comme lui. Il vient de dénoncer et de condamner l’action de
justice qui vise à interdire la candidature présidentielle de Marine le Pen
candidate du RN en France pour les élections de 2027. Un grand drame aura
éclaté d’ici là, changeant beaucoup de choses, mais l’intention vaut l’action.
S’il y a eu de sa part détournement prouvé de l’argent public, cette faute
mérite une sanction, mais en aucun cas, l’interdiction de représenter ses
électeurs du RN, car la vie entière est organisée par des hommes pour des
hommes. Le choix d’un député ou d’un président est un droit humain qu’aucune
justice terrestre devrait être en droit et en possibilité d’empêcher ;
ceci à cause de la souveraineté du peuple dans un régime prétendu démocratique.
A ceci, j’ajoute que les juges sont des êtres humains et qu’ils ont tous une
orientation politique personnelle qu’ils favorisent en prenant leur décision.
Le juge parfaitement neutre et objectif n’existe pas sur la terre, il ne se
trouve que dans son royaume céleste. Après avoir diabolisé ce parti à cause de
son idéal nationaliste au point que les banques françaises refusaient de lui
prêter de l’argent, obtenu uniquement par des prêts russes, c’est un mauvais
usage de l’argent destiné à payer les
aides de la députée européenne du RN qui lui sont reprochés. Là encore, dans
cette affaire, c’est bien le système financier européen qui attaque son ennemi
existentiel : le RN de Marine le Pen ; l’argent, toujours l’argent,
ce nerf de la guerre dont l’amour est la racine de tous les maux et de toutes
les formes de l’iniquité.
Or,
la richesse est une anomalie de l’existence humaine. Pour t’en convaincre,
regarde la nature et la vie animale ! Trouves-tu un seul animal dont la
pensée consiste à s’enrichir plus que les autres ? En eux, Dieu a gravé la
norme de ses valeurs, chacun ne vit que pour manger et se reproduire. Jésus a donné
en exemple les passereaux que Dieu nourrit selon leur besoin
quotidiennement ; en quoi les besoins réels de l’homme sont-ils
différents ? Les inventions technologiques humaines récentes, ont-elles
libéré l’homme ? Non, elles l’ont rendu encore plus dépendant de l’argent
rendu nécessaire pour en bénéficier. Internet était un piège tendu
diaboliquement et divinement depuis son apparition et son service rendu public
par les Américains. Internet n’a été que le filet jeté dans la mer des masses
humaines pour piéger les poissons captifs, captivés et séduits par son
utilisation. Chacun se refermant sur ses contacts des réseaux sociaux, le lien
social familial proche a été détruit et a favorisé le développement monstrueux
de l’égoïsme et de l’individualisme. De la sorte, le lien virtuel artificiel a
tué et rendu impossible le lien fraternel spirituel de la vraie religion bénie
par Dieu.
Je
ne crains pas de le dire, mais Internet aura permis la transmission du meilleur
soit, ce que présente le site « retourjc2030.com » et sa lumière
divine, et le pire ; ce que constituent les réseaux sociaux internationaux.
Dans
la sainte Bible, Dieu ne condamne pas le statut de l’esclave, mais s’il le
justifie c’est pour une raison spirituelle : il ne donne pas à ce statut
l’aspect odieux que l’humanité inique lui a donné. Pour cette humanité,
l’esclave est traité comme un animal, ce que confirme dans son action le
méchant maître qui le rudoie et le brutalise. A l’opposé de ce modèle, Dieu se
présente dans le rôle du bon maître que son esclave apprend à aimer au point de
ne plus vouloir être séparé de lui. Dans le programme de la vie humaine, le
méchant est nécessaire pour permettre aux élus de découvrir l’amour du bon
maître. La comparaison des deux sortes de maître conduit les élus à se jeter
dans les bras du bon et divin maître. Le bien ne s’apprécie qu’en étant comparé
au mal qui apparaît ainsi utile pour la sélection divine des élus.
Dans
son expérience professionnelle, Donald Trump a vu les effets et les
conséquences de la perversion du système boursier duquel dépendent en grande
partie les paiements des retraites de tous les Américains. En pensée ou modèle
unique, le système a été reconduit de génération en génération, et les
premières victimes de ses abus ont été les travailleurs Américains privés
d’emploi et de salaire. Par Donald Trump, Dieu pointe du doigt les responsables
des malheurs provoqués : les parasites boursiers insatiables. Le seul
remède possible est le retour en arrière ; ce qui nécessite l’isolement de
la nation qui sera alors contrainte de se prendre en charge industriellement et
économiquement. Cette remise en cause d’un modèle d’existence est à l’image de
celle qui s’impose à tout homme qui veut se convertir à la vraie religion
divine. Quel que soit son héritage religieux ou païen, l’élu doit accepter
d’être reconstruit sur le modèle présenté en Jésus-Christ. Mais cette
reconstruction n’est pas une restauration ni une réparation car elle exige une
destruction de l’ancien modèle porté par le vieil homme. C’est le sens du
baptême qui demande au baptisé de mourir à lui-même pour revivre en Dieu en
Jésus-Christ.
En
ce jeudi 10 Avril 2025, le monde respire et se rassure…car Donald Trump revient
sur sa politique de taxe pour offrir un temps de réflexion de 90 jours aux
nations de la terre. Dans sa réalité et sa perception personnelle, le président
a craint que la chute des valeurs boursières que ses mesures ont provoquée
retourne une majorité d’Américains contre lui et sa politique nationaliste.
Mais que se passe-t-il réellement ? La réalité est dans le programme de
Dieu qui veut conserver une Amérique forte donc riche et puissante. Aussi,
faut-il protéger les investissements boursiers américains. Voici comment la
situation s’explique : Donald Trump a clairement annoncé ce qu’il veut
faire et il n’a pas caché son hostilité envers les investisseurs boursiers qui
favorisent les délocalisations des productions américaines. Le délai de 90
jours va permettre à ces investisseurs de retirer leurs avoirs de leur placement précédent et actuel pour
les placer sur les groupes favorables à la reconstruction des entreprises
américaines sur le sol de l’Amérique selon le souhait du président Trump. Cette
marche arrière momentanée est du même type que le retrait des troupes romaines
venues faire le siège de Jérusalem en l’an 70. Par ce retrait momentané, Dieu a
offert aux gens de foi la possibilité de fuir de Jérusalem avant le grand
désastre qui l’a entièrement détruite avec tous ses habitants restés alors
qu’ils auraient pu s’enfuir au moment favorable ; et avec eux furent
frappés aussi tous les Juifs venus ensuite des autres régions du pays pour célébrer
la Pâque.
Dans
l’immédiat, Donald Trump a réussi à obtenir de tous les pays que l’Amérique
taxe de 10 % leurs productions importées aux USA ; elle est donc déjà
gagnante. La cible privilégiée de Donald Trump, c’est la Chine qui est, en
2025, le plus puissant pays producteur sur toute la terre. Sa monnaie, le
« Yuan » est sous-évaluée, ce qui lui permet de maintenir des prix de
vente assez bas, imbattables par la concurrence mondiale. Le bras de fer a
commencé entre les deux participants ; d’escalade en escalade, les USA
taxent aujourd’hui à 145 % la Chine qui les taxe en retour à 125 %. Ces 90
jours de délai nous portent vers le début du mois de Juillet, et d’autres bras
de fer s’engageront … Les investisseurs mondiaux sont maintenant prévenus, la
cible de la colère divine est la bourse mondiale ; l’instrument de la
cupidité insatiable des parasites intermédiaires.
M30- Le prix du mépris
Tout
mépris pour un sage conseil finit par être payé par le méprisant, mais lorsque
ce conseil de sagesse a été donné par Dieu, en personne, ce prix atteint un
niveau terriblement élevé. Et c’est ce qui arrive dans notre temps à la France,
coupable d’avoir méprisé ce conseil donné par Jésus-Christ, le Dieu
tout-puissant incarné dans la chair humaine. Il a déclaré dans Matthieu
6:24 : « Nul ne peut servir deux maîtres. Car, ou il haïra l'un, et aimera l'autre ; ou il s'attachera à l'un, et méprisera
l'autre. Vous ne pouvez servir Dieu et Mammon. ».
S’il
est vrai que Jésus dénonce par ce verset une attitude spirituelle d’infidélité
religieuse qui condamne les gens dont le cœur est partagé entre Dieu et l’amour
de l’argent et des richesses terrestres, il n’en est pas moins vrai que ce
partage d’amour pour deux maîtres est un principe de malédiction dans toutes
ses applications. C’est déjà le cas à cause du chiffre 2 qui est en forme
numérique le nombre symbolique de la malédiction de l’imperfection,
contrairement au chiffre 3 qui désigne, lui, la perfection.
Depuis
longtemps, ayant déjà sous l’ancien régime monarchique adopté le principe de la
nationalité basée sur le droit du sol, la France a accordé la nationalité
française à des multitudes de gens venus de l’Etranger. En conséquence, ces
personnes nées sur un sol étranger se retrouvent porteuses d’une double
nationalité. C’est alors que ces personnes se retrouvent dans une situation peu
enviable de partage d’attachement à leur nation originelle et leur nation
d’adoption avec pour conséquence de ne plaire à aucune des deux nations
concernées.
Dans
l’application spirituelle, l’exemple de Rahab, la prostituée de Jéricho est un
parfait exemple d’une adoption réussie. Pourquoi ? Mais parce qu’après son
ralliement à la cause du Dieu des Hébreux, sa ville natale fut entièrement
détruite et anéantie par les soldats hébreux. Elle ne risquait plus d’avoir à
partager son cœur entre sa patrie d’origine et son nouveau peuple d’adoption.
Et tout alliance passée avec le vrai Dieu exclut tout retour en arrière ;
ce que Dieu illustre parfaitement en présentant l’expérience de Lot, ses deux
filles et sa femme, disant dans Genèse 19:17 : « Après les avoir fait sortir, l'un d'eux dit : Sauve-toi, pour ta vie ; ne regarde pas derrière toi, et ne
t'arrête pas dans toute la plaine ; sauve-toi vers la montagne, de peur que tu
ne périsses. » Et nous lisons au verset 26 : « La
femme de Lot regarda en arrière, et elle devint une statue de sel. »
Pourquoi
Dieu l’a-t-il transformée en statue de sel ? Parce que son cœur était
resté attaché à la richesse du lieu basée sur l’exploitation du sel qui fait
encore aujourd’hui de la mer morte l’eau la plus salée sur toute la terre et ceci,
à un niveau d’altitude de – 400 mètres au-dessous de la mer Méditerranée. Cet
abaissement fait du lieu un abîme maudit par Dieu ; maudit comme le sel
qui a enrichi les habitants de Sodome et Gomorrhe et qui constitue la cause de
la totale stérilité terrestre. Dieu a ainsi donné à la femme de Lot, la nature
de ce sel qui représente toute sa parfaite stérilité spirituelle.
Je
relève, en les citant, que ces versets portent les nombres 17, symbole du
jugement et 26, nombre du nom de Dieu YaHWéH. Ceci me porte à dire que ces
versets soulignent un sujet auquel Dieu donne une énorme importance, parce
qu’ils condamnent le partage des cœurs humains entre Dieu et la jouissance des
biens matériels terrestres ; chose qui caractérise aujourd’hui, la
quasi-totalité des humains qui vivent en Occident, en Europe et aux Amériques.
C’était
déjà le cas, dans la vie des Juifs de l’ancienne alliance qui étaient assemblés
de manière traditionnelle par l’héritage national traditionnel. Ils avaient au
moins l’excuse de n’avoir pas vu les œuvres accomplies par Jésus-Christ et les
derniers de ces Juifs héritiers d’Abraham n’ont pas eu cette excuse et les
œuvres parfaitement justes de son ministère messianique les ont totalement
condamnés à la destruction accomplie par les Romains en l’an 70. Et là encore,
en faisant accomplir ce jugement dans « l’an 70 », Dieu a désigné la
cause de ce châtiment ; à savoir, le mépris témoigné par eux envers la
prophétie des « 70 semaines » prophétisées dans Daniel 9:23 à 26.
V.23
: « Lorsque tu as commencé à prier, la parole est sortie, et je viens pour te l'annoncer ; car tu es un bien-aimé. Sois attentif à la parole, et comprends la
vision ! »
Ce
verset doit être bien compris, car il explique pourquoi Daniel est considéré
par Dieu comme « un bien-aimé ». L’explication
se trouve dans les versets précédents dans lesquels Daniel adresse à Dieu une
fervente prière dans laquelle il s’humilie ainsi que son peuple pour lequel il
intercède, reconnaissant toutes ses fautes et son infidélité. Daniel est
personnellement le contraire de ce comportement et sa prière et son intérêt
pour les prophéties divines en témoignent.
V.24 :
« Soixante-dix semaines
ont été fixées sur ton peuple et sur ta ville sainte, pour faire cesser les
transgressions et mettre fin aux péchés, pour expier l'iniquité et amener la
justice éternelle, pour sceller la vision et le prophète, et pour oindre le
Saint des saints. »
Parce
que « le sang des taureaux et des boucs est incapable d’expier le
péché » originel et ses
reproductions, selon Hébreux 10:4 où il est écrit, « car
il est impossible que le sang des taureaux et des boucs ôte les péchés »,
« le Saint des saints » que représente Dieu en
Jésus-Christ est venu « expier » dans sa chair humaine,
« le péché » porté par ses élus, eux seuls étant rachetés
par sa grâce. Ils bénéficient ainsi de la vie éternelle obtenue par sa « justice
éternelle » parfaite.
V.25 :
« Sache-le donc, et comprends ! Depuis le moment où la parole a annoncé que
Jérusalem sera rebâtie jusqu'à l'Oint, au Conducteur, il y a sept semaines
et soixante-deux semaines, les places et les fossés seront rétablis, mais en
des temps fâcheux ».
Dans
ce verset, Dieu offre à ses élus le moyen de connaître la date de la mort de
Jésus-Christ. En 2018, construite sur cette date, il a révélé à ses derniers
prophètes « bien-aimés », la date de son retour glorieux attendu pour
le printemps 2030.
V.26 :
« Après les soixante-deux semaines,
un Oint sera retranché, et il n'aura pas de successeur personne pour lui.
Le peuple d'un chef qui viendra détruira
la ville et le sanctuaire
la sainteté, et sa fin arrivera
comme par une inondation ; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu'au
terme de la guerre. »
Ce
verset présente l’intérêt de révéler successivement la cause et la conséquence
du mépris pour cette annonce prophétique. L’histoire témoigne que c’est dans
l’année 70, que les troupes romaines conduites par Titus, sont venues détruire
la ville de Jérusalem, son clergé et ses habitants soit, sa sainteté stérile
infidèle devenue inutile. Et il est vrai que dans l’action, le saint temple
devenu cause d’idolâtrie a été également détruit par une fureur romaine
inspirée par Dieu.
Ayant
ainsi donné en 70 le témoignage que Dieu punit mortellement le mépris pour la
parole prophétique, Dieu peut en toute justice appliquer cette même sentence contre
les chrétiens infidèles et indignes qui reproduisent ce mépris bien qu’ayant
reçu de Dieu cet avertissement cité par l’apôtre Paul dans I Thessaloniciens
5:19 à 22 : « N'éteignez pas l'Esprit. Ne
méprisez pas les prophéties. Mais examinez toutes choses ; retenez ce
qui est bon ; abstenez-vous de toute espèce de mal. » Mieux encore, de
son côté l’apôtre Pierre précise dans 2
Pierre 1:19 à 21 : « Et nous
tenons pour d'autant plus certaine la parole prophétique, à laquelle vous
faites bien de prêter attention, comme à une lampe qui brille dans un lieu
obscur, jusqu'à ce que le jour vienne à paraître et que l'étoile du matin se
lève dans vos cœurs ; sachant tout d'abord vous-mêmes qu'aucune prophétie de
l'Écriture ne peut être un objet d'interprétation particulière, car ce
n'est pas par une volonté d'homme qu'une prophétie a jamais été apportée, mais
c'est poussés par le Saint Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu.
»
Après
de tels avertissements, aucun chrétien n’est en droit de se demander si l’étude
de la parole prophétique est utile ou pas. Les chrétiens qui hésitent sur la
réponse à donner à ce type d’interrogation n’appartiennent pas à Jésus-Christ,
en dépit de leur engagement religieux officiel.
Le
mépris de la parole prophétique est la raison qui explique la mort spirituelle
de toutes les institutions chrétiennes et de la religion juive. Car Dieu a
déclaré aux être humains ces paroles citées dans Amos 3:7 : « Car
le Seigneur, YaHWéH, ne fait rien sans avoir révélé son secret à ses serviteurs
les prophètes. »
J’attire
l’attention de tous sur ce verset qui révèle ce que doit être la vraie
religion. La qualité de la vie religieuse en dépend. Dieu présente le type de
relation qu’il désire mettre en œuvre entre lui et ses créatures. Il reste invisible
mais constamment actif en faisant partager sa pensée à ses serviteurs les
prophètes qu’il choisit et sélectionne, personnellement, lui-même, parmi toutes
ses créatures disponibles. Le « prophète » ou le « voyant »
est donc l’homme pour lequel le Dieu invisible se révèle dans son esprit et ses
pensées dans lesquelles Dieu lit et écrit comme dans un livre, tel que la
sainte Bible dans laquelle il a fait écrire les messages inspirés à ses
prophètes.
Le
canon biblique s’est refermé après la mort de Jésus-Christ, par la révélation
Apocalypse donnée à l’apôtre Jean à la fin du premier siècle de notre ère. Mais
l’inspiration divine, disparue pendant les temps des ténèbres du catholicisme
romain, a été reprise partiellement au temps de la Réforme protestante. Mais
c’est surtout en 1816, que cette inspiration divine a concerné de nouveau la
parole prophétique divine ; et le prophète choisi pour la porter avait
pour nom William Miller et il vivait aux USA ; après lui, Dieu a choisi
une femme, Ellen White, pour transmettre à ses élus « adventistes du
septième jour » ses enseignements et ses directives. Ce déplacement, par
Dieu, de ses prophètes aux USA a confirmé sa condamnation du monde européen
resté sous la malédiction du catholicisme papal romain et de son jour du repos
appliqué sur le premier jour imposé en Europe depuis l’empereur Constantin 1er
le grand, le 7 mars 321 ; après l’apostasie chrétienne créée par la paix
religieuse de 313, par son Edit de Milan. Le Dieu créateur a choisi cette terre
redécouverte pour y faire éclore sa première génération d’élus sanctifiés par
la restauration du saint sabbat du septième jour ; le samedi de notre
semaine divine et humaine. Dans son programme, ce retour du sabbat s’accompagne
du symbolisme d’un retour de son Israël en terre promise. Les « 12
tribus scellées » d’Apocalypse 7 confirment cette intention.
Hélas ! Mais logiquement, le temps qui favorise le comportement de
l’héritage religieux traditionnel a eu raison de cette dernière institution « vomie »
officiellement par Jésus-Christ en 1994, pour le même mépris prophétique
témoigné dans le fief adventiste français à Valence sur Rhône.
Ainsi,
l’histoire religieuse a encore été écrite après l’Apocalypse donnée à l’apôtre
Jean. Les ouvrages écrits par Ellen White ont posé des bases permettant de
comprendre l’œuvre adventiste par laquelle le canon de l’inspiration divine
s’est prolongé jusqu’en 1980, date de mon baptême adventiste du septième jour.
Et depuis cette date, tous mes écrits prolongent ce canon divin confirmé dans
ses messages écrits chaque semaine au gré de l’inspiration divine que Dieu me
donne selon son exclusive volonté. Je vois aujourd’hui se mettre en place des
choses que j’avais pensé voir s’accomplir déjà en 1983 et 1993. J’assiste
ébloui, à l’action de mon Dieu qui met en œuvres tout ce qu’il a annoncé et m’a
fait connaître 50 années plus tôt. Son projet prend sens à la lumière des
événements qui s’accomplissent dans le monde entier concerné par sa juste
colère.
Après
avoir rappelé le prix payé pour le mépris des ordonnances spirituelles
transmises par Dieu, je reviens
maintenant aux conséquences portées actuellement par la double
nationalité des êtres humains. Car dans l’actualité elle est devenue la cause
de graves tensions entre les gouvernants de l’Algérie et ceux de la France. Un
Algérien naturalisé français et bien reconnu par la France, nommé Boualem
Sansal, s’est rendu en voyage en Algérie. Et là, irrité par ses propos qui
donnaient raison à la revendication du Maroc sur une terre située au Sud de
l’Algérie, l’homme a été arrêté et mis en prison en Algérie. Et voici donc le
problème concret que pose la double nationalité, car en tant qu’Algérien,
l’Algérie a des droits sur lui, et en tant que Français naturalisé, la France a
aussi des droits sur sa personne. Déjà, en choisissant de reconnaître à la
terre disputée une propriété marocaine, le président Macron a placé la France
en situation d’adversaire de l’Algérie dont la haine pour la France depuis sa
guerre d’indépendance commencée en 1954 est chantée dans son hymne national. La
relation entre les deux pays s’est maintenue hypocritement uniquement pour des
raisons d’intérêts momentanés. A l’heure favorisée par de grands changements,
et particulièrement pour la France d’une grande faiblesse financière, le
comportement hypocrite algérien cesse et la rancœur longtemps contenue éclate
et prend forme au moindre prétexte. Un tel adversaire est pour la France
redoutable à cause de son énorme représentation sur la terre de son sol
national. Les rébellions continuelles de cette jeunesse algérienne immigrée ont
été minimisées par tous les dirigeants successifs de la 5ème
République. De peur de conséquences beaucoup plus graves, ils ont préféré faire
le dos rond et essuyé les dégâts matériels commis tels que l’incendie des
véhicules dans les jours des fêtes nationales françaises. Des dépenses énormes
ont été consacrées pour tenter d’amadouer cette rébellion interne étrangère et
au fil du temps, de concession en concession, la jeunesse agressive s’est progressivement
installée dans sa cohabitation avec le régime incrédule de la laïcité. Mais le
feu couve sous la braise et les tensions actuelles vont ranimer l’animosité
naturelle qui oppose l’islam revanchard à cette laïcité républicaine ;
pour le cas de l’Algérie la rancœur suscitée par la haine de l’ex colon double
et renforce cette opposition religieuse.
Nous
pouvons déjà, à la lumière de cette nouvelle tension, relever l’importance du
temps colonial dans le programme formé et accompli par le Dieu créateur.
L’histoire est une succession d’événements qui créent des causes suivies
d’effets. Des pays comme l’Angleterre et la France ont été contraints
d’accueillir en multitudes des habitants des pays anciennement colonisés.
L’Angleterre a reçu des multitudes venues de l’Inde et la France est composée
en majorité d’une immigration algérienne puis de Musulmans magrébins marocains
et tunisiens ; mais aussi, plus récemment, d’une grande quantité de Noirs
africains regroupés dans les banlieues des grandes villes françaises.
Ce
qui paraît normal pour une jeune personne d’aujourd’hui, ne l’est pas pour
l’homme âgé que je suis. Le changement est énorme et épouvantable. Car ce qui a
été possible en temps de paix va devenir tragique et terrible en temps de guerre.
J’ai connu une France blanche et chrétienne et me retrouve aujourd’hui dans une
France cosmopolite dans laquelle la terre entière semble s’être installée pour
y être représentée. Tous ces gens immigrés ont apporté avec eux leur religion
et leurs traditions culturelles et traditionnelles.
Dans
le passé, les religions chrétiennes se sont opposées et combattues pour des
opinions religieuses différentes opposées. Quand le régime républicain s’est
imposé, ces combats réels ont cessé. Mais la forte immigration qui a suivi a
installé de multiples religions païennes, même sous l’apparence du monothéisme
comme c’est le cas de l’islam que Dieu a suscité après l’instauration du régime
catholique papal, uniquement pour la dispute.
Ce but de dispute est confirmé par l’imposition du voile porté par les
femmes musulmanes. Le vrai Dieu, n’a imposé aucune tenue particulière à ses
serviteurs des deux alliances, il a simplement interdit aux hommes de porter
des vêtements de femmes, et aux femmes de porter des vêtements d’homme.
L’inutilité du voile pour les femmes est confirmée par les paroles de l’apôtre
Paul qui dit que leurs cheveux longs tiennent le rôle de voile.
L’interdiction
imposé à l’homme de ne pas porter des vêtements de femmes a une cause hautement
spirituelle qui échappe au raisonnement humain. En créant le couple composé de
deux sexes complémentaires, Dieu a donné à l’homme et la femme une valeur
symbolique spécifique : l’homme, c’est Christ, et la femme, c’est son
Elue, son assemblé d’élus rachetés par son sacrifice expiatoire. Le vêtement
est le symbole de la justice donnée ou pas par Jésus-Christ. Lavé, il
justifie ; souillé, il condamne. Dans son projet salvateur, c’est
Jésus-Christ qui revêt son épouse de sa justice et c’est sa divinité de mâle qui
la féminise et fait d’elle son Elue. Aussi, en portant des vêtements d’homme,
la femme se fait l’égal de Jésus-Christ, l’homme parfait ; ce qui trahit
le projet salvateur du Dieu créateur. De même, l’homme qui revêt des vêtements
de femmes humilie et déshonore Jésus-Christ qu’il représente en tant que mâle,
car agissant ainsi, il féminise Jésus-Christ qu’il symbolise par sa nature
d’homme.
Chacun
est libre de tenir compte ou pas de cette explication, mais le témoignage
biblique nous a appris le prix payé pour le mépris témoigné envers les saintes
et divines valeurs de Dieu. La leçon fut payée par Moïse dont les paroles
déformèrent le projet prophétique salvateur de Dieu : il lui fut interdit
d’entrer dans la terre promise ; à bon entendeur, est réservé le salut du
divin Christ.
En
2025, la représentation de la population française est à l’image de cette
description de « Babylone la grande » qui
symbolise la ville de Rome, organisatrice de l’actuelle U.E., et la religion
catholique papale qui y a son siège du Vatican. L’Esprit dit dans Apocalypse 18:2-3 :
« Il cria d'une voix forte, disant :
Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande ! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit
impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux, parce que toutes les nations ont bu du vin
de la fureur de son impudicité, et que les rois de la terre se sont livrés avec
elle à l'impudicité, et que les marchands de la terre se sont enrichis par la
puissance de son luxe. »
Je
trouve régulièrement dans ma boîte aux lettres des prospectus placés par des
marabouts africains, jeteurs de sorts, qui prétendent être des voyants mais qui
abusent des gens séduits et trompés. Avec le temps ils se sont multipliés et la
France paie ainsi le prix de sa colonisation de l’Afrique noire. Le choix
humaniste est en cause car comme son nom le dit, l’humaniste approuve le
rassemblement des êtres humains. Dans son aveuglement spirituel, il ne voit pas
les risques encourus par la cohabitation des religions incompatibles entre
elles.
Dans le verset cité, il faut relever l’expression
« elle est devenue ». Cette précision confirme l’énorme
changement relevé dans l’Europe actuelle ; celle des derniers jours. Le
mélange ethnique européen explique cette transformation prophétisée par Dieu.
Et nous voyons ainsi que l’Europe s’apprête à subir les conséquences de son
mépris pour les leçons divines basées sur l’expérience désastreuse de son
Israël juif de l’ancienne alliance. Sa protection divine dépendait de
l’interdiction de contracter des mariages avec les gens des nations étrangères.
L’Europe actuelle est l’opposée absolue de cette interdiction. Le mépris des
valeurs divines est ainsi confirmé et son prix va être très élevé. A l’échelle
mondiale, les sociétés occidentales reproduisent aujourd’hui la confusion de la
population réunie à Babel. La différence tient uniquement dans le fait qu’à
Babel, les habitants partageaient une seule et même langue et qu’ils se sont
séparés quand Dieu a suscité des langues différentes qui ont fait qu’ils ne se
comprenaient plus. Aujourd’hui, le rassemblement des populations occidentales
est réalisé malgré les langues différentes, la faute commise est donc aggravée
et la culpabilité sera payée par des centaines de millions de morts soit, par
un prix bien supérieur à la séparation causée par les langues parlées
différentes de Babel.
Le
changement européen a été la conséquence de l’influence du modèle de vie
américain dans lequel néanmoins, au début de son histoire, le pays n’avait
qu’une seule langue : l’anglais. Grâce à cette unique langue, au fil du
temps, la vie des communautés blanches et noires a été rendue possible. Mais à
son tour, l’Amérique a accueilli beaucoup de gens d’origine hispanique catholique
qui se sont multipliés dans le pays et surtout dans ses grandes villes. Ceci au
point que le catholicisme romain et la langue espagnole ont pris une énorme
place dans la culture de ce pays originellement protestant. La cohabitation
pacifique des deux religions a donc créé aussi aux USA une grande confusion
religieuse. Mais que signifie cette cohabitation pacifique ? Simplement
que la religion a perdu toute sa valeur et sa raison d’être.
La
même confusion concerne donc aujourd’hui en 2025, les USA et l’U.E. soit, tout
le camp occidental auquel il convient de rattacher l’Australie. Ceci au point
que Dieu adresse de nouveau au christianisme apostat ces paroles adressées aux
Juifs dans Esaïe 2:6-7 : « Car
tu as abandonné ton peuple, la maison de Jacob, parce qu'ils sont pleins de l'Orient, et adonnés à la magie comme les Philistins, et parce qu'ils
s'allient aux fils des étrangers. Le pays est rempli d'argent et d'or, et
il y a des trésors sans fin ; le pays est rempli de chevaux, et il y a des
chars sans nombre. »
Quand
Dieu cite « l’Orient » au temps d’Esaïe, il désigne les actuels Iran
et Iraq d’où sont venus les mages pour honorer la naissance du messie Jésus.
Mais à l’époque d’Esaïe, ces pays étaient intégralement païens et idolâtres. En
2025, ces pays sont musulmans et sont donc à ce titre restés païens et
idolâtres en dépit de leur revendication de leur rattachement au Dieu créateur.
Une
émission d’une chaîne info télévisée rappelle ce soir l’approche du 9 Mai, date
où en 1945, la Russie a obtenu des Occidentaux que la capitulation de
l’Allemagne nazie soit officialisée et célébrée une seconde fois après le 8 Mai,
mais cette fois le 9 mai et sur le sol de la Russie. Le moment était donc vécu
dans une entente déjà hypocrite, puisque l’année suivante 1946 fut marquée
comme début de la « guerre froide ». Ce rappel historique redonne à
l’année 2026, le rôle logique de marquer le début de la Troisième Guerre
Mondiale qui marquera l’anniversaire de la « guerre froide » de
1946 ; après la « guerre froide », « la guerre plus que
chaude ».
La
vie internationale est à l’image d’une casserole dans laquelle on chauffe du
lait. Si l’on n’y prend pas garde et n’intervient pas à temps, un voile se
forme à la surface du lait, il monte et finit par déborder du récipient et se
répand à l’extérieur. De multiples données conditionnent les relations
internationales qui exigent des ajustements permanents. Dans toutes ces
situations, le grand Dieu créateur, l’Esprit, peut intervenir pour empêcher ces
ajustements et provoquer des tensions internationales jusqu’au clash décisif
qui dresse, nation contre nation, royaume contre royaume, empire contre empire.
Et en 2025, l’élection de Donald Trump tient ce rôle qui remet en cause les
équilibres relationnels obtenus jusqu’à lui. Son attitude est contagieuse et
des nations restées calmes et dociles se réveillent remplies d’animosité envers
des ennemis potentiels séculaires ou nouveaux.
M31- La divine extase
Ce
sujet traite de la sexualité spirituelle et physique. Dieu étant le Créateur de
la vie humaine et de tout ce qui la caractérise, la sexualité est un don qu’il
a fait à ses créatures humaines de manière unique et spécifique. Car cette
sexualité porte un sens prophétique qu’il convient de nommer, merveilleux.
Dans
l’acte sexuel qui unit le couple d’un homme et d’une femme, alors que les deux
corps ne forment qu’une seule chair, l’esprit humain reçoit une décharge de
bonheur intense nommée orgasme pour l’un et pour l’autre.
Nous
devons spiritualiser cette pure « connaissance » biblique des
deux partenaires en tenant compte que l’homme est l’image de Jésus-Christ et
que la femme est l’image de l’Assemblée de ses élus rachetés par son sang pur,
innocent et parfaitement juste.
Quand
cet effet de jouissance est ressenti dans l’esprit humain sans stimulation des
organes sexuels, il prend alors le nom « extase », et ayant
expérimenté personnellement les deux formes, je peux témoigner que l’effet
mental ressenti dans notre cerveau est identique. La différence des deux tient
en ce que l’orgasme est une sorte d’explosion courte et momentanée, alors que
l’extase se prolonge aussi longtemps que Dieu le veut. Dans la vision dont j’ai
été l’objet en 1975, l’extase s’est prolongée pendant toute la durée de la
vision, et pendant tout ce temps, j’étais conscient éveillé mais sans corps.
J’étais déplacé au gré de la volonté de Dieu et mis en vision des choses qu’il
construisait dans mon esprit placé sous sa direction. Et ce souvenir est
inoubliable, gravé dans mon esprit comme sa loi sur les tables de pierre. Je me
souviens que cette extase était rattachée à un son continu dont l’intensité
augmentait avec l’intensité de l’extase. J’étais donc, à ce moment, uniquement,
un cerveau, des yeux et des oreilles, sans corps physique et sans membres
supérieurs et inférieurs.
A
l’époque de la vision, mon esprit était tourmenté, pris entre deux passions
contraires : la chair et l’esprit spirituel. Des désirs charnels
m’attiraient pour m’exciter, et à l’inverse, je voulais comprendre les mystères
de l’Apocalypse révélée à l’apôtre Jean. La vision m’a donc été donnée par Dieu
comme une réponse à mes tourments. En 1975, il m’a annoncé en image que mon
désir de comprendre l’Apocalypse serait exaucé, et la chose s’est accomplie
cinq ans plus tard, quand j’ai choisi de prendre le baptême de Jésus-Christ
dans l’église adventiste du septième jour de ma ville natale, Valence sur
Rhône, en France.
Ainsi,
la sexualité bien vécue est un cadeau divin, un acompte par lequel il nous fait
découvrir le bonheur que ressentiront ses élus quand Jésus viendra les prendre
le jour du printemps 2030, et qu’ils entreront dans sa divine présence, dans un
corps terrestre changé en céleste, mais ayant conservé leurs pensées et leur
personnalité mentale.
Sous
un tel regard divin, la sexualité n’a rien du péché que l’église catholique
romaine en fait. Je rappelle à ce sujet que les dix commandements de Dieu
originels, formulés et écrits de son doigt, gravés sur des tables de pierre
remises à Moïse, ne comportent aucune formulation de type sexuel. Le seul
commandement qui est en lien avec la chair, mais aussi avec l’esprit est le commandement
concernant l’adultère. Mais là encore, l’adultère ne fait que condamner
l’infidélité. Et voici donc le mot clé qui justifie la bonne relation entre
Dieu et l’être humain et entre un homme et sa femme.
Les
dix commandements de Dieu sont la loi du bonheur parfait. Chacun d’eux ne fait
que condamner ce qui est condamnable parce que leur transgression rend le bonheur
impossible. Certains commandements se présentent sous une forme impérative
d’obligation et d’autres, au contraire, sous une forme également impérative,
mais d’interdiction. Et l’ensemble de ces dix commandements compose le
comportement de l’élu idéalement agréable à Dieu ; le compagnon d’éternité
qu’il veut avoir auprès de lui, dans l’éternité céleste.
La
sexualité est ressentie et vécue par tous les êtres humains normalement
constitués dès l’âge de la puberté pour les garçons et pour les filles. Cette
puberté apparaît entre 12 et 14 ans, avec des exceptions de cas précoces, mais
cet âge de 12 ans est bibliquement celui où l’enfant devient adulte dans la
culture des Hébreux. Dieu lui rattache cette définition dans Esaïe
7:14-15 : « C'est pourquoi le
Seigneur lui-même vous donnera un signe, Voici, la jeune fille deviendra
enceinte, elle enfantera un fils, et elle lui donnera le nom d'Emmanuel. Il
mangera de la crème et du miel, jusqu'à ce qu'il sache rejeter le mal et
choisir le bien. » L’exemple donné concerne, l’enfant nommé Jésus de
Nazareth qui en tant que nouvel Adam représente l’être humain parfait, le
modèle idéal approuvé et aimé par Dieu dont il était l’incarnation. C’est donc
ce modèle que les Hébreux honorent en fêtant le passage de l’enfant à son
statut d’adulte responsable, dès l’âge de 12 ans. « Rejeter le mal et choisir le bien »
est donc la caractéristique de l’adulte, et cette pratique divine biblique
condamne tous les baptêmes administrés aux nourrissons dans les églises
chrétiennes apostâtes. C’est ce type de pratique illogique qui irrite Dieu et
le déshonore, lui, le créateur de l’intelligence.
Pour
sa part, le divin enfant Jésus, n’a pas eu à rejeter le mal car il est né
entièrement marqué par l’amour du bien ; étant à Dieu dès sa naissance
jusqu’à sa mort où, incarnant le péché de ses élus, l’Esprit s’est retiré de
lui, le laissant seul et momentanément désespéré, submergé par la souffrance
physique et mentale, lorsqu’il a dit : « Mon Dieu ! Mon Dieu !
Pourquoi m’as-tu abandonné ? » Dans un éclair de lucidité,
avant d’expirer, il a pris conscience que sa mission terrestre devait s’achever
par sa mort et il a dit alors : « Tout est accompli ; Père,
entre tes mains je remets mon esprit ».
Pour
les autres êtres humains, dès l’âge de 12 ans, Dieu les tient pour responsables
de tous leurs choix et leurs œuvres. Mais entre leur naissance et l’âge de 12
ans, Dieu ne les tient pas pour autant pour « innocents », car ils
portent en eux l’héritage du péché mortel d’Adam et Eve. Et ainsi, à l’âge de
12 ans, Dieu leur présente son offre de grâce dont ils ne peuvent bénéficier
qu’en « rejetant le mal et choisir le bien ». Or, devant les êtres
humains se présentent le péché et toutes ses formes attractives charnelles.
C’est en résistant à cette attraction que le pécheur doit « rejeter le mal ». Mais « rejeter le mal » ne suffit pas pour
échapper à la condamnation du péché hérité par Adam et Eve, c’est pourquoi, le
pécheur doit aussi impérativement, « choisir
le bien ». C’est là, que ce bien qui doit être choisi prend la forme
de la grâce proposée au nom de Jésus-Christ. Le « bien à choisir »
concerne le plan du salut entier tel que Dieu l’a mis en œuvre dans ses deux
alliances successives. Ce « bien à choisir » est présenté
et décrit par les dix commandements originels de Dieu, tels qu’Exode 20 les
présente. Mais ces dix commandements ne font que résumer l’essentiel de la
loi divine. Car en effet, le premier commandement « tu n’auras pas d’autres dieux devant
ma face » implique le devoir de reconnaître et mettre en pratique
l’ensemble de toutes les ordonnances prescrites par Dieu à Israël dans
l’ancienne alliance. Et c’est pour réussir cette mise en œuvres concrètes que
l’aide donnée par Jésus-Christ apparaît indispensable et nécessaire.
Parlant
à l’intelligence de ses vrais élus rachetés par son sang, Jésus-Christ révèle
dans ses messages prophétiques ce que son ministère terrestre a apporté en
changement. C’est le cas des sacrifices et des offrandes animaliers que sa mort
a rendus après lui, caduques, inutiles, vains et trompeurs. Ceux qui les
pratiquent encore malgré tout l’irritent et portent sur eux le poids de son
ardente colère. Ils sont en effet inexcusables depuis qu’il est écrit dans
Daniel 9:27 : « il fera cesser le sacrifice et l’offrande ».
C’est encore l’intelligence des élus qui leur permet de comprendre, par la
logique, que tout ce qui concerne une pratique nationale disparaît dans
l’Israël spirituel de la dispersion. Mais les jugements moraux établis par Dieu
ne changent pas parce que Jésus est mort. Bien au contraire, sa mort exige sur
ce plan moral, un respect intensifié dont le modèle est la vie même de
Jésus-Christ.
Je
reviens sur ce mot clé, « fidélité »
car il définit à lui seul, la norme d’un élu éternel choisi par Dieu. Sur la terre,
l’être humain a fait du chien le modèle de la fidélité : l’ami fidèle.
Pourquoi, le chien se montre-t-il fidèle envers son maître ? Tout
simplement parce qu’il le nourrit et lui consacre du temps, pour le sortir et
le promener. Contrairement aux êtres humains, le chien ne conteste pas les
idées de son maître ou sa maîtresse dont il est dépendant. C’est pourquoi, nous
voyons en notre époque de plus en plus de gens qui adoptent ou achètent un
chien dont il existe un grand choix de races et d’aspect physique ; grands
ou petit, gros ou fins, aux poils longs ou courts, …etc. Le nombre croit en
même temps que les relations humaines deviennent de plus en plus insupportées
et causes de problèmes. Le chien est donc le nouveau remède, le palliatif qui
vient remplir la vie des gens séparés de Dieu, et souvent séparés des humains.
Car le lien avec Dieu, le seul et vrai Maître digne de fidélité, comble à lui
seul, tous les besoins humains. Ces textes cités dans Malachie 2 :13 à 15
confirment l’importance de l’infidélité et donc de la fidélité :
V.13 :
« Voici encore ce que vous faites :
Vous couvrez de larmes l'autel de YaHWéH, de pleurs et de gémissements, en
sorte qu'il n'a plus égard aux offrandes et qu'il ne peut rien agréer de vos
mains. »
V.14 : « Et vous dites : Pourquoi ?... Parce que YaHWéH a été témoin entre toi et
la femme de ta jeunesse, à laquelle tu es infidèle, bien qu'elle soit ta
compagne et la femme de ton alliance. »
V.15 : « Nul n'a fait cela, avec un reste de bon sens. Un seul l'a fait,
et pourquoi ? Parce qu'il cherchait la postérité que Dieu lui avait promise.
Prenez donc garde en votre esprit, et
qu'aucun ne soit infidèle à la femme de sa jeunesse ! » Ce seul
cas légitimé par Dieu est celui qui concerne Abraham. Et dans tous les autres
cas l’infidélité est illégitime, transgressive, et cause de malheurs et de
souffrances, pour la victime de l’infidélité, humaine ou divine. C’est
pourquoi, Dieu fait de la fidélité un ordre divin auquel les êtres humains
doivent obéir s’ils veulent être aimés par Dieu, le souverain Maître.
V.16 :
« Car je hais la répudiation, dit YaHWéH,
le Dieu d'Israël, et celui qui couvre de violence son vêtement, dit YaHWéH des
armées. Prenez donc garde en votre
esprit, et ne soyez pas infidèles ! »
Dieu
sait que l’être humain infidèle envers son conjoint est aussi infidèle envers
lui, déjà parce qu’il condamne à juste raison, le principe de l’infidélité. La
fidélité est donc une condition essentielle de la sélection par Dieu de ses
élus. Car le but de la vraie religion est bien cette sélection d’amis que Dieu
choisis pour leur exceptionnelle fidélité. Son choix est d’autant plus réfléchi
et justifié que cette sélection prépare sa cohabitation éternelle avec ses
élus.
La
faute de Moïse nous est présentée pour que nous comprenions la valeur
prophétique des normes de la vie présentées par Dieu. La vie terrestre des
êtres humains porte un sens prophétique et l’acte sexuel par lequel la vie
humaine se prolonge en donnant naissance à une postérité prophétise la
multiplication des élus par un hymen spirituel vécu entre Christ et ses saints
élus rachetés qui portent ensemble le rôle de son Epouse. Aussi, pour Dieu, le
vrai mariage d’un homme et d’une femme implique une totale fidélité réciproque
sans laquelle, l’acte sexuel pratiqué par eux ne devient plus que de la
fornication, le fruit de l’adultère.
Cette
signification prophétique du plaisir sexuel nous permet de mieux comprendre
pourquoi Dieu condamne le plaisir sexuel solitaire ; ceci parce que dans
son idéal prophétique, le plaisir de l’union spirituelle finale ne peut être
que partagé à deux, entre lui et ses élus.
Dans
toute action concernant l’adultère, Dieu voit dans le troisième intrus, l’amant
ou la maîtresse, l’image du diable qui convoite ses élus pour détourner leur
amour de lui. Et représentant de l’amour sous sa forme parfaite divine, Dieu
souffre en voyant la souffrance des victimes terrestres de l’adultère,
l’infidélité. Cette souffrance terrestre vient s’ajouter à sa propre souffrance
causée par le mépris et l’ingratitude de ses créatures envers lui.
Le
couple terrestre idéal est celui dont les deux conjoints sont mariés avec Dieu,
en priorité et séparément l’un de l’autre, avant leur union terrestre ;
mais ce modèle idéal est rare, sinon inexistant. En ce qui me concerne, je n’en
ai connu aucun. Et comme l’apôtre Paul, je suis resté célibataire, disponible
sans compromis, pour le service de Dieu. Car les gens mariés sont victimes de
leur devoir d’entente et contraints de faire des compromis qui les conduisent à
la perdition éternelle. Mon jugement peut paraître dur, mais il est simplement
réaliste et conforme à la révélation du jugement de Dieu qui présente le salut
comme un chemin étroit que les humains élargissent jusqu’à en faire une
autoroute à dix voies ou plus. Le message cité dans Ezéchiel 14 :12 à 14,
et plus : « La parole de YaHWéH me fut adressée, en ces mots : Fils
de l'homme, lorsqu'un pays pécherait contre moi en se livrant à l'infidélité,
et que j'étendrais ma main sur lui, si je brisais pour lui le bâton du pain, si
je lui envoyais la famine, si j'en exterminais les hommes et les bêtes, et
qu'il y eût au milieu de lui ces trois hommes, Noé, Daniel et Job, ils
sauveraient leur âme par leur justice, dit le Seigneur, YaHWéH. »
Ce
message est rappelé en tout, 4 fois selon les « quatre châtiments terribles »
de Dieu, du verset 21 ; versets 21-22 : « Oui, ainsi parle le Seigneur, YaHWéH : Quoique j'envoie contre Jérusalem mes quatre châtiments terribles,
l'épée, la famine, les bêtes féroces et la peste, pour en exterminer les
hommes et les bêtes, il y aura néanmoins un reste qui échappera, qui en
sortira, des fils et des filles. Voici,
ils arriveront auprès de vous ; vous verrez leur conduite et leurs actions,
et vous vous consolerez du malheur que je fais venir sur Jérusalem, de tout ce
que je fais venir sur elle. »
Dans
le verset 22, l’annonce, « voici, ils arriveront auprès de vous »,
prophétise la dernière conversion des derniers vrais Juifs fidèles, lorsque la
pratique du sabbat les menacera de mort avec les derniers chrétiens adventistes
fidèles, pour le combat spirituel prophétisé dans Apocalypse 16:16, par le nom
symbolique, « Harmagueddon ».
Et
cette guerre spirituelle, la dernière avant l’apparition du Christ dans sa
gloire divine céleste, me conduit à évoquer la décision de Vladimir Poutine
président de la Russie orthodoxe d’ordonner à ses combattants en lutte contre
l’Ukraine, une trêve pascale de 30 heures à partir du sabbat 19 Avril à 17
heures. Dans notre contexte actuel dans lequel les élus de Dieu se distinguent
par leur exceptionnelle fidélité, dans le monde faussement religieux, la fête
pascale rendue en réalité caduque depuis la mort et la résurrection de Jésus confère
à Dieu l’unique désir de la paix. C’est donc en se montrant zélés et
respectueux de cette fête devenue inutile que les gens faussement religieux et
réellement frappés par sa malédiction, revendiquent son salut alors qu’ils s’en
montrent que plus indignes. Indignes ! Ils le sont réellement parce qu’ils
ignorent et méprisent les révélations prophétiques qui prouvent que Dieu les
châtie par ses « quatre châtiments terribles », les
fléaux destructeurs que représentent « l’épée, la famine, les bêtes
sauvages et la peste » ou la mortalité épidémique. C’est au nom de
sa colère divine que « l’épée », remplacée par les
canons et les drones tueurs, fait mourir des multitudes de gens ukrainiens et
russes, combattants et civils, et après le 7 Octobre 2023, de nombreux morts
palestiniens et juifs à Gaza. C’est encore lui qui crée les tempêtes
dévastatrices, les tsunamis, les cyclones, les tornades, les tremblements de
terre et les éruptions volcaniques. Le loup et l’ours, deux tueurs d’hommes,
c’est encore lui, et viennent aussi de sa part, la peste, le choléra, le Sida
et tant d’autres virus que Dieu crée selon son choix du moment pour punir le
mépris témoigné envers ses avertissements cités dans sa sainte Bible. Dans une
apparence de fausse piété qui renie ce qui en fait sa force, au moment des
fêtes trompeuses religieuses, ils pensent à se réclamer de son salut offert par
le doux et docile Jésus de Nazareth qui aujourd’hui les fait mourir au nom de
sa sainte et divine justice méprisée et déformée dans leur indigne et injuste
jugement.
Tous
ignorent que seule la parfaite fidélité est digne de sa paix divine et que
l’infidélité expose l’infidèle à ses châtiments mortels. Quand selon son plan
du salut parfaitement accompli en Jésus-Christ, l’humanité entière devrait jour
et nuit acclamer le nom du Sauveur rempli de compassion pour ses élus, il ne
reste que des fêtes maintenues par l’ignorance pour rappeler que Dieu existe
ainsi que son offre de salut présentée de manière déformée et mensongère par
des serviteurs indignes incapables de se sauver eux-mêmes et d’échapper à sa
juste colère.
Il
n’est pas de quiproquo plus enténébré que celui qui concerne Dieu et sa
relation avec l’humanité. Dans sa sainte Bible, Dieu exprime cet avis en
imputant aux hommes le fait d’appeler le mal, bien et le bien, mal dans Esaïe
5:20-21 : « Malheur à ceux qui
appellent le mal bien, et le bien mal, qui changent les ténèbres en lumière, et
la lumière en ténèbres, qui changent l'amertume en douceur, et la douceur en
amertume ! Malheur à ceux qui sont sages à leurs yeux, et qui se croient
intelligents ! » Répondant sagement à leur inversion de ses valeurs,
Dieu envoie sa malédiction à ceux qui attendent de lui, injustement et
indignement, sa bénédiction.
J’aborde
maintenant, sous ce principe de fidélité, la pratique du saint sabbat du
quatrième des dix commandements de Dieu qui ne fait que rappeler et confirmer
la sanctification du septième jour de la première semaine de sa création
terrestre. J’enseigne et considère depuis 1980 date de mon baptême, le sabbat
comme étant le « sceau de Dieu ».
Aujourd’hui en ce sabbat du 19 Avril 2025, je viens préciser des nuances qui le
concernent. Car, depuis 1994, après les Juifs qui le pratiquent de manière
traditionnelle, l’église chrétienne nommée « adventiste du septième
jour » qui l’a adopté et conservé également par pur esprit de tradition,
sont l’un comme l’autre tombés en disgrâce, malgré la pratique du sabbat ;
les Juifs par refus de Jésus-Christ, et l’adventisme institutionnel par absence
d’amour de la vérité qui l’a rendue infidèle et digne d’être vomie par
Jésus-Christ. Pour ces deux cas concernant les deux alliances, le sabbat mis en
pratique perd toute sa signification ; lui qui constitue le signe de
l’appartenance au Dieu créateur selon Ezéchiel 20:12-20. Il reste néanmoins ce
signe, mais sous l’unique condition d’être donné par Dieu à ses élus qu’il
sélectionne pour leur réelle fidélité qui témoigne de leur amour pour sa
vérité. Le sabbat change donc de statut selon que celui qui le pratique
témoigne de l’amour de la vérité ou ne le fait pas. Le rôle du sabbat exige
donc un discernement spirituel subtil que Dieu donne seulement à ses élus, ses
prophètes qui agissent, parlent et écrivent en son nom.
Le
problème qui trompe les hommes est le suivant : la fausse piété réagit
toujours en retard par rapport à l’exigence de la vérité présente. Ainsi,
aujourd’hui, en 2025 et depuis 1994, Dieu exige de ses élus qu’ils démontrent
leur amour pour toute sa vérité et tout particulièrement pour ses révélations
prophétiques préparées pour guider et éclairer ses derniers serviteurs des
derniers jours du temps de la grâce collective et individuelle.
Que
représente la pratique du sabbat ? Une prouesse qui rend digne de la grâce
divine ? Absolument pas. Le sabbat a été pratiqué par les Hébreux auxquels
Dieu a présenté ses dix commandements depuis environ 1500 avant Jésus-Christ.
L’Israël de l’ancienne alliance ayant été organisé par Dieu pour représenter
les valeurs que son peuple doit honorer, tout chrétien peut comprendre qu’en
entrant dans l’alliance divine en Jésus-Christ, le citoyen juif, l’obéissance
au quatrième commandement concernant le repos du septième jour s’impose sans
contestation possible. Donc, en choisissant d’honorer le vrai sabbat, le samedi
de nos semaines, les Chrétiens ne font que leur devoir. Ce n’est pas
l’obéissance qui doit être argumentée mais la désobéissance qui doit donner ses
explications infondées mensongères, car il n’y a d’argument que pour la vérité et
il n’y en a pas contre elle.
En
2025, la vérité présente n’est pas le sabbat, mais l’amour de la vérité
prophétique révélée par Dieu dans sa sainte Bible. En
conséquence, dans le temps actuel de paix religieuse, Dieu et le diable
laissent des humains adopter le sabbat mais seulement, provisoirement, si cette
adoption n’est pas accompagnée d’un réel intérêt pour les révélations
prophétiques préparées par Dieu pour ses derniers élus adventistes qui
attendent son retour glorieux pour le jour du printemps 2030. Avant son retour,
le repos du septième jour sanctifié par Dieu depuis sa création de la dimension
terrestre va être l’objet d’une dernière persécution. La fidélité témoignée
pour sa pratique révèlera les vrais derniers élus et les apparences trompeuses
créées par la paix religieuse disparaîtront ; par peur des conséquences de
boycott et jusqu’à la peine de mort, les faux pratiquants du sabbat
reconnaîtront le dimanche romain imposé par le camp rebelle.
La
divine extase est réservée pour les seuls vrais élus triés et sélectionnés par
Dieu. Sont concernés, successivement, en premier, les êtres célestes et
ensuite, les êtres humains terrestres. Selon Apocalypse 12:9, la sélection
céleste s’est achevée après la résurrection de Jésus-Christ soit, au terme de
sa première venue sur la terre. 2000 ans plus tard, c’est par son retour en
gloire, que sa sélection d’élus terrestres prendra fin, définitivement.
Un
monde sans loi est-il possible ? Il ne l’est pas encore mais il le sera quand
les élus entreront dans l’éternité. La loi n’est nécessaire que pour encadrer
la vie des êtres libres capables de mal agir. Et le temps de sa sélection
d’élus permet à Dieu de les éliminer de son programme de vie éternelle. En
venant sur la terre dans une chair humaine, YaHWéH, le Tout-puissant Dieu
créateur est venu montrer par lui, le modèle de vie adapté pour la vie
éternelle ; un modèle si parfait qu’aucune loi ne peut le condamner. Par
cette incarnation il a donné la preuve de l’inutilité future de la loi pour le
monde éternel qu’il prépare. Paul, l’apôtre fidèle du Seigneur Jésus-Christ,
dit que « Christ est la fin de la
loi pour la justification de tous ceux qui croient », dans Romains
10:4. Il justifie ainsi l’arrêt des rites sacrificiels animaliers ordonnés dans
la loi divine donnée à Moïse. Et cette cessation des sacrifices et des
offrandes animaliers est confirmée prophétiquement dans Daniel 9:27 :
« Au milieu de la semaine, il fera
cesser le sacrifice et l’offrande ;…». Mais ce que j’ajoute
aujourd’hui à sa démonstration, c’est que le ministère de Jésus-Christ est venu
démontrer l’inutilité de la loi pour un caractère formé à la norme divine. Et
tous les élus sont sélectionnés par Dieu pour reproduire ce divin modèle. Et là
encore, les paroles de Paul prennent un sens clair quand il dit dans
Colossiens 2:20 à 22 : « Si vous
êtes morts avec Christ aux rudiments du monde, pourquoi, comme si vous viviez
dans le monde, vous impose-t-on ces préceptes : Ne prends pas ! Ne goûte pas ! Ne
touche pas ! Préceptes qui tous deviennent pernicieux par l'abus, et qui
ne sont fondés que sur les ordonnances et les doctrines des hommes ? ». Et
dans 1 Pierre 4:1-2, Pierre ne dit pas autre chose : « Ainsi donc, Christ ayant souffert dans la
chair, vous aussi armez-vous de la même pensée. Car celui qui a souffert dans
la chair en a fini avec le péché, afin de vivre, non plus selon les convoitises
des hommes, mais selon la volonté de Dieu, pendant le temps qui lui reste à
vivre dans la chair. »
Ce
sujet éclaire tout le programme établi par Dieu pour les 6000 ans de la vie terrestre.
Les antédiluviens connaissaient le sabbat et pratiquaient des sacrifices mais
vivaient sans la loi de Moïse présentée et détaillée plus tard ; ensuite, la
postérité d’Abraham reçoit en Moïse, la loi divine de l’ancienne
alliance ; et finalement, en Jésus-Christ, Dieu présente le modèle incarné
des vrais élus sélectionnés pour sa vie éternelle. Ainsi, entre le temps
antédiluvien et le temps de l’ère chrétienne, dans le temps de Moïse, Dieu a donné ses lois écrites sur des
tables de pierre pour ses dix commandements et sur des rouleaux de
parchemin pour toutes ses autres ordonnances. Et déjà la matière du
parchemin différente démontre le caractère provisoire des ordonnances de la loi
qui conduit à Christ comme un pédagogue ; terme utilisé par Paul et
qui désigne le serviteur grec qui conduit un enfant à l’école. Cet enfant est
spirituellement l’élu sélectionné pour son imitation de Jésus-Christ. A
l’opposé du parchemin, les deux tables de pierre ont été gravées du doigt de
Dieu pour prophétiser la norme parfaite du caractère de Jésus-Christ et ses
vrais élus. C’est ce but prophétique que Paul leur donne dans 1 Corinthiens
3 :3 : « Vous êtes manifestement une lettre de Christ, écrite,
par notre ministère, non avec de l'encre, mais avec l'Esprit du Dieu vivant, non sur des tables de pierre, mais sur des
tables de chair, sur les cœurs. » ; ce que Jérémie 31:33 prophétisait :
« Mais voici l'alliance que je ferai
avec la maison d'Israël, après ces jours-là, dit YaHWéH : Je mettrai ma loi au dedans d'eux, je l'écrirai dans leur cœur ; et je serai leur Dieu, et ils seront
mon peuple. »
M32- Le messager de la mort
Le
monde catholique est en deuil. Le pape François est mort ce matin à 7 heures 45
en ce Lundi 21 Avril 2025 de la fête catholique des Pâques. Très affaibli, la
veille, il a pu et voulu adresser ces mots à la foule rassemblée sur la place
Saint-Pierre du Vatican : « Mes frères je vous souhaite une
joyeuse fête de Pâques ». Il faut être inspiré par Dieu pour tirer leçon
de ce décès qui arrive en pleine fête des Pâques catholiques romaines.
Déjà,
le monde est victime d’un simulacre de piété, puisque cette célébration pascale
est sans aucune légitimité. La Pâque juive avait un sens prophétique qui s’est
accompli par la mort expiatoire de Jésus-Christ, chose prophétisée dans Daniel
9:24 à 27. Comme les autres fêtes citées dans Lévitique 23, la fête du sabbat
hebdomadaire exceptée, toutes les fêtes religieuses juives n’étaient que
« l’ombre des choses à venir », selon l’expression de
l’apôtre Paul de Colossiens 2:17, et ses ombres devaient disparaître devant la réalité
accomplie en Jésus-Christ. Car la réalité accomplie enlève toute légitimité au
symbole qui la prophétisait. C’est pourquoi, il est important de comprendre que
le maintien des fêtes religieuses après la résurrection de Jésus n’est dû qu’à
un simulacre de la fausse religion, la fausse piété représentée par l’église
catholique papale romaine et la religion insuffisamment réformée qui a conservé
son héritage ténébreux.
Déjà,
avant le signe donné par la mort du pape François, le pape Jean-Paul 2, voulant
donner un signe d’offre de paix divine, lâcha à l’heure pascale de la
bénédiction « urbi et orbi » (à la ville et au monde hors de la
ville), une colombe qui revint deux fois se poser sur sa tête, et juste avant
lui, le pape Jean-Paul 1er est mort éliminé, empoisonné, après 3
semaines d’activité papale. Pour qui peut le comprendre, ces signes donnés par
Dieu contredisaient les prétentions religieuses du catholicisme papal romain.
Cette
mort du pape François, homme paisible et séduisant parce que sincère, dans le
temps de la fête de la Pâque catholique romaine, délivre à tous le message que
sa bénédiction papale n’offre à l’humanité que la promesse d’une mort
spirituelle absolue. Ses adorateurs ne sont que des gens idolâtres identiques à
ceux qui adoraient autrefois, les Baals, les Astartés et beaucoup d’autres
fausses divinités dont le Soleil et les astres de notre système terrestre.
Ces
astres ont été rattachés par les Romains aux sept jours de notre semaine dans
l’ordre de la grosseur qu’ils prennent pour l’œil humain, très différent de
leur taille réelle. En premier, le Soleil, puis, la Lune, pour les autres
astres le principe est discutable et ne convient plus ; Mars, le dieu de
la guerre, Mercure, le dieu du commerce, Jupiter, le dieu des dieux de l’Olympe,
Vénus, le dieu de l’amour et de la volupté, et en septième position, Saturne,
le dieu de l’abondance et du temps. Relève que même dans ce choix païen, Dieu a
tenu à marquer d’un signe de sainteté cet astre Saturne entouré d’un
« anneau » de sainteté selon la norme catholique romaine et il vient
confirmer la sainteté du septième jour, même dans l’organisation païenne
romaine, et même grecque, puisque le Sabbat marque le temps divin comme le
chronos saturnien grec. Et de même en hébreu, Saturne porte le nom Sabbat. De
plus, l’ordre croissant du plus gros au plus petit est à l’image de
l’éloignement du pécheur terrestre de Dieu. Son adoration du soleil le sépare
au maximum possible et dans l’avancement du temps, le septième millénaire
symbolisé par le septième jour prend l’image de Saturne avec son anneau de
sainteté et sa position la plus éloignée des sept astres de la semaine. Ainsi
les Juifs et les païens grecs et romains confirment la sanctification du
septième millénaire et donc du sabbat qui le prophétise, mais chacun le fait
par son moyen particulier : l’ordonnance divine pour les Juifs et l’ordre
cosmique pour les païens grecs et romains.
En
dépit des apparences prétendues chrétiennes, le catholicisme papal romain ne
fait que prolonger l’ancienne religion romaine strictement païenne et idolâtre.
Et la mort subite du pape frappé d’un AVC après avoir subi une double bronchite
qui l’a très affaibli, annonce la mort imminente qui vient dans le vrai
programme de Dieu pour frapper l’humanité rebelle partagée en de multiples
religions que Dieu réprouve et condamne.
Dans
l’actualité, un fait judiciaire vient troubler la situation de la France. Dans
la ville de Pau dont l’actuel premier ministre François Bayrou a longtemps été
le Maire, des violences sexuelles sont dénoncées par des victimes des
enseignants de l’école catholique nommée Bétharram. Ayant nié publiquement déjà
plusieurs fois avoir été au courant de ces faits quand il était en poste dans
cette ville de Pau, Mr Bayrou apprend aujourd’hui que sa propre fille, Hélène,
a été elle-même victime d’une violence d’un enseignant. Et innocemment, elle a
poignardé son père en confirmant sa connaissance du problème de ce lycée
catholique qu’il a publiquement nié. Dans notre société actuelle où tout se
sait et se dénonce publiquement, tout le monde s’interroge et se demande
pourquoi de tels faits n’ont été ni révélés ni réglés plus tôt. La réponse que
Dieu m’inspire est logique et peu de gens peuvent la présenter. En fait, il
faut avoir vécu, dans cette époque et être inspiré par Dieu pour l’expliquer.
Or cette inspiration implique la connaissance de la malédiction du catholicisme
romain ; et ce n’est pas le cas, pour les masses de gens qui aujourd’hui
s’interrogent. Cette nature violente est un fruit diabolique hérité par les
Catholiques inspirés par le diable et ses démons. Cette violence a toujours
caractérisé le catholicisme papal déjà dans son dogme qui apprend aux adeptes
qu’ils peuvent expier leurs péchés en s’infligeant eux-mêmes des punitions
corporelles du type flagellation ou autres. Le papisme romain et son clergé ont
manifesté un cruel goût pour des supplices atroces imposés aux
« hérétiques », nom donné à tout ceux qui refusent sa norme
catholique romaine ; ce qui inclut les vrais élus de Dieu et les libres
penseurs ou adeptes d’autres religions. Et de plus, dans les années concernées
par les violences de Bétharram, la mentalité des parents était favorable à la
sévérité des enseignants. Et je rappelle cet exemple de l’enfant qui se
plaignant à leur père d’avoir été giflé par un enseignant, recevait
systématiquement de ce père une deuxième gifle ; le père estimant que la
première avait été justifiée et méritée. La confiance placée dans l’enseignant
était totale, injustifiée et imméritée, mais néanmoins privilégiée. Cette
confiance était à l’image de la foi catholique qui sert le diable en croyant
servir Dieu. Les écoles catholiques employaient des enseignants formés par les
Jésuites, selon des règles d’une dureté exceptionnelle : par son vœu dans
son engagement dans le corps des Jésuites, le postulant s’engage à punir
l’hérétique même s’il est selon la chair, son père, sa mère, son frère ou sa
sœur. Ce principe d’impartialité est légitime et caractérise les vrais élus de
Dieu, mais le vrai Dieu n’autorise aucun de ses serviteurs à faire violence à
ses ennemis. Là est toute la différence : l’élu laisse le châtiment à
Dieu, alors que le véritable hérétique, le Catholique jésuite, applique
lui-même le châtiment à ses ennemis ; et en ce qui le concerne, son
châtiment est injustifié et il le culpabilise devant le vrai souverain créateur
céleste.
La
Bible ne peut être correctement comprise que par les élus qui bénéficient de
l’intelligence spirituelle donnée par Dieu. C’est l’unique moyen d’éviter de
tomber dans les pièges tendus par ses apparentes contradictions. De plus, tous
les écrivains utilisés par Dieu pour composer sa sainte Bible sont marqués et influencés
par l’époque dans laquelle ils vivent. Il n’y a en réalité aucune contradiction
mais ce qui donne l’impression de la contradiction n’est en fait que la
succession de phases de la progression de la lumière de l’accomplissement du
plan du salut divin.
La
mort est une messagère que, symboliquement, Dieu personnifie dans sa révélation
d’Apocalypse 6:7-8 : « Quand il
ouvrit le quatrième sceau, j'entendis la voix du quatrième être vivant qui
disait: Viens. Je regardai, et voici, parut un cheval d'une couleur pâle. Celui
qui le montait se nommait la mort, et le séjour des morts l'accompagnait. Le
pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes
par l'épée, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la
terre. » Ce verset présente la mort qui punit le péché et qui
s’applique à toute chair depuis le péché originel commis par Adam et Eve. S’il
est vrai que nous avons tous hérité de ce péché originel, il est tout aussi
vrai, que nous avons dans le cours de notre vie, tous, également, la faculté
d’ajouter à cet héritage nos péchés personnels commis par des choix libres
selon notre individuelle volonté. C’est ce que font toutes les créatures
humaines pendant leur vie terrestre. Mais Dieu s’est fait connaître à ses créatures
depuis Adam et Eve pour les inviter à lui obéir, en renonçant à pécher contre
lui. Ceux qui entendent ce message et y répondent positivement sont
sélectionnés pour être ses futurs compagnons d’éternité. La mort a frappé toute
l’humanité excepté deux hommes : Hénoc, l’antédiluvien et Elie, le
prophète. Dieu a ainsi donné aux deux premières phases de son plan du salut, à
chacune, un cas exceptionnel qui prophétise le sort des derniers élus restés
vivants pour assister au retour du Christ et être transmués sans passer par la
mort. La mort est donc une menace divine permanente pour tous les êtres humains
et ce caractère de menace divine donne sens à ces paroles divines citées dans
le 5ème des dix commandements de Dieu écrit dans Exode
20 :12 : « Honore ton père
et ta mère, afin que tes jours se
prolongent dans le pays que YaHWéH, ton Dieu, te donne. » Cette
proposition divine de prolongement de l’existence est conditionnée par le
respect du père et de la mère terrestre. La raison divine de cette pensée est que
Dieu spiritualise le père et la mère qui sont les moyens terrestres qu’il
utilise pour créer la vie des êtres humains. Dieu s’assimile aux deux parents
complémentaires car ils représentent ensemble, son autorité envers l’enfant qui
va naître. Et le comportement de l’enfant envers ses parents est à l’image de
celui qu’il aura envers Dieu. Et c’est donc dans cette continuité de pensée,
que Jésus a appris aux hommes que « l’homme
ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole sortie de la bouche de Dieu »,
rappelant ainsi ce qui fut dit dans Deutéronome 8:1 à 3 : « Vous observerez et vous mettrez en pratique
tous les commandements que je vous prescris aujourd'hui, afin que vous viviez,
que vous multipliiez, et que vous entriez en possession du pays que YaHWéH a
juré de donner à vos pères. Souviens-toi de tout le chemin que YaHWéH, ton
Dieu, t'a fait faire pendant ces quarante années dans le désert, afin de
l'humilier et de t'éprouver, pour savoir quelles étaient les dispositions de
ton cœur et si tu garderais ou non ses commandements. Il t'a humilié, il t'a
fait souffrir de la faim, et il t'a nourri de la manne, que tu ne connaissais
pas et que n'avaient pas connue tes pères, afin
de t'apprendre que l'homme ne vit pas de pain seulement, mais que l'homme vit
de tout ce qui sort de la bouche de YaHWéH. »
Ainsi,
si aucun homme ne peut normalement échapper à la mort, il reste cependant le
seul responsable de la longueur de sa vie terrestre. Et comme le dit le dicton
populaire : « tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir ».
Dans la sainte Bible, Dieu dit les choses différemment dans Ecclésiaste 9:4 :
« Pour tous ceux qui vivent il y a de l'espérance ; et même un chien
vivant vaut mieux qu'un lion mort. » et je profite de cette
citation pour rappeler que l’habitude et l’adaptation à la mort a conduit les
êtres humains à normaliser cette première mort apparemment inévitable. Et cette
pensée est déjà un péché commis envers Dieu qui démontre dans ses ordonnances
que c’est lui qui allonge ou raccourcit la longueur de la vie de ses créatures
selon leur fidélité ou leur infidélité. La mort vient même frapper des
nouveau-nés héritiers du péché originel donc pas tenus pour innocents comme
beaucoup de faux croyants le croient. N’ayant commis aucun péché personnel, il
meurt sans condamnation pour ce type de péché ; il en est ainsi d’eux
comme s’ils n’avaient jamais été nés. Dieu l’a rappelé, il est le Dieu des
vivants, pas celui des morts qui selon Ecclésiaste 9:5-6 n’existent plus du
tout, en dehors de la mémoire illimitée du Dieu vivant : « Les vivants, en effet, savent qu'ils mourront
; mais les morts ne savent rien, et il n'y a pour eux plus de salaire, puisque
leur mémoire est oubliée. Et leur amour, et leur haine, et leur envie, ont déjà
péri ; et ils n'auront plus jamais aucune part à tout ce qui se fait sous le
soleil. » Pour porter les pensées, il faut dans le corps terrestre un
cerveau que n’ont plus les morts. Et le principe de la résurrection des morts a
justement pour but de redonner aux morts la possibilité de retrouver un corps
et un cerveau terrestre dans lequel Dieu les livre à la « seconde mort » dans son « jugement dernier ». Pour leur part,
les élus ne reçoivent pas un corps terrestre à leur résurrection, mais un corps
céleste semblable à celui des anges. Et là encore, l’assemblée de la foule
catholique réunie sur la grande place du Vatican et celle qui est dispersée sur
toute la terre est aussi coupable de cet autre péché qui consiste à déclarer
après le philosophe grec Platon, que l’âme humaine est immortelle, alors que la
sainte Bible affirme l’exact contraire en disant dans 1 Timothée 6:12 à
16 :
V.12 :
« Combats le bon combat de la foi,
saisis la vie éternelle, à laquelle tu as été appelé, et pour laquelle tu as
fait une belle confession en présence d'un grand nombre de témoins. »
La
vraie foi nécessite un combat puisque l’élu doit résister au diable et ses
démons qui l’incitent à faire le mal mais aussi, à lutter contre ses mauvais
comportements naturels personnels. Dans un combat, on est vainqueur ou vaincu.
C’est pourquoi les élus doivent, comme Jésus lui-même, entrer dans ce combat de
la foi, « en vainqueur et pour
vaincre » selon Apocalypse 6:2 soit, en étant animés d’une farouche
détermination à ne pas se laisser vaincre.
La
confession dont il est question n’est pas celle du péché, mais celle qui
consiste à reconnaître Jésus-Christ, pour Sauveur et Maître en tant que victime
expiatoire et substitut de l’appelé qui choisit d’être baptisé.
V.13 :
« Je te recommande, devant Dieu qui
donne la vie à toutes choses, et devant Jésus Christ, qui fit une belle
confession devant Ponce Pilate, de garder
le commandement, »
« Garder
le commandement » est le but et le devoir des vrais élus du Christ.
Dieu ne sélectionne pour son éternité que des créatures obéissantes agissant
envers lui par amour et reconnaissance.
V.14 :
« et de vivre sans tache, sans
reproche, jusqu'à l'apparition de notre Seigneur Jésus Christ, »
Voici
bien, la description de la vraie foi exigée par Dieu ; elle est à l’image
de la perfection trouvée et présentée en Jésus-Christ lui-même ; le divin
modèle que l’élu doit imiter et auquel il doit ressembler.
V.15 :
« que manifestera en son temps le
bienheureux et seul souverain, le Roi des rois, et le Seigneur des seigneurs, »
Dans
Apocalypse 19, ce « Rois des rois et
Seigneur des seigneurs » est Jésus-Christ lui-même à l’heure de son
avènement final du printemps 2030.
V.16 :
« qui seul possède l'immortalité, qui habite une lumière inaccessible, que nul homme n'a vu ni ne peut
voir, à qui appartiennent l'honneur et la puissance éternelle. Amen ! »
Ce
sont là les paroles de la vraie foi qui exaltent un comportement à l’image du
Christ et dont le niveau exigé est hautement plus élevé que ne l’enseignent à
leur adeptes, pour leur commune perte, les pasteurs et les prêtres du
faux christianisme.
Il
ressort de ce constat que la religion catholique romaine attribue à ses adeptes
morts, faussement « saints » ou pas, des œuvres commises par des
anges démoniaques célestes. Ce contre quoi, l’apôtre Paul met les Chrétiens en
garde et qu’il nomme le « culte des anges » dans
Colossiens 2:18 : « Qu'aucun
homme, sous une apparence d'humilité et par
un culte des anges, ne vous ravisse à son gré le prix de la course, tandis
qu'il s'abandonne à ses visions et qu'il est enflé d'un vain orgueil par ses
pensées charnelles ». Les élus de Jésus-Christ tirent sagement profit
de cette mise en garde ; les déchus, eux, n’en tiennent pas compte ;
les Catholiques et les Protestants sont de ce nombre.
Aujourd’hui,
le Jeudi 24 Avril 2025, un messager de la mort a encore frappé. Un jeune
adolescent de 16 ans, élève dans un Lycée privé catholique de Nantes nommé
« Notre-Dame-de-toute-aide », a poignardé 4 élèves dont l’une est
morte sous ses coups portés par un couteau de chasse. Un second cas a été
momentanément dans un processus engagé pour la victime qui risquait donc
également d’en mourir, mais heureusement cela n’a pas été le cas.
Ma
première réaction est de dire que ces faits ne sont que l’une des conséquences
de la malédiction divine qui prend depuis sa création l’église catholique
romaine pour cible. L’action se passe trois jours après la mort du pape
François. La malédiction du catholicisme romain n’est pas une actualité nouvelle
mais une continuité perpétuelle pour ses adeptes pendant toute son
histoire ; ceci, va se prolonger jusqu’au retour du Christ qui va revenir
dans toute sa gloire et sa puissance divine, dans moins de 5 ans.
Si
les lettres, les sceaux et les trompettes présentés dans Apocalypse soulignent
des moments clés de l’histoire religieuse de l’ère chrétienne, il est vrai que
les transformations des idées et des pensées des masses humaines sont très
progressives ; les changements se construisent sur des décennies
d’expérience de vie. Aussi, quand le malheur vient frapper des élèves dans un
lycée privé catholique, l’explication à donner est la même que celle que Jésus
a formulé quand ses disciples l’ont interrogé au sujet de la culpabilité des
victimes tuées par Hérode et par l’éboulement de la tour de Siloé. Ecoutons
donc ce récit et la réponse donnée par Jésus-Christ qui attribue une même
cause à la mort causée par l’homme Hérode et l’accident, du type fait-divers de
l’effondrement d’une tour:
V.1 :
« En ce même temps, quelques
personnes qui se trouvaient là racontaient à Jésus ce qui était arrivé à des
Galiléens dont Pilate avait mêlé le sang avec celui de leurs sacrifices. »
V.2 :
« Il leur répondit : Croyez-vous que ces Galiléens fussent de
plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, parce qu'ils ont
souffert de la sorte ? »
V.3 :
« Non, je vous le dis. Mais si
vous ne vous repentez, vous périrez tous également. »
V.4 :
« Ou bien, ces dix-huit personnes
sur qui est tombée la tour de Siloé et qu'elle a tuées, croyez-vous qu'elles fussent plus coupables que tous les autres
habitants de Jérusalem ? »
V.5 : « Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous
repentez, vous périrez tous également. »
Aujourd’hui,
cette réponse de Jésus-Christ est la même pour les victimes de tout type de
morts accidentel ou intentionnel, comme ces adolescents tués par la main
humaine, mais par malédiction divine, avant tout. Celle-ci est perpétuelle pour
toute l’humanité depuis Adam, mais encore plus depuis la mort et la
résurrection de Jésus-Christ. Un long temps ténébreux de persécutions lui a
succédé entre 313 et 1798 où Jésus a fait cesser le règne persécuteur papal romain.
L’œuvre accomplie par la Réforme protestante entre ces dates officielles de
1517 et 1798 a particulièrement culpabilisé le soutien donné à la cause
catholique et après cela, l’œuvre adventiste a culpabilisé le protestantisme et
ses multiples formes institutionnelles depuis 1843 et 1873. Et enfin, à son
tour l’institution adventiste du septième jour est tombée pour son refus de la
lumière prophétique que je lui ai présentée entre 1982 et 1991. Ainsi, les unes
après les autres, toutes les institutions religieuses chrétiennes sont tombées,
à cause du rejet de la lumière divine que Dieu a proposée en leur époque.
Calquée sur l’expérience de l’alliance juive, l’expérience chrétienne des
Européens et de leurs excroissances des USA et de l’Australie pour les plus
grandes, a été punie par Dieu de la même manière. Deux guerres mondiales ont
frappé l’Europe en 1914 et 1939 comme les deux attaques chaldéennes de – 605 et
– 597. La troisième punition apporte une destruction presque complète aux deux
cas, en 2025-2026 pour l’Europe et en – 586 pour l’Israël juif.
Après sa sortie d’Egypte, à cause du manque de
foi, Israël est resté dans le désert pendant 40 années présentées comme type du
châtiment d’une mise à l’épreuve du peuple incrédule. Pour les Européens, cette
durée qui a commencé en 1945, a été doublée, soit portée à 80 ans à cause de
leur double culpabilité, parce qu’ils ont eu derrière eux l’avantage du
témoignage de l’expérience des Hébreux et n’en ont pas tenu compte. La colère
de Dieu contre les Occidentaux chrétiens mais infidèles n’est donc pas nouvelle,
mais l’imminence du troisième châtiment terriblement définitif justifie la
multiplication des faits-divers désastreux et parmi eux, cette montée de
violence qui s’exprime jusque dans les écoles des USA et le lycée de Nantes.
Comme toujours, les dirigeants terrestres rebelles se trompent dans leur
raisonnement. Devant cette agression commise avec un couteau de chasse, les
dirigeants pensent pouvoir régler le problème en interdisant l’entrée d’un
couteau dans les écoles de la République et les écoles privées. Ils oublient
que le problème n’est pas l’arme mais le désir de tuer ressenti par l’élève. Et
je le rappelle, Caïn utilisa une simple pierre pour frapper à mort son jeune
frère Abel. Face à une situation insoluble programmée par Dieu pour conduire la
nation à la destruction, les dirigeants recherchent désespérément la solution
pour régler ses problèmes de violence, mais ce n’est que de la gesticulation
qui a pour but de faire croire au peuple qu’ils gardent le contrôle de la
situation. En Avril 1912, sur le Titanic qui sombrait, le capitaine n’avait plus
cette possibilité de tromper son entourage. Mais la situation actuelle de
l’Occident est à l’image de ce Titanic que, son constructeur a dit, je
cite : « Dieu lui-même ne pourrait pas le couler ». Et il gît à 4000
pieds au fond de l’eau, coulé dès sa première traversée de l’Atlantique,
n’étant jamais arrivé à New-York, sa destination prévue.
Pour
comprendre la progression lente de la situation internationale, nous devons
prendre l’image du potier que Dieu se donne à juste raison, car c’est lui qui,
par son Esprit tout-puissant, façonne les rapports humains internationaux,
comme le potier façonne l’argile pour lui donner progressivement la forme du
vase qu’il veut obtenir. Selon Apocalypse 7, c’est depuis 1798, que les mauvais
anges sont retenus par les bons anges. Ils attendent impatiemment d’être
entièrement libérés pour détruire l’humanité que Dieu va leur livrer après le 8
Mai 2025. Le messager de la mort va alors régner sur toute l’Europe et de
nombreux pays extra-européens ; quasiment sur toute la terre habitée.
Alors
que la fin des 80 années de paix instaurée depuis le 8 Mai 1945 renforce l’idée
que la Troisième Guerre Mondiale de la « sixième trompette » d’Apocalypse 9 peut s’engager après le 8
Mai 2025, le message concernant le « heurt »
du « roi du midi » reste
encore à déterminer. En effet, deux possibilités se présentent pour interpréter
ce « heurt » : la
première situe « le temps de la fin »
à la date 1994 qui marque le rejet de l’adventisme du septième jour
institutionnel dont la mission échoue par manque d’amour pour la vérité
prophétique que je lui ai présentée entre 1982 et 1991, en annonçant le retour
du Christ pour l’année 1994 tenue pour l’an 2000 de la naissance de
Jésus-Christ. En faveur de cette explication, se trouve l’action du messager de
la mort représenté par l’islam intégriste dont les attentats meurtriers ont
ciblé, la France et sa capitale Paris victime de bombes placées dans le métro
RER de la cité ; ceci, à partir du 25 Juillet 1995. Si cette explication
est la bonne, alors l’attaque du « roi du septentrion » russe de
Daniel 11:40 peut se produire dès que le 8 Mai 2025 sera dépassé. Dans le
second cas, une attaque massive de
l’Europe par l’islam agressif devrait précéder l’attaque russe de l’Europe.
Entre
ces deux possibilités, la première me semble devoir être favorisée pour les
raisons suivantes. En premier, « le temps de la fin » doit être
identifié par le dernier prophète adventiste dont l’annonce du retour de
Jésus-Christ pour 1994 provoque le vomissement de l’adventisme institutionnel
soit, une action digne de marquer « le temps de la fin » cité dans
ce verset 40 de Daniel 11. Dès le début de 1995, l’adventisme vomi est entré
officiellement dans l’alliance protestante. Dieu qualifie de « heurt » l’action du « roi du midi » musulman islamiste
contre l’Europe papale romaine, sans évoquer pour autant une invasion préalable.
Cette description décrit les faits menés contre la France dès le milieu de
l’année 1995 par des agents islamistes déjà installés en France par
l’immigration algérienne légalisée. Les attentats commis à Paris étaient faits
par les combattants du Groupe Islamiste Algérien, le G.I.A. Des groupes
islamistes tels qu’Al-Qaïda et DAESH ont ensuite agressé les USA et d’autres
pays occidentaux. Selon Daniel 11:43, ce n’est que lorsque la Russie imposera
sa domination sur l’Egypte que « les
Libyens » désignant le Maghreb et « les Ethiopiens » désignant l’Afrique noire se lanceront dans
le pillage des nations vaincues par les Russes, le sud de l’Europe étant alors concerné :
« Il se rendra maître des trésors
d'or et d'argent, et de toutes les choses précieuses de l'Égypte ; les Libyens
et les Éthiopiens seront à sa suite. »
Selon
moi, cette interprétation est encore digne d’être favorisée à cause de
l’imminence du prévisible échec de la tentative actuelle du président américain
Donald Trump qui voudrait imposer la paix aux Ukrainiens et aux Russes, sans
engager son pays dans une guerre. Et le 8 Mai 2025 est maintenant très proche.
A ceci j’ajoute que dans l’actualité, le traitement du conflit par les
Américains étant jugé injuste envers l’Ukraine par la France et la Suède, ces
deux pays ont résolu de former une force militaire en unissant leurs capacités
guerrières, n’hésitant pas à identifier la Russie pour l’ennemie potentielle. A
Moscou, la porte-parole du Kremlin a relevé la chose et la tension avec
l’Occident européen ne fait que s’intensifier. Sachant que les Occidentaux sont
décidés à former une armée en vue de s’opposer à elle, la Russie a tout intérêt
à lancer son attaque contre eux, avant qu’ils soient capables de lui résister.
Tel est le raisonnement que mon intelligence d’homme me permet librement de
tenir, sous le regard du juste Dieu créateur, Jésus-Christ, Micaël, YaHWéH.
J’ai
une précision à donner à ceux qui s’étonnent de mes hésitations et je dois leur
rappeler ce qu’est un prophète de Dieu. Comme tous ceux qui se réclament de
lui, le prophète ne glorifie Dieu que par la libre démonstration de son
intelligence ; ce que confirme Daniel 12:3-10 : « Ceux
qui auront été intelligents
brilleront comme la splendeur du ciel, et ceux qui auront enseigné la justice,
à la multitude brilleront comme les étoiles, à toujours et à perpétuité …/…Plusieurs seront purifiés, blanchis et
épurés ; les méchants feront le mal et aucun des méchants ne comprendra, mais ceux qui auront de l'intelligence
comprendront. » Déjà, pendant son ministère terrestre, Jésus a reproché
à ses apôtres leur manque d’intelligence, comme en témoigne Matthieu 15:15-16 :
« Pierre, prenant la parole, lui dit
: Explique-nous cette parabole. Et Jésus dit : Vous aussi, êtes-vous encore
sans intelligence ? » Il leur a tenu des propos encore plus durs,
selon Luc 9:40-41 : « J'ai prié
tes disciples de le chasser, et ils n'ont pas pu. Race incrédule et perverse, répondit Jésus, jusqu'à quand serai-je
avec vous, et vous supporterai-je ? Amène ici ton fils. » Cette
irritation de Jésus qui exprimait son indignation était prophétisée dans Psaumes
2:10 à 12 : « Et maintenant, rois, conduisez-vous avec sagesse ! Juges de la terre, recevez instruction !
Servez YaHWéH avec crainte, et réjouissez-vous avec tremblement. Baisez le fils, de peur qu'il ne s'irrite,
et que vous ne périssiez dans votre voie, car sa colère est prompte à s'enflammer. Heureux tous ceux qui se confient en lui ! » Ces
textes prouvent que Dieu laisse ses prophètes agir librement, selon leur
intelligence naturelle personnelle, quand ils doivent comprendre et interpréter
une prophétie. Le prophète qui reçoit un message donné en vision par Dieu n’a
pas la possibilité de tout comprendre, comme ce fut le cas pour Daniel et
l’apôtre Jean pour lesquels leurs visions sont grandement restées pour eux des
mystères incompris. Ils ne devaient que transmettre fidèlement, sans la
déformer, la description de la vision reçue de Dieu.
Dans
Apocalypse 6:8, Dieu présente « la
mort » personnifiée : « Je
regardai, et voici, parut un cheval d'une couleur verdâtre (ou pâle). Celui qui le montait se nommait la mort, et le séjour des morts
l'accompagnait. Le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour faire
périr les hommes par l'épée, par la famine,
par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre. »
Le pouvoir donné à ce personnage fictif
symbolique est en réalité celui qui appartient exclusivement à Dieu qui le
revendique dans Ezéchiel 14:21 : « Oui, ainsi parle le Seigneur, YaHWéH : Quoique j'envoie contre
Jérusalem mes quatre châtiments
terribles, l'épée, la famine, les bêtes féroces et la peste, pour en exterminer
les hommes et les bêtes,… ». La mort est donc réellement un
principe créé et géré par Dieu son créateur. « Le quart de la terre » ciblé par la mort punitive concerne l’Europe chrétienne infidèle et ses excroissances
des USA et de l’Australie dans le long terme. Mais originellement, pendant les
siècles de ténèbres spirituelles, seule l’Europe des « dix
cornes » de Daniel 7:7 et 24 était concernée. Ce « quart de la terre » cible une
partie soit ; « le quart »
de la vie universelle humaine qui vit
sur la terre et qui serait représentée dans sa globalité par 4 quarts ; le
chiffre 4 étant le symbole de l’universalité. Par cette désignation du « quart de la terre », Dieu cible
cette zone européenne caractérisée par son adoption du christianisme, hélas,
déformé par l’enseignement catholique papal romain. Dieu signale ainsi
l’existence des trois autres quarts qui concernent des nations et des peuples
qui restent dans des pratiques officiellement païennes et qui ne se
revendiquant pas de sa grâce ne déshonorent pas son nom, ni son œuvre de rachat
par leur infidélité. Car la fidélité n’est nécessaire que dans le cadre d’une
alliance passée avec Dieu ; c’est sa revendication chrétienne qui rend la
religion catholique coupable d’infidélité. Mais l’alliance n’a pas été acceptée
par Dieu qui n’a jamais reconnu la religion catholique romaine comme son Elue,
son Epouse.
Le
cas du protestantisme est différent, et pour les plus hypocrites d’entre eux,
encore plus odieux que la religion catholique. Ceci, parce que leur
reconnaissance de la sainte Bible les culpabilise encore plus quand ils ne
tiennent pas compte de son enseignement. Et la création de l’église adventiste
du septième jour entre 1843 et 1873 en a donné la preuve concrète, bien visible
et indiscutable.
« Le séjour des morts accompagne » la
mort. Ce « séjour des morts »
symbolique est inscrit dans la mémoire de Dieu qui a enregistré la personnalité
de tous ceux qui sont morts et momentanément anéantis. Il ne dépend que de lui,
pour que ces morts retrouvent dans un corps leur ancienne forme de vie. Mais
Dieu ne les ramènera pas à l’existence avant le temps du retour du Christ, en
ce qui concerne ses saints élus, et seulement à la fin du septième millénaire
pour la résurrection des méchants confrontés au jugement dernier. Pendant le
jugement céleste des « mille ans » du septième
millénaire effectué par les saints élus, la sentence adaptée pour chaque cas
jugé sera décidée et appliquée à l’heure du jugement dernier. Ils subiront
alors la sentence divine qui les condamne à disparaître définitivement dans
« l’étang de feu de la seconde mort »,
selon Apocalypse 20:15 ; « Quiconque
ne fut pas trouvé écrit dans le livre de vie fut jeté dans l'étang de feu. »
Si
la vie des morts n’existe plus que sous une forme mémorisée par Dieu, leurs
corps physiques sont devenus poussière sur la terre qui est « le séjour des morts » apparent et
concret. Ce « séjour des morts »
terrestres dépasse de loin la taille des cimetières actuels et la surface
entière de la terre est concernée ayant reçu des morts pendant 6000 ans au
retour du Christ, au printemps 2030.
Un
châtiment aggravé est réservé au « quart
de la terre » infidèlement chrétien qui concerne la zone européenne
occidentale. Le reste des habitants de la terre sera aussi ressuscité mais sans
prolongement de souffrance, Dieu leur enlèvera la vie et ils seront anéantis
définitivement. Cette différence de traitement est révélé dans Apocalypse 19 :20
et 21 :
V.20 :
« Et la bête fut prise, et avec elle
le faux prophète, qui avait fait devant elle les prodiges par lesquels il avait
séduit ceux qui avaient pris la marque de la bête et adoré son image. Ils
furent tous les deux jetés vivants dans l'étang ardent de feu et de soufre. »
« La bête et le faux-prophète »
désigne les religions chrétiennes intolérantes catholiques et protestantes de
l’Europe et des USA coalisées au retour du Christ. Leur revendication
chrétienne et leur infidélité justifient que leurs adeptes et leurs enseignants
soient « jetés vivants dans l’étang
de feu » à l’heure du jugement dernier soit, « mille ans » après le retour
glorieux du Christ.
V.21 :
« Et les autres furent tués par
l'épée qui sortait de la bouche de celui qui était assis sur le cheval ; et
tous les oiseaux se rassasièrent de leur chair. »
Etant
non chrétiens, les autres humains ne subiront pas les souffrances de l’étang de
feu, car ils mourront simplement par un ordre sorti de la bouche de Dieu
représenté par Jésus-Christ venu sur terre incarner « la parole de Dieu ».
Mais
le sort réservé aux peuples païens polythéistes n’est pas enviable. Car déjà
leur fin imminente sur la terre actuelle viendra sur eux pour les éliminer sans
mélange de miséricorde. Et à ce sujet, je le rappelle, nous allons entrer après
le 8 Mai 2025, dans une phase de l’histoire humaine terrifiante. Pour le Dieu
créateur vengeur de son honneur et sa gloire bafoués et méprisés, 8 milliards
environ d’êtres humains vont devoir disparaître jusqu’au jour encore plus
terrible de son retour glorieux attendu par ses élus, selon sa promesse, pour
le jour du printemps 2030 en lequel 6000 ans de péchés terrestres prendront
fin.
Je
relève dans l’actualité un réveil d’hostilité entre l’Inde de religion hindoue
et le Pakistan de religion musulmane. Ces deux pays qui n’en faisaient qu’un, du
temps de la colonisation anglaise, avant le désir séparatiste des Musulmans,
disposent tous deux de l’arme atomique et ils ont vocation à les utiliser et à
se détruire mutuellement. Mais d’autres conflits locaux vont apparaître sur
toute la terre, et par ses « quatre
châtiments terribles, l’épée, la famine, les bêtes sauvages (animales et
humaines), la mortalité (épidémique) »,
choses auxquelles on peut ajouter, les éruptions volcaniques, les tsunamis, les
tornades, et autres formes de tempêtes, le Tout-puissant YaHWéH atteindra le
but de destruction qu’il s’est fixé. Les derniers morts seront tués par des
« pierres de grêle » selon Apocalypse 16:21 : « Et une grosse grêle, dont les grêlons
pesaient un talent, tomba du ciel sur les hommes ; et les hommes blasphémèrent
Dieu, à cause du fléau de la grêle, parce que ce fléau était très grand. »
On trouve encore aujourd’hui dans la vallée de la mer Morte, sur le lieu où se
trouvaient les villes de Sodome et Gomorrhe, des pierres de soufre par
lesquelles Dieu les a détruites avec leurs habitants après que Lot, le neveu
d’Abraham, sa femme, et ses deux filles sont promptement sortis de Sodome pour
s’éloigner du lieu frappé par la colère de Dieu.
Je
vais achever ce message par le sujet par lequel je l’ai commencé soit, la mort
du pape François à 7 heures 45 du matin, le Lundi de Pâques. Cette mort
soudaine n’est peut-être pas aussi naturelle qu’on la dit. Car, il y a eu les
précédents, concernant Jean-Paul 1er, empoisonné en 1978 après quatre
semaines d’activité papale, à cause du programme d’économie drastique et de
lutte anti-corruption qu’il voulait imposer aux cardinaux et aux évêques du
clergé catholique romain ; et Pie XI, empoisonné en 1939 pour sa position
opposée aux cardinaux au sujet du Troisième Reich hitlérien. Il se trouve que
dans une diatribe franche et directe, le pape François avait tancé le 22 décembre
ces mêmes cardinaux et évêques auxquels il a adressé de cuisants reproches …,
alors une même cause a peut-être bien porté le même effet meurtrier.
Diagnostiquer un AVC sans autopsie du corps pour justifier sa mort, justifie,
pour le moins, le doute sur ce diagnostic. Mais ne plaignons pas celui qui
part, plaignons plutôt tous ceux qui restent !
Ce
qui devrait être considéré comme un simple fait divers de notre vie occidentale
actuelle prend dans le contexte des relations religieuses tendues qui la caractérisent,
à la Grande-Combe, le rôle avertisseur du messager de la mort. Je résume les
faits, un jeune musulman a été horriblement massacré par 57 coups de couteau,
dans une mosquée, alors qu’il était en prière. Jamais, jusqu’à ce jour,
pareille chose s’est produite. Et je précise que le meurtrier a agi en état de
démence, possédé par des démons qui l’ont poussé à agir. Sur les réseaux
sociaux, il avait révélé son désir obsédant de tuer quelqu’un ; et son
choix s’est porté au dernier moment sur une mosquée dans laquelle il est entré
et a commis son meurtre. Cet assassin par inspiration et habitation est
lui-même aussi victime des démons célestes que les gens que Jésus délivrait en
chassant les mauvais anges qui les tenaient paralysés, aveugles, ou muets.
Les origines de ce jeune homme, Rom de Bosnie, ne sont pas en cause. Et le
choix des démons aurait pu tomber sur un jeune catholique, un Juif, un
Orthodoxe ou un Protestant, ou encore un Chinois. Pour la communauté musulmane,
ce fait est à la fois inquiétant mais aussi très irritant. Parce que l’action
n’est même pas récupérable par la communauté, bien que des gens politiques se
soient empressés de tenter de l’exploiter. Le coupable est vivant et il s’est
lui-même rendu à la police de l’Italie où il avait fui après son crime.
Quels
sont les messages de ce messager de la mort ?
Le
premier, nous dit que par cette action, Dieu annonce l’imminence du temps où
les démons vont être libérés, en confirmation de l’annonce prophétique qui
repose sur Apocalypse 7:2-3 et 9:14-15 (démons retenus et démons déliés). Ce
genre de tueurs démoniaques ne va donc que se multiplier, mais ce que Dieu
cible c’est la zone de l’U.E., symbolisée par les « dix cornes » dans
Daniel et Apocalypse ; la France où s’est accompli le meurtre étant l’une
d’elles.
La deuxième leçon que ce drame enseigne est
beaucoup plus subtile et loin des pensées humanistes des peuples occidentaux. A
ceux des êtres humains mâles et femelles qui cherchent à savoir où il est, Dieu
offre à cette humanité la possibilité de comprendre où il n’est pas. Quel être
intelligent peut croire que Dieu reçoit des prières dans un lieu où il laisse
le diable et ses démons accomplir un assassinat horrible ? Il est vrai que
Nadab et Abihu les fils rebelles d’Aaron furent carbonisés et tués par Dieu à
cause de leur désobéissance dans le rite sacerdotal, dans lequel ils firent
usage d’un feu « étranger » contrairement à l’ordre donné par sa
divine autorité. Toutes les morts ont leur cause et leur explication. Mais ce jeune
homme massacré dans une mosquée n’était pas visé personnellement par Dieu. Sa
mort injustifiée n’a d’intérêt que pour révéler l’inutilité de la religion de
l’islam que Dieu, le vrai créateur, ne protège pas, mais laisse aux démons et
au diable. L’absence d’intelligence des masses musulmanes est affichée et
révélée par leur comportement, car ils ne s’interrogent pas et ne cherchent pas
à comprendre pourquoi Dieu laisse ce crime s’accomplir. C’est cette absence
d’intelligence qui caractérise toutes les fausses religions monothéistes
actuelles. Ce monothéisme a grandement remplacé, en Occident, au Nord et au
Sud, les religions polythéistes, mais les adorateurs sont restés les mêmes,
sans l’intelligence qui caractérise l’unique véritable vérité religieuse
divine.
La
leçon qui vaut pour l’islam vaut tout autant pour la religion catholique papale
romaine dans laquelle de multiples crimes ont été faits tels ceux commis par
Alexandre VI né Borgia, jusqu’à l’assassinat de Jean-Paul 1er
empoisonné après un mois d’activité. Comment peut-on après cela croire au dogme
de l’infaillibilité papale ? Le grand nombre des religions complique la
compréhension du sujet, mais pour Dieu tout est beaucoup plus simple ;
pour sa sélection d’élus, depuis Adam et Eve, il bénit l’intelligent et le
nourrit de sa vérité, et il maudit l’insensé auquel il donne pour nourriture
les innombrables mensonges diaboliques religieux ou pas, de toutes étiquettes
et formes.
M33- L’inversion du sort des derniers élus
Ce
ne sont pas les Evangiles, ni les épîtres de la nouvelle alliance de la sainte
Bible, qui révèlent les détails concernant ce sujet, qui cible les dernières
heures de la vie terrestre des élus avant qu’ils entrent dans l’éternité de
Dieu. Comme il le dit dans Apocalypse 1:1, Jésus-Christ a réservé le privilège
de cette révélation à ses serviteurs qui vont vivre au jour du printemps 2030
cette expérience éprouvante mais combien merveilleuse.
C’est
premièrement par ses révélations données en visions à Ellen White qui a citée
plusieurs fois les 6000 ans de la durée du temps de l’humanité, que
Jésus-Christ a révélé les détails concernant la loi dominicale rendue
obligatoire par le dernier gouvernement terrestre universel. Se contentant au
début, de sanctions commerciales et relationnelles, la gouvernance impie finira
par décréter la mort pour les humains récalcitrants dont les derniers
adventistes du septième jour et les derniers Juifs fidèles envers Dieu. Cette
imposition du seul repos du premier jour permettra à tous les élus de s’engager
dans la fidélité envers Dieu, quelle que soit leur origine nationale, raciale,
et religieuse ou pas. Quand l’heure de mettre en œuvre les exécutions mortelles
juridiques sera prête à s’accomplir, dans le ciel, le signe du Fils de l’homme
apparaîtra venant dans la gloire lumineuse de ses anges. Le corps terrestre des
élus qui allaient être tués est changé par Christ et remplacé par un corps
céleste. Ainsi les impies terrestres découvrent alors leur dramatique erreur de
jugement et la colère des gens trompés se retourne contre les trompeurs, les
pasteurs, les prêtres, les rabbins qui ont tous en leur temps combattu la
vérité divine en enseignant des mensonges.
Dans
cette expérience finale, la fidélité au saint sabbat du septième jour,
sanctifié par Dieu dès sa création du monde terrestre et de toute sa dimension,
tient le rôle fondamental principal. C’est cette sanctification divine
originelle qui rend hautement coupable et condamnable, le repos « dominical »
(dimanche : « jour du Seigneur ») du premier jour honoré par les
Catholiques et les Protestants, mais aussi, le repos du sixième jour honoré par
les Musulmans. Le choix de Dieu repose sur la logique du programme qu’il a bâti
pour construire son plan du salut. Dès le commencement, son ordre repose sur
la construction de la semaine de sept jours qui est elle-même l’image
prophétique des sept mille années du programme divin terrestre global. La sanctification du septième jour
prophétise la sanctification du septième millénaire que Dieu et ses
élus sélectionnés vivront dans le plus parfait repos dans son royaume céleste.
Dans
le jugement de Dieu, le repos du sabbat du septième jour ne représente son
« sceau divin royal » que pour ses vrais élus qui se distinguent des
autres observateurs du sabbat, par le fait qu’ils savent tout ce qu’il
représente et signifie. Pour les autres, le sabbat n’est que le septième jour
hérité de génération en génération au fil des siècles de l’histoire terrestre
humaine.
Jésus
a dit à Ponce Pilate qu’il est « venu
rendre témoignage à la vérité ». Par ce mot « vérité », il désigne le principe
du plan du salut préparé par Dieu. La déformation de la présentation de ce plan
du salut constitue donc la faute la plus
grande et condamnable dans son
jugement, ce qui explique la sévérité manifestée envers Moïse, auquel l’entrée
dans la « Canaan terrestre », image prophétique de la « Canaan
céleste », fut interdite.
De
même, depuis 1844, l’entrée dans la « Canaan céleste » sera interdite aux Chrétiens qui ont
déformé le projet divin en remplaçant le repos sabbatique du septième jour le
samedi, par le premier jour trompeur nommé dimanche.
Celui
qui tient le sabbat pour « sceau de
Dieu » tient également le repos du premier jour pour « marque de la bête ». C’est
cette base de foi qui permet aux élus de refuser d’honorer le repos du
premier jour rendu obligatoire dans l’épreuve de foi finale.
La
faute humaine qui consiste à déformer le projet divin est d’autant plus
favorisée que la création terrestre entière est construite sur des bases
prophétiques. Les formes masculines et féminines ont une cause symbolique
prophétique. C’est pourquoi, peu avant le temps d’un grand châtiment mondial,
auquel succédera l’épreuve de foi finale, la modification apportée de manière
perverse en Occident par la reconnaissance officielle et légale d’une sorte de
troisième sexe constitue un péché particulièrement abominable pour Dieu. Tout
homme symbolise Christ et toute femme son Elue, composée de multiples
personnalités reconstruites à son image ; il n’y a pas de place pour un
troisième statut.
On
retrouve dans la prophétie, dans Apocalypse 3:10, l’annonce de l’existence
programmée de cette épreuve de foi finale : « Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te
garderai aussi à l'heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour
éprouver les habitants de la terre. »
On
trouve également l’annonce de la condamnation à mort des derniers élus dans
Apocalypse 13:15 : « Et il lui
fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la bête parlât, et
qu'elle fît que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête fussent tués. » Précédant
cette mesure extrême, un boycott commercial et social typiquement américain est
aussi annoncé dans le verset 17 : « et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom
de la bête ou le nombre de son nom. »
Apparemment,
ce sont là, les seuls confirmations évidentes de l’épreuve de foi finale. Mais
je dis bien, apparemment, car Dieu m’a accordé la grâce et le privilège de
découvrir d’autres confirmations et d’autres précisions concernant cette
épreuve finale. Il faut dire qu’elles sont très subtiles et bien cachées, au
point que sans l’Esprit pour me guider, je les aurai ignorées comme tous les
autres êtres humains.
Ma
recherche systématique des messages délivrés par les noms des « douze tribu scellées » d’Apocalypse
7, m’a permis de découvrir le message porté par le nom « Benjamin » de la « douzième
tribu » du verset 8 : « …de
la tribu de Zabulon, douze mille ; de la tribu de Joseph, douze mille ; de la
tribu de Benjamin, douze mille marqués du sceau. » Les noms portés par
ces douze tribus transmettent des messages et ils n’ont aucun lien avec les
tribus de l’Israël charnel. Le nom Benjamin apparaît en dernier, dans la liste
des douze, parce qu’il est porteur d’un message qui concerne les élus
translatés au retour du Christ. C’est ce nom Benjamin qui confirme le
renversement du sort des élus et de leurs ennemis que Dieu a annoncé en vision
à Ellen White, auteur des livres « la Tragédie des Siècles » et
« Premiers Ecrits ». La foi doit reposer sur la seule sainte Bible
qui permet ainsi de retenir ce qui doit l’être et de rejeter ce qui le mérite.
Et j’ai ainsi pu donner des preuves bibliques aux révélations d’Ellen White
concernant ce renversement du sort des derniers humains vivants. Le message
porté par le nom « Benjamin » apparaît dans Genèse
35:18 : « Et comme elle allait
rendre l'âme, car elle était mourante, elle lui donna le nom de Ben Oni ; mais le père l'appela Benjamin. »
En règle générale, les noms propres bibliques expriment une expérience. Le nom
« Ben Oni » signifie fils
de ma douleur ; le nom « Benjamin » signifie : « fils
(placé à ma) droite ». Dans ce message, Jacob tient le rôle de Dieu qui
change en dernière extrémité le sort de son peuple élu menacé de mort, en
remplaçant l’apparente malédiction qui le frappe, par sa bénédiction, exprimée
par le nom « Benjamin » soit, « fils » que Dieu
place à sa « droite », le côté « béni » par
Jésus-Christ, selon Matthieu 25:33-34 : « et il mettra les brebis à sa
droite, et les boucs à sa gauche. Alors
le roi dira à ceux qui seront à sa droite : Venez, vous qui êtes bénis de mon Père ; prenez possession
du royaume qui vous a été préparé dès la fondation du monde. »
Ce
sabbat 10 Mai 2025, à la faveur d’un échange fraternel, l’Esprit a dirigé notre
attention sur l’expérience vécue par les Juifs déportés à Suse sous le règne du
roi Perse Assuerus qui a épousé la jeune fille juive nommée Esther. En effet,
la méchanceté du gouverneur Haman qui voulait faire pendre le Juif Mardochée
s’est retournée contre lui, et finalement par la puissance de Dieu, Mardochée a
été honoré et le méchant Haman a été pendu sur la potence qu’il avait fait
préparer pour Mardochée. Il ne fait aucun doute que, par cette expérience, Dieu
a voulu annoncer à son peuple, à ses vrais élus, comment dans son programme de
la fin de l’offre du salut terrestre, il renverserait la situation
momentanément tragique pour ses élus, sanctifiés par leur fidélité à son saint
sabbat du septième jour. L’étude du sujet nous a fait réaliser que cette
expérience a donné lieu à la pratique de la fête des « Purim » ordonnée par Mardochée pour
la perpétuité du temps. C’est alors que nous avons relevé les dates historiques
de l’événement qui s’est accompli et reste toujours célébré les 14 et 15 Adar.
La transposition de cette fête pour le retour du Christ au printemps 2030 situe
ces deux jours au 19 et 20 Mars 2030 soit, la veille et le jour de l’apparition
glorieuse de Jésus-Christ.
Nous
lisons dans Esther 9:26 : « C'est
pourquoi on appela ces jours Purim, du nom (hébreu) pur. D'après tout le contenu de cette lettre, d'après ce qu'ils
avaient eux-mêmes vu et ce qui leur était arrivé, » ; « pur » signifie en hébreu : le
sort. Versets 27-28 : « les
Juifs prirent pour eux, pour leur postérité, et pour tous ceux qui
s'attacheraient à eux, la résolution et l'engagement irrévocables de célébrer
chaque année ces deux jours, selon le mode prescrit et au temps fixé. Ces jours
devaient être rappelés et célébrés de génération en génération, dans chaque
famille, dans chaque province et dans chaque ville ; et ces jours de Purim ne devaient jamais être abolis au milieu des
Juifs, ni le souvenir s'en effacer
parmi leurs descendants. »
Cette
fête des « Purim » apporte beaucoup de précisions sur les événements
des derniers jours. Déjà, à l’origine de la fête se trouve l’autorisation
donnée à Mardochée par le roi Assuerus, le 13 Adar, de tuer tous leurs ennemis
vivant à Suse, 500 hommes, et l’autorisation est reconduite le lendemain le 14 Adar,
et le roi leur permet de tuer cette fois
tous leurs ennemis dispersés dans son immense pays, dans ses campagnes et
ses provinces, 75 000 hommes. A la différence de cette expérience, en
2030, ce ne seront pas les élus qui tueront leurs ennemis, mais cette justice
divine sera appliquée par les victimes trompées par les mensonges religieux des
pasteurs, des prêtres, et des rabbins. J’ai relevé dans Esther 9:16, cette
déclaration : « Les autres
Juifs qui étaient dans les provinces du roi se rassemblèrent et défendirent
leur vie ; ils se procurèrent du repos
en se délivrant de leurs ennemis, et ils tuèrent soixante-quinze mille de
ceux qui leur étaient hostiles. Mais ils ne mirent pas la main au pillage. »
Cette expression soulignée en gras : « ils se procurèrent du repos en se
délivrant de leurs ennemis», délivre un message subtil qui donne un
sens particulier au repos du sabbat du septième jour. Le septième millénaire
l’accomplira seulement au prix d’une extermination des ennemis de Dieu sur la
terre, humains et anges rebelles.
Les
versets 17 et 18 confirment cette interprétation : « Ces choses arrivèrent le treizième jour du
mois d'Adar. Les Juifs se reposèrent le quatorzième, et ils en firent un jour
de festin et de joie. Ceux qui se trouvaient à Suse, s'étant rassemblés le
treizième jour et le quatorzième jour, se
reposèrent le quinzième, et ils
en firent un jour de festin et de joie. » Le repos
du « quatorzième jour »
est obtenu par le massacre de 300 hommes à Suse, et 75 000 autres en
province. Et finalement le 15ème jour, ils se sont réellement
reposé, comme les derniers élus le feront dès l’apparition de Jésus-Christ
au premier jour du printemps soit, le 20 Mars 2030 qui sera également à cette
date le 15ème jour des « Purim ».
En entrant dans le ciel, les élus feront « un festin de joie »
alors que sur la terre, les oiseaux de proie feront, eux, un « festin » de cadavres humains et
d’animaux morts et étendus sur le sol de la terre.
Esther
9:20 à 22 : « Mardochée écrivit
ces choses, et il envoya des lettres à tous les Juifs qui étaient dans toutes
les provinces du roi Assuérus, auprès et au loin. Il leur prescrivait de
célébrer chaque année le quatorzième jour et le quinzième jour du mois d'Adar
comme les jours où ils avaient obtenu du repos en se délivrant de leurs
ennemis, de célébrer le mois où leur tristesse avait été changée en joie et
leur désolation en jour de fête, et de faire de ces jours des jours de festin et de joie où l'on s'envoie des portions les uns
aux autres et où l'on distribue des dons aux indigents. »
Je
ne peux m’empêcher de comparer cette forme de réjouissance du peuple de Dieu
avec celle des créatures rebelles européennes qui se réjouissent vers 1793 de
la mort des « deux témoins »
de Dieu, l’ancien et le nouveau témoignage biblique, dans Apocalypse 11:10 :
« Et à cause d'eux les habitants de
la terre se réjouiront et seront dans l'allégresse, et ils s'enverront des présents les uns aux autres, parce que ces
deux prophètes ont tourmenté les habitants de la terre. »
Par
la fête des « Purim », Dieu adresse un message à ceux qui se réjouissent
encore injustement du mépris témoigné pour la vérité biblique divine. Il leur
prophétise glorieusement que ses saints et lui-même seront les derniers à se
réjouir de leur juste extermination.
Le
principe appliqué par le fidèle Dieu créateur qui favorise toujours ses élus au
détriment de leurs ennemis religieux ou pas est exprimé par ce dicton populaire
du type proverbe qui dit : « Tel est pris qui croyait prendre ».
Et Dieu l’a mis en pratique dès le commencement de son alliance avec les fils
d’Israël qu’il a sauvés de la mort dans l’esclavage, en faisant mourir Pharaon
et son armée de chars, tous engloutis dans les eaux de la « mer
Rouge », qui mérite ainsi bien son nom, car elle est rouge du sang des
Egyptiens coupables, porteurs de leurs péchés et de leur méchanceté. En Israël,
la « mer Morte » mérite également son nom, parce qu’elle recouvre la
vallée de Sodome et les cendres de ses habitants abominables détruits par des
pierres de soufre qu’on trouve encore aujourd’hui au pied de la montagne de
Massada contre laquelle était bâtie Gomorrhe, l’autre ville maudite par Dieu. Sa
teneur exceptionnelle en sel en fait un modèle de stérilité ; la zone est
ainsi parfaitement maudite par Dieu et ceci, durablement, puisque
perpétuellement.
M34- Le Vivant
C’est
sous ce nom que Dieu se présente à toutes ses créatures terrestres et
célestes : le Vivant. Car personne en dehors de lui ne porte cette
caractéristique. Etant la source et le principe de la vie, il mérite
parfaitement ce nom qu’il se décerne uniquement dans ce verset d’Apocalypse 1:18 : « Je suis le premier et le dernier, et le
Vivant. J'étais mort ; et voici, je suis vivant aux siècles des siècles. Je
tiens les clefs de la mort et du séjour des morts. ».
Dans
ce verset Jésus certifie qu’il a été mis à mort et qu’il s’est ressuscité comme il l’avait annoncé avant
son arrestation à ses apôtres. Ces hommes, qu’il avait lui-même choisis
pour être ses témoins, ont constaté
cette résurrection et leur foi a pris de la force comme leur puissant
témoignage l’a démontré ensuite jusqu’à la dernière heure de leur vie terrestre
marquée par l’acceptation de la mort en martyrs ; terme d’origine grecque
qui signifie précisément : témoin. Pour sa part, l’apôtre Jean qui était,
selon l’Esprit divin, « le disciple
que Jésus aimait », selon Jean 21:7 et 20, a été rendu indestructible
par Dieu. L’huile bouillante ne pouvait pas le détruire et l’empereur romain
dut se résoudre à le tenir captif isolé sur l’île de Patmos dans la mer Egée.
Et c’est dans cet isolement que l’œuvre de Jean a été glorifiée par
Jésus-Christ, puisque c’est dans cette condition qu’il lui a présenté sa
sublime et vitale Révélation qui fait aujourd’hui la différence entre la vie
et la mort ; la vie pour ceux qui la reçoivent comme sa Révélation divine et la mort
pour ceux qui ne voient en elle que l’épouvantable Apocalypse qui vient détruire l’humanité ; ce qui est
paradoxalement, pas entièrement faux.
Car
l’Apocalypse de Jésus-Christ vient parler à ses seuls « serviteurs » fidèles. Jésus
leur fait connaître la grande « tragédie des siècles » de l’ère
chrétienne et les nombreux pièges que Dieu a placés devant les hommes et les
femmes qui n’ont pas en eux l’amour pour sa vérité. Il a prévu de les séduire
par toutes sortes de moyens très efficaces en raison même de leur acceptation
du mensonge que l’Américain moderne nomme « bluff » pour atténuer sa
culpabilité. Mais attention, cette pratique du « bluff » est aussi
utilisée par le Dieu de vérité quand il met la foi de ses serviteurs à
l’épreuve. Et ce terme « bluff » convient très bien pour nommer une
action trompeuse adoptée pour obtenir un résultat recherché et voulu. Quand il
« bluffe », contrairement à l’homme, Dieu a pour but de mettre en
évidence ses vrais élus dignes de son salut ; et parallèlement, de
démasquer la fausse foi, par le comportement des humains éprouvés et réprouvés
par lui. Dans la pratique humaine, le « bluff » vise surtout à
tromper son prochain pour tirer profit de lui.
En
se désignant lui-même comme étant « le Vivant », ce qui mérite
alors une majuscule légitimée, Dieu délivre à l’humanité plusieurs messages.
Le
premier consiste à leur rappeler qu’il incarne le principe de la vie ; ce
qui lui donne toute sa légitimité de droits détenus par lui au titre de Dieu
créateur. Les humains croyants ou pas, nomment parfois Dieu par l’expression
« le Créateur », mais ils n’agissent pas envers lui comme le
nécessite leur devoir envers le Dieu créateur. De plus, dans notre société moderne,
le terme créateur est évoqué pour désigner les artistes qui créent des œuvres
musicales ou picturales. On nomme aussi créateurs les compositeurs de la mode
de l’habillement de luxe dont la fantaisie et l’exubérance semblent illimitées.
De la sorte, le mot « créateur » est vulgarisé et galvaudé, et l’être
humain tombe dans le piège de la confusion créée par l’assimilation de tous ces
sens différents donnés à ce nom : « créateur ».
Or
ce mot « créateur » est utilisé illégitimement quand il
concerne des créatures de Dieu et non, Dieu lui-même. Le pouvoir créateur
désigne la capacité de créer à partir de rien ; à partir du néant, et ce
pouvoir, Dieu est le seul à le détenir. Il crée par sa « parole »,
mais en réalité par son « Esprit ». La parole n’est utile que si elle
est entendue et écoutée par des vis-à-vis également vivants. Et lorsque Dieu
entreprend sa création terrestre, il a pour témoins observateurs, tous ses
anges célestes qu’il fait participer à
son œuvre glorieuse. A son tour, l’homme créé par Dieu se met à son
écoute et dépend entièrement de lui. Dieu ne parle pas pour rien dire, quand il
parle, c’est pour exprimer des choses importantes pour lui-même et ses
créatures. Parce qu’il incarne la perfection absolue dans tous les domaines,
imaginables ou pas, toutes ses paroles ont une valeur légale qui représente, la
« loi divine » bien avant la remise à Moïse de la loi des « dix
commandements de Dieu, et de la Torah juive.
Pour
l’être humain, la loi divine a commencé par les ordonnances de Dieu présentées
à Adam et Eve au sujet de l’alimentation de leur corps physique. Cette notion
charnelle physique était l’image corporelle de la notion spirituelle. Car
l’homme étant chair et esprit, son esprit avait autant besoin de nourriture que
son corps physique. La possibilité donnée par Dieu à l’homme et sa femme de
manger de tous les arbres du jardin révélait son amour pour ses créatures. Et à
ceux qui croient de manière arrogante et insensée au dieu nommé
« hasard », je propose qu’il le remercie pour son souci de donner du
bonheur à l’être humain en multipliant les formes du goût, des odeurs, des
sons, et des esthétiques des choses comme ces fleurs aux multiples et
innombrables aspects. Il est évident que ces choses témoignent de l’existence
d’un esprit divin supérieur, bien veillant et plein d’amour pour ses vis-à-vis
qu’il crée. Le dieu « hasard » derrière lequel se réfugient les
incroyants n’est que le prétexte trouvé par ceux qui, comme le libre penseur
Karl Marx, ont choisi de, je cite, « chasser Dieu de leur ciel ». Et
ce choix est celui de gens rebelles qui refusent de se soumettre à une
quelconque autorité. Et la vie moderne occidentale fabrique ces monstres
d’égocentrisme en multitudes destinées à la perdition et l’anéantissement.
En
se nommant « le Vivant », Dieu contredit l’humanité rebelle actuelle qui
ose avancer l’idée qu’il est mort. Cette humanité rebelle prend le silence de
Dieu comme une preuve de sa mort et Dieu a annoncé ce comportement outrageant
dès le commencement de sa révélation biblique en révélant les origines de la
vie terrestre à Moïse. Le contexte était favorisé par le comportement du
pharaon de l’Egypte modèle d’impiété et du péché par sa résistance à ne pas
obéir aux ordres donnés par le Dieu de Moïse. A ce titre, la sortie d’Egypte
prend l’aspect d’une scène qui prophétise tout le grand projet du salut des
élus humains terrestres : les ennemis de Dieu et de ses élus seront détruits
comme l’armée puissante de Pharaon, et les élus hériteront de la vie éternelle
et ils entreront dans la Canaan céleste.
En
se nommant « le Vivant », Dieu déclare que les autres prétendues
divinités sont, elles, réellement mortes et plus précisément fausses, car
inexistantes. Lorsque Dieu s’est présenté à lui, Manoach, le père de Samson,
demanda à Dieu : « Quel est ton
nom ? » La réponse de Dieu fut une question : « Pourquoi demandes-tu mon nom ? Il est
merveilleux ». Par cette question, Dieu exprimait sa pensée divine qui
savait qu’il n’existait pas d’autres divinités en face de lui. Plus tard, il
s’est présenté à Moïse le fils adopté par la fille du pharaon. Moïse avait dans
son esprit toute la culture égyptienne et ses nombreuses divinités et il
demanda, lui aussi, à Dieu, son nom, selon Exode 3:13 : « Moïse dit à Dieu : J'irai donc vers les
enfants d'Israël, et je leur dirai : Le Dieu de vos pères m'envoie vers vous.
Mais, s'ils me demandent quel est son nom, que leur répondrai-je ? » Dieu
donne sa réponse au verset 14 dont je propose cette traduction personnelle
: « Dieu dit à Moïse : Je suis qui je suis. Et il ajouta :
C'est ainsi que tu répondras aux enfants d'Israël : Celui qui s'appelle Il est m'a envoyé vers vous. »
Dans le texte hébreu originel, la première lettre du tétragramme du nom de Dieu
est différente et exprime, quand Dieu se nomme lui-même, le sujet et pronom
personnel « je », et quand
les humains le nomment, « il ».
Ainsi, Dieu accepte de se donner un nom qu’il choisit lui-même et qui se
traduit dans nos langues occidentales par « Je suis » ; nom
que, scandalisant les Juifs incrédules, Jésus revendique et s’attribue dans
Jean 8:58 : « Jésus leur dit :
En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu'Abraham fût, moi je suis. » Mais ce n’est pas sous ce nom qu’il ordonne à
Moïse de le nommer, car son nom est une conjugaison du verbe être, et Dieu peut
seul dire de lui-même « Je suis ». En toute logique,
ses créatures, ses vis-à-vis, doivent l’appeler « Il est » ; ce
qui est la traduction du nom hébreu « YaHWéH » cité dans toute la
Bible. En se révélant à Moïse, après Abram renommé par Dieu Abraham, Isaac, et
Jacob renommé par Dieu Israël, le grand et unique Dieu créateur se montre et
parle à un être humain sous l’aspect d’un buisson embrasé qui ne se
consume pas ; ce qu’il est seul à pouvoir faire, étant lui, contrairement aux
fausses divinités, réellement, « le Vivant » qui parle et qui
agit.
Si
Dieu est bien, lui, « le Vivant »,
il n’a par contre en face de lui que des créatures terrestres mortelles dont
les plus rebelles se comportent envers lui comme si c’était lui, le mort. Dans
cette démarche, nous retrouvons logiquement tout l’enseignement chrétien
diffusé par l’église catholique romaine depuis ses origines ténébreuses. Le
pape élu chef terrestre du troupeau des brebis de Jésus-Christ est censé
représenter Dieu, mais en fait, il remplace ses idées et sa personne, lui
substituant des pensées diaboliques et des esprits démoniaques dont certaines
n’ont jamais été relevées jusqu’à ce jour. Nous avons en effet une grande
connaissance des fautes principales officiellement imputées à l’autorité du
catholicisme papal romain, mais le sujet que je dénonce aujourd’hui a été
ignoré par tous les Chrétiens victimes de l’héritage des conceptions
religieuses traditionnelles. Ce sujet est celui de la polygamie,
systématiquement condamnée dans nos sociétés occidentales chrétiennes romanisées
depuis de nombreux siècles.
C’est
en effet une norme catholique romaine qui a condamné la polygamie déjà refusée
dans la Rome païenne. A l’opposé, dans l’islam, la polygamie est autorisée.
Pour sa part, l’église catholique a interdit le mariage à ses prêtres, ses
évêques, ses cardinaux, ses moines soit, tous ses officiants et la conséquence
est la pratique cachée du péché de chair par beaucoup de ces officiants ;
ceci avec les dérives homosexuelles devenues légales dans notre époque, en
Occident, seulement. La même norme religieuse catholique prescrit pour les
humains civils des mariages monogames et nomme « adultère » toute
transgression de ce principe. Et bien, Dieu a un tout autre avis sur ce sujet
que je vais développer maintenant.
Premièrement,
tout lecteur de la sainte Bible peut constater que Dieu n’a jamais condamné ses
serviteurs qui ont épousé et reconnu officiellement pour épouses plusieurs
femmes. Abraham n’eut qu’une femme officiellement, nommée Saraï qui lui donna
l’autorisation de donner vie à son fils Ismaël par sa servante égyptienne
nommée Agar. Jacob fut contraint par son oncle, à épouser successivement ses
deux filles, Léa et Rachel. David prit de nombreuses femmes pour épouses et
Dieu ne lui en fit pas le reproche, excepté pour le cas de Bethsabée dont David
fit mourir injustement son mari « Urie le Héthien », pour la lui
ravir. Visiblement, Dieu n’est pas contre la polygamie et il nous faut donc
mieux définir ce qu’est « l’adultère » dans son jugement.
Pour Dieu « l’adultère » consiste à trahir une alliance officiellement
reconnue. L’homme peut donc être l’époux de plusieurs femmes auxquelles il
donne le statut d’épouses officielles. La preuve de ce jugement divin apparaît
dans ce texte de Deutéronome 17:17 : « Qu'il n'ait pas un grand nombre
de femmes, afin que son cœur ne
se détourne point ; et qu'il ne fasse pas de grands amas d'argent et d'or. »
Dieu déconseille au roi d’Israël d’épouser un trop « grand nombre de femmes »,
mais ne condamne pas le principe de la polygamie. C’est aussi confirmé par ce
verset de Deutéronome 21:15 : « Si
un homme, qui a deux femmes, aime
l'une et n'aime pas l'autre, et s'il en a des fils dont le premier-né soit de
la femme qu'il n'aime pas, … » Et enfin, la chose est confirmée dans
Exode 21:10 : « S'il prend une autre femme, il ne retranchera rien pour la première à
la nourriture, au vêtement, et au droit conjugal. »
La
conséquence de la mauvaise interprétation romaine de la polygamie est très
grande et je propose cet exemple des conséquences portées au sujet du roi Henri
VIII d’Angleterre qui ne vit que la répudiation et la mort de ses femmes pour
éviter la culpabilité de ce que Rome présentait faussement comme un acte
adultère. En vérité, Henri VIII avait le droit divin de prendre autant de
femmes qu’il le voulait sous condition de ne faire de tort à aucune d’elles. La
religion chrétienne n’a pas vocation à changer ces règles matrimoniales
établies par Dieu dans la loi de Moïse. L’humanité occidentale entière a été
victime des fausses valeurs établies et imposées par l’église catholique papale
romaine. Et ses mensonges ont causé injustement la mort de multitudes d’hommes
et de femmes. Il n’est donc pas étonnant que, parlant de Rome, Dieu déclare
dans Apocalypse 18:24 : « …et
parce qu'on a trouvé chez elle le sang des prophètes et des saints et de tous
ceux qui ont été égorgés sur la terre. »
Il
me reste à expliquer maintenant les raisons spirituelles pour lesquelles Dieu peut
légitimer le choix polygame.
Le
mariage du couple trouve son origine dans l’exemple de l’expérience d’Adam et
Eve, et d’Isaac et Rébecca. Ces deux couples sont formés par le choix de Dieu ;
Eve, la première femme est donnée à Adam, et Abraham s’en remet à Dieu pour
trouver l’épouse pour son fils Isaac. Ces deux cas sont exemplaires pour
représenter le vrai sens du mariage ; Dieu étant l’acteur principal de ces
unions. Dans le couple homme et femme, l’homme est l’image du Christ et la
femme celle de son Eglise, son assemblée d’élus composée d’hommes et de femmes.
Vu du côté humain, l’Elue collective et individuelle a un devoir de fidélité
envers l’unique époux Jésus-Christ ; ce qui donne une priorité à l’union
monogame. Mais vu du côté divin, la situation est différente parce que Dieu
s’unit individuellement à ses multitudes d’élus qui collectivement forment son
unique épouse. Dieu se trouve dans les deux situations, polygame individuellement,
et monogame collectivement. Il ne peut donc que légitimer la polygamie qui
caractérise sa propre relation amoureuse avec tous ses vrais élus mâles et
femelles.
Je
relève aujourd’hui, l’erreur de lecture commise au sujet de « l’adultère ».
Les versets qui condamnent « l’adultère » humain le rattachent
à la « répudiation » de la première femme. Aussi, fallait-il le
comprendre, c’est cette « répudiation » que Dieu condamne
et non le mariage avec une autre femme. Dieu en témoigne dans Malachie 2:16, où
il dit : « Car je hais la répudiation, dit YaHWéH, le Dieu d'Israël, et celui qui
couvre de violence son vêtement, dit YaHWéH des armées. Prenez donc garde en
votre esprit, et ne soyez pas infidèles! » Il dit au verset 14 qui
précède : « Et vous dites :
Pourquoi ?... Parce que YaHWéH a été
témoin entre toi et la femme de ta jeunesse, à laquelle tu es infidèle, bien
qu'elle soit ta compagne et la femme de ton alliance. »
L’infidélité reprochée est concrétisée par « la répudiation de cette femme de
la jeunesse ». Or, la fidélité est la valeur que Dieu apprécie
suprêmement, en raison même de son programme dans lequel il sélectionne des élus
destinés à vivre avec lui pendant l’éternité, illimitée comme son sens
l’indique.
L’erreur
commise dans cette lecture de « l’adultère » est semblable à celle
qui consiste à retenir du quatrième commandement de Dieu l’obligation de
travailler six jours alors que l’obligation divine concerne le repos du
septième jour. Ce verset de Matthieu 5:32 décrit clairement ce que Dieu
nomme « adultère » : « Mais moi, je vous dis que celui
qui répudie sa femme, sauf pour cause d'infidélité, l'expose à devenir adultère, et que celui qui épouse une femme répudiée commet un adultère. »
Le proverbe chinois est ainsi bien justifié : « Quand le sage pointe
du doigt la lune, le fou regarde le bout du doigt. »
Les
valeurs approuvées par Dieu demeurent inchangées pour l’éternité ; elles
offrent la sécurité de la parfaite stabilité. A l’opposé, la forme de la vie
terrestre actuelle est destinée à cesser au retour glorieux de Jésus-Christ
attendu pour le jour du printemps 2030. « Car, à la résurrection, les hommes ne prendront point de femmes, ni les
femmes de maris, mais ils seront comme les anges de Dieu dans le ciel. »,
a dit Jésus dans Matthieu 22:30.
Dans
la nouvelle alliance, Dieu présente ses ordres sous la forme de simples
conseils ; ceci, parce qu’en Jésus-Christ une relation rapprochée s’est
construite entre lui et ses appelés destinés à l’élection. J’aime à le
rappeler, mais l’élu de Dieu de notre année 2025 porte le même statut
privilégié que les apôtres choisis par Jésus-Christ lui-même, au début de son
ministère terrestre. Notre Jésus divin actuel se partage et construit des
relations permanentes multipliées rendues possibles par sa nature divine. Le
grand Dieu créateur est, à son échelle incommensurable,
« multitâches » comme nos ordinateurs informatiques Où qu’ils se
trouvent sur la terre, ses élus disposent de sa bienveillante affection et de
son esprit pour les inspirer et les diriger constamment. Et cette restauration
de la vérité concernant « l’adultère » en fournit la
preuve en ce qui me concerne.
La
situation spirituelle actuelle est telle que Dieu donne des preuves de son existence
à ceux qui croient à son existence et qui le prouvent en prenant très au
sérieux ses révélations prophétiques qu’il a préparées pour les guider et les
éclairer. Dans le temps où les incroyants et incrédules sont livrés à
l’angoisse de l’avenir proche, tant les changements politiques et économiques
terrestres sont transformés subitement depuis l’élection d’un seul homme,
président depuis Janvier 2025 des puissants Etats-Unis de l’Amérique du Nord.
Et Dieu a eu la bonne idée de donner à cet homme le nom évocateur de Donald Trump, l’homme de sa « sixième trompette »
d’Apocalypse 9:13. Paradoxalement, l’homme, par lequel la guerre la plus
destructrice de l’histoire terrestre va s’accomplir, est animé d’une farouche
volonté d’instaurer la paix sur toute la terre. Il prouve ainsi combien il est
séparé du Dieu créateur qui l’utilise malgré lui pour obtenir la guerre que son
instrument humain veut à tout prix éviter.
C’est
en effet ce prêcheur de paix qui va favoriser la Troisième Guerre Mondiale qui
va conduire l’Amérique à sa domination universelle longtemps espérée par tous
ses prédécesseurs de la Maison-Blanche. Contrairement à ceux qui l’ont précédé,
Donald Trump veut tellement favoriser la paix qu’il préfère, dans sa déception
due à son échec dans cette tentative, se retirer des problèmes
occidentaux. Et ce choix livre l’Europe affaiblie par son obéissance aux
directives américaines précédentes à sa nouvelle ennemie, la Russie de Vladimir
Poutine. Les Européens ont pendant un petit moment espérer ramener et
restaurer le soutien de l’Amérique, le pays organisateur de l’alliance de
l’OTAN. Mais après une tentative d’échanges directs entre l’Ukraine et la
Russie, Donald Trump découvre l’évidence d’une réelle impossibilité de
réconcilier les deux camps qui se combattent. Ainsi le Dieu créateur obtient la
situation qu’il a voulu créer. Et la lumière prophétique divine révélée dans
Daniel 11:40 à 45 m’évite toute fausse illusion sur l’issue d’une confrontation
programmée et prophétisée par le Dieu créateur, Jésus-Christ, le YaHWéH des
armées. La vieille Europe va devoir payer ses nombreux outrages et
comportements arrogants longtemps accomplis en son nom ; celui du Dieu
vivant. Car, le regard terrestre donne au conflit engagé des causes terrestres
qui cachent des causes spirituelles puisque, par elles, Dieu venge les fautes
commises envers lui. Et dans Apocalypse 8 et 9, le thème des « trompettes »
vient révéler la continuité de la cause des châtiments successifs qu’elles
représentent et symbolisent. Ainsi, la situation terrestre trouve sa cause dans
la cause spirituelle. Sans la connaissance de cette cause spirituelle, les
faits terrestres sont analysés uniquement par les causes terrestres et les humains
ciblés par la colère divine sont aveuglés par le choix de leurs valeurs. Ils ne
comprennent pas comment étant défenseurs de la paix et de la tolérance
religieuse, ils peuvent être ainsi victimes de la haine mortelle de leurs
ennemis. L’Occident moderne s’est donné l’image d’une société idéale que tous
les peuples de la terre devraient vouloir imiter. Or, les dirigeants et les
peuples occidentaux découvrent et s’étonnent de ce que ce n’est pas le cas.
Après le président français E.Macron, des journalistes reprennent ses arguments
disant que la victoire de la Russie donnerait raison à la loi du plus fort.
Mais ce qu’ils semblent oublier c’est que, se sentant protégées par les USA,
les instances dirigeantes européennes ont imposé à des peuples leurs valeurs,
parce qu’elles étaient dans la position du plus fort. Et que vient chercher le
président Macron dans son alliance européenne, sinon l’union qui a fait sa
force ? Il en est de même de l’Ukraine, qu’est-elle venue chercher dans
l’alliance de l’OTAN, sinon la force capable de combattre la Russie ?
Nul
doute que Dieu est bien « le Vivant » et ses œuvres sont
puissantes et efficaces. Il renverse brutalement une situation établie dans l’histoire
européenne dans la stabilité sur 80 années commencées en 1945. Dans un temps
favorable, sans lui faire la guerre, par sa seule séduction, le camp occidental
a arraché à la Russie : les pays Baltes, la Roumanie, et la Pologne,
annexée et rattachée à la Russie par le partage de 1945 à Yalta, une ville
balnéaire de la Crimée reprise à l’Ukraine par la Russie en 2014. Le camp
occidental a beaucoup profité de sa séduction tant son développement économique
a créé la richesse, le confort, et la paix dans une liberté cependant de plus
en plus réduite. Cette réduction a été provoquée par l’accueil de l’islam et sa
progression sur le territoire européen. Les valeurs de l’islam étant
complètement opposées aux valeurs occidentales, les vrais Musulmans se sentent
frustrés et exigent continuellement des adaptations politiques en leur faveur.
A côté de ces vrais Musulmans intègres envers leur religion, se trouvent des
multitudes d’autres Musulmans que les
compromis ne gênent pas plus que les faux Chrétiens envers la vérité
chrétienne. Or, étant prêts à agir jusqu’au sacrifice de leur vie, une petite
minorité de Musulmans intègres et agressifs, est très dangereuse pour les
démocraties occidentales. Avec juste raison, Jésus-Christ a enseigné qu’il
suffit d’un peu de levain pour faire lever toute la pâte du pain de blé. Or, en
France particulièrement, le levain musulman intégriste est répandu dans toute
la population du pays, dans les villes et jusque dans les campagnes. Au-dedans,
le danger islamiste et au-dehors, la vengeance de la Russie ; le moins que
je puisse dire, c’est que la situation du pays est peu enviable tant les
menaces qui pèsent sur lui sont grandes.
Depuis
l’élection du président Trump, la situation dramatique de l’Occident s’accélère
avec un effet « domino » sans précédent. L’occupation allemande de la
France a provoqué la révolte des colonies françaises de l’Indochine, puis du
Maghreb. Aujourd’hui, la chose se reproduit à cause de l’abandon de l’Europe
que Mr Trump combat économiquement et livre par son abandon à ses ennemis
potentiels : les Musulmans intégristes et la Russie vengeresse. A ce
sujet, il est étonnant de voir nos dirigeants occidentaux sous-estimer la
vengeance russe, pourtant légitimée par leur engagement et leur aide donnés à
son ennemie mortelle l’Ukraine. Les armes occidentales tuent des multitudes de
combattants russes ; et la Russie devrait les remercier ?
L’offre
de la grâce divine cessera dans l’année 2029. Il ne reste donc devant nous que
4 années pour que s’accomplisse la « sixième
trompette » ou Troisième Guerre Mondiale.
J’ai
longtemps pensé que pour Dieu cette dernière guerre militaire qui vient avait
pour but de réveiller la foi endormie des êtres humains, mais sans abandonner
complètement cette opinion, je commence à croire que le but principal poursuivi
par Dieu est l’élimination totale d’une immense quantité d’hommes et de femmes
irréductiblement incroyants et rebelles. Car le pouvoir séducteur de la liberté
est immense, et la croissance du camp européen en a apporté la preuve. En
France, la liberté instaurée repose sur le principe de la laïcité établi par la
République Française. Les uns après les autres, les ordres religieux chrétiens
catholique et protestant sont entrés dans le moule laïc adapté à leur
convenance. Pour ce qui est de l’islam, le problème est tout autre, car l’islam
a ses propres valeurs et déjà, il prescrit un jour de repos spirituel qui est
le sixième de la semaine juive et chrétienne. En France, les travailleurs musulmans
transgressent le repos du sixième jour, notre vendredi prescrit dans leur
religion. Et les islamistes intégristes ont toutes raisons de leur reprocher
cette transgression. Pour eux, la nécessité de faire reconnaître par la France
et l’Europe, la « Charia », la loi islamique, s’impose. S’étant
construite sur l’héritage du faux christianisme, la laïcité actuelle légalise
le repos du dimanche instauré par l’empereur Constantin 1er enseigné
par la suite par l’église catholique papale romaine. Les protestants l’ont
également adopté comme un héritage religieux séculaire. Mais aujourd’hui la
concurrence locale des trois jours de repos différents prescrits par les trois
religions monothéistes rassemblées et représentées dans les démocraties
occidentales pose un problème insoluble. Le vendredi de l’islam, et le samedi
des Juifs et des vrais Chrétiens, sont en conflits avec la laïcité française
qui soutient le repos du dimanche du faux christianisme traditionnel. Ce sujet
du jour du repos n’est pas encore le sujet de la contestation des religions
concernées, mais il va le devenir, car l’islam veut imposer sa norme à tous ses
fidèles, et comme la religion est héritée et transmise nationalement, ce sont
tous les Musulmans que les intégristes doivent convertir de gré ou de force. En
méprisant l’engagement religieux, les peuples occidentaux n’ont pas pensé qu’en
accueillant des Musulmans dans leur pays, ils allaient s’exposer à la colère
des Musulmans intégristes incapables de se résigner à voir des Musulmans
déshonorer leur religion.
Dans
le temps du règne papal romain intolérant et despote, cette même volonté
de contraindre l’hérétique à abjurer sa foi s’est traduite par des
persécutions, des scènes de tortures et des exécutions mortelles. L’islam
intégriste actuel est animé du même esprit et son comportement reproduit la
même cruauté, froide et meurtrière.
En
fait, la reproduction de tous ces drames est causée par le refus humain de
reconnaître le Dieu créateur comme étant « le Vivant » duquel
toute vie dépend en bien et en mal. De Moïse jusqu’à l’apôtre Jean, Dieu a
parlé par ses serviteurs juifs inspirés par son Esprit. Le bonheur est
disponible uniquement dans cette reconnaissance de sa vérité et de toutes ses
normes. Dieu présente une seule
vérité aux habitants de la terre entière : Ephésiens 4:5 : « Il y a un
seul Seigneur, une seule foi,
un seul baptême ». L’idée même que Dieu pourrait enseigner des
choses différentes aux divers pays de la terre l’outrage et le déshonore. Mais, c’est cependant, la prise
de position des religions « hypocrites »
réunies dans l’alliance œcuménique organisée par l’église catholique papale
romaine. C’est pourquoi, Dieu a pris soin de mettre en garde ses élus contre
toute forme d’alliance avec celle qu’il image par la prostituée nommée
« Babylone la grande » dans
Apocalypse 17:5 : « Sur son
front était écrit un nom, un mystère
: Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre. »
Pour les élus sanctifiés par Dieu, « Babylone la grande » n’a plus
de « mystère » : elle est parfaitement identifiée avec
toutes ses fautes commises contre Dieu et ses élus. Mais le « mystère »
qui la concerne soit, celui de l’iniquité, est conservé pour toutes les
victimes de sa séduction destinées à la perdition parce qu’elles le méritent.
M35- Sans moi, vous ne pouvez rien faire
Alors
que je réfléchissais et cherchais un sujet d’étude, cette expression exprimée
par Jésus-Christ dans ce verset de Jean 15:5 s’est imposée dans ma
pensée : « Je suis le cep,
vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte
beaucoup de fruit, car sans moi vous ne
pouvez rien faire. ».
« Car
sans moi vous ne pouvez rien faire » : voici bien une phrase
qui résume à elle seule beaucoup de choses et nous révèle plus largement le
projet du Dieu vivant mis en œuvre dans sa création de la vie terrestre.
Si
nos hommes politiques, nos experts de l’économie et des sciences pouvaient
entendre ces paroles du Christ, leurs illusions placées dans leurs œuvres
vaines cesseraient instantanément. Car, cette phrase sortie de la bouche du
Dieu créateur incarné dans la chair humaine condamne toutes les tentatives
humaines à l’échec.
Au
cours des 6000 années de vie terrestre qui prendront fin au jour du printemps
2030, Dieu a conduit l’humanité à expérimenter toutes sortes de types de
gouvernances et régimes dominateurs. Après le déluge, l’humanité s’est donnée
un roi, ayant constaté l’impossibilité de vivre collectivement sans un chef
supérieur capable d’aligner les idées opposées des uns et des autres, en
imposant sa propre opinion. Dans ce type de régime, il y a des perdants et des
gagnants, et quand les perdants sont supérieurs en nombre aux gagnants, des
révoltes meurtrières éclatent et répandent le sang des adversaires coule dans
les deux camps qui s’affrontent.
En
faisant alliance avec Abram, Dieu inaugure un modèle de vie nomade particulier.
Ce qui fait sa particularité, c’est justement, cette relation vivante et active
qui lie Abram au Dieu créateur. Abram devient riche et puissant mais il reste
dans le nomadisme. Et par lui, Dieu adresse à ses élus de tous les temps, la
même leçon : Ceux qui font alliance avec lui sont des voyageurs étrangers
sur la terre. Par ce modèle, Dieu met en garde ses serviteurs contre
l’attachement à la terre, et à travers elle, aux biens terrestres qui capturent
et captivent les cœurs et les pensées des créatures humaines. Et cette leçon me
permet de comprendre pourquoi, j’ai été empêché de devenir propriétaire de mon
logement. Un logement vers lequel Dieu m’a conduit et fait installer en
1976 ; par la suite, ce logement a été revendu et racheté par plusieurs
propriétaires successifs. En 1976 après le décès du second mari de ma mère, je
suis venu vivre chez elle, dans ce logement qu’elle avait obtenu après que la
propriétaire du lieu ait remarqué la présence d’une sainte Bible dans la
chambre que j’occupais dans son ancien logement. En fait, dès cet instant, Dieu
me destinait le logement de cette propriétaire exaltée et fervente évocatrice
du nom de Jésus-Christ. Ainsi en 1976, je laissais la vie en caravane dans
laquelle Dieu m’avait fait vivre une vision au printemps 1975, et je me suis
installé dans ce logement du « 43 rue Châteauvert ». J’ai découvert
plus tard, toute la valeur de ces choses symboliques : 43 soit 4+3= 7, ou
4x3=12, ou encore universalité + 3 =
perfection. Quant au nom Châteauvert, il est justifié par la présence d’un
vieux château situé au bout de cette longue rue qui sort de Valence sur Rhône.
Et sa couleur « vert » image la fidélité et la bénédiction divine
selon ce verset cité dans Jérémie 17:7-8 : « Béni soit l'homme qui se confie dans YaHWéH, et dont YaHWéH est
l'espérance ! Il est comme un arbre planté près des eaux, et qui
étend ses racines vers le courant ; il n'aperçoit point la chaleur quand
elle vient, et son feuillage reste vert
; dans l'année de la sécheresse, il n'a point de crainte, et il ne cesse de
porter du fruit. » Ce verset se complète parfaitement avec Psaumes 1:1
à 3, qui souligne et confirme la bénédiction de Dieu pour ma lecture de sa
sainte Bible : « Heureux l'homme qui
ne marche pas selon le conseil des méchants, qui ne s'arrête pas sur la voie
des pécheurs, et qui ne s'assied pas en compagnie des moqueurs, mais qui trouve son plaisir dans la loi de YaHWéH,
et qui la médite jour et nuit ! Il
est comme un arbre planté près d'un courant d'eau, qui donne son fruit en
sa saison, et dont le feuillage ne se
flétrit point : tout ce qu'il fait lui réussit. »
Les
versets 4 à 6 suivants expriment clairement la norme de la justice
divine : « Il n'en est pas
ainsi des méchants : ils sont comme la
paille que le vent dissipe. C'est pourquoi les méchants ne résistent pas au
jour du jugement, ni les pécheurs dans
l'assemblée des justes ; car YaWHéH connaît la voie des justes, et la voie des pécheurs mène à la ruine. »
Si
« les pécheurs ne subsistent pas
dans l’assemblée des justes », c’est donc que Dieu ne sauve pas le
pécheur qui reste dans ses péchés. Et ce message évoque une vérité qui m’a
empêché de me faire baptiser par l’église Réformée protestante. Je ne pouvais
pas accepter cette norme « étiquette » que les chrétiens donnent
traditionnellement à la foi chrétienne ; et ces versets me donnaient
raison. La découverte de la malédiction du repos du dimanche révélait la cause
de cette autosuffisance bibliquement injustifiée : La mort volontaire
acceptée par Jésus-Christ mérite et exige beaucoup plus qu‘une étiquette
religieuse, et les exemples donnés par Dieu dans Ezéchiel 14, le
prouvent : les élus sauvés imitent Noé, Daniel et Job.
Je
relève que le Psaumes 1 est composé de six versets comme les six jours de la
semaine et les six mille ans du programme de la sélection d’élus par Dieu. et
l’image du verset 4, « Il n'en est
pas ainsi des méchants : ils sont comme
la paille que le vent dissipe », révèle le sens de ce verset de
Daniel 2:34-35 : « Tu
regardais, lorsqu'une pierre se détacha sans le secours d'aucune main, frappa
les pieds de fer et d'argile de la statue, et les mit en pièces. Alors le fer,
l'argile, l'airain, l'argent et l'or, furent brisés ensemble, et devinrent comme la balle qui s'échappe
d'une aire en été ; le vent les
emporta, et nulle trace n'en fut retrouvée. Mais la pierre qui avait frappé
la statue devint une grande montagne, et remplit toute la terre. »
C’est en effet, au jour du printemps 2030 qui vient que Jésus-Christ paraîtra
pour accomplir l’œuvre du van qui exploite le souffle du vent pour séparer le
bon grain de la paille, cette balle du blé que le vent emporte.
La
liberté donnée par Dieu à toute l’humanité et aux anges célestes permet à
toutes ses créatures formées à son image et responsables de leur choix, de
faire des expériences de tous types. Mais selon les images proposées, les élus
feront seuls les bons choix jusqu’à la fin du temps des 6000 ans.
En
1945, l’Europe est sortie dévastée de la seconde Guerre Mondiale. L’humanité
survivante est alors entrée dans une phase de reconstruction matérielle et
mentale, tant les esprits humains éprouvés étaient choqués et traumatisés par
l’ambiance de la guerre et de l’occupation nazie allemande. Tout était donc à
reconstruire, les immeubles, les routes, et les esprits humains eux-mêmes. Les
« tisons arrachés au feu » n’ont pas profité de l’épreuve vécue par
laquelle, Dieu venait de faire entendre son jugement et sa condamnation de la
société redevenue prospère après 1918. Ainsi, invariablement, la paix favorise
la prospérité, la richesse et le mépris pour la religion soit, la vraie
recherche de Dieu. Il ne faut en effet pas nous laisser tromper par les
comportements religieux témoignés dans les temps de guerre et de détresse. Dans
la peur et l’épouvante, l’être humain est capable de crier sa détresse et
d’implorer Dieu pour qu’il y mette fin. Mais ceci ne signifie pas que Dieu
reconnaît ce type de comportement et ces gens. Dans la vraie foi, ses serviteurs,
ses rachetés, s’attachent à Dieu et le servent en toute circonstance, de paix
ou de guerre. Et c’est là toute la différence et l’intérêt de ces deux
circonstances opposées dans l’absolu dans lesquelles Dieu place alternativement
l’humanité. La foi hypocrite est ainsi témoignée et identifiée et à l’opposé,
les élus se démarquent des déchus par leur constante fidélité témoignée envers
Dieu. Les plus grands pièges religieux se cachent dans les fausses
prétentions de gens qui se disent être ses serviteurs et c’est pourquoi,
Jésus-Christ a laissé derrière lui le témoignage de Matthieu 7 dans lequel il
prophétise qu’il dira, « Je ne vous ai jamais connus »,
à des gens qui se réclament de lui en l’appelant « Seigneur !
Seigneur ! » Le verset biblique 23 précise : « Je
ne vous ai jamais connus ; retirez-vous de moi, vous qui commettez
l’iniquité ». Il n’est pas de mise en garde plus forte et plus
précise que ce message délivré par la bouche de Jésus-Christ. Et ce message est
d’autant plus important qu’il permet aujourd’hui à ses élus de comprendre que toutes les dénominations
chrétiennes officielles ou non officielles, qui prennent dans ce cas l’aspect
de groupes dits « évangéliques » menés par des gourous séducteurs en
paroles et en actions, tous quels qu’ils soient sont concernés par ce :
« Je ne vous ai jamais connus ; retirez-vous de moi, vous qui
commettez l’iniquité ».
En
quoi consiste donc cette « iniquité » ? Elle est odieuse, parce qu’elle exploite la chose la
plus belle, la plus souhaitable, la plus désirable : l’amour. En effet,
toute l’œuvre terrestre de Jésus-Christ consiste à révéler l’immense et
incommensurable amour de Dieu pour ses créatures condamnées à mourir à cause de
leurs péchés personnels et du péché originel hérité depuis Adam et Eve. Face à
cette situation, rempli de compassion, Dieu vient chercher ses élus, parmi ces
pécheurs, parce qu’il les connaît depuis le commencement de son projet
créateur. Ce qui caractérise les élus du Dieu créateur, c’est leur capacité à
partager les normes de ses valeurs. L’élu, le vrai, reçoit le message de
Jésus-Christ : « Car sans moi
vous ne pouvez rien faire ». Que faut-il mettre dans ce « rien » ? Tout : le salut,
la réussite, le bonheur…le véritable amour. Par ce message Jésus tue les
illusions humaines, les fausses revendications et les fausses prétentions
d’être ses serviteurs. C’est lui, le Maître qui choisit ses serviteurs et non
ses serviteurs qui choisissent leur Maître. Dans la masse des créatures qu’il
fait venir à la vie, Dieu prélève ce qui lui appartient soit, dans l’ordre
historique, l’ange, l’homme, ou la femme qui partage ses idées, ses valeurs, et
qui sont ainsi aptes à partager son éternité. Que peut donc faire un élu pour
son Dieu ? Le laisser transformer un homme pécheur en un saint homme qui
ne pèche plus. Mais pour aboutir à ce résultat, Dieu reste le seul à choisir
ses élus parce qu’il connaît leur acceptation et leur désir réel d’être changés
par lui. Dès notre naissance, nous entrons dans la vie étant porteurs de notre
personnalité qui nous destine à être un élu ou un déchu. L’élu va accepter et
souhaiter son changement, tandis que le déchu ne l’envisage absolument pas et
le refuse obstinément. Et le déchu pense bien à tort que Dieu va le prendre et
l’accepter sans rien changer en lui.
Pourtant,
dans les images de ses paraboles Jésus évoque « l’habit des Noces » de l’Agneau. Cet habit suggère un apport
vestimentaire soit, un changement de la personnalité de l’élu, et ce changement
est dû à sa rencontre avec Jésus-Christ. L’enseignement de Dieu repose sur des
images comparatives. De même qu’un vêtement vient recouvrir notre corps, notre
méchante nature doit être recouverte par une bonne nature présentée en modèle
dans le caractère de Jésus-Christ. L’habit de noces n’est pas seulement
théorique car il prend une forme pratique bien réelle, l’aspect d’une vie qui
ne pèche plus par amour pour Dieu en Jésus-Christ. C’est ce fruit que la vraie
rencontre avec Dieu porte dans l’enseignement de Paul qu’il nomme « l’affection de l’esprit » en
opposition à « l’affection de la
chair » dans Romains 8:6 : « Et l'affection de la chair, c'est la mort, tandis que l'affection de
l'esprit, c'est la vie et la paix ; »
Que
signifie « l’affection de l’esprit » ?
C’est l’affection tournée vers la moralité divine proposée dans notre esprit
par le Dieu Esprit. L’être humain peut favoriser la chair comme il peut à
l’opposé choisir de favoriser l’esprit et il trouve en son esprit les pensées
que Dieu y place quand il est reconnu par lui.
Ce
sujet est si important que je propose ce développement de Romains 8 :
Verset
1 : « Il n'y a donc maintenant
aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus Christ. »
J’ajoute,
ce que ne précise pas l’apôtre Paul, que dans ce verset ceux qui sont en
Jésus-Christ sont uniquement ceux que Jésus-Christ identifie comme étant ses
serviteurs, ses disciples fidèles qui luttent contre le péché pour
l’abandonner.
Verset
2 : « En effet, la loi de
l'esprit de vie en Jésus Christ m'a affranchi de la loi du péché et de la mort. »
L’affranchissement
est la mise en liberté soit, la victoire contre le péché vaincu par l’élu par
amour de Dieu en Jésus-Christ. Juif et pharisien par ses origines, Paul ne
connaissait que la théorie de la loi juive, ou loi de Moïse. Sa rencontre avec
Jésus sur le chemin de Damas lui a fait découvrir la puissance réelle de Dieu
qui a changé son jugement et ses valeurs. La théorie religieuse a pris une
forme pratique réelle basée sur une sincère relation avec le Dieu invisible qui
reste « l’Esprit » actif et tout-puissant qui inspire l’esprit humain
de ses élus.
La
chair et l’esprit sont mis en opposition absolue car leur fruit final est
opposé dans l’absolu : la mort ou la vie de l’être humain concerné.
La
venue sur terre de Jésus-Christ a transformé la vie religieuse. Dans l’ancienne
alliance, les hommes parlent de Dieu et citent ses paroles. Après Jésus-Christ,
ses rachetés élus qu’il reconnaît, bénéficient d’une relation directe intime
intérieure vécue en esprit. Cette relation établie entre l’esprit de l’élu et
l’Esprit de Dieu constitue la base de la vie éternelle, car au retour du
Christ, seuls les corps physiques des élus sont changés et remplacés par des
corps célestes incorruptibles.
Verset
3 : « Car, chose impossible à
la loi, parce que la chair la rendait sans force, Dieu a condamné le péché dans
la chair, en envoyant, à cause du péché, son propre Fils dans une chair
semblable à celle du péché, »
Un
texte écrit n’a aucune force pour s’imposer à l’esprit de celui qui le lit. Et
c’était sur ce principe de simple lecture que les Hébreux de l’ancienne
alliance vivaient leur religion. La loi interdisait des choses et en imposait
d’autres mais l’esprit humain était dominé par la loi naturelle de la chair.
Les plus fidèles tenaient compte des ordres divins mais la culpabilité du péché
originel restait sur eux, et ce péché originel était déjà, un péché commis par
un désir charnel comestible : l’envie de manger le fruit interdit par
Dieu. La mort dite naturelle qui frappe tous les êtres humains et les animaux
n’a en réalité rien de naturel. Dans le
programme que Dieu a fixé, la norme est la vie éternelle parce qu’il est
lui-même éternel. Notre mort dite naturelle ne fait en réalité que rappeler la
perte de la vie éternelle originelle. La conception humaine qui donne à la mort
cette norme naturelle ne fait que confirmer sa rupture de relation avec Dieu.
Dans bien des domaines, l’homme s’est adapté aux malheurs divins qui le
frappent et il donne à ces choses une valeur naturelle injustifiée par Dieu.
Sont ainsi concernées, la mort, les cataclysmes, les catastrophes, toutes
choses dites « naturelles ».
Paul
explique pourquoi Dieu a dû prendre une apparence terrestre en Jésus-Christ. Le
péché originel étant imputé à la chair humaine, en Jésus-Christ Dieu se fait
chair pour expier la culpabilité de la chair ; mais uniquement au bénéfice
de ses vrais élus.
Verset
4 : « et cela afin que la
justice de la loi fût accomplie en nous, qui marchons, non selon la chair, mais
selon l'esprit. »
Quand
il dit « nous », Paul
évoque les vrais élus qui marchent dans le respect de la loi divine que
l’Esprit divin inspire à leur esprit humain au nom de Jésus-Christ. La justice
de la loi exigeait la punition des coupables et Jésus s’est présenté pour
expier leur faute à leur place. La loi étant satisfaite, Jésus peut sauver ses
rachetés élus, en les aidant à vaincre leur faiblesse charnelle. Ce principe
confirme encore son message : « sans moi vous ne pouvez rien faire ».
La
vie moderne rend difficile la compréhension du principe, mais au temps de
l’esclavage, le statut de l’esclave favorisait cette compréhension, car
l’esclave appartenait à son maître qui avait sur lui droit de vie et de mort.
L’élu racheté type est cet esclave qui renonce à sa liberté pour se donner à
son Maître Jésus-Christ, Micaël, YaHWéH. Ce changement de statut volontaire
repose sur l’idée que la mort de Jésus-Christ implique la mort de l’élu
héritier du péché originel appelé aussi le vieil homme ; or un mort ne
peut rien faire si ce n’est que de revivre en statut d’esclave soumis à
Jésus-Christ, son Maître qui a été son substitut en tant que victime expiatoire
de ses péchés.
Verset
5 : « Ceux, en effet, qui
vivent selon la chair, s'affectionnent aux choses de la chair, tandis que ceux
qui vivent selon l'esprit s'affectionnent aux choses de l'esprit. »
Dans
ce verset et dans ceux qui précèdent le verbe « affectionnent » doit
être bien compris comme étant un choix humain libre de toute contrainte.
L’affection des choses est la conséquence d’un attrait naturel individuel
personnel. L’affection s’entretient et se prolonge par la répétition de
l’action. D’une manière individuelle personnelle, chaque créature donne intérêt
à des choses différentes très variées mais ayant en commun la satisfaction d’un
plaisir agréable. Dans ce verset, Paul oppose ceux qui « trouvent leur
plaisir » ou « affectionnent
les choses de la chair » à ceux qui « trouvent leur
plaisir » ou « affectionnent
les choses de l’esprit » soit, l’inspiration divine.
Verset
6 : « Et l'affection de la
chair, c'est la mort, tandis que l'affection de l'esprit, c'est la vie et la
paix ; »
L’issue
finale de ces deux choix opposés dans l’absolu est donc la mort ou bien, la vie
et la paix. Mais ces conséquences finales sont aussi permanentes pendant la vie
terrestre actuelle. L’affection de la chair engendre des problèmes charnels
alors que l’affection des sujets divins procure aux élus la vie dans la paix
divine.
Verset
7 : « car l'affection de
la chair est inimitié contre Dieu, parce qu'elle ne se soumet pas à la loi de
Dieu, et qu'elle ne le peut même pas. »
Ce
verset démontre la suprématie de la loi de Dieu qui exige de ses élus qu’ils se
soumettent à elle et lui obéissent. Pour ceux qui affectionnent la chair obéir à la loi divine est simplement
impossible.
Paul
souligne ici le fait que Dieu ne renonce pas à obtenir l’obéissance à ses lois
dans la nouvelle alliance chrétienne. Selon l’opposition des contraires
absolus, il suggère ici que la loi de l’esprit est aimé par Dieu parce qu’elle
se soumet à ses lois.
Verset
8 : « Or ceux qui vivent selon
la chair ne sauraient plaire à Dieu. »
Le
message de Paul est plus subtil que son apparence suggère, car il oppose en
réalité les deux conceptions religieuses de l’ancienne alliance et de la
nouvelle alliance. La vie selon la chair concerne la vie de la lettre de la loi
divine de l’ancienne alliance. Et Paul lui oppose la vie des rachetés élus
chrétiens inspirée par l’esprit de Jésus-Christ.
En
refusant la relation directe avec l’Esprit de Dieu, relation rendue possible en
Jésus-Christ, les Juifs charnels ne pouvaient plus lui plaire et il ne pouvait
que rompre son alliance établie avec leurs ancêtres, les patriarches et Moïse.
Verset
8 : « Pour vous, vous ne vivez
pas selon la chair, mais selon l'esprit, si du moins l'Esprit de Dieu habite en
vous. Si quelqu'un n'a pas l'Esprit de Christ, il ne lui appartient pas. »
Ce verset dénonce la fausse foi en confirmant
que dans la vraie foi, l’Esprit de Dieu habite en ses élus rachetés. Or, si
Dieu est présent, son fruit qui est l’obéissance à ses lois l’est aussi ;
et ainsi quiconque méprise l’obéissance à sa loi prouve que l’Esprit de Dieu
n’habite pas en lui. Et dans ce tragique cas, il ne lui appartient pas. Ce
verset condamne ainsi depuis 1843, tous les Chrétiens observateurs du repos du
dimanche romain instauré par Constantin 1er le 7 Mars 321. La
condamnation divine sera rendue apparente seulement quand la loi rendant
obligatoire le repos du dimanche interdira, aussi, le repos du sabbat sous
peine progressive de « boycott commercial et social » et finalement,
de mort. Mais la sentence de Dieu n’attend pas cette confirmation pour être
activée ; elle est en vigueur depuis 1843 par le décret de Daniel 8:14. Et
Dieu nous en donne la preuve, en ayant conduit les coupables catholiques et
protestants à s’unir officiellement dans leur alliance « œcuménique »
proposée par la religion catholique soumise à ses chefs terrestres successifs,
les papes. A propos des papes, je
rappelle que le premier pape de l’histoire imposé comme chef de l’église
catholique romaine ne fut pas l’apôtre Pierre qui n’a eu en commun avec Rome
que le fait d’y mourir en martyr sur les ordres du sanguinaire et démoniaque
empereur Néron. Non, le premier pape fut imposé par l’empereur Justinien et il
ne fut pas élu comme ses successeurs, mais imposé par l’empereur ; ce qui
révèle la vraie nature de ce titre et de ses pouvoirs temporels. Le premier
pape avait pour nom Vigile, et c’est par l’intrigue et sa relation avec la
danseuse prostituée nommée Théodora, épousée par l’empereur Justinien 1er,
qu’il obtint cette nomination. Son règne papal commença réellement en l’année
538, car il dut attendre depuis 533, année de sa nomination, l’année 538 où le
général Bélisaire chassa les Ostrogoths qui occupaient Rome. Ainsi,
l’association de Vigile et Justinien restaurait l’ancien pouvoir des empereurs
romains, à la fois, chefs religieux et chefs civils au titre de
« Souverain Pontife » soit, en latin, « Pontifex Maximus ».
La Rome païenne impériale, affaiblie et disparue vers 395, s’est ainsi succédé
à elle-même, en mettant en œuvre le régime papal en 538. Ce relai du pouvoir
païen romain est suggéré par Dieu dans sa prophétie de Daniel 7 et 8 dans
lesquels le même symbole « petite
corne » désigne successivement dans Daniel 7, le régime papal, et dans
Daniel 8, la Rome républicaine en croissance vers son statut impérial.
Le
jugement des masses humaines sur Rome est faussé à cause de son étiquette
chrétienne ; car il s’agit bien d’une simple étiquette collée sur un
produit diabolique sulfureux. Pour satisfaire Dieu et lui plaire, il ne suffit
pas de se réclamer de lui en invoquant ses divers noms, souvent d’ailleurs
recomposé et transformés par les faux adeptes. « l’Eternel,
Jéhovah », sont de ce nombre. Et je le rappelle, Dieu ne permet pas à ses
créatures qu’elles lui imposent un nom, car c’est sa prérogative divine qui
l’interdit. C’est le supérieur qui attribue un nom à l’inférieur. Nous lisons dans
Genèse 2:19 : « YaHWéH Dieu
forma de la terre tous les animaux des champs et tous les oiseaux du ciel, et
il les fit venir vers l'homme, pour voir comment il les appellerait, et afin
que tout être vivant portât le nom que lui donnerait l'homme. » Je
relève que « l’homme »,
image prophétique du Christ donne des noms aux créatures qui lui sont
inférieures avant que Dieu forme de sa côte, son « aide » féminine. Il incarne à ce moment la parfaite image de
Dieu. Et signe de sa supériorité et de son autorité, selon le verset 23, l’homme
donne le nom « femme » à l’« aide » formée. En hébreu, « isch »,
l’homme, nomme « ischa », la femme : « Et l'homme dit : Voici cette fois celle qui est os de mes os et chair
de ma chair ! On l'appellera femme, parce qu'elle a été prise de l'homme. »
La « femme » va « aider » « l’homme » à procréer et à multiplier sa descendance, de même que, l’assemblée des
élus, « l’Elue », épouse du
Christ, « aide » son divin
et humain « Epoux » à
augmenter la croissance en nombre de ses rachetés qu’il sélectionne divinement.
L’Esprit dit au verset 24 : « C'est
pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et
ils deviendront une seule chair. » Ces paroles soulignent un double
message : l’image de devenir « une
seule chair » prophétise le but final que Dieu obtiendra à la fin des
épreuves programmées pour 6000 ans. Mais en même temps, cette union charnelle
de l’homme et de la femme a pour conséquence une rupture de relation
privilégiée avec le père et la mère. Ne faisant « qu’une seule chair », Adam et Eve s’unissent pour le pire, pas
pour le meilleur, puisqu’ensemble, ils vont pécher et rompre le lien de
bénédiction qui les relie au divin Père.
Dans
la prophétie Apocalypse, « la femme »
désigne « l’Elue » du
Christ, mais sa concurrente, son ennemie mortelle, est aussi une « femme », mais une prostituée nommée
« Babylone la Grande ».
Cette image de « prostituée »
est conforme à la réalité historique, puisque le régime papal doit son
existence à « la prostituée »
nommée Théodora, la femme épousée par l’empereur oriental de l’empire romain,
nommé Justinien. L’intrigant Vigile
et l’empereur Justinien sont les deux victimes séduites par la prostituée
Théodora, la séduisante manipulatrice. Ces faits sont conformes à l’avenir
spirituel de la religion catholique prétendue chrétienne qu’ils prophétisent.
Il n’est donc pas étonnant que dans ce moment entre 533 et 538, Dieu a fait
entrer successivement en éruption deux très grands volcans qui ont « enténébré » l’atmosphère terrestre,
ce qui a provoqué un froid anormal mortel et des épidémies dévastatrices sur
une grande partie de la terre ; les deux volcans étant situés sur
l’Equateur, l’un en Indonésie, l’autre au Salvador en Amérique centrale.
La
séduction du catholicisme romain repose sur son adoration des personnages
concernés dans l’incarnation de Jésus-Christ. Mais les honneurs rendus à ces
créatures que furent Marie, Joseph et les apôtres du Christ, et autres saints
du catholicisme, prennent la forme de l’adoration ; ce qui transforme une
église chrétienne en assemblée païenne idolâtre.
Le
temps actuel confirme les paroles de Jésus disant « sans moi, vous ne pouvez rien
faire ». Comment comprendre, en effet, la vérité que Dieu bénit et
qu’il bénit uniquement ? L’aspect religieux occidental est confus et cette
confusion atteint des sommets à cause de la représentation de toutes les
religions du monde venues dans cet Occident séduisant, riche et prospère. Dans
ce mélange nauséabond, la religion chrétienne est engluée, affaiblie, presque
noyée dans la masse des populations. Cette confusion a été favorisé par le
temps favorable aux échanges mondiaux, mais ce mondialisme n’a fait que
préparer la ruine de peuples que la colère de Dieu va livrer à leurs féroces
ennemis du « septentrion et du
midi ». Comment identifier l’ennemi sans Jésus-Christ ?
Impossible de le faire sinon en trouvant les réponses de Dieu dans ses
prophéties de Daniel et Apocalypse. Ces deux livres prophétiques incarnent
l’image de la vraie foi qui prend en compte les enseignements complets de la
sainte Bible, l’ancien et le nouveau témoignage de Dieu. Le premier verset
d’Apocalypse 1, donne sens en les confirmant, aux paroles de
Jésus : « Sans moi vous ne pouvez rien faire »,
car l’Esprit dit : « Révélation de Jésus-Christ, que Dieu lui a
donnée, pour montrer à ses esclaves, les choses qui vont arriver bientôt et
qu’il a fait connaître, par l’envoi de son ange, à son esclave Jean, … ».
Si,
seule, la prophétie divine permet de comprendre le sens de la vie actuelle et
de trouver le chemin de la vérité, le mépris qui lui est témoigné, par les
prétendus chrétiens des divers dénominations et groupes jusque dans sa dernière
institution bénie, confirme ces paroles consternantes dites par Jésus-Christ
dans Luc 18:8 : « …Mais, quand le Fils de l'homme viendra,
trouvera-t-il la foi sur la terre ? » Cette question posée par
Jésus-Christ, ne serait-elle pas aussi sa réponse ?
Alors
si telle est la situation pour les croyants, qu’en est-il des incroyants et des
incrédules séduits par la science moderne et ses prodiges techniques ?
Tous se trompent au sujet des valeurs et des raisonnements à tenir. Ils ont
inversé les normes établies et recommandées par Dieu au point qu’ils appellent
« bien » ce que Dieu nomme
« mal » et « mal » ce que Dieu nomme « bien », confirmant ainsi la
malédiction divine qui pèse sur leurs têtes, selon Esaïe 5:20 : « Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et
le bien mal, qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres, qui
changent l'amertume en douceur, et la douceur en amertume ! »
M36- Ce Dieu qui ne change pas
Et
oui, contrairement à toutes les fausses divinités inventées par ses créatures
démoniaques célestes et terrestres, le vrai Dieu, lui, ne change vraiment
pas ; il représente la stabilité la plus parfaite imaginable, mais bien
réelle. Au contraire de lui, et heureusement pour nous, nous, ses créatures,
nous avons été créées par lui dotés de la faculté de pouvoir changer en toute
chose : aspect physique, gros ou mince, carnivore ou végétarien, opinion
religieuse, opinion politique. Cette possibilité de changer nous a été donnée
par Dieu parce qu’il nous a réellement créées libres. Mais aussi parce qu’étant
imparfaites, nous, ses créatures, nous avons besoin d’obtenir de lui le
changement nécessaire pour lui ressembler ; ceci parce qu’il représente le
modèle de la perfection universelle que ses élus doivent reconstruire dans leur
vie avec son soutien.
La
stabilité est à la base de la fidélité et du repos de l’esprit et de la santé
du corps entier. A l’inverse, l’instabilité est la cause des difficultés
relationnelles des êtres humains entre eux. Alors que les rachetés élus
progressent dans la stabilité et la fidélité envers Dieu, les autres hommes et
femmes terrestres et les anges rebelles célestes restent versatiles et
inconstants. Comme les nuages poussés par le vent ou le navire en perdition
dans un océan démonté tumultueux, ils n’ont pas d’ancre pour se fixer et
trouver l’équilibre mental. Celui qui marche avec Dieu découvre l’existence
d’un repos de l’esprit qui n’est disponible qu’en lui.
Cette
prise de conscience, cette découverte du Dieu reposant, est ignorée par les
faux chrétiens et les faux croyants monothéistes ou polythéistes. Les démons
qui les séduisent, sans qu’ils en soient conscients, ne peuvent leur faire
partager que leur agressive imperfection et c’est ainsi que les anges rebelles
et les humains rebelles partagent la même réprobation divine et la même
condamnation qui les conduira à subir le même châtiment final.
Les
créatures de Dieu qui n’ont pas l’amour de sa vérité et ne sont pas habitées
par son Esprit se ressemblent et partagent cette particularité de n’entendre
que ce qui leur est agréable. De même que l’abeille se porte vers la fleur pour
extraire son pollen et la mouche vers le sucre et l’acidité, ces gens
choisissent dans la vie tout ce qu’ils aiment avec passion, et méprisent tout
le reste. C’est ce comportement qui est à la base de l’aspect pris par nos
sociétés occidentales. Et le résultat de ce comportement apparaît dans le
principe de la spécialisation des métiers et des diverses activités de la vie
terrestre. Or, cette spécialisation forme des gens hautement performants, mais
uniquement dans le domaine de leur spécialité, car pour tous les autres sujets,
ils se montrent aussi ignorants et aussi stupides que les gens de basse
condition. Comme les chevaux auxquels Dieu les compare symboliquement dans
Apocalypse 6 et 9, ils ont des œillères, et se montrent incapables de juger des
choses concernant de multiples domaines de la vie humaine. Et bien sûr, leur
carence la plus nuisible est leur mépris pour le sujet religieux ; ceci
tout particulièrement dans mon pays, la France.
Je
propose cet exemple. En France, l’Etat donne la même valeur à toutes les
religions. Pour nos hommes et femmes politiques, christianisme, islam et
judaïsme sont semblables. Aussi vais-je me permettre de rappeler ces quelques
différences notables.
Dans
la religion chrétienne, le Dieu créateur veut conduire ses rachetés vers la
perfection du caractère, vers la pureté parfaite, et la fidélité dans
l’obéissance à ses commandements et ses ordonnances sanitaires et morales. Pour
gagner le cœur de ses élus, ce Dieu créateur s’est dédoublé et il a pris forme charnelle
en Jésus-Christ. Pour achever son ministère terrestre, Dieu a offert en
sacrifice sa vie en Jésus-Christ qui a été crucifié par les soldats
romains le 3 Avril 30 de notre
calendrier romain. Après trois jours de 24 heures, il est apparu vivant, s’étant
ressuscité comme il l’avait annoncé à ses apôtres avant de donner sa vie. Il a
ainsi pu expliquer en détail, le sens de son sacrifice expiatoire pour les
péchés de ses rachetés élus. Ils ont bénéficié alors du pardon de Dieu et leur
foi sincère est récompensée par l’octroi divin de la vie éternelle. La part de
Dieu au salut des élus a été ainsi accomplie et Dieu offre à tout homme
intelligent de bénéficier de son offre de pardon, quelle que soit sa couleur,
sa race, son origine, ou son héritage religieux naturel. Dieu appelle à son salut tout homme prêt à
remettre en cause ses faux préjugés et son héritage religieux national traditionnel.
C’est là que la faculté de changer devient pour l’homme pécheur, précieuse et
vitale.
Que
propose pour sa part, l’islam ? Logiquement, rien de ce qui vient d’être
dit au sujet du christianisme avec lequel il partage uniquement la croyance en
un Dieu unique. Son pardon n’exige rien de particulier si ce n’est la fidèle
pratique journalière des cinq prières, et l’observation des cinq piliers de
l’islam, parmi lesquels, le pèlerinage à la Mecque, obligatoire une fois dans
la vie. Et pour ne pas allonger de trop sa description, je retiens uniquement
ce détail qui à lui seul, confirme l’incompatibilité des deux religions et la
preuve que leur instauration sont dues à deux divinités différentes ; ce
qui contredit la prétention à la religion monothéiste par l’islam. Dans
l’islam, le zèle des hommes repose sur la promesse de Mahomet qu’ils trouveront
dans le paradis de Dieu soixante-douze jeunes femmes éternellement vierges. Voici
donc une motivation qui contraste particulièrement avec la pureté parfaite
exigée par le Dieu unique du christianisme et du judaïsme qui l’a précédé et
préparé. Ce détail délivre un message pour «ceux
qui ont des oreilles » placées à l’écoute du vrai Dieu : l’instauration
du régime papal de Rome précède en 538 dans le même VIème siècle, la
naissance de Mahomet, et son instauration de l’islam à partir de 610. Ce VIème
siècle prend donc un aspect particulièrement nuisible pour l’humanité entière.
Dans le code divin biblique, le chiffre 6 est le symbole de l’ange placé entre
le 7 de Dieu et le 5 de l’homme. Et le premier ange créé est devenu après sa
rébellion contre Dieu et ses valeurs, Satan le diable, le calomniateur et
l’ennemi des élus et de Jésus-Christ.
Je
rappelle cette expérience vécue en Egypte par Moïse et Aaron. Devant les
magiciens du pharaon, le bâton d’Aaron fut changé en serpent. Voyant cela, les
magiciens obtinrent l’apparition de deux serpents, mais ils furent vite
épouvantés en voyant le serpent d’Aaron avaler les deux serpents des magiciens.
De même, en la veille de la Pâque juive, Dieu a suscité la religion chrétienne
et sa vérité biblique apostolique. Ensuite au VIème siècle, le
diable organise deux religions agressives ennemies du vrai christianisme et
ennemies entre elles. Et Jésus-Christ les détruit l’une après l’autre, « au temps de la fin » marqué par la
« sixième trompette » qui
précède son retour en gloire fixé au jour du printemps 2030.
Et
que dire du Judaïsme ? Il représente la perfection de la lettre divine,
dans le sens où Dieu parle à Moïse directement et dirige son organisation de
son peuple Israël. Le Judaïsme est la base de tout l’enseignement religieux
prescrit par Dieu. Son problème n’est pas son enseignement, mais le
comportement des Juifs enseignés. C’est celui de gens rebelles qu’au titre
d’échantillon de l’humanité globale, l’Israël national charnel représente. Son
comportement prophétise donc celui de l’humanité entière. Son rejet du Christ
sera imité jusqu’à son retour divin glorieux par le reste de l’humanité
incroyante ou incrédule.
La
conséquence de ne s’intéresser qu’à ce qu’ils aiment, conduit les faux chrétiens
à imputer au Dieu créateur uniquement les normes de caractère qu’ils apprécient
personnellement. En tête du palmarès, viennent l’amour, le pardon, la
compassion. Le problème de ces gens est qu’ils se construisent eux-mêmes, le
Dieu créateur qu’il désire et peuvent apprécier ; ce qui revient à
construire une idole au dépens du vrai Dieu. Car s’il est vrai que Dieu a
sublimé en Jésus-Christ l’amour, le pardon, et la compassion, il est tout aussi
vrai et nécessaire de retenir que son sacrifice répond à une nécessité imposée
par son sens de la parfaite justice.
En
fait, l’homme superficiel est trompé par le caractère évident et apparent des
deux alliances volontairement séparées par Dieu. Dans l’ancienne, Dieu se
révèle en Dieu de la justice, établissant ses règles et ses lois, et à
l’opposé, dans la nouvelle, il met le comble à son amour en le présentant à un
peuple formé par sa précédente alliance. De la sorte, le Juif de l’Israël
charnel découvre Dieu sous ses deux aspects justice et amour. Et le résultat de
cette préparation de l’ancienne alliance est la fidélité des apôtres choisis
par Jésus.
A
y regarder de plus près, les deux aspects complémentaires, justice et amour de
Dieu sont rendus perceptibles dès la sortie d’Egypte ; ceci, par l’aspect
de la colonne de feu que Dieu se donne pour bloquer l’armée de pharaon, et la
nuée qu’il présente du côté où se tient son peuple Israël. Dès cette image, le
lecteur de la Bible est tenu responsable pour son ignorance des aspects justice
et amour du Dieu créateur. Et ces valeurs sont vraiment complémentaires et non
opposées comme en témoigne sa délivrance d’Israël de l’esclavage égyptien.
Cette démarche est autant justifiée par son amour que son sens parfait de la
justice.
Nous
pouvons ainsi comprendre que la séparation des œuvres des deux alliances a nui aux
croyants superficiels des deux alliances. Dans l’ancienne, le cœur humain
méchant n’a pas vu l’amour du sacrifice de Jésus-Christ, et il n’a vu que la
redoutable puissance du Dieu créateur. A l’opposé, dans la nouvelle alliance, le
même homme superficiel ne voit que l’amour de Dieu dont il profite et abuse,
parce qu’il n’a pas vécu les scènes terrifiantes de l’ancienne alliance.
Le
Dieu créateur est ainsi capable du meilleur et du pire selon que sa justice
parfaite l’exige. Et il a constamment agi ainsi tout au long de l’histoire
terrestre. Sa première démarche révèle à Adam et Eve son amour qu’il prouve en
les plaçant dans le jardin de l’Eden, le jardin des délices. Puis à cause du
péché, il les en chasse et les frappe de mort et de terribles malédictions.
Puis il revient présenter son amour et sa compassion, en revêtant leurs corps
nus de vêtements de peaux qui prophétisent le sacrifice de Jésus-Christ « l’agneau de Dieu » qui viendra
recouvrir leur honte due au péché, en les couvrant par sa justice divine
parfaite. Le mal dominant toute l’humanité, le Dieu de justice intervient et
ordonne le déluge d’eaux qui noie tous les habitants non entrés dans l’arche de
Noé. Et là encore dans cette action, le Dieu amour se révèle à Noé et aux sept
personnes qui partagent sa vie dans l’arche. L’histoire d’Abram, renommé
Abraham par Dieu, témoigne encore de son amour pour lui et ses serviteurs et
aussi de son action justicière dans laquelle il détruit Sodome et Gomorrhe, les
villes des pécheurs irréductibles. Après lui, toute l’histoire de l’Israël
national n’est qu’une suite de témoignages alternatifs d’amour et de justice,
jusqu’à la déportation à Babylone en – 586. Les leçons présentées par
l’ancienne alliance sont alors à leur comble. Le retour de la captivité
n’enseignera rien de nouveau jusqu’au temps du ministère terrestre de Jésus-Christ.
Dans
sa démarche sélective, l’homme superficiel, faussement croyant, attribue les
bonnes actions à Dieu et les actions punitives jugées par lui, méchantes, au
diable et ses démons. La situation réelle véritable est ainsi déformée car Dieu
revendique ouvertement les actions punitives qu’il suscite contre ses ennemis
rebelles. La part que Dieu laisse au diable et ses mauvais anges est beaucoup
plus réduite que les chrétiens le croient. Le diable n’a que la puissance que
Dieu veut bien lui accorder quand son jugement divin le juge nécessaire et
utile pour tromper les gens sans foi et sans fidélité. Le diable n’est pas un
dieu, mais une simple créature angélique céleste, un condamné à mort sursitaire
laissé en liberté dans l’unique dimension terrestre. Avec ses démons aussi
rebelles que lui, ils se concentrent sur la terre, là où vivent les uniques
êtres vivants humains, les cibles de leurs manigances malfaisantes qu’ils
trompent pour exprimer leur haine de Jésus-Christ, travaillant à rendre son
offre de salut inefficace et impossible.
Le
choix de la spécialisation nuit aux hommes pas seulement sur le plan religieux
mais également, pour les mêmes raisons, sur le plan civil et profane.
En
France, dans un contexte officiel de liberté, la population s’est laissé
absorber par l’offre de la société de consommation. Individuellement chacun se
passionne pour une chose ou une autre à laquelle il donne tout son intérêt.
Pour certains c’est la chasse, la pêche, le sport, le jeu d’argent, la musique,
la consommation de la drogue et encore pour certains pour leur métier, depuis
l’ouvrier jusqu’au patron riche et ses actionnaires. Dans le même temps, la vie
de tous est confiée à la gestion d’hommes politiques qui souvent ignorent la
vie de la population de leur pays et surtout celle des plus pauvres. Seul, le
modèle de la démocratie directe évite ce détachement du réel. Et la Suisse est
le seul pays qui l’a adopté. En France, la confiance aveugle a été abusée,
trompée, escroquée, en sorte que les victimes sont autant abusées et trompées
par les hommes politiques qu’elles le sont, quand elles sont croyantes, par
leurs enseignants religieux maudits par Dieu. Cette similitude est somme toute
logique, puisque « les mêmes causes engendrent les mêmes effets ».
Il
m’est difficile de comprendre ce qui se passe dans des têtes qui ne sont pas la
mienne, et je ne comprends vraiment pas comment un être humain peut aussi
facilement se désintéresser de son propre sort. C’est pour moi un mystère
inexplicable. Je suis né dans la foi chrétienne protestante de l’enseignement
darbyste et je n’ai jamais pu concevoir la vie sans Dieu. Mon engagement
progressif a reposé sur la certitude que les prophéties divines bibliques
révélaient des choses mystérieuses très importantes. Et lorsque les premières
réponses sont arrivées, l’engouement pour ces études n’a fait que croître. Il a
suffi pour Dieu de m’appâter en donnant sens par le problème du sabbat à
l’évidente malédiction qui frappe l’ensemble des religions chrétiennes pour que
je m’engage à son service par le baptême de Jésus-Christ et l’enseignement de
la Bible entière. Mais ce qui a été efficace pour moi, ne l’est pas
obligatoirement pour les autres.
Je
tiens à témoigner des avantages retirés par cet engagement au service de Dieu.
En réponse, mon intelligence a été ouverte et intensifiée, chose profitable à
l’analyse des faits mondiaux. Car notre destin se construit chaque jour par des
décisions d’hommes politiques situés dans tous les pays de la terre. Les
informations mondiales sont traitées continuellement par les journalistes des
télévisions spécialisées et tout va très vite, car aujourd’hui cette
information est révélée en temps réel. L’intelligence donnée par Dieu est
fondamentale et indispensable pour trier entre information et désinformation,
car le monde sans Dieu n’a aucun scrupule et les journalistes ont tous des
idées personnelles sur les sujets qu’ils traitent. L’objectivité réelle est
rare pour cette raison. Et je pense que seul, un serviteur de Dieu peut faire
preuve d’objectivité quand il juge des choses sur lesquelles il n’a aucun moyen
d’agir et d’imposer son influence.
Ce
que je décris là, correspond à ma situation d’homme averti par Dieu du malheur
qui vient frapper l’humanité dans un temps imminent, devenu possible chaque
jour, depuis le franchissement de la date du 8 Mai 2025. Les tergiversations
des belligérants russes et ukrainiens plongent tour à tour le président
américain Donald Trump dans l’espérance et la déception au sujet de la paix
mondiale qu’il désire imposer et réussir à instaurer. Mais tout ce remue-ménage
ne fait que tromper ceux que la prophétie de Daniel 11:40 n’a pas avertis. Le
résultat des tentatives actuelles est déjà révélé dans ce message de Daniel. La
décision de Dieu est irrévocable et non conditionnelle, la Russie envahira l’Europe occidentale, cible originellement
chrétienne privilégiée de la colère du Dieu créateur où il est méprisé et
ignoré.
En
cette heure décisive, la faculté du changement donnée aux êtres humains par
Dieu serait très utile aux élites européennes pour calmer la colère du géant
russe. Mais au lieu de cela, quelques dirigeants européens, dont le président
français Emmanuel Macron, étant encouragés par l’engagement agressif du nouveau
chancelier allemand Mr Merz, s’endurcissent et font monter ensemble l’escalade
qui va les conduire à l’affrontement avec la Russie, accomplissant ainsi, ce
que Daniel 11:40 prophétise : « Au
temps de la fin, le roi du midi se heurtera contre lui. Et le roi du septentrion fondra sur lui comme une tempête, avec des
chars et des cavaliers, et avec de nombreux navires ; il s'avancera dans les terres, se répandra comme un torrent et
débordera. ». Apparemment, ces grands personnages diplômés et
honorés n’ont pas appris que, pour éteindre un feu, on ne jette pas sur lui de
l’huile ou de l’essence, mais de l’eau. Et leurs différentes populations ne
font pas preuve de plus d’intelligence ; ce qui me rappelle ce principe
qui dit que « celui qui est enseigné ne sera jamais au-dessus de celui qui
l’enseigne ».
Au-dessus
de tout ce tumulte terrestre, dans sa stabilité divine, le « Dieu qui ne change pas » fait
accomplir son programme qu’il a fait connaître et révélé à ses serviteurs, les
prophètes.
J’ajoute
que le mal principal des futures victimes se nomme indifférence, car ils se
sont montrés indifférents envers le sort de leur pays quand, renonçant à leur
indépendance nationale, leurs dirigeants se sont livrés avec leur population à
l’autorité supérieure européenne. L’indifférence les a conduits à négliger des
choses qui construisaient leur tragique avenir. Et de la même manière, la
superficialité livre l’homme superficiel à l’escroquerie religieuse qui finit
dans « l’étang de feu » pour « la seconde mort »
d’Apocalypse 20:15 : « Quiconque ne fut pas trouvé écrit dans le
livre de vie fut jeté dans l'étang de feu. »
Comment
faut-il qualifier des gens qui acceptent d’entrer dans une alliance européenne
dans laquelle au titre de pays riches ils vont devoir financer les aides
données à des pays pauvres entrants qui vont, par leur concurrence, tuer leur
pays économiquement ?
Une
opération dentaire qui coûte en France environ 1000 euros est réalisée en
Espagne pour 100 Euros. Qu’est-ce donc que cette alliance européenne dont tous
les pays membres sont placés sous la même valeur monétaire de l’Euro, mais dont
les disparités de niveau de vie sont énormes et favorables uniquement aux pays
les plus pauvres ? Il est vrai que cette alliance prend le nom d’Union et
que l’union fait la force, mais malheureusement pour ses membres, cette union a
surtout favorisé son comportement « arrogant ». L’Union Européenne a
donc fait preuve de cette « arrogance » continuelle que
Dieu relève et dénonce dans Daniel 7, et Apocalypse 13, chez son instigatrice
Rome, la ville prétendue éternelle, cible de toute sa divine juste colère. Et
l’heure approche pour son châtiment et celui de ses filles, puisque Dieu dit à
son sujet, dans Apocalypse 17:5: « Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la
terre. ».
M37- Terminator
Qui
est ce Terminator que je donne pour titre à ce message ? C’est un état
d’esprit partagé par l’humanité rebelle qui avance vers la fin du monde. Nous
avons derrière nous 5995 années de comportement rebelle de l’humanité pour
laquelle la rébellion est sa seconde nature. Mais le modèle actuel contemporain
en constitue l’apogée. L’esprit rebelle est démontré par les successeurs
terrestres « d’Adam et Eve »
dont leur premier fils nommé « Caïn » ;
et Dieu annonce déjà la norme de l’humanité du « temps de la fin » en
décrivant le comportement d’un successeur de « Caïn » nommé « Lémec »,
dans Genèse 4:23-24 : « Lémec
dit à ses femmes : Ada et Tsilla, écoutez ma voix ! Femmes de Lémec, écoutez ma
parole ! J'ai tué un homme pour ma blessure, et un jeune homme pour ma
meurtrissure. Caïn sera vengé sept fois, et Lémec soixante-dix-sept fois. »
Dieu
accorde à « Caïn » une
preuve de sa divine et exclusive miséricorde, en protégeant sa vie, après
l’assassinat de son jeune frère « Abel ».
La cause de cette compassion se trouve dans la cause de l’action
meurtrière : la jalousie religieuse. Car ce premier meurtre n’est pas du
type du droit commun ; « Caïn »
n’est pas un tueur né, un homme qui prend plaisir à tuer. Il n’a tué son frère
que parce que Dieu a dédaigné son sacrifice, alors qu’il a béni et honoré celui
de son frère « Abel ». Et
la venue du Christ, et sa mort expiatoire au titre de « l’agneau de Dieu qui ôte les péchés du monde »,
nous permet de comprendre pourquoi, pour Dieu, l’offrande animalière « d’Abel le berger » était plus
appréciable que les fruits et légumes présentés par « Caïn le laboureur ». Le malheureux « Caïn » n’avait pas l’explication et se sentait injustement
traité par Dieu. Ne pouvant s’en prendre directement à lui, il a porté sa
colère sur son jeune frère privilégié.
Le
cas de « Lémec » est très
différent de celui de « Caïn ».
Il est de nature rebelle, méchant, meurtrier et railleur ; un maître dans
la moquerie dirigée contre Dieu. Sa description nous donne une idée de ce qu’à
pu devenir, l’humanité détruite par les eaux du déluge universel en 1655 depuis
Adam. La méchanceté de l’être humain ne peut pas frapper Dieu physiquement,
puisqu’il est Esprit et invisible, et elle se manifeste par la moquerie chez « Lémec » comme chez l’incroyant
moqueur du type occidental français actuel. Cette hardiesse s’est construite
sur des siècles d’histoire et surtout sur la victoire apparente et momentanée
des sans-Dieu révolutionnaires de 1793. Le régime républicain français s’est
construit sur la domination spirituelle de la « raison ». Pour ces
gens, croire à l’existence d’un Dieu invisible était simplement
« irraisonnable ». Et si l’on se fonde uniquement sur le principe
visuel, il est difficile de leur prouver qu’ils se trompent. Ce type
d’incroyant ne tient compte d’aucun héritage historique et rejette les
témoignages du passé. Sa fierté se fonde sur son individualisme et sa liberté
qu’il revendique et exploite selon sa seule volonté. L’expérience des autres ne
vaut rien pour lui, car il ne considère que sa propre expérience. Notre société
occidentale française est aujourd’hui à cette image. Les gens qui la composent
ne sont d’accords sur rien, excepté qu’ils se reconnaissent libres et égaux en
droits et parfois, en devoirs.
La
longue paix établie depuis 1945, a consolidé ces traits de caractère, car dans
la paix, l’âme humaine s’enracine et s’endurcit dans sa nature libertaire. La
paix favorise le commerce, et le commerce rassasie l’âme envieuse qui convoite,
le plaisir, les biens, et la nourriture. Les talents individuels sont doués
pour produire toutes ces choses convoitées. Et depuis les années 1843, un
développement technique a permit à l’Occident d’imposer sa domination à tous
les pays de la terre jusqu’à imposer leur colonisation. Cette phase a été
voulue par Dieu pour préparer des rancœurs et des haines inextinguibles qui
devaient être et sont réveillées « au
temps de la fin » pour venger les humiliations du temps passé.
L’exploiteur oublie tout ; l’exploité, lui, n’oublie rien.
La
préparation de « Terminator » remonte donc à cette période de 1840 où
en Orient, la guerre des Occidentaux a écrasé la domination turque et a marqué
le début des grandes colonisations. Dans ces guerres, l’Occident s’est imposé
grâce à son armement en fusils, en mitrailleuses et en canons contre lesquels
les lances et les flèches des peuples vaincus ne pouvaient que faiblement
résister. Disant cela, je pense aux peuples africains particulièrement. Car la
Turquie disposait elle-aussi d’armes à feu et la victoire fut obtenue par
l’Occident avec plus de victimes dans ses combattants. L’islam fut ainsi
momentanément écrasé par les peuples chrétiens occidentaux qui se partagèrent
les terres conquises, en Afrique, en Orient et en Asie, jusqu’à
l’Extrême-Orient.
Jusqu’à
la fin du monde, la supériorité de l’armement va faire le vainqueur. En 1914,
la Guerre éclate entre l’Allemagne et la France après une réaction en chaîne
provoquée par l’assassinat du Duc d’Autriche à Sarajevo. Les deux armées ont le
même type d’équipement militaire, et la conséquence, c’est l’enlisement du
conflit sur un front mouvant fixé sur une zone formée de tranchées prises et
reprises par les deux camps qui s’affrontaient. Des canons de plus en plus gros
envoyaient des obus de charges explosives de plus en plus fortes qui
enterraient vivants, dans leurs tranchées, les soldats un moment épargnés par
la mitraille de l’ennemi. C’est au cours de cette guerre, que les premiers
aéroplanes sont apparus et ont révélé leur gros avantage de survoler le pays de
l’ennemi ; le renseignement aérien permettait de viser des cibles
stratégiques dont l’emplacement était identifié.
En
1939, l’Allemagne d’Adolf Hitler dispose d’un grand stock d’armement préparé
dans le secret. En France, de justesse, victorieuse puisque l’Allemagne fut la
première à demander et signer l’armistice avec la France le 11 Novembre 1918,
l’armement était resté celui de 1918 et les chefs militaires français étaient
très fiers de disposer de leurs petits chars d’assauts construits sur la fin de
la première guerre mondiale. Et en 1940, cette fierté injustifiée fut payée par
la défaite devant l’Allemagne équipée de chars d’assauts de 30 tonnes et plus
qui écrasèrent la forêt des Ardennes pour entrer en France en évitant la ligne
fortifiée nommée ligne « Maginot ». En plus, l’Allemagne s’était
dotée d’une aviation performante composée d’avions de chasse dont les sirènes
terrorisaient les cibles humaines, les terribles « stukas ».
Supérieure en tout, l’Allemagne ne pouvait que vaincre la France qui n’avait
que peu évolué. L’Angleterre eut la chance d’être une île séparée du continent
européen. Et son aviation et ses mythiques « Spitfire » brisèrent
l’attaque aérienne de l’Allemagne qui connut ainsi son premier revers
militaire. Déjà, à ce moment, les Anglais ont bénéficié de deux facteurs
avantageux pour l’époque : Il disposait du « radar » qui
repérait la présence de la chasse allemande bien avant qu’elle atteigne
l’Angleterre ; un second privilège fut sa capacité à décoder les codes
secrets allemands et japonais cryptés par la machine électronique nommée
« Enigma ». Mais, l’Allemagne disposait aussi d’une flotte de sous-marins
« U-Boot » qui menacèrent longtemps la victoire du camp allié
atlantique. Malgré tout son équipement, l’armée allemande va s’épuiser sur de
nombreux fronts et se briser sur le front russe, vaincue par le général
« Hiver » qui tua, par un froid extrême, 500 000 soldats
allemands en décembre 1941 devant Moscou. Le débarquement des alliés en
Normandie, a profité du désarmement partiel allemand de ces lieux ; ceci à
cause d’une intox organisée par les Alliés. Un cadavre avait été déposé près de
la côte espagnole et il était porteur d’une serviette en cuir dans laquelle se
trouvaient des documents attestant le projet du débarquement allié en Bretagne.
Les services espagnols remirent ce document aux services secrets allemands. Et
après quelques hésitations compréhensibles, ils le considérèrent authentique et
organisèrent leurs forces armées en conséquence. Le subterfuge marcha
parfaitement et les chars du maréchal Rommel n’étaient pas sur le lieu du vrai
débarquement. Au début de 1945, sur le front Est, la réorganisation russe
repousse les combattants allemands survivants jusqu’à Berlin, où la Russie
s’impose en Avril 1945. A cette époque, l’armée américaine est bloquée par le
froid hivernal dans les Ardennes, les troupes allemandes résistent encore un peu.
Puis, les soldats U.S. ont repris l’offensive jusqu’à Berlin où ils sont
arrivés après les Russes.
Parlons
un peu de ce général « Hiver » qui a vaincu la grande armée de
Napoléon 1er lorsqu’il attaqua, en premier, la Russie. Vaincue par
le froid hivernal et la faim, l’armée impériale fut décimée au cours de sa
retraite et sa traversée de la Bérézina, fleuve glacé dans lequel beaucoup
périrent noyés et gelés, et de plus, constamment harcelés par des résistants
russes. Ce général « Hiver » est au service du Dieu créateur et il
est parfaitement prévisible. Qui n’en tient pas compte, le fait parce que Dieu
l’aveugle momentanément pour préparer sa chute. Car il en est ainsi de toutes
les guerres ; c’est Dieu qui les programme et les met en action au moment
qu’il choisit pour le faire. Et ayant obtenu l’hécatombe nécessaire, il
organise les conditions de l’arrêt de la guerre ; ceci jusqu’à la
prochaine.
Il
ressort de cette deuxième guerre mondiale, la naissance d’une nation puissante
qui vient de découvrir son impressionnante capacité militaire et sa production
industrielle dopée par sa production d’armes, d’avions, de navires, de
sous-marins et de toute chose utile ou inutile. Car l’Amérique de la société de
consommation vient de naître avec son espérance de domination hégémonique
universelle. La chenille est devenue un papillon aux ailes déployées prête à
accomplir les désirs de son père spirituel, « le prince de la puissance de
l’air » qui voit en elle, le destin d’une nouvelle Rome qui
imposera sa domination à toute chair et esprit humain.
La
seconde Guerre Mondiale s’est achevée comme elle a commencé, par
l’incontestable avantage de la supériorité de l’attaque aérienne. Déjà, dans la
guerre du général Franco en Espagne, sa victoire fut obtenue par l’intervention
des « stukas » allemands qui décimaient les forces communistes
internationales. Et en 1945, les terribles bombardements aériens et les
cannonades de Berlin ont fait de la ville dominatrice un lieu sinistre de
bâtiments en ruine. Comme les Russes, les Anglais ont rendu au double, ce que
Londres avait subi de la part des Allemands de 1940 à 1942. L’Allemagne vaincue
a été mise en partage par les vainqueurs russes, américains, anglais, et par
faveur, la France. Mais pour hériter du titre de première puissance mondiale, le
peuple américain a eu recours à l’utilisation de deux bombes atomiques qui ont
stoppé net la résistance japonaise. Et là encore, je peux dire que la fin de la
Deuxième Guerre Mondiale prophétise la norme de la Troisième qui devait
inévitablement lui succéder.
Il
est important de le comprendre, pour Dieu, sa « sixième trompette » tient le rôle d’un déluge d’eaux partiel.
J’ai longtemps espéré qu’un avertissement solennel serait diffusé pour prévenir
les habitants de la terre du drame qui vient les frapper. Mais le temps a passé
sans que l’avertissement soit donné. J’en déduis donc, que l’humanité actuelle
est à ce point endurcie que Dieu n’estime pas nécessaire de la prévenir de son
intention de la détruire. Et je vais donner cette explication. Pour obtenir la
délivrance d’Israël, Dieu fait présenter sa demande à Pharaon trois fois
auxquelles il répond négativement. Le texte biblique précise alors que « Dieu endurcit le cœur de pharaon »
en sorte qu’il allait refuser jusqu’à « la mort de son premier-né » ; sort partagé par tous les
premiers-nés des Egyptiens.
En
analogie, l’Europe occidentale a été livrée à la guerre deux fois, en 1914 et
1939. Le Troisième message adressé par Dieu est venue sous la forme du virus
contagieux Covid-19, puis, sous l’aspect de la guerre que se livrent les Russes
et les Ukrainiens ; officiellement depuis le 24 Février 2022. Mais non,
car imitant les Pays Baltes déjà membres de l’Union Européenne depuis 2004, les
discriminations ukrainiennes envers les ukrainiens d’origine russe ont commencé dès 2013 par le
renversement du président russe légitimement élu. Et des persécutions
individuelles des résistants russophiles auxquelles seule la Russie à donné de
l’importance. Les dirigeants de l’U.E. n’ont retenu de ces faits que
l’intervention militaire russe sur le sol de l’Ukraine le 24 Février 2022. La
Russie a bel et bien transgressé le droit territorial édité par les
Occidentaux, mais elle n’a jamais reconnu ces droits occidentaux et ne retient
de l’affaire qu’une trahison ukrainienne qu’il convient de discipliner ou
d’anéantir. Ces valeurs défendues par la Russie sont aussi les valeurs que Dieu
apprécie, lui qui est victime de la trahison des nations chrétiennes occidentales.
Dans
l’histoire humaine ce cas de figure s’est déjà présenté avec la domination
impériale de Rome. Dans Daniel 8, Dieu rappelle les trois phases successives de
la croissance de cette petite ville de la péninsule italienne qui a fini par
diriger son empire couvrant toutes les côtes de la mer Méditerrannée et au-delà,
au Nord et à l’Est. Or, en notre époque, derrière le voile de l’U.E. c’est
encore elle qui dirige les esprits des décideurs politiques occidentaux. Sans
être pour autant « éternelle », cette ville semble indestructible,
puisque tel le phœnix, oiseau mythique,
elle renaît de ses cendres pour prolonger sa néfaste domination. La guerre de
l’Ukraine dure déjà depuis trois ans complets et par elle, Dieu vient de donner
à l’Europe la possibilité de choisir son destin en prenant parti pour l’Ukraine
ou la Russie : elle a choisi l’Ukraine et le clame très haut et très fort
ce qui confirme son engagement cobelligérant associé à sa guerre. En effet, les
vendeurs non-cobelligérants agissent en commerçants prêts à vendre des armes
aux deux camps s’ils sont demandeurs. Or, l’U.E. ne cache pas sa haine
ressentie envers la Russie et son président très particulier. En 1990, le
peuple russe s’est trouvé sans chef livré à l’anarchie et aux oligarques russes
peu scrupuleux. Cette dure épreuve justifie sa préférence pour la prolongation
d’une autorité stable et efficace. Sur ces points, Vladimir Poutine les
satisfait, n’en déplaise à nos rebelles Européens occidentaux. L’Ukraine, ex-grenier
à blé de la Russie soviétique était un pays de l’Est, un pays slave comme la
Russie et ses autres républiques actuelles. Et voilà que depuis le 24 Février
2022, pour les Occidentaux, l’Ukraine est devenue une terre occidentale que les
« méchants » russes privent de sa liberté nationale. Ainsi,
l’Occident a sa lecture très personnelle des faits accomplis. Il a fait son
choix en fonction de ses propres valeurs, lois et règles. Dieu n’attendait que
ça, son instrument de séduction a rempli son rôle et l’Occident qu’il a maudit
est tombé sous cette séduction. Dès lors, compromis envers la Russie pour
défendre la cause de son alliée l’Ukraine. Il ne reste à Dieu désormais plus
qu’à livrer l’Europe à la Russie animée du désir de venger ses morts tués par
des armes occidentales perfectionnées et très précises.
L’avertissement
religieux ne viendra pas, parce que l’Occident jouit de la liberté religieuse
qui autorise quiconque le désire à recevoir dans son esprit l’enseignement de
Dieu écrit dans sa sainte Bible, disponible et parfois offerte, rédigée et
traduite en de multiples langues étrangères.
Notre
époque est semblable à celle de Noé, il n’est écrit nulle part que Noé lançait
des appels vers ses contemporains rebelles. La Bible nous révèle seulement le
choix que Dieu fit parmi les antédiluviens et qui le conduisit à faire une
alliance spécifique personnelle avec Noé. A la place des prédications devenues
inutiles, Noé avertissait son entourage par sa construction d’un bateau
gigantesque au milieu des terres, loin de la mer la plus proche. Et au lieu de
tirer profit de son intime conviction confirmée par son action, les gens
rebelles se moquaient de lui, le prenant pour un fou, un insensé, privé de sa
raison.
J’ai
déjà témoigné, en rappelant l’expérience de mes 5 conférences prophétiques
présentées à Valence sur Rhône, dans une salle louée à un hôtel local. Après
élimination des 25 premiers curieux et de gens qui ne ratent pas une occasion
pour débattre publiquement pour s’offrir l’occasion d’exposer leurs propres
idées, ce qui fut le cas pour la première présentation, lors de la présentation
suivante 8 personnes seulement se sont présentées. Et j’ai tout de suite établi
le rapport avec les 8 personnes entrées dans l’arche construite par Noé et ses
fils. J’en ai conçu un message ayant pour titre : « Il en sera
comme au temps de Noé ».
En
effet au temps de l’esprit « Terminator », aucun bateau n’est
nécessaire car aucun déluge d’eaux n’est programmé par Dieu. Par contre,
l’apôtre Pierre prophétise un déluge de feu dans 2 Pierre 3:7. Ce message nous
est particulièrement adressé ; ceci, au point de justifier son étude
verset par verset du verset 1 au verset 8 :
V.1 :
« Voici déjà, bien-aimés, la seconde
lettre que je vous écris. Dans l'une et dans l'autre je cherche à éveiller par
des avertissements votre saine
intelligence, »
Et
selon la volonté de Dieu ses serviteurs « intelligents » du
« temps de la fin » vont le relever, parce qu’ils se sentent
directement et personnellement concernés.
V.2 :
« afin que vous vous souveniez des choses annoncées d'avance par les saints prophètes, et du
commandement du Seigneur et Sauveur, »
La
foi invite les élus « à se
souvenir » des témoignages écrits dans la sainte Bible. De même,
dans le décalogue, le quatrième commandement de Dieu concernant le repos du
septième jour ou sabbat commence ainsi : « Souviens-toi du jour du repos pour le sanctifier… »
V.3 :
« enseigné par vos apôtres, sachant
avant tout que, dans les derniers jours, il viendra des moqueurs avec leurs
railleries, marchant selon leurs propres convoitises, »
Nous
voici, dans ces derniers jours entourés, en effet, de multitudes de gens
« moqueurs et railleurs » qui « marchent dans la vie selon leurs propres convoitises » et se
passionnent pour leurs idoles du cinéma, du sport ou de la musique ; les
nouvelles idoles adorées et servies dans la société occidentale.
Rappel :
Quand les disciples de Jésus pleuraient au pied de sa croix, ses ennemis se
moquaient de lui, l’invitant à se sauver lui-même puisqu’il se prétendait être
le Sauveur des hommes.
V.4 :
« et disant : Où est la promesse de
son avènement ? Car, depuis que les pères sont morts, tout demeure comme dès le
commencement de la création. »
Ces
propos étaient déjà tenus par les incrédules de la nation juive qui
justifiaient la mort de Jésus-Christ en lequel ils ne voyaient qu’un homme,
donc, pour eux, un usurpateur. Ils attendaient bien l’avènement de Dieu mais
sous la forme puissante divine qu’il prenait au mont Sinaï. Ils n’avaient
aucune conscience du problème du péché que le sang animal était incapable
d’expier à cause du fait que l’homme a été créé par Dieu à son image, ce qui
n’est pas le cas des animaux, même ceux qui sont classés « purs » par
Dieu.
Les
moqueurs actuels reprennent ces arguments les jugeant encore plus justifiés
après deux mille ans de religion chrétienne.
V.5 :
« Ils veulent ignorer, en
effet, que des cieux existèrent autrefois par la parole de Dieu, de même qu'une
terre tirée de l'eau et formée au moyen de l'eau, »
L’Esprit
qui inspire les paroles tenues par Pierre présente bien l’ignorance comme un
choix humain qui les culpabilise : « ils veulent ignorer ».
Pour un esprit humain rationnel et incrédule, croire au miracle est très
difficile sinon impossible. En effet la réalité de Dieu ne donne aucune place à
l’argument rationnel. La croyance au vrai Dieu créateur exige d’accepter l’idée
de l’illimité car tout ce qui reste impossible pour un homme reste possible
pour Dieu créateur des normes du possible et de l’impossible. Dans notre vie
terrestre, l’eau est indispensable étant même à l’origine de la dimension
terrestre, le premier élément créé par Dieu. L’argile du potier ne peut être
travaillée que par sa teneur en eau qui lui donne sa souplesse et sa nature
pâteuse modelable.
V.6 :
« et que par ces choses le monde
d'alors périt, submergé par l'eau, »
Les
vies des antédiluviens rebelles et pécheresses sont dissoutes dans l’eau
l’élément de la vie dans laquelle ils ont été créés par Dieu. Par cette action
du déluge, Dieu renvoie les vies inutiles dans l’élément d’où elles sont
sorties.
V.7 :
« tandis que, par la même parole,
les cieux et la terre d'à présent sont gardés et réservés pour le feu, pour le
jour du jugement et de la ruine des hommes impies. »
Dieu
a fait promesse à Noé de ne jamais plus détruite la vie terrestre par le moyen
du déluge d’eaux. Mais ce verset nous apprend qu’après les eaux, le feu viendra
couvrir la terre. L’étude d’Apocalypse 20 permet de situer cette action
rattachée au jugement dernier, pour la fin du septième millénaire où le magma
en fusion souterrain viendra recouvrir toute la surface de la terre, détruisant
ainsi les mers et les océans actuels. Il s’agit là du processus qui détruira
les hommes impies au jour du jugement dernier.
Mais
avant ce temps du jugement dernier, le feu va tenir un grand rôle destructeur
dans la Troisième Guerre Mondiale qui précède le retour final glorieux de notre
Seigneur Jésus-Christ. Le feu est cité plusieurs fois dans le thème de la
« sixième trompette » qui la
prophétise dans Apocalypse 9:17 : « Et ainsi je vis les chevaux dans la vision, et ceux qui les montaient,
ayant des cuirasses couleur de feu,
d'hyacinthe, et de soufre. Les têtes des chevaux étaient comme des têtes de
lions; et de leurs bouches il sortait du
feu, de la fumée, et du soufre. » Le verset 18 suivant confirme
avec insistance : « Le tiers
des hommes fut tué par ces trois fléaux, par
le feu, par la fumée, et par le soufre, qui sortaient de leurs bouches. » Des « bouches »
humaines dirigeantes sortent des ordres que les subordonnés mettent en œuvres.
Dans ce verset, « le feu » prophétise la
destruction ; « la fumée » est l’image
prophétique des prières religieuses adressées à Dieu mais reçues par le
diable ; et « le soufre » évoque le magma souterrain des volcans, mais
aussi le feu nucléaire qui porte la matière au même degré de fusion que le
magma terrestre. Le mystère de cette « sixième
trompette » concerne cet usage du feu nucléaire, c’est ce qui fait
d’elle, un événement exceptionnel prophétisé par Dieu par ce symbole de « sixième trompette ». Le chiffre
« 6 » est lui-même symbolique de l’ange céleste dont le premier créé
par Dieu fut l’actuel Satan, le diable.
V.8 :
« Mais il est une chose, bien-aimés,
que vous ne devez pas ignorer, c'est que, devant le Seigneur, un jour est comme mille ans, et mille
ans sont comme un jour. »
Pierre
était loin de se douter que sa formule allait constituer une clé prophétique
uniquement utile aux derniers vrais adventistes servant Dieu en Jésus-Christ. Cette
clé confirme l’analogie des sept jours de la semaine avec les sept mille ans du
projet global préparé par Dieu.
V.9 :
« Le Seigneur ne tarde pas dans
l'accomplissement de la promesse, comme quelques-uns le croient ; mais il use
de patience envers vous, ne voulant pas qu'aucun périsse, mais voulant que tous
arrivent à la repentance. »
Cette
explication a permis à Pierre d’expliquer l’attente imposée aux élus. Mais son
argument ne tient plus depuis la compréhension de la signification symbolique
prophétique de la semaine de sept jours. Jésus-Christ ne devait revenir qu’à la fin des 6000 premières
années de l’histoire terrestre, et en aucun cas, avant ce moment.
V.10 :
« Le jour du Seigneur viendra comme un voleur ; en ce jour, les cieux
passeront avec fracas, les éléments embrasés se dissoudront, et la terre avec
les œuvres qu'elle renferme sera consumée. »
Jésus
confirme cette image du « voleur » dans Apocalypse
3:3 : « Rappelle-toi
donc comment tu as reçu et entendu, et garde et repens-toi.
Si tu ne veilles pas, je
viendrai comme un voleur, et tu ne sauras pas à quelle heure
je viendrai sur toi. » Mais ce critère ne concerne que des chrétiens
qu’il tient pour « morts »
alors qu’ils sont encore « vivants »
soit, des chrétiens engagés mais infidèles et rebelles. Ses vrais élus ne sont
donc pas concernés et confirmant cette idée ; depuis 2018, il leur a fait
connaître la date exacte de sa venue soit, le jour du printemps 2030.
L’idée
de venir « comme un voleur » suggère que son retour ne sera pas
précédé par des débats et une concertation publique de ce sujet. Ce que
confirme, le silence actuel qui le concerne. L’humanité va s’inquiéter de plus
en plus, mais pas au sujet du retour de Jésus-Christ, car ces sujets
d’inquiétudes sont terrestres et uniquement terrestres : ruine économique,
guerre contre la Russie, cohabitation multiethnique problématique, assassinats
islamiques ; et ceci, sans oublier son réchauffement climatique constaté
sur toute la planète.
Dans
5 ans, Jésus reviendra, inaugurant le premier jour du septième millénaire. Ce
jour-là, ses élus rachetés entreront dans la vie céleste éternelle et sur la
terre, toute vie humaine et animale vivra ses derniers jours.
Le
dernier conflit vécu et animé par l’esprit « terminator » s’accomplit
dans un contexte unique très particulier de partage d’information jamais encore
égalé jusqu’à lui. La paix qui lui a précédé, a favorisé ces échanges rendus
possibles par les inventions des Etats-Unis d’Amérique du Nord ; et en
premier le réseau « internet », inventé pour l’usage militaire, puis
abandonné au service public. Ce qui en fait l’hameçon d’une démarche guerrière
conquérante. En quelques décennies, tous les pays de la terre ont été reliés
par ce réseau qui échappe aux frontières nationales. Au même moment, les USA
ont aussi promu le commerce international mondialisé visant à favoriser les
échanges de toutes les productions terrestres. En investissant leurs finances
dans les entreprises où la main d’œuvre est la moins chère, ils ont augmenté de
manière exponentielle leur fortune. Mais cette politique favorisait les pays
pauvres étrangers comme la Chine et l’Inde, mais elle faisait aussi disparaître
les emplois des travailleurs américains ; l’Amérique s’est ainsi appauvrie
et endettée. En l’imitant, les pays européens ont perdu également leurs emplois
et leurs activités productives industrielles nationales. Les uns après les
autres, ils sont devenus dépendants des importations chinoises.
C’est
dans ce contexte déplorable, que Dieu a frappé l’humanité
« terminator » par le virus meurtrier nommé Covid-19. Et en cette
même année, un autre virus « terminator » a été élu président de
l’Ukraine. Sa guerre menée contre les russophiles du Donbass a excité la colère
du président de la Russie. Jusqu’à son intervention sur le sol ukrainien le 24
Février 2022. Le président Poutine a pris la décision de présenter sa guerre
sous le nom « opération spéciale » et ce nom n’est pas usurpé mais
bien justifié par le caractère particulier de ce conflit. Justifié oui, mais
pas forcément favorable et je vais dire pourquoi, éclairé par l’actualité de
cette guerre.
Le
contexte actuel est celui d’une vraie guerre dure et impitoyable que se livrent
deux populations longtemps réunies dans la Russie soviétique. Il s’agit donc d’une
guerre civile devenue nationale depuis la prise d’indépendance de l’Ukraine.
Les frères russes se combattent atrocement à cause du désir de liberté des
partisans ukrainiens. En donnant à cette guerre le nom « opération
spéciale », le président russe a voulu préserver des relations
commerciales avec les peuples occidentaux qui soutiennent aussi l’Ukraine. Et
ce lien maintenu vient d’être exploité subtilement par l’Ukraine qui a fait
transporter en Russie dans des remorques spécialement conçues par ses génies
techniques, des drones tueurs, qui depuis la Russie ont détruit des avions
stratégiques qui stationnaient sur leur site d’envol très loin de l’Ukraine. On
parle de 40 appareils détruits ou endommagés et d’autres actions sont
actuellement conduites contre des appareils russes sur le sol russe par des drones
guidés par des agents infiltrés ou par télécommande téléphonique. Cette guerre
à laquelle la Russie refuse de donner ce nom favorise ces infiltrations. Dans
le passé, quand deux pays se faisaient la guerre, tout commerce entre les deux
cessait officiellement, précisément pour empêcher les infiltrations ennemies.
La sécurité des deux belligérants reposait sur un contrôle renforcé de la zone
frontalière qui devenait souvent le front militaire, le terrain du combat.
Cette séparation complète est aujourd’hui indispensable pour la Russie qui doit
réaliser qu’elle fait face à une guerre civile interne et que des Ukrainiens
hostiles se trouvent dans sa population. C’est d’ailleurs, par une initiative
d’épuration ethnique que l’Ukraine a commencé, sur son territoire, son combat
contre les russophiles, la Russie, et sa culture.
Mais
la méthode utilisée dernièrement par les Ukrainiens va avoir une conséquence
non prévue : désormais, tout transport commercial en remorque et camion ou
container va devenir suspect. Tout ennemi voulant faire du mal, va pouvoir
imiter l’Ukraine et faire transporter ses drones ou ses bombes explosives chez
son adversaire par le moyen du prétexte commercial. Le commerce mondial risque
donc d’en être massivement affecté. Rien qu’à cause de ses initiatives imposées
même à ses alliés occidentaux, le camp ukrainien mérite bien ce nom de
« Terminator » ; destruction des gazoducs russes et maintenant
suspicion sur les transports commerciaux. Cet allié ne peut être que celui de
gens « fous à lier » et réellement « faux alliés » qui
seront bientôt les victimes de la colère russe allumée par leur allié échappé du
camp de l’Est.
Depuis
trois ans, les journalistes français attendent et espèrent une fin de cette
guerre par une négociation qui apparaît de plus en plus impossible. Ils sont
confrontés, sans le savoir, à l’action du Dieu tout-puissant, qui inspire en
bien et en mal tous les esprits de ces créatures, car il utilise le diable et
ses démons qui ne font que ce qu’il les autorise à faire. Dieu revendique ce
pouvoir absolu en inspirant ces paroles citées dans Amos 3:6 : « Sonne-t-on de la trompette dans une ville, sans que le peuple soit dans
l'épouvante ? Arrive-t-il un malheur dans une ville, sans que YaHWéH en soit
l'auteur ? » L’Esprit dit aussi dans Lamentations 3:37-38 :
« Qui dira qu'une chose arrive, sans
que le Seigneur l'ait ordonnée ? N'est-ce pas de la volonté du Très Haut que
viennent les maux et les biens ? »
La
guerre actuelle de l’Ukraine contre la Russie se déroule dans un contexte où
l’information circule en temps réel sous le jugement de milliards d’êtres
humains ayant chacun son avis sur le sujet. Ce contexte particulier donne à ce
conflit son caractère particulier et nouveau, car jamais vécu dans ces
conditions avant lui. Et le monde occidental a tort de montrer son admiration
pour les prouesses accomplies par ce petit pays que représente l’Ukraine qui
n’est d’ailleurs pas si petit que ça. En fait, nous retrouvons dans ce conflit
le principe du combat qui opposa le jeune adolescent David contre le géant
philistin Goliath. Sauf que ce David ne bénéficie pas de la bénédiction de Dieu
car il incarne aujourd’hui l’image même du rebelle type que Dieu déteste et
condamne.
Les
réussites de l’Ukraine reposent précisément sur l’inégalité des deux
combattants au niveau de leur équipement militaire. Ne disposant pas de navires
de guerre, la Russie ne peut pas rendre à l’Ukraine les coups qu’elle porte à
ses gros navires de la mer noire ; si gros qu’ils représentent précisément
une cible immanquable pour des drones ou des missiles téléguidés. Car, ce qui
est nouveau et fondamental dans ce conflit, c’est l’avancée de la technologie
téléguidée qu’aucune autre guerre avant lui n’a bénéficié. Déjà, Goliath était
imbattable dans un combat rapproché et David le tua en utilisant une fronde
soit, une arme de jet qui tue à distance. Et puis, il est bon de le rappeler,
aucun pays aussi puissant soit-il, tel que la France, l’Angleterre, les USA, et
l’URSS, n’a réussi à vaincre ses ennemis colonisés en raison même de la
petitesse des groupes combattants qui prennent le maquis et harcèlent
continuellement par des attaques les armées qui disposent d’armes puissantes modernes,
comme les chars d’assauts et les hélicoptères de chasse. En Afghanistan, la
résistance équipée de lance-roquettes fournis par les USA, détruisait les
hélicoptères russes à la fois redoutables mais très vulnérables. La preuve a
été ainsi, plusieurs fois donnée que le petit peut être avantagé contre un plus
gros que lui. Et que nous enseigne la vie ? L’homme n’est-il pas menacé de
mort par des piqûres de guêpes, de frelons ou de moustiques, ou par des
serpents au venin mortel ? Ou, plus petits encore, par des microbes et des
virus invisibles au regard humain ? Dans le cas de l’Ukraine, la Russie
est retenue pour plusieurs raisons. Bien que séparée de l’Ukraine par une
frontière, un lien ethnique existe et justifie le choix du président Poutine de
nommer son combat « opération spéciale » car il donne à son action un
but punitif, gardant l’espérance de ramener dans son camp, le peuple ukrainien
et son territoire. Mais le conflit change maintenant de nature à cause de l’engagement
occidental ouvertement hostile et favorable à l’Ukraine. Le président russe
constate comme chacun peut le faire, que le soutien donné à l’Ukraine dépasse
la seule démarche commerciale et prend depuis longtemps une forme de co-belligérance
masquée et désavouée. Le nom « Opération Spéciale » contredit les
accusations portées par certains occidentaux contre la Russie qu’il accuse
d’avoir préparé une guerre contre eux et contre l’OTAN. Des femmes journalistes
disent des inepties qui démontrent leur peu d’intelligence : je choisis
cet exemple : « Poutine ne reconnaît que la force, c’est pourquoi, il
faut le combattre et lui faire peur ». Je réponds : « Sur quels
exemples ces propos se fondent-ils ? Quand et dans quelles circonstances,
la Russie a montré que la force de son ou ses ennemis la faisait plier et
renoncer à ses actions ? Encore, à ce jour, jamais ». En Afghanistan,
ce n’est pas la peur qui a vaincu sa puissance militaire mais les roquettes
fournies par les USA. Un seul homme armé d’un lance-roquettes est plus
dangereux pour un hélicoptère ou un char d’assaut qu’une armée équipée de
fusils.
Une
guerre directe contre l’Occident prendra une forme très différente, car la
Russie sera délivrée de toutes ses retenues dont l’Ukraine bénéficie encore actuellement.
De plus, dans la guerre contre la Russie, les navires occidentaux seront aussi
vulnérables aux attaques des drones que les navires russes de la mer Noire.
Mais nous attendons de voir comment la Russie va punir l’outrage que l’Ukraine
vient de lui infliger, sur son territoire russe, où les drones ukrainiens sont
venus frapper, et plus ou moins détruire, une quarantaine de bombardiers
stratégiques russes irremplaçables. L’Ukraine vient aussi de frapper, avec de
simples drones, des rampes de lancement de missiles installées sur la terre
Russe près de Briansk. La mouche piquante harcèle le taureau qui, plus que
jamais, voit rouge. Déçu et résigné, le président Trump se prépare à se retirer
du problème de la guerre européenne.
Dans
quelques temps, les peuples occidentaux vont découvrir combien ce dicton est
vrai : « Le temps perdu ne se rattrape jamais » ; et je me
permets de préciser qu’il en est de même pour « les occasions
perdues ».
M38- Pas la paix mais l’épée
Ces
paroles dites par Jésus-Christ, dans Matthieu 10:34 à 36, vont prendre en notre
temps une application littérale véritablement guerrière : « Ne
croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre ; je
ne suis pas venu apporter la paix, mais l'épée. Car je suis venu
mettre la division entre l'homme et son père, entre la fille et sa mère, entre
la belle-fille et sa belle-mère ; et l'homme aura pour ennemis les gens de sa
maison. » Ces propos tenus par Jésus ont toujours été interprétés
uniquement pour justifier les persécutions religieuses qui ont frappé ses vrais
disciples. Et en citant « les gens
de sa maison », le texte semble effectivement confirmer cette
démarche. Et allant encore plus loin dans ce sens, Jésus déclare ensuite dans
les versets 37 et 38 : « Celui
qui aime son père ou sa mère plus que moi n'est pas digne de moi, et celui qui
aime son fils ou sa fille plus que moi n'est pas digne de moi ; celui qui ne
prend pas sa croix, et ne me suit pas, n'est pas digne de moi. » Je
relève que dans ces gens de la maison, Jésus ne cite pas « sa femme ».
La raison est spirituelle, car Dieu se sacrifie lui-même en Christ par amour de
« son Epouse » qui désigne
l’assemblée de ses élus. Et comme Dieu l’a fait lui-même, en Christ, l’homme
choisit son épouse, alors qu’il ne choisit pas son père et sa mère et encore
moins ses frères et ses sœurs. Mais malgré cette cause spirituelle, la femme
choisie par l’homme peut devenir une pierre d’achoppement pour lui et elle n’a
pas, pour l’homme, la priorité sur Dieu.
La
concurrence entre Dieu et l’un des deux conjoints est cause de perte de salut
pour des multitudes d’hommes et de femmes. Bien que créé pour réagir charnellement,
l’être humain doit prendre conscience que le modèle de l’élu est asexué, comme
le sont les anges créés en premier par Dieu. Or, le grand projet du salut mis
en œuvre par Dieu finira comme il a commencé soit, avec des créatures humaines
élues transformées et formées selon le modèle des anges. Les élus se
distinguent des déchus par leur aptitude à privilégier les valeurs divines sur
les valeurs terrestres charnelles.
La
conséquence de ces choix humains que Dieu veut libres lui permet de
sélectionner ses élus et de condamner les autres créatures indifférentes ou
rebelles. Et pour cette autre catégorie d’êtres humains, le mépris de Dieu et
de sa vérité se paie par des guerres meurtrières dont la cause religieuse n’est
pas apparente ou apparemment absente. C’est pourquoi, il est essentiel de
comprendre que Dieu est l’organisateur de toutes les formes de guerres,
civiles, ou internationales qui ont, pour lui, l’unique but d’éliminer des
créatures qu’il juge indignes de vivre. C’est ce qu’il déclare en disant dans Romains
9:20 : « O homme, toi plutôt,
qui es-tu pour contester avec Dieu ? Le vase d'argile dira-t-il à celui qui l'a
formé : Pourquoi m'as-tu fait ainsi ? Le
potier n'est-il pas maître de l'argile, pour faire avec la même
masse un vase d'honneur et un vase d'un usage vil ? Et que dire, si Dieu,
voulant montrer sa colère et faire connaître sa puissance, a supporté avec une
grande patience des vases de colère
formés pour la perdition, et s'il a voulu faire connaître la richesse de sa
gloire envers des vases de miséricorde
qu'il a d'avance préparés pour la gloire ? »
La
religion du vrai Dieu est opposée dans l’absolu à la pensée humaniste qui a
conquis les esprits des humains occidentaux. Cet humanisme se substitue à
l’amour que le Dieu créateur soit, le vrai « Père » de toute vie
céleste et terrestre mérite d’obtenir au titre de simple gratitude. C’est pour
que les humains comprennent ce désir de Dieu, qu’il les a créés capables de
procréer et de donner vie à des enfants. Le père terrestre apprend l’affliction
et la souffrance imposées injustement à Dieu, quand ses propres enfants lui
désobéissent. Ainsi pour les mêmes raisons, Dieu et les hommes souffrent chacun
à leur échelle ; humaine pour ses créatures, et divine pour l’unique
Esprit du Dieu créateur.
La
frustration subie par Dieu est immense, incommensurable et injuste à sa dimension. Cette situation expose donc les
ingrats à sa juste colère. Il est vrai que Dieu laisse l’homme libre de l’aimer
ou de l’ignorer, mais ce choix n’est pas sans conséquences, car en réponse,
Dieu n’offre que son amour incomparable ou sa colère vengeresse. Or nous sommes
entrés depuis l’année 2020 dans le cycle de son châtiment final. L’humanité
occidentale a bénéficié de longues années de paix favorables à l’étude de sa
vérité révélée dans toute sa sainte Bible. Mais ce temps propice à la
conversion n’a été utilisé que pour apprécier les inventions techniques
humaines, et comme Jésus l’a annoncé, des multitudes de gens ont été séduits
par les prodiges réalisés par les scientifiques, les nouveaux dirigeants des
corps, et des esprits humains occidentaux. Les libres-penseurs des siècles
passés ont réussi à libérer les gens de « l’opium » religieux, mais
ils n’ont en fait que livré ces personnes à « l’opium » culturel
humaniste et scientifique, et pour certains, politique ou économique. Car selon
l’inspiration de Jésus-Christ : « Tout
homme est esclave de ce qui triomphe de lui ».
J’ai
le bonheur et l’avantage de ne pas avoir suivi cette voie de perdition, ceci
depuis l’an 1980 où le sabbat 14 Juin, j’ai paraphé mon alliance avec Dieu en
Jésus-Christ en recevant son baptême. Or, j’écris ce message, en ce jour du
sabbat 14 Juin 2025 que l’actualité marque par le déclenchement d’une guerre
totale depuis que le 13 Juin à 2 heures 15, Israël a lancé une attaque aérienne
contre l’Iran, accusée de préparer des bombes atomiques. Cette accusation
rappelle celle que les USA ont porté contre l’Iraq du président Saddam Hussein
et qui a servi, injustement, de prétexte pour l’attaquer et le renverser. Sauf
que cette fois, l’accusation n’est pas fausse, et qu’Israël voit dans cette
préparation de l’arme nucléaire par l’Iran, un risque existentiel majeur
reconnu par ses alliés occidentaux. Pour les Israéliens, l’expérience est douloureuse
et la première conséquence est l’empêchement de se rendre dans les synagogues
pour honorer le sabbat du Dieu créateur. Car frappés
par les missiles iraniens, ils sont contraints à rester dans les abris par
ordonnance des dirigeants de l’Etat.
La
coïncidence des dates me porte à interpréter cette nouvelle étape de la guerre
que se livre Israël et l’Iran chiite musulman, comme un signe du Dieu créateur
qui me souhaite, à sa manière, un bon anniversaire, puisque j’ai aujourd’hui au
titre de nouvelle naissance : 45 ans. Et pour bien comprendre cette
logique, il faut savoir que le sujet de la troisième Guerre Mondiale a été
l’unique objet de mes certitudes prophétiques. J’ai successivement pensé la
voir s’accomplir en 1983, puis en 1993. Après cette date, je ne pouvais plus la
dater. Et c’est le développement de l’actualité mondiale qui lui a redonné un
sens le 24 Février 2022 quand la Russie est entrée sur le sol de l’Ukraine.
Il
faut comprendre que dans Daniel 11:40 à 45, l’Esprit décrit la stratégie de la
Troisième Guerre Mondiale, au moment où la Russie va envahir et dévaster
l’Europe occidentale de la Rome papale. Mais ce temps fort ne décrit que la
partie de cette guerre qui révèle le but que Dieu lui donne, en présentant à
ses élus l’Europe papale, la cible de sa colère. Ce moment fondamental est
précédé par des guerres préparatoires en Ukraine et à Gaza, et l’action
conduite aujourd’hui par Israël contre l’Iran marque la dernière phase de cette
préparation. Car cette attaque va porter des conséquences mondiales tant pour
les Occidentaux que pour le président de la Russie qui voit Israël attaquer et
tenter de détruire, l’Iran, son fournisseur de drones. L’action guerrière
d’Israël touche donc ses intérêts et condamne toute chance d’accord avec les USA,
les parrains d’Israël. Le projet de paix recherché par Donald Trump devient
ainsi irréalisable. Et de son côté, le président russe Vladimir Poutine voit
désormais Israël comme un fer de lance du camp occidental qui attaque l’Iran
son allié. Ceci permet de comprendre son occupation d’Israël qu’il va envahir selon Daniel 11:41 : « Il entrera dans le plus beau des pays, et plusieurs succomberont ; mais
Édom, Moab, et les principaux des enfants d'Ammon seront délivrés de sa main. »
Ce
combat qui s’engage entre Israël et l’Iran est d’autant plus important que
l’Iran est le pays dans lequel est apparu l’islamisme soit, l’islam agressif
depuis le renversement du « shah » par l’ayatollah Khomeini. Et je
crois nécessaire de le rappeler, c’est dans sa propriété de Neauphle-le-Château,
qu’en France, ce vieillard a préparé sa révolution islamique. Une fois de plus,
l’implication de la France dans les événements majeurs du monde est confirmée.
Je me trouve donc bien dans le lieu stratégique qui permet de comprendre les
faits mondiaux et mon ministère prophétique au service de Dieu trouve ainsi son
sens et sa justification. Le nouveau régime démocrate républicain est apparu en
Europe, en France, où il a remplacé le régime permanent monarchique. La France
porte ainsi la lourde responsabilité et la culpabilité d’être entrée en
rébellion contre Dieu et elle porte aussi la responsabilité des autres nations
qui l’ont ensuite imitée. Le meneur est le principal coupable, et dans notre
actualité, les déclarations du président Macron portent de grosses
conséquences. La France est un triste exemple de duplicité et d’opportunisme.
Et je pense que c’est pour ce type de comportement que Dieu la fait exister. Collaboratrice
de l’Allemagne nazie, elle s’est retrouvée grâce au Général de Gaulle et au
Premier ministre anglais Winston Churchill, parmi les quatre pays vainqueurs de
la Seconde Guerre Mondiale. Et aujourd’hui, le président Macron incarne cette
nature française par ses déclarations multiformes par lesquelles il cherche à
tirer un profit personnel dans toutes les situations. Mais soyons justes, il
n’a guère le choix, car le pays dont il a pris la présidence, est constitué de
gens représentants des idées très opposées ; et contenter des penseurs
opposés est une gageure, la certitude de l’impossibilité. Pour leur malheur,
ses collègues européens voient en lui, le chef d’un pays doté de l’arme
nucléaire, sans laquelle, son avis serait ignoré et méprisé. Alors que les
mélanges ethniques des sociétés européennes contraignent les dirigeants à
accepter des compromis, l’ordre divin exige, lui, la fidélité et l’unité. Les
deux modèles sont totalement incompatibles parce que, opposés dans l’absolu. Le
projet de Dieu s’accomplit, il peut ainsi démontrer le fruit que porte
l’humanité qui se sépare de lui.
Les
humains frappés de malédiction tombent dans le piège de leurs multiples
contradictions, et le résultat est le suivant : ils exaltent la liberté
mais leur posant de plus en plus de problèmes, ils s’activent à la réduire. En
France, la devise nationale proclame l’égalité, mais la liberté des riches rend
le pays très inégalitaire. Toujours en France, ils exaltent la fraternité, mais
se déchirent et se combattent idéologiquement. Ce résultat n’est même pas
condamnable, tant il est simplement logique et inévitable. J’entends sur les
ondes télévisées, des gens qui recherchent sincèrement des solutions pour
résoudre les problèmes qui se présentent ; mais je n’entends que des,
« il faut … y’a qu’à … », qui raisonnent comme des cymbales musicales
sans jamais porter d’effet concret ; et ceci, pour la simple raison que
les problèmes qui apparaissent sont causés par une situation construite au fil
du temps qui devient à un certain niveau, irréparable.
Dieu
a laissé les hommes organiser leur vie à leur guise et ne tenant pas compte de
sa sagesse unique, ils ont construit des situations problématiques insolubles,
dont le pire exemple est précisément ce mélange ethnique qui constitue la cause
des plus graves dangers nationaux. Et à ce sujet, le modèle français est encore
en tête à cause de son passé colonial dans des pays de religion musulmane.
Toutes ces colonisations se sont achevées dans des guerres qui ont laissé chez
les colonisés des souvenirs amers inoubliables et pour certains,
impardonnables.
Il
faut relever le fait que dans ses déclarations publiques, Jésus-Christ ne
traitait que du seul sujet spirituel ; il ne remettait en cause que
l’injustice commise envers Dieu, rappelant que sur terre, l’injustice
toucherait perpétuellement les pauvres. Richesse et pauvreté sont les
conséquences de la vie sans Dieu qui n’est pas responsable de la méchanceté et
de l’égoïsme de ses créatures. Ayant fait la démonstration de ces valeurs injustes,
le monde pécheur qui n’a pas su profiter de « la paix » va maintenant être livré à « l’épée » pour sa destruction. En
fait, cette « épée » est
remplacée dans notre époque par « le couteau » que des enfants
utilisent pour tuer d’autres enfants ou des adultes. C’est le cas de ce jeune Français
de 14 ans qui a tué Mélanie, une surveillante scolaire âgée de 31 ans. Ce
comportement meurtrier des enfants révèle le niveau de malédiction atteint dans
nos sociétés occidentales coupées de Dieu mais livrées aux réseaux d’internet.
Ce fruit prouve que Dieu les livre aux démons diaboliques et qu’à tout moment,
le pire peut se produire. Ces fruits meurtriers confirment l’accomplissement de
ces paroles citées dans Apocalypse 9:13-14 : « Le sixième ange sonna de la trompette. Et j'entendis une voix venant
des quatre cornes de l'autel d'or qui est devant Dieu, et disant au sixième
ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand
fleuve Euphrate. »
Ces
quatre anges sont les démons célestes aussi invisibles pour les êtres humains
que Dieu peut l’être. Mais leur invisibilité n’occulte pas leur capacité de
nuire. Et chaque créature humaine sait qu’elle est composée d’un corps et d’un
esprit. Nous avons-nous aussi, les êtres humains, un corps visible et un esprit
invisible. La seule différence, entre nous, créatures terrestres et les anges
célestes, concerne la nature de notre corps. Et la foi religieuse commence avec
cette reconnaissance de l’existence d’anges célestes dotés d’un corps céleste invisible.
Or, pour entrer en contact avec les êtres humains, les esprits démoniaques ne
demandent aucune permission, aucune autorisation ; ils entrent dans
l’esprit humain partout où les anges de Dieu ne les empêchent pas de le faire.
Cette situation fait que l’humanité entière ou presque peut comprendre qu’elle
est possédée par des esprits invisibles qui mêlent leurs pensées et leurs idées
à nos pensées humaines. Notre résistance à cette influence commence avec notre
prise de conscience de cette situation, sans laquelle, nous sommes déjà
conquis, lié et soumis à ses esprits supérieurs invisibles. Et notre
vulnérabilité à leur actions nécessite absolument une relation privilégiée avec
Dieu qui seul peut délivrer ses créatures de leur désastreuse influence. Et ce
que Dieu peut faire de mieux pour ses élus, c’est d’ouvrir leur intelligence
sur la situation réelle à laquelle ils sont exposés. Et ceci pour confirmer ce
vieux dicton populaire : « un homme averti en vaut deux ». Dans
ses messages, l’apôtre Paul dit : « Résistez au diable et il fuira loin de vous ». Ces propos
prouvent que le diable peut entrer en action dans les esprits des élus
eux-mêmes ; et il leur appartient de savoir lui résister ; il en est
de même pour tous les démons qui n’ont aucun pouvoir sur les humains en dehors
du fait de leur faire ignorer leur interférence dans leurs pensées humaines.
Le
combat spirituel se gagne au niveau de notre esprit, car c’est en lui, que le
combat contre les influences démoniaques s’effectue. Les démons savent que
l’être humain est lui-même très faible au niveau de son corps physique. Et ce
fut précisément par l’attrait et la convoitise gourmande d’un fruit que le
diable prit la domination sur l’esprit d’Eve. Depuis ce jour du premier péché,
les démons savent que le corps humain est la porte d’entrée du péché qu’ils
veulent susciter dans l’âme humaine. Le témoignage vécu par Eve met tous les
élus de Dieu en garde contre ce danger. Et ce témoignage renforce la nécessité
de respecter la norme du « pur
et impur » prescrite par Dieu à leur intention dans la sainte
« loi de Moïse ». Il n’est
pas dans la Bible un seul sujet, sur lequel Dieu a exposé son avis, qui mérite
d’être ignoré. Les démons s’activent à convaincre leurs victimes humaines du
contraire, mais les élus le savent et ils ne se laissent pas convaincre par
cette invitation injuste.
Après
« la paix » mal utilisée,
les injustes sont livrés à « l’épée »
remplacée par des couteaux, des armes à feu, des balles, des obus, des missiles
et des bombes atomiques. Mais l’intérêt spirituel de ce mot « épée » ne doit pas être ignoré. Car
ce même, terme « épée »
symbolise « la parole de Dieu »,
selon Hébreux 4:12 : « Car la parole de Dieu est vivante et
efficace, plus tranchante qu'une épée quelconque
à deux tranchants, pénétrante jusqu'à partager âme et esprit, jointures et
moelles ; elle juge les sentiments et les pensées du cœur. » Ce n’est
pas sans raison que le châtiment des Juifs de l’ancienne alliance a été
accompli par les troupes des Romains. En effet, la description de l’épée
d’Hébreux 4:12, est celle du glaive
romain que la parole de Dieu utilise pour châtier son peuple juif coupable
d’infidélité et d’incrédulité. Et cette action donne sens aux paroles de Jésus
qui est « venu apporter la paix ou
l’épée » soit, la paix avec lui ou bien, le châtiment et la mort
donnés par l’instrument humain de sa vengeance, le fruit logique de sa parfaite
justice.
Notre
connaissance de Dieu exige de prendre en considération les deux aspects opposés
de sa nature divine. L’homme est capable du meilleur comme du pire ; et
Dieu l’a créé à son image ; il revendique ainsi son droit à l’action la
meilleure et la pire, les deux étant évaluées selon ses valeurs morales et la
conception de sa parfaite justice. Malheureusement pour l’humanité, le feu du
ciel ne tombe pas instantanément sur toute personne qui déforme la pensée et le
jugement de Dieu. Si l’homme plonge sa main dans le feu, la douleur
immédiatement ressentie le conduit à la retirer promptement, mais rien de tel
ne protège l’humanité du mensonge, si ce n’est le témoignage vécu par Adam et
Eve dont le péché fut immédiatement suivi par la déchéance et l’accès à la
mortalité et à toutes les autres malédictions révélées et imposées par Dieu au
couple coupable. On paie en effet très cher le temps qui s’écoule entre le
moment de la faute et celui de ses conséquences. L’incrédule et l’incroyant
ignorent l’existence des deux phases, mais éclairés par de nombreux témoignages
bibliques historiques, les élus sont conscients de ce principe. De même que le
corps physique est déformé finalement par une mauvaise attitude trop longtemps
renouvelée, l’esprit humain s’endurcit et se renforce quand son jugement n’est
pas remis en cause. C’est là, le rôle de la révélation biblique. Dieu la charge
de révéler les vraies valeurs divines que ses élus doivent adopter et honorer
après avoir remis en cause leur héritage reçu aveuglément par la transmission
humaine. « L’épée de Dieu »,
ou « épée de l’Esprit »,
est activée constamment par Dieu, pour tailler les bons arbres afin qu’ils
portent du bon fruit, ou pour entailler et abattre le tronc de l’arbre qui ne
porte pas du bon fruit. Concrètement, cette année, dans mon petit jardin, j’ai
dû abattre trois jeunes pêchers victimes d’une maladie qui s’intensifie chaque
année et deux autres plus gros, également atteints, occupent inutilement le
sol. Cette épreuve terrestre, Dieu la vit à son échelle céleste en constatant
l’ingratitude de toutes les créatures qui naissent et vivent sur sa terre. Comme je l’ai fait à regret, il
va devoir, lui aussi, abattre les arbres ingrats dont les fruits sont pourris,
sans espérance d’amélioration et de conversion salutaire.
De
jour en jour, la menace de la Guerre Mondiale se précise et sous peu de temps,
plus personne ne doutera de son existence. A peine envisageable au début des
troubles, aujourd’hui sa menace est brandie de plus en plus souvent, mais pour
ceux qui partagent avec moi le privilège de connaître le projet prophétisé par
Dieu, cette Guerre Mondiale est une certitude comme peut l’être un jugement
divin incontournable. Un acte de justice divine va s’accomplir. Mais en ce qui
les concerne, les incrédules et les incroyants athées ne vont voir en ce
conflit que les causes humaines apparentes soit, des rivalités au sujet de territoires,
en Ukraine comme en Israël. Et l’Iran islamique n’a jamais accepté de
reconnaître la légitimité de l’occupation de la Palestine par les Israéliens
actuels. En fait, ils n’ont pas tort, puisque leur installation a été imposée
par les USA sortis victorieusement de la Deuxième Guerre Mondiale. Mais pour
des gens qui se disent religieux et serviteur du Dieu unique, les Iraniens
devraient comprendre que ce retour des Juifs a été favorisé par la volonté de
cet Allah qu’ils déclarent « grand ». Mais ou bien Dieu est grand et
seule sa volonté est accomplie sur la terre, celle-ci concernant le retour des
Juifs, ou bien, Dieu n’est pas aussi grand qu’ils le disent. Or, les faits
témoignent par eux-mêmes, que Dieu n’a pas empêché les Juifs de revenir s’installer
sur une partie du sol de leur ancienne nation. Les Iraniens devraient donc
accepter de se soumettre à la volonté d’Allah le Dieu unique ; ceci
d’autant plus que le mot islam signifie soumission. Mais ce n’est là qu’un
paradoxe qu’on peut relever dans cette religion créée par Dieu pour la dispute
et la malédiction du monde rebelle séparé de lui et de sa suprême autorité.
Nous
le voyons, l’implication directe guerrière de l’Iran contre Israël, rappelle
comme un lien toutes les étapes de la malédiction divine venue sur le monde
occidental chrétien, mais infidèle. Longtemps, les Palestiniens ont subi
l’injustice de perdre leur sol national et leur combat était motivé pour cette
seule raison. Mais depuis que l’Iran est devenu une « république islamique »
en Février 1979, le choix religieux s’est ajouté à la cause nationaliste
palestinienne et son combat est devenu individuellement celui de tous les
Musulmans ou presque ; car en réalité, seuls les plus agressifs des
Musulmans s’engagent concrètement dans ce combat. Car le 26 Mars 1979, le
traité de paix signé entre l’Egypte et Israël, laissait espérer le règlement
des problèmes du Moyen-Orient. Mais l’islamisation de l’Iran a remis cet espoir
de paix en cause et l’a condamné comme l’actualité de 2025 le démontre. Jusqu’à
ce jour, la Jordanie exceptée, les autres pays arabes ont soutenu la cause
musulmane sans toutefois participer aux activités terroristes mais ils sont
indignés par l’injustice commise contre leurs frères palestiniens.
La
sainte Bible, elle-seule, prépare l’âme humaine à comprendre et accepter les
décisions de Dieu qui favorisent les uns au détriment des autres. Cette
acceptation repose sur la reconnaissance de sa souveraine volonté. Car pour un
observateur incrédule, l’extermination des Cananéens au profit de l’Israël de
Dieu peut paraître totalement injuste et inacceptable. Et que peut-il penser en
voyant ce même Israël être livré à ses ennemis et déporté à Babylone en
Chaldée ? Seule la vraie foi nourrie par le témoignage biblique peut
comprendre la signification de ces actions imposées par Dieu, à son peuple et à
ses ennemis. Or, l’islam se nourrit du Coran de Mahomet, son prophète, et non
de la sainte Bible écrite par Moïse sous la dictée de Dieu.
Ismaël,
le patriarche des peuples arabes actuels, a servi le vrai Dieu au titre de fils
aîné d’Abraham. Mais la concurrence avec Israël a conduit sa descendance vers
l’idolâtrie païenne. Et c’est seulement au début du VIIème siècle
que Mahomet a reçu l’inspiration des écrits de son Coran. La religion du Dieu
unique était alors représentée exclusivement par le Judaïsme et le Catholicisme
romain ; les deux étant frappés par la malédiction divine. C’est donc dans
ce temps de grandes ténèbres spirituelles confirmées par des ténèbres
provoquées par deux volcans entre 533 et 538, que l’islam a été imposé par
Mahomet par la force de l’épée, en fait, le sabre arabe ; détail qui le
rend incompatible avec la douceur et le martyre des élus du vrai christianisme.
Avec
raison, la sainte Bible invite les humains à « éprouver les esprits pour savoir s’ils sont de Dieu » dans 1
Jean 4:1-2 : « Bien-aimés,
n'ajoutez pas foi à tout esprit; mais éprouvez les esprits, pour savoir s'ils
sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde. »
Visiblement, Mahomet a ignoré cette prudence, mais pour connaître cet
avertissement, il eut fallu qu’il lût la sainte Bible que le catholicisme
enseignait partiellement en langue latine à quelques privilégiés instruits. Jean
dit ensuite au verset 2 : « Reconnaissez
à ceci l'Esprit de Dieu : tout esprit qui confesse Jésus Christ venu en chair
est de Dieu; » Attention !
Ce critère cité par Jean ne fut vrai que pour son époque, car après sa
disparition, le diable est entré en possession de l’église catholique romaine
qui « confessait Jésus venu en chair »
et n’a cependant jamais été le modèle du vrai disciple de Jésus-Christ, n’ayant,
depuis son origine, jamais été reconnue par Dieu.
La
sainte Bible est l’unique protection que Dieu offre à ses élus pour qu’ils
repoussent et rejettent les fausses revendications religieuses des faux christs
et autres faux prophètes. Et à ce sujet, le conseil de Jean reste valable :
« Bien-aimés, n'ajoutez pas foi à tout esprit ; mais éprouvez les
esprits, pour savoir s'ils sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont
venus dans le monde. » Et le critère de l’identification reste
aujourd’hui la conformation au modèle construit par l’enseignement biblique de
l’ancien et du nouveau témoignage ; et depuis 1844, et 1994, par
l’observance du sabbat et la
compréhension des prophéties de Daniel et Apocalypse. Mais au-dessus de
ces critères utiles aux hommes pour identifier ses vrais serviteurs, Dieu, qui
sonde les cœurs et les pensées de toutes ses créatures célestes et terrestres
identifie, sans se tromper, tous ceux qui lui appartiennent, en esprit et en
vérité.
Israël
donne à son action contre l’Iran le nom anglais « rising lion » ce
qui signifie le réveil ou le lever du lion. Son dirigeant actuel reprend le
symbole du « lion » que Dieu impute à la tribu de « Juda »
dans Genèse 49:9 : « Juda est un jeune lion. Tu reviens du carnage, mon fils ! Il ploie
les genoux, il se couche comme un lion, comme
une lionne : qui le fera lever ? » Ce message a été placé par Benjamin
Netanyahou dans une fente des rochers de l’ancienne muraille du temple contre
lesquels les Israélites viennent prier et pleurer et déposer les messages
qu’ils adressent au Dieu créateur. Par sa démarche, le chef d’Israël veut
associer le Dieu créateur à son action. Et malgré sa malédiction, qu’il ignore,
il est possible et probable que Dieu lui donne momentanément la victoire contre
l’Iran dont l’engagement religieux musulman est encore plus maudit et moins
légitime qu’Israël, son « premier-né »
incrédule et rebelle. Le message
biblique dont Israël se réclame dans cette action présente un Israël imbattable,
parce qu’il est soutenu par la force du vrai Dieu créateur, mais son destin
reste funeste puisqu’il sera, comme l’Europe occidentale, envahi et meurtri par
les combattants russes. Mais ce sera précisément sur les montagnes d’Israël que
les dernières forces russes seront finalement exterminées, selon Daniel
11:45 : « Il dressera les
tentes de son palais entre les mers, vers la glorieuse et sainte montagne Puis
il arrivera à la fin, sans que personne lui soit en aide. »
Nul
doute que ce verset de Genèse 49:10 donne au chef actuel d’Israël beaucoup
d’espoir : « Le sceptre ne s'éloignera point de Juda, ni
le bâton souverain d'entre ses pieds, jusqu'à ce que vienne le Schilo, et
que les peuples lui obéissent. »
Le
seul problème pour Israël, c’est que « le
Schilo » cité s’est présenté sous la personne nommée Jésus-Christ dont
le sacrifice expiatoire a été refusé et rejeté par sa nation. Et ce terme
hébreu signifie : Celui à qui appartient. On relève là, tout le paradoxe
de la démarche de l’actuel Israël guerrier actuel, mais ceci permet aussi de ne
pas douter du sort final que Dieu lui prophétise dans Daniel 11:45.
M39- Les questions qui tuent ou délivrent
En
dotant ses créatures de l’intelligence, le grand et unique Esprit créateur leur
a donné le moyen de comprendre le sens qu’il donne aux choses de la vie. Car la
vie présente l’aspect que Dieu a voulu lui donner pour le bien, comme pour le
mal ; le mal qui est utile pour permettre d’apprécier le bien. Car depuis
l’héritage du péché et de la mort qui le révèle et le punit, nous naissons tous
porteurs du mal et nous en payons tous et toutes les désagréables conséquences.
Dans
ce parcours de vie triste et décevante, un verset de la sainte Bible nous parle
et nous dit, exprimant toute la sagesse du Dieu créateur, dans Ecclésiaste
7:14 : « Au jour du bonheur,
sois heureux, et au jour du malheur, réfléchis : Dieu a fait l'un comme
l'autre, afin que l'homme ne découvre en rien ce qui sera après lui. »
Et cette ignorance concernant son destin peut logiquement l’inquiéter. Or,
c’est précisément ce sentiment d’inquiétude qui conduit l’homme à se
questionner. Ne trouvant pas de réponse en lui, il lui faut les chercher
ailleurs. C’est là, que le témoignage humain religieux propose ses réponses.
Mais, quelle religion faut-il choisir tant l’offre est grande ? Là, le
choix est favorisé pour certains et pas du tout pour d’autres. Mais, la
connaissance a beaucoup augmenté sur toute la terre et déjà, l’Occident et le
Moyen-Orient sont marqués par la religion du Dieu unique. Or, sur toute la
terre, Dieu a choisi et formé un peuple descendant d’Abraham, l’homme avec
lequel il a fait alliance, entre 2000 et 1900 avant notre ère. Abram, selon son
nom originel, était un habitant d’Ur en Chaldée. Et il est pour toutes les
religions monothéistes, le patriarche fondateur sur lequel elles font reposer
leur légitimité.
C’est
alors que le témoignage de la sainte Bible écrite par Moïse revêt toute son
importance. Car, il est et reste le seul moyen de trouver le chemin qui mène à
Dieu. Sa supériorité sur le Coran musulman est immense, car Dieu a dicté à Moïse ce qu’il devait écrire et
ce divin témoignage est marqué par le miracle. Les vrais écrits dictés par Dieu
ou inspirés plus tard par son Esprit, présentent des figures numériques
infalsifiables et inimitables que le mathématicien russe Yvan Panin a mis en
évidence. Je n’entrerai pas ici dans une démonstration, mais la chose existe et
prouve que la sainte Bible n’est pas un livre ordinaire. Dans la logique de la
vérité historique révélée dans la sainte Bible, l’alliance de Dieu s’est
transmise dans la lignée légitime née de Sarah, la femme d’Abraham, tenue
stérile jusqu’à l’âge de cent ans. Cette descendance passe par leur fils unique
nommé Isaac, puis par son fils Jacob que Dieu a renommé Israël. Et pour
confirmer cette alliance-là, Dieu la livre à l’Egypte d’où il est venu
l’arracher à l’esclavage imposé par un nouveau pharaon hostile envers les
émigrés hébreux étrangers. Depuis le début du VIIème siècle, l’islam se
revendique du Dieu d’Abram en tant que descendance de son fils né de la
servante de Saraï. Mais cette descendance n’a aucune légitimité, ni biblique,
ni historique, car cette naissance fut la conséquence d’un manque de
compréhension du projet de Dieu ; Abram et Saraï étant alors âgés de près
de cent ans. Leur rencontre avec le Dieu créateur, pour lequel rien n’est
impossible, n’avait pas encore produit la foi et la confiance totale dans ses
annonces. Mais l’islam va très loin dans sa revendication, puisqu’il impute à
Ismaël le fils illégitime, l’offrande en sacrifice demandée par Dieu ; ce
que la sainte Bible et la logique humaine réfutent, car ce fut, bien sûr, son
fils légitime Isaac, qu’Abram lia sur l’autel et sur lequel il leva son couteau
de pierre, prêt à l’égorger. Dieu l’arrêta et lui fournit un bélier qu’Abram
sacrifia. Cet acte de foi va conduire Dieu à renommer Abram, Abraham et Saraï
son épouse devient Sarah. Ce changement de nom constitue le plus fort
témoignage donné par Dieu à Abraham. Agissant ainsi, Dieu confirme son alliance
avec lui et sa descendance légitime ; ce que l’islam conteste depuis le
VIIème siècle, où il est apparu ; alors que l’offre du bélier
pour épargner la vie d’Isaac a été suivie par la délivrance des Hébreux de sa
descendance de l’esclavage égyptien. De plus, ces deux actions prophétisaient
le sacrifice expiatoire de Jésus-Christ qui devait expier les péchés de ses
seuls élus rachetés, sauvés de la « seconde
mort » comme Isaac fut sauvé de la première mort.
En
évoquant le peuple égyptien, je rappelle que ce peuple dont Dieu a fait l’image
type du péché selon le comportement rebelle du Pharaon de l’Exode, était
adorateur du « soleil » divinisé sous le nom « Ré, ou Ra ».
Ce culte rendu au soleil condamne encore aujourd’hui des multitudes de
Chrétiens qui l’honorent inconsciemment, par un héritage religieux séculaire.
Ce péché égyptien confirme encore aujourd’hui la condamnation par Dieu de sa
pratique, car le projet du salut organisé par Dieu est un modèle de parfaite
cohérence. Et à cause de cette cohérence, je propose à ces adorateurs du soleil
inconscients qu’ils se posent cette question : Dieu peut-il avoir consacré
15 siècles de vie humaine pour former l’homme type juif de son peuple, pour
abandonner ce modèle, parce que Jésus-Christ est mort crucifié avant de se
ressusciter ? Où sont la logique et la cohérence du Dieu qui agirait de la
sorte ?
Par
ces questions, je soulève un sujet d’une exceptionnelle gravité, car en
agissant ainsi, l’homme qui se réclame de Dieu et de son salut en Jésus-Christ,
impute à Dieu un comportement incohérent et illogique qui le déshonore au
plus haut point. Celui qui répond correctement à cette question est capable
de retrouver le chemin béni par Dieu. Celui qui ne répond pas correctement
se perd et anéantit son espérance de vie éternelle.
Dieu
est la source de toute perfection, il le revendique et il en est légitimement
fier. C’est pourquoi, déformer, sa nature, son caractère, son image, constitue
des outrages qu’il punit de mort, et de mort terrible.
A
l’origine du drame humain, Eve a commis cette faute, victime des fausses
insinuations présentées par le « serpent »
possédé par Satan, le diable. Je rappelle ses propos cités dans Genèse 3:4-5
: « Alors le serpent dit à la femme
: Vous ne mourrez point ; mais
Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront, et que vous
serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal. » Eve lui avait
cité les paroles de Dieu disant : « Mais quant au fruit de l'arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit :
Vous n'en mangerez point et vous n'y
toucherez point, de peur que vous ne mouriez. » Les propos
tenus par Eve restituent et révèlent le doute qui l’anime dans sa nature
personnelle. Et le terme hébreu utilisé exprime l’idée du doute. Mais, Dieu ne
laisse pas planer de doute quand il donne des ordres. Et dans Genèse
2:16-17, je lis : « L'Éternel Dieu donna cet ordre à l'homme :
Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; mais tu ne mangeras pas de
l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras. » La
forme de l’ordre donné par Dieu a donc été changée et interprétée par Eve, l’ordre
de Dieu ayant été plus précis et tranchant voulant dire avec affirmation :
« sinon vous mourrez. ». Le diable n’a eu qu’à exploiter le
doute naturel d’Eve, et il ne lui reste qu’à lui dire que Dieu lui a menti, lui,
Satan, « le père du mensonge »,
selon Jésus-Christ, pour la faire pécher contre Dieu.
Ce
comportement d’Eve prophétise celui de tous les gens animés du même esprit du
doute et notre société française actuelle en présente un modèle type comme le
prouve le sens donné à l’adverbe « certainement »
qui, affirmant une certitude, est interprété massivement comme une simple
possibilité du genre « peut-être ». Pour retrouver le chemin qui mène
vers Dieu, l’être humain doit partager son
sens de l’absolu, c’est pourquoi, dans Matthieu 5:37, Jésus a donné cet
ordre à ses disciples : « Que votre parole soit oui, oui, non,
non ; ce qu'on y ajoute vient du malin. » Les relations entre
les humains et celles de l’homme avec Dieu reposent sur des mots, des noms et
des verbes qui ont originellement un sens précis, qu’avec le temps, l’esprit
humain pervertit et peut même aller jusqu’à les inverser. La bonne précision
du sens est donc impérative pour
une bonne lecture de la sainte Bible. Et en ce qui concerne l’ancienne
alliance, la Torah juive, écrite en Hébreu carré depuis le séjour d’Israël en
déportation à Babylone en Chaldée, restitue le texte exact de l’hébreu
archaïque originel utilisé par Moïse. Le problème des inexactitudes vient des
versions traduites dans les différentes langues parlées sur la terre. Et ceci
dès la version des « septante » traduite en grec par des savants
hébreux réunis à Alexandrie environ deux siècles avant Jésus-Christ. Le Dieu de
vérité a répondu à ces problèmes d’erreurs en dirigeant ses élus vers le texte
hébreu original et vers les manuscrits écrits en grec reproduits d’après les
textes originaux. Ces comparaisons permettent de découvrir des rajouts, des
modifications ou des suppressions de mots injustifiés qui changent le sens du
message originel et ne délivrent que des interprétations humaines des textes
originaux.
L’exigence
de la précision n’a fait que croître avec le temps. Au temps de la Réforme
protestante, les disciples de Jésus-Christ n’avaient guère le choix, car ils
devaient apprécier les rares saintes Bibles imprimées à leur époque, en
laquelle exceptionnellement, les
exigences de Dieu ont été réduites, comme le confirment ces versets
d’Apocalypse 2:24-25 : « A
vous, à tous les autres de Thyatire,
qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de
Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau ; seulement, ce que vous avez, retenez-le jusqu'à ce que je vienne. »
A l’époque, le « fardeau » exigé par Dieu était
la reconnaissance de la sainte Bible dont la possession était punie de mort, ou
d’emprisonnement. Et dans leur lecture de cette sainte Bible, les vrais élus
trouvaient le salut par la foi enseigné par Jésus-Christ et ses apôtres. Ces
bases religieuses devaient donc être conservées jusqu’à son retour par ses
vrais élus rachetés ; mais à ces choses retenues, de nouveaux
« fardeaux » allaient être rajoutés et exigés par Dieu, dans
les époques suivantes symbolisées sous les noms « Sardes, Philadelphie et Laodicée »
dans Apocalypse 3. Le maintien de la bénédiction divine dépend de la prise
de connaissance et de la conformation à ces nouveaux « fardeaux »
exigés par Dieu ; les identifier devient donc vital et salutaire.
Quels
sont donc ces nouveaux « fardeaux » ou nouvelles
exigences divines ? Très logiquement, ils concernent des vérités et des
pratiques injustement, illégalement et illégitimement, abandonnées, pendant la
domination monarchique du catholicisme papal romain ; ce qui justifie sa
non reconnaissance par Dieu. Comme son nom l’indique, la Réforme protestante
ouvre la voie du temps où les élus de Dieu doivent « reformer »
l’Evangile éternel déformé par la religion catholique. Le libre accès à la
sainte Bible est donné par Dieu pour permettre à ses serviteurs fidèles de
reconstruire son « Evangile éternel ».
Ce mot grec signifie : « bonne nouvelle ». Mais pour que la
nouvelle reste bonne, Dieu a fixé ses conditions auxquelles les religions
protestantes officielles ne répondent pas ou ne répondent plus. Ce nom
« Evangile éternel » apparaît dans Apocalypse 14:6 où il
désigne l’œuvre de l’achèvement de la Réforme confiée par Jésus-Christ à ses
derniers élus rachetés par sa mort expiatoire et rassemblés en 1873 dans
l’œuvre « adventiste du septième
jour » : « Je vis un
autre ange qui volait par le milieu du ciel, ayant un Évangile éternel, pour l'annoncer aux habitants de la terre, à
toute nation, à toute tribu, à toute langue, et à tout peuple. »
Pour
reformer et réparer « l’Evangile
éternel », nous devons l’identifier à la forme que lui donnaient
Jésus-Christ et ses saints apôtres. Qui étaient-ils tous ? Des Juifs formés et enseignés dans la loi
de Moïse. C’est pourquoi, ils incarnaient, le type de l’élu digne du salut,
aboutissement du long processus historique de la formation donnée dans
l’ancienne alliance. Que représente, aujourd’hui la religion chrétienne ?
Qui sont ceux qui la revendiquent ? Pas des Juifs, mais des païens qui se
disent convertis. Sont-ils réellement convertis ? Leurs œuvres témoignent
que ce n’est pas le cas, puisqu’elles ne sont pas conformes aux œuvres des
apôtres qui tenaient compte, eux, de toute la loi de Moïse.
La
religion monothéiste se compose aujourd’hui et depuis 1844, de multitudes de gens qui se réclament
d’un salut que leur comportement, jugé par Dieu par leurs œuvres, ne mérite pas.
« L’Evangile éternel », le
vrai, prescrit les droits et les devoirs des élus, et les faux religieux
méprisent ou ignorent le respect des pratiques ordonnées par Dieu, dans la loi
de Moïse, qui les condamne et les rend indignes de la grâce proposée par Dieu
au nom de Jésus-Christ.
Dans son plan du salut, Dieu a prescrit,
dans la loi de Moïse, toutes les normes de ses valeurs qui construisent l’homme
parfait. Donc en théorie, l’homme qui met en pratique parfaitement tout ce que
Dieu a enseigné est un homme parfait. Mais même dans cet état de perfection, il
est digne de mort à cause du péché originel hérité. Cette situation place
l’homme dans l’impossibilité d’être sauvé, c’est pourquoi, l’intervention du
Christ céleste parfaitement et divinement pur, porteur du nom Micaël, devient
nécessaire pour payer dans la chair, la rançon du péché imputé à ses élus
rachetés, et à eux seuls :
Apocalypse 22:21 : « Que la
grâce du Seigneur Jésus Christ soit avec
tous les saints. » Car la grâce de Jésus-Christ ne profite pas à
tous ceux qui s’en réclament, mais uniquement, à ce que Dieu en juge dignes
et considère comme étant les vrais saints. Ce que confirme Apocalypse
3:4 : « Cependant tu as à
Sardes quelques hommes qui n'ont pas
souillé leurs vêtements ; ils marcheront avec moi en vêtements blancs, parce qu'ils en sont dignes. »
Et Dieu évoque cette « dignité »
pour l’imputer à ses élus « adventistes » sélectionnés entre 1843 et
1844, dans les deux attentes du retour de Jésus-Christ annoncées pour ces
dates.
En
conséquence de l’indignité des autres « croyants », juifs, chrétiens ou
musulmans, la religion prend l’image de multiples femmes qui veulent prendre un
homme pour époux et rivalisent entre elles sans se préoccuper de ce que l’homme
en question pense d’elles. Les religions monothéistes sont toutes tombées dans
le même comportement, revendiquant un salut, sans en être « dignes ».
C’est vrai, pour le Judaïsme, le Christianisme et l’Islam. Le Judaïsme rejette
le Messie Jésus, le Christianisme méprise la loi de Moïse, et l’islam méprise
les deux. Le chemin qui mène à Dieu, vers sa bénédiction, est trouvé
uniquement par les humains qui se posent des questions et exigent des réponses
qui plaisent à Dieu, en premier.
Car trouver des réponses qui satisfont ce que l’humain souhaite ne favorise pas
la relation avec Dieu, mais au contraire, le sépare de lui.
La
vraie religion exige de l’homme qu’il s’adapte aux normes divines et à ses
ordonnances, car Dieu ne s’adapte pas, lui, aux normes et valeurs humaines. La
fausse religion chrétienne commet l’erreur de prendre le paganisme pour modèle
de base, alors que ce modèle est originellement juif. Il n’est donc pas
étonnant, que ce faux christianisme se distingue du vrai par son observation du
repos hebdomadaire du premier jour instauré par l’empereur romain Constantin 1er
depuis le 7 Mars 321. C’est à cette date que Dieu a créé cette « marque »
qui désigne et caractérise la fausse foi chrétienne idolâtre héritière du
paganisme de la religion romaine. Rebaptisé ensuite « dimanche », ce
qui signifie, « jour du Seigneur », ce repos du premier jour, de
l’ordre divin de la semaine, identifie tout le christianisme rebelle :
catholique romain, orthodoxe, anglican et protestant, et depuis 1995, à cause
du mépris de la prophétie, l’adventisme institutionnel qui partage leur alliance
et leur malédiction.
Faute
de pouvoir contester la loi divine écrite en hébreu, pour justifier leur
désobéissance envers le Sabbat, les adorateurs du dimanche vont se donner bonne
conscience en donnant à cette pratique le prétexte de se démarquer des Juifs
condamnés pour leur refus du messie Jésus.
Dieu
a donné à ses créatures l’intelligence et le raisonnement pour leur permettre
de peser le pour et le contre en toute situation et leur donner ainsi le désir
de se tourner vers lui. Car même en restant invisible, Dieu est l’unique
réponse aux multiples questions que l’existence de la vie implique et suggère à
notre réflexion humaine. La vie est bien trop complexe et à la fois ordonnée
pour être le fruit d’une construction hasardeuse. Et il se trouve que le Dieu
créateur révélé dans la Bible, et historiquement, par l’homme nommé Moïse, est
justement attaché à l’ordre. Même
l’apparent chaos est organisé et ordonné. Car ce que nous jugeons chaotique ne
l’est pas pour Dieu qui donne à chaque chose un rôle complémentaire dans son
infinie création, terrestre, pour ce qui nous concerne actuellement ;
puisque la création céleste garde encore pour nous tout son mystère.
La
foi au Dieu créateur n’est pas un opium comme le prétendent les sans dieu
(étant sans Dieu). C’est au contraire la prise en compte d’un témoignage rendu
par des êtres humains qui nous ont devancés pour vivre sur notre même terre. Et
si pour Dieu, selon 2 Pierre 3:8, « mille
ans sont comme un jour et un jour comme mille ans », il est pour nous
raisonnable de partager avec lui, cette conception de l’existence. Car la vie
terrestre s’inscrit dans une succession de nuits et de jours, selon l’ordre
réel du temps, qui doit se prolonger pendant le temps de la perpétuité qui
n’est pas l’éternité. En lisant le témoignage écrit par Moïse environ 3500
années avant mon époque, je découvre et revis les expériences qu’il rapporte.
Je fais miennes ses expériences et construits ainsi ma foi au Dieu créateur
qu’il servait. 3500 ans avant moi ou hier, où est la différence ? Pour
moi, il n’y en a pas ; car le témoignage laissé par un homme reste valide
éternellement. Dans ses écoles laïques publiques, l’enseignement scolaire
apprend aux jeunes français l’histoire de leur pays, révélant des détails
accomplis pendant plus de 2000 ans. Gaulois à l’origine, et soumis aux Romains,
nous sommes devenus français par le règne du roi Clovis 1er. Si nous
devons croire à ce témoignage, pourquoi ne pas croire au témoignage rendu par
les premiers chrétiens qui ont été les apôtres choisis par Jésus-Christ
lui-même, environ 500 ans avant le roi Clovis ? Serait-ce à cause de la
nature miraculeuse des expériences témoignées ? Si c’est le cas, pourquoi
refuser la notion du miracle, alors que la procréation des espèces repose sur
de continuels miracles ? Ta vie, ma vie et toutes les vies sont les fruits
d’un authentique miracle réalisé par le grand Dieu créateur, l’Esprit du Dieu
vivant. Il a créé la vie en la plaçant sous des principes dit naturels, par
opposition aux miracles qui désignent et concernent des faits surnaturels qu’il
est seul à maîtriser. Cependant, dans un but stratégique, il autorise le diable
à faire usage de ses pouvoirs surnaturels, comme en témoigne l’expérience vécue
par le malheureux Job, martyre de la
foi avant l’heure, que Dieu tenait pour le « bienheureux » type,
avant que Jésus apparaisse. Tous les atomes de la création obéissent à l’ordre
que Dieu leur donne. Avant notre temps scientifique, Jésus-Christ a pris
l’exemple de nos « cheveux » au sujet desquels, il
déclare dans Luc 12:6-7, à ses seuls
vrais élus : « Ne vend-on
pas cinq passereaux pour deux sous ? Cependant, aucun d'eux n'est oublié devant
Dieu. Et même les cheveux de votre tête
sont tous comptés. Ne craignez donc point : vous valez plus que beaucoup de
passereaux. »
L’absence
de foi véritable est explicable par le droit donné à chacun de choisir le
chemin qu’il veut suivre. Mais ce que Dieu condamne et punit le plus
sévèrement, c’est la trahison de ceux qui le confessent par la bouche, mais le
déshonorent par leurs œuvres. C’est à leur intention, qu’il multiplie dans
Apocalypse 2 et 3, l’expression ; « je connais tes œuvres ».
Agissant ainsi, il dénonce la fausse foi ou présomption de foi que les faux
croyants ne relient pas à leurs œuvres. Ils montrent par là, le mépris qu’ils
témoignent envers la sainte Bible, dans laquelle l’apôtre Jacques, frère de
Jésus-Christ, déclare au verset 14 du chapitre 2 de son épître : « Mes frère, que sert-il à quelqu'un de dire
qu'il a la foi, s'il n'a pas les œuvres ? La foi peut-elle le sauver ? »
Il développe le sujet et expose dans les versets 17 à 26 son argumentation
parfaite à l’image de l’Esprit divin qui l’a inspiré. Et dans Romains 2:13,
l’Esprit exprime encore par l’apôtre Paul cette même pensée au sujet des
« œuvres » de la vraie foi : « Ce ne sont pas, en effet, ceux
qui écoutent la loi qui sont justes devant Dieu, mais ce sont ceux qui la mettent en pratique qui
seront justifiés. »
Enfin,
après 2000 ans de vie et d’expérience religieuse chrétienne, l’être humain est
inexcusable, quand il refuse de prendre le nom de Jésus-Christ comme étant
celui d’un authentique personnage historique. Ceci, d’autant plus, que ce
nom de Jésus-Christ marque le temps de toutes les vies des habitants de l’Europe
depuis l’adoption du calendrier établi dans le VIème siècle, par le
moine catholique Denys-le-petit, qui a voulu le fonder sur la date de la
naissance de Jésus-Christ. Ses erreurs sur la date exacte ne justifient en rien
ceux qui se montrent indifférents envers le personnage historique qu’il a été
et envers l’œuvre que son nom « Jésus » porte. Jésus signifie :
YaHWéh sauve. C’est pourquoi dans notre époque moderne finale, l’expression
« avant Jésus-Christ », qui désignait le temps qui a précédé sa naissance,
a été abandonnée dans la pratique générale de la société laïque française, pour
mieux effacer le souvenir de son nom et de son œuvre.
Les
êtres humains ne comprennent pas les voies et les jugements de Dieu parce que
de lui seul viennent le bien et le mal. C’est pourquoi, dans les fausses
religions on cherche à favoriser une séparation claire entre le Dieu du bien et
le dieu du mal soit Satan pour les religions chrétiennes et musulmanes. Les
Occidentaux reproduisent ainsi la séparation franche et nette du « Ying et
du Yang » de la pensée philosophique chinoise et orientale. Mais cette
imitation n’est pas conforme à la vérité de l’existence. Il n’y a qu’un
seul Dieu créateur inventeur de tout ce qui est : le bien et le mal, son opposé
absolu.
En
lisant la sainte Bible, nous découvrons Dieu, qui prend de multiples aspects qui
commencent par une puissance d’amour inouïe et finit par une justice
implacable, meurtrière sans miséricorde. Et c’est normal car je le précise, son
amour est pour ses bien-aimés rachetés élus et sa justice exécutoire, pour ses
ennemis haineux, méchants, ou ingrats par leur indifférence au sujet de ce qui
le concerne. Et le jugement de Dieu est difficile voire incompréhensible si
l’on se base uniquement sur ce que l’on constate. Dieu livre à la mort le
méchant rebelle, mais il a livré aussi à la mort sa propre vie en Jésus-Christ,
puis avant et après lui, ses prophètes, ses apôtres et ses disciples sont morts
en martyrs. Mais entre le martyre de la vraie foi et le châtiment des rebelles,
l’être humain a de la difficulté à faire la différence. Disons donc que le
fruit constaté ne permet pas de juger les victimes frappées. C’est là, que la
révélation biblique devient indispensable, car c’est seulement l’éducation
divine offerte par la sainte Bible qui permet de comprendre qui est châtié et
pourquoi il est châtié ; il en est de même pour les martyres de la vraie
foi : ou la victime est dans la vraie foi et sa mort est bien celle d’un
martyr ou témoin de Dieu, ou la victime
n’est pas dans la vérité exigée en son temps par Dieu, et dans ce cas, sa mort
a le statut du châtiment divin.
Les
œuvres sont donc trompeuses et seule la révélation divine prophétique permet de
comprendre le jugement perpétuel du Dieu vivant. L’étude des prophéties n’est pas un sujet secondaire, c’est un sujet
primordial vital, car sans sa lumière, l’humain est trompé par des jugements
spirituels dépassés non actualisés sur lesquels son esprit s’est arrêté.
Comme les programmes de nos ordinateurs, nos esprits esclaves de Jésus-Christ
doivent constamment être mis à jour. Car la vérité évolue constamment, et ce
qui importe pour nous, c’est d’identifier, « la vérité présente »,
celle que l’Esprit inspirateur révèle à ses élus, ses rachetés prophètes, une
« vérité présente » qui devient exigible, dès qu’il la révèle.
Le
titre de cet ouvrage m’a été vraiment divinement inspiré, par ce que dans mon
expérience adventiste du septième jour, Dieu m’a instruit, me faisant découvrir
de nouvelles vérités spirituelles, ce que fut exactement l’expérience des
Hébreux pendant leur séjour au désert de 40 ans. Ayant été baptisé en 1980, mes
40 années d’éducation religieuse se sont achevées en 2020 soit, l’année en
laquelle Jésus-Christ a commencé à châtier la fausse foi occidentale et la
rébellion du paganisme mondial par le moyen du virus mortel contagieux, le
Covid-19, ainsi nommé parce qu’il est apparu en Chine populaire communiste en
2019.
M40- L’aigle royal et la taupe
Les
explications présentées dans ce message vont parfaitement justifier la
comparaison de « l’aigle royal » aux Etats-Unis d’Amérique du nord,
et la taupe, à la République Islamique d’Iran.
Ces
comparaisons sont autant justifiées sur le plan civil que sur le plan
religieux. Je rappelle en premier que le symbole de l’aigle est pour les civils
l’emblème type de l’impérialisme ; ce que personne, sur la terre ou dans
le ciel, ne refuserait d’attribuer à la puissance des USA, en marche vers le
pouvoir hégémonique terrestre, depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale. La
victoire militaire a favorisé son influence mondiale qui lui donne le pouvoir
de régler et diriger les grands échanges commerciaux terrestres. De plus, son
régime capitaliste libéral absolu lui a permis d’exploiter les talents trouvés
sur la terre entière. Et il suffit pour s’en convaincre de nous rappeler que
dès 1945, après la victoire des Alliés sur l’Allemagne nazie, l’Amérique a
accueilli à bras ouverts tous les « cerveaux » scientifiques allemands
dont le célèbre Von Braun auquel elle doit ses succès et ses voyages spatiaux
jusqu’à la Lune. Ainsi, la paix instaurée, les USA sont devenus comme
l’ancienne Rome impériale, le nouveau paradis de l’espérance de
l’enrichissement personnel. Ainsi est née l’expression du « rêve
américain » qui s’est cependant pour des multitudes achevé en forme de
« cauchemar » tant le régime est dur envers les pauvres désargentés.
Sa monnaie nationale, le Dollar, adopté en étalon mondial, témoigne de son
culte rendu à « Mammon » la divinité païenne de l’argent. Sur le plan
civil, tout est dit ou presque.
Sur
le plan religieux, dans la sainte Bible, et dans Apocalypse 12:14, Dieu,
lui-même, se donne l’image d’un « grand
aigle » : « Et les
deux ailes du grand aigle furent données à la femme, afin qu'elle s'envolât au
désert, vers son lieu, où elle est nourrie un temps, des temps, et la moitié
d'un temps, loin de la face du serpent. » Dieu reprend ici ce symbole
de « l’aigle » qu’il
s’attribue dans Exode 19:4 : « Vous
avez vu ce que j'ai fait à l'Égypte, et comment je vous ai portés sur des ailes
d'aigle et amenés vers moi. » Dieu prend donc pour symbole de sa
puissance suprême illimitée, « l’aigle » qui place son nid au
sommet des hautes montagnes et qui vole aux altitudes les plus élevées, bien
au-dessus des autres espèces d’oiseaux. Il n’est donc pas étonnant que ce
symbole, déjà utilisé par l’Empire Romain, soit revendiqué par de nombreuses
nations terrestres ambitieuses très déterminées. Et depuis 1945, le pays qui
mérite le plus ce symbole d’aigle c’est bien celui des USA. Car, sur le plan
religieux, construit sur des bases chrétiennes protestantes, après l’Europe, ce
pays est devenu le nouveau « lieu du
désert », où Dieu a « nourri
la femme », son Eglise en Christ, formée par ses seuls élus. C’est en
effet dans ces USA que Dieu a organisé ses deux premières épreuves de foi
adventistes au printemps 1843 et en automne, le 22 Octobre 1844. Et je le
rappelle, ce sont ces adventistes sélectionnés par Dieu qui ont eu le privilège
de restaurer « l’Evangile éternel »
enseigné par les apôtres de Jésus-Christ. Selon le témoignage donné par Ellen
White, 50 personnes seulement, sur environ 30 000 participants, ont reçu
cet « Evangile éternel » et
ont été bénies par le Dieu créateur. 50 petits « aiglons » sont à
l’origine de l’œuvre des adventistes répandue dans tous les pays de la terre,
partout où la chose était possible. Mais le « désert » est un lieu d’épreuve dans laquelle l’institution adventiste
elle-même est tombée, prophétiquement depuis l’année 1994 qui a marqué la fin
des « cinq mois »
prophétiques, soit 150 années réelles, prophétisés dans Apocalypse 9:5 et
10 : « Il leur fut donné, non
de les tuer, mais de les tourmenter pendant cinq mois ; et le tourment qu'elles causaient était comme le
tourment que cause le scorpion, quand il pique un homme …/…Elles avaient des queues semblables à des
scorpions et des aiguillons, et c'est dans leurs queues qu'était le pouvoir de
faire du mal aux hommes pendant cinq
mois. » L’institution adventiste a mondialement célébré en 1994,
le 150ème anniversaire de son mouvement ; hélas pour elle, en
refusant tout lien avec les « cinq
mois » cités dans Apocalypse 9:5 et 10. La raison de ce refus est
apparue plus tard, lorsque mon frère Joël dit Jean a découvert dans un livre
que l’institution adventiste avait décidé le 22 Octobre 1991 d’entrer officiellement
dans l’alliance protestante. La chose fut mise en action et révélée aux membres,
en 1995.
« L’aigle »
américain est donc parfaitement justifié sur le plan religieux, comme sur le
plan civil. Seulement, dans le temps, la situation des USA a changé. Comme je
viens de le rappeler, sur le plan religieux, l’adventisme est un échec confirmé
par son adhésion à l’alliance protestante depuis 1995. Car subtilement, mon
décryptage d’Apocalypse 9, qui révélait la malédiction du protestantisme global
depuis 1843-1844, concernait également l’institution adventiste
elle-même ; ce que j’ignorai totalement entre 1980 et 1991, date de ma
radiation par les instances dirigeantes de l’organisation adventiste. Mon
annonce du retour de Jésus-Christ pour l’année 1994 cachait un message qui
anticipait le jugement divin qui va s’accomplir au temps du vrai retour de
Jésus-Christ, désormais attendu par ses vrais élus depuis 2018, pour le jour du
printemps 2030.
Le
changement imposé par le temps révèle qu’en fait « d’aigle royal »,
précisément l’aigle américain, nommé « pygargue » ou « pyrargue
», est plutôt digne du symbole du « vautour » mangeur de
cadavres et de charognes. Car sa puissance économique est construite par
l’imposition de « boycott » à tous ses adversaires, les autres ayant
été combattus impitoyablement au prix de multitudes de gens morts sans avoir
cependant obtenu la victoire. Constatant ses échecs successifs, le pouvoir
américain est aujourd’hui représenté par un apôtre de la paix élu sans qu’il le
sache pour favoriser la guerre contre l’Europe ; la cible principale de la
colère divine avec laquelle son pays, les USA, partage l’héritage de la
malédiction divine.
La
puissance militaire de l’aviation américaine, supérieure à tout autre pays,
justifie encore son symbole d’aigle. Les cosmonautes américains ont marché sur
la Lune avant tout autre pays. Leurs avions furtifs sont sans concurrence, en
version de chasse ou de bombardiers. Leur stratégie guerrière est celle du
bombardement depuis une très haute altitude ; ce qui réduit au maximum le
risque pour les avions et leur équipage. Tel est l’aigle américain impliqué
dans les grands problèmes nationaux actuels. Dans son désir obsessionnel de
paix, Mr Donald Trump affaiblit le camp européen qui soutient la cause et la
guerre de l’Ukraine contre la Russie. Mais au Moyen-Orient, la situation
l’implique aujourd’hui par des actions de bombardements extrêmement
destructeurs versés sur des cibles nucléaires stratégiques de l’Iran que je
symbolise par « la taupe ».
L’Iran
est lui aussi un pays que la « taupe » représente en toute justice et
constatation. Ce pays est à l’origine du combat islamique dirigé contre tout
l’Occident chrétien impérialiste. C’est lui qui est à l’origine de la stratégie
de l’enterrement, de la creusée de tunnels réalisés sous Gaza par le groupe
islamique du Hamas. Et c’est encore lui, qui a construit ses usines d’enrichissement
d’uranium à des profondeurs inatteignables par des bombes aériennes. Les bombes
américaines, aussi performantes soient-elles, ne peuvent pas traverser la masse
terrestre rocheuse montagneuse de dit-on, 1600 mètres pour la centrale la plus basse
et plus profonde. « L’aigle » a la maîtrise du ciel, mais la
« taupe » a celle de la profondeur terrestre. Les stratégies sont
opposées dans l’absolu. Et il est vrai que dans ses tunnels souterrains, dans
la vie animale, la taupe n’a rien à redouter d’un aigle. Il est visible que
Dieu a organisé ces deux pays pour que leur affrontement ne donne la victoire à
aucun des deux. Et une guerre engagée entre les USA et l’Iran ressemblerait
comme à deux gouttes d’eau à l’expérience vécue par Israël et le Hamas
palestinien. L’aigle des USA peut détruire les infrastructures de surface du
pays de la « taupe » et ajouter des ruines aux ruines, mais le danger
souterrain sera prolongé. Rien ne peut faire disparaître la haine éprouvée par
l’Iran contre le « grand Satan » américain. Et on peut déjà le
comprendre, seul l’anéantissement de sa population par le feu nucléaire y
mettra fin.
Sur
le plan spirituel, donc religieux, la « taupe » iranienne est aussi
« aveugle » que la vraie
taupe animale. Jésus-Christ a nommé « aveugles »
les Pharisiens et les Sadducéens hébreux qui voyaient ses œuvres et refusaient
de l’identifier au messie promis et annoncé par leurs saintes Ecritures. Les
Musulmans agissant de même envers lui, leur « aveuglement » les rend
dignes du symbole imagé de « la taupe ». Le plus subtil dans la
situation qui les oppose, c’est que l’aigle et la taupe se réclament tout deux
de la bénédiction du Dieu créateur ; et ceci, en vain pour les deux. Mais
ceci ne doit plus t’étonner, car hormis le tout petit « reste » des élus adventistes de
cœur et d’esprit, toute l’humanité est placée sous la colère vengeresse du Dieu
vivant, le Dieu de vérité qui a tracé en Jésus-Christ, et dans ses révélations
prophétiques, l’unique chemin qui
conduit à lui et à la vie éternelle.
J’ai
déjà évoqué l’idée que la Troisième Guerre Mondiale vient reprendre le conflit
au niveau où celui de la « seconde » a pris fin. Je vais donc
apporter des explications qui vont confirmer cette analyse.
En
1945, les USA faisaient face à une résistance japonaise fanatique. Car les
Japonais faisaient appels à des « Kamikazes » qui jetaient leurs
avions chargés de bombes et d’essence sur les navires américains. La méthode
était si efficace, que leurs navires sombrant les uns après les autres, les Américains
allaient perdre leur guerre contre le Japon. Aussi, est-ce dans une situation
désespérée que le président américain de l’époque, Harry Truman, fit accélérer
la préparation de l’arme nucléaire qui a scellé le sort des Japonais,
finalement vaincu après les bombardements atomiques d’Hiroshima et de Nagasaki.
Il
se trouve que dans la guerre engagée par la Russie contre l’Ukraine, mais en
réalité due à l’hostilité ukrainienne envers la Russie, l’usage des drones
télécommandés a reproduit les effets des Kamikazes japonais, mais cette fois,
sans perte humaine pour l’attaquant. L’Ukraine ayant fait grand usage en
première de ces drones, la Russie s’est retrouvée, dans les années 2022 et 2023
dans la situation du puissant aigle américain de 1945. Et ses navires qui
régnaient dans la mer Noire ont été coulés, détruits par de nouveaux kamikazes
électroniques volants ou flottants.
A
son tour, équipée en drones par l’Iran, la Russie a réussi progressivement à
résister à l’Ukraine, puis à reprendre le dessus sur elle, très difficilement
et très lentement. La victoire est rendue difficile pour les deux camps à cause
de l’usage des drones par les deux ; ce qui réduit à néant l’efficacité
des chars d’assaut des deux premières guerres mondiales. Les aviateurs, anciens
maîtres du ciel dans les combats aériens, se trouvent menacés aujourd’hui par
des machines volantes pensantes très réactives. Ils combattent aujourd’hui
contre des moustiques destructeurs terrifiants par leur efficacité. Il faut
l’avouer humblement, personne de vivant sur la terre n’avait prévu les effets
de ces nouvelles armes guerrières. En première, l’Amérique avait utilisé des
drones pour exécuter une cible humaine stratégique hostile envers elle et ses
intérêts. Mais le 24 Février 2022, le président Joe Biden ne proposa au
président ukrainien Zelensky élu depuis 2019, que de l’évacuer du pays et non
de résister à la Russie. Cette dernière a donc payé le prix de la démonstration
de l’efficacité des drones qui renverse toute la stratégie de la guerre
moderne. Et bientôt, lorsque le grand conflit mondial opposera des navires et
des avions, on assistera à une hécatombe de ces grands moyens détruits par des
drones volants ou flottants.
Or,
ce commencement par des drones images des kamikazes japonais implique la même
nécessité de vaincre par l’usage de l’arme nucléaire, comme en 1945, contre le
Japon. La victoire finale sera donc obtenue par le pays qui a déjà vaincu par
l’utilisation des bombes atomiques en 1945. Sous l’inspiration divine et
démoniaque, les retenues manifestées actuellement au sujet de cet usage
nucléaire disparaîtront. La guerre est
un engrenage qui tourne comme une vis sans fin : la mort appelle la
vengeance et crée la haine qui donne la mort. Les esprits humanistes
d’aujourd’hui évolueront et l’humanité n’aura plus que la haine en partage.
C’est seulement dans un tel accomplissement que nous allons découvrir pourquoi
Dieu a organisé et suscité des religions monothéistes différentes. C’est le
fait d’avoir des mobiles religieux qui caractérise cette troisième guerre
Mondiale ; ce qui lui donne un caractère particulier qui la distingue des
deux grandes guerres mondiales précédentes. Et c’est la raison pour laquelle,
cette guerre religieuse trouve sa place dans des prophéties écrites dans la
sainte Bible. Pour Dieu, le temps est venu de redemander aux humains qui le
frustrent de sa légitime gloire qu’ils rendent comptes pour leurs outrages, « impudents et arrogants ».
Son
programme s’inscrit sur la date finale des épreuves terrestres qui est celle du
jour du printemps 2030. La seconde partie de l’année 2029 étant réservée aux
châtiments divins des « sept derniers fléaux de sa colère
», les derniers affrontements nucléaires vont s’effectuer entre la fin 2028 et
le début 2029.
Dans
un premier temps la guerre va rester strictement conventionnelle, et les
grandes puissances vont voir leurs stocks d’armes et de munitions se réduire
progressivement. Et lorsque les tanks, les avions, les missiles, auront disparu
ou presque, la haine vengeresse s’exprimera par des affrontements humains
directs comme au début des premières guerres où les armes étaient la massue, la
hache de pierre ou de fer, la lance ou les couteaux, sans oublier l’arme de
jet, l’arc et ses flèches acérées.
Comme
le confirme l’obsession de paix du président Donald Trump, les USA ne prendront
part à la guerre qui va frapper l’Europe que très tardivement ;
stratégiquement, ils frapperont de l’arme nucléaire la terre russe pendant que
ses armées seront dispersées pour occuper les pays de l’U.E. A l’époque de
Daniel, l’existence du continent américain était ignorée, et dans la prophétie
de Daniel 11 :40 à 45, le verset 44 suggère son intervention contre la
terre russe : « Des nouvelles
de l'orient et du septentrion viendront l'effrayer, et il partira avec une
grande fureur pour détruire et exterminer des multitudes. » Je note
que le comportement du chef russe change subitement en apprenant des nouvelles
concernant son pays, précisément situé à « l’Orient » de l’Europe soit, à l’Est, et au « septentrion » d’Israël, la deuxième
cible de la colère divine désigné au verset 41 par l’expression : « le
plus beau des pays » qui désigne également Israël dans Ezéchiel
20:15 : « Dans le désert, je
levai ma main vers eux, pour ne pas les conduire dans le pays que je leur avais
destiné, pays où coulent le lait et le miel, le plus beau de tous les pays, … » C’est cette expérience
vécue au « désert » de
l’Arabie par Israël pendant 40 ans qui donne à ce mot « désert » son sens punitif repris
dans Apocalypse 12:14. En fait, en 313, l’abandon de « l’Evangile éternel » pur et parfait,
tel que les apôtres de Jésus-Christ l’enseignaient, conduit Dieu à punir ce
nouveau christianisme paganisé. Pour ce faire, à partir de 538, il le livre au
régime papal catholique romain qui persécute tous ses opposants jusqu’en 1798,
date de la fin de son règne de 1260 années réelles, diversement exprimées en
jours, en mois, et en années, prophétiques : « 1260 jours » ; « 42
mois » ; « un temps,
des temps et la moitié d’un temps ». Pour Dieu, l’utilisation de ces
formes différentes a le but d’égarer les lecteurs non bénis de ses prophéties.
De plus, ces formes différentes apparaissent dans des chapitres différents, et
il est ainsi difficile d’établir un lien entre elles. Tout est fait pour égarer
l’impie, et seul l’Esprit inspire à ses élus la bonne interprétation ; car
c’est uniquement à eux qu’il adresse ses divines Révélations, comme il
l’indique dès le premier verset du livre Apocalypse : « Révélation de Jésus Christ, que Dieu lui a
donnée pour montrer à ses esclaves
les choses qui doivent arriver bientôt, et qu'il a fait connaître, par l'envoi
de son ange, à son esclave Jean,… »
Je précise que je remplace ici le mot « serviteur » par le mot « esclave » du texte grec de référence. Ce terme « serviteur » ne rend pas et ne
confirme pas le statut de l’élu qui prend Jésus-Christ pour son Maître et son
Seigneur. Car ce divin Maître a sur ses « esclaves », le droit de mort et de vie, comme l’ancien régime
esclavagiste le concevait. Aujourd’hui, un « serviteur » est autorisé à contester les ordres de son
maître ; ce que Jésus n’autorise absolument pas à ses élus rachetés.
Traduire « esclave » par « serviteur » a pour conséquence
d’affaiblir le devoir d’obéissance exigé par Dieu de la part de ceux qui se
réclament de son salut. C’est pourquoi, la pensée divine et son jugement sont
devenus de plus en plus inaccessibles pour les êtres humains de notre époque.
Car ils transportent dans leur application religieuse les principes qui
prévalent dans l’humanité laïque ou païenne dans laquelle ils sont nés et ont
grandi.
La
première chose que le candidat attiré par la vie éternelle doit faire, c’est
comprendre que Dieu ne reconnaît aucune évolution, aucun changement dans sa
manière de juger, contrairement à ce que témoigne le comportement des gens
faussement religieux. Il le dit et le proclame dans Malachie 3:6 : « Car je suis YaHWéH, je ne change pas ; et vous, enfants de Jacob, vous n'avez pas été consumés. »
Je l’ai déjà dit mais le rappelle, l’affirmation « vous n’avez pas été consumés »
était valable uniquement au temps de Malachie et jusqu’au ministère terrestre
de Jésus-Christ, car dans Daniel 8:23, Dieu a ensuite prophétisé la « consumation »
de l’Israël incrédule livré aux flammes allumées par les soldats romains en
l’an 70 : « A la fin de leur
domination, lorsque les pécheurs seront
consumés, il s'élèvera un roi impudent et artificieux. » Ainsi,
conformément à cette annonce prophétique, après la destruction de l’Etat
d’Israël en 70, en 538, le roi papal « impudent et artificieux »
est apparu et son régime catholique est entré dans son règne séculaire
prophétisé par l’Esprit du vrai Dieu créateur.
Jusqu’à
la fin du monde, les stratégies de l’aigle et de la taupe vont se prolonger
selon que chacun choisit le moyen de se soustraire aux attaques de l’ennemi qui
l’agresse. Les élus de Dieu en Jésus-Christ adoptent eux-aussi sagement le
comportement de la taupe, préférant l’obscurité à la lumière humaine parce
qu’ils bénéficient de la vraie lumière divine qui illumine leur esprit et les
comble. L’humanité ne reconnaît que ceux qui lui donnent raison et déteste,
logiquement, ceux qui contestent ses valeurs humaines terrestres. Je rappelle
que dès le commencement de l’Evangélisation, lorsque Jésus a envoyé deux par
deux ses apôtres témoigner pour lui de la bonne nouvelle auprès de la
population juive, il leur a donné un modèle de pacifisme absolu qu’ils devaient
reproduire : la vérité ne s’impose pas, elle se propose ; et tout
être humain a le droit de la rejeter ou de s’en saisir. Mais il doit la prendre
sous sa forme complète et entière sans lui apporter le moindre
changement : la vérité est selon l’expression de notre époque : à
prendre ou à laisser ; avec toutes les conséquences portées par ces deux
choix contraires dans l’absolu ; aussi en toute justice, la réponse qui
sera donnée par Dieu à ces deux choix sera elle aussi en opposé absolu ;
la vie éternelle pour l’élu, et la mort définitive absolue pour le déchu non
bénéficiaire de la grâce offerte exclusivement par Dieu en Jésus-Christ.
Le
problème des gens du type « taupe » est leur aveuglement. Note que la
vraie taupe ne souffre pas de ce handicap pas plus que les élus quand ils
adoptent la stratégie de la taupe pour des raisons de sécurité. Mais pour un
être humain que Jésus déclare « aveugle »
alors qu’il voit, cet aveuglement est présenté comme un diagnostic mortel qui
conduit l’accusé à la « seconde mort ».
Beaucoup de gens, en réalité les multitudes des adorateurs du monothéisme,
ignorent tout du projet final concernant le juste jugement de Dieu de toutes
ses créatures. Les plus superficiels se considèrent en règle avec Dieu et ne
redoutent pas de lui le moindre jugement que la croyance en l’âme immortelle
rend caduque et impossible de comprendre. Or, c’est précisément pour leur faire
découvrir que leur âme est mortelle, que Dieu a prévu son jugement dernier,
auquel vont participer, ressuscités pour le découvrir, toutes les créatures
formées par lui au cours des 6000 ans de l’histoire du péché terrestre. Toutes
sont appelées à découvrir l’existence du vrai Dieu créateur, la récompense de
ses élus et son jugement des coupables. Et dans ce moment terrible, Dieu fera
démonstration de sa parfaite justice, en imposant à tous le sort de la « seconde mort », faisant néanmoins
une juste différence entre l’incroyant pacifique et le faux croyant juif ou
chrétien engagé persécuteur.
Le
Dieu de justice établit une échelle progressive de la culpabilité, envers lui
et envers ses saints élus. Dans « le feu de la seconde mort », le
temps et l’ampleur de la souffrance imposée seront proportionnels à la
culpabilité individuelle des damnés condamnés. Et pour des gens qui ont ignoré
l’offre de la grâce, pour des raisons excusables, Dieu les détruira en un
instant sans souffrance. C’est Jésus qui révèle ces choses dans Apocalypse
19 :20 et 21 : « Et la bête fut prise, et avec elle le faux
prophète, qui avait fait devant elle les prodiges par lesquels il avait
séduit ceux qui avaient pris la marque de la bête et adoré son image. Ils furent tous les deux jetés vivants dans
l'étang ardent de feu et de soufre. Et les autres furent tués par l'épée
qui sortait de la bouche de celui qui était assis sur le cheval ; et tous
les oiseaux se rassasièrent de leur chair. » Dans ce verset, Dieu
désigne les deux cibles principales de sa colère en Jésus-Christ : les
religions, catholique et protestantes.
J’apporte
ici une précision. Dieu est le Maître du temps et dans la présentation de sa
révélation, il anticipe la mise en œuvre du jugement dernier qui s’accomplira réellement
seulement à la fin du septième millénaire. Il annonce ainsi le sort final des
hommes au moment de leur dernier combat terrestre conduit contre les derniers
élus adventistes de Jésus-Christ. Car frappés par la mort à son retour en
gloire, au début du septième millénaire, ces morts déchus ne seront
ressuscités que pour le jugement
dernier, à la fin de ce septième millénaire. Pour ces gens déchus, le septième
millénaire aura été totalement ignoré puisqu’ils seront morts sans survie de
leur âme. Ils apprendront alors que la mort est un anéantissement complet de
tout ce qui représente la vie, comme l’enseigne Salomon, l’image de la sagesse,
dans Ecclésiaste 9, et ils apprécieront aussi que les peines de l’enfer ne
soient pas éternelles comme la fausse religion catholique puis protestante l’a
enseigné.
Sur
la terre, l’humanité pervertie a conçu le concept de la neutralité et beaucoup de
gens pensent pouvoir bénéficier de ce statut envers Dieu « s’il
existe ». On les entend dire, « je ne lui ai fait ni bien ni mal, il
saura bien le reconnaître ». Le problème pour ces gens est que pour sa
part, pour leur offrir la possibilité du salut et la vie éternelle, en
Jésus-Christ, Dieu s’est imposé de terribles souffrances pour révéler à toute
l’humanité la puissance de son amour pour ses créatures qui s’en montrent
dignes. Car son offre de grâce doit, elle-aussi, être méritée pour être
obtenue. Dieu s’est imposé 6000 ans de contestations humaines terrestres
uniquement pour se donner la possibilité de sélectionner un certain nombre
d’élus quantitativement très réduit en proportion de toutes les créatures
humaines créées au cours des 6000 ans. A ce sujet les paroles de Jésus
s’appliquent. Il déclare dans Matthieu 22:14 : « Car il y a beaucoup d’appelés mais peu d’élus. » Dieu insiste
sur la notion de « reste » au sujet de son Israël
et au sujet des élus chrétiens adventistes des derniers jours dans Apocalypse
12:17 : « Et le dragon fut
irrité contre la femme, et il s'en alla faire la guerre au reste de sa postérité, à ceux qui gardent les commandements de
Dieu et qui ont le témoignage de
Jésus. »
Dans
notre actualité, obsédé par la paix, « l’aigle »
vient paradoxalement d’ordonner des bombardements sur l’Iran parce qu’il
redoute par-dessus tout que l’Iran détienne l’arme nucléaire. Et sa crainte est
justifiée parce que son fanatisme islamique est du type du japonais kamikaze.
Et nombreux sont les « djihadistes » morts en martyrs pour l’islam
intégriste. Il ne fait aucun doute que mourir pour mourir, ils apprécieraient
de le faire en obtenant un nombre considérable de victimes du camp occidental
ennemi. Mais en dehors de ce sujet, aucun argument ne fera dévier Donald Trump
de son désir de soustraire son pays aux affrontements guerriers, au sujet de
l’Ukraine ou pour toute autre cause.
M41- Car le salut vient des Juifs
Beaucoup
de gens lisent les saintes Ecritures de l’exclusive sainte Bible, mais peu nombreux
sont, parmi eux, ceux qui profitent réellement de cette lecture ; ceci,
tout simplement, parce qu’ils ne vont pas au bout de ce que leur lecture leur
impose. Pour être bénéfique, la lecture de la sainte Bible, parole écrite du
Dieu vivant, doit être marquée par une analyse que seule l’intelligence
spirituelle permet de faire. Or, ce supplément d’intelligence spécifique est
uniquement donné par Dieu à ses élus déjà identifiés par les choix faits par
leur intelligence basique humaine ; ceci, conformément au principe cité
par Jésus-Christ, dans Matthieu 13:12 : « Car on donnera à celui qui a, et il sera dans l'abondance, mais
à celui qui n'a pas on ôtera même ce qu'il a. ». Nous trouvons dans
Apocalypse 17:9, cette indication donnée par l’Esprit divin de
Jésus-Christ : « C'est ici l'intelligence qui a de la sagesse : les sept têtes sont sept montagnes,
sur lesquelles la femme est assise. » Selon ce verset, c’est « la
sagesse » donnée par Dieu qui fait de l’intelligence humaine une « intelligence »
spécifique spirituelle. Et seule cette
intelligence de la nature divine permet aux élus d’entrer dans la
compréhension de la pensée divine. Cette « intelligence »
fonctionne comme un sas placé entre l’humain et le divin. Et c’est au nom de
cette « intelligence » qui ouvre l’accès au mystère divin, comme
une clé ouvre une serrure, que je viens aujourd’hui présenter ce sujet qui me
paraît être la clé qui fait toute la différence entre l’élu juif ou chrétien et
le déchu également juif ou chrétien et que cette expression sortie de la bouche
de Jésus-Christ exprime dans Jean 4:22 : « Vous adorez ce que vous ne
connaissez pas ; nous, nous adorons ce que nous connaissons, car le salut
vient des Juifs. »
Jésus
a tenu ces propos en s’adressant à la femme Samaritaine, et ce peuple
samaritain était une image prophétique des gens d’origine païenne désirant
servir le Dieu des Juifs. Les Samaritains étaient donc l’image prophétique des
élus chrétiens arrachés par Dieu au paganisme transmis par les traditions religieuses
héritées par les différents peuples de la terre.
Ce
verset de Jean 4:22 est plein de richesse au-delà de ce que le lecteur commun
peut lui attribuer. Et la preuve que ce verset est incompris apparaît dans le
mépris témoigné par les multitudes chrétiennes envers la « loi de Moïse » et les livres des
prophètes de l’ancienne alliance.
Déjà une question s’impose :
peut-on adorer ce qu’on ne connaît pas ? En disant oui, il faut admettre
que cette adoration a très peu de chance, et réellement aucune, de présenter la
forme exigée par le Dieu adoré. La réponse la plus logique est donc, un non
absolu. Et c’est alors qu’apparaît la justification de « la loi de Moïse » qui, lui, servait
et connaissait le Dieu créateur, le Tout-puissant. Et c’est en le servant
pendant quarante ans qu’il a appris à le connaître. Et je le rappelle, car ceci
doit être bien compris, mais étant nommée « la loi de Moïse », cette loi est en réalité « la loi de
Dieu » qui témoigne des expériences vécues par le peuple hébreu au cours
de sa formation spirituelle étendue sur 40 années de dépendance totale envers
Dieu, dans le désert sec et aride de l’Arabie dans lequel rien ne pousse ni ne
germe.
Relève
dans la bouche de Jésus-Christ ce pronom personnel « nous » par lequel
Jésus affirme et revendique spirituellement sa judaïté : « … ; nous,
nous adorons ce que nous connaissons ; car le salut vient des
Juifs ». Et « le salut », c’est lui, Jésus,
qui le porte et l’apporte à son peuple juif, prioritairement. Les Chrétiens qui
aspirent à être sauvés par le Dieu créateur doivent être bien conscients que « le
salut » proposé est juif de A à Z, soit de « l’alpha
à l’oméga », selon Apocalypse 1:8 : « Je
suis l'alpha et l'oméga, dit le
Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout Puissant. »
Ainsi,
la judaïté est la norme divine du « salut » et ne peut donc que
rester perpétuellement juive. Et la perfection divine de Jésus-Christ repose
sur sa parfaite conformité à cette loi nommée « loi de Moïse » ;
car déjà, avant son incarnation, ce fut l’esprit divin de Jésus-Christ qui
conduisit le peuple hébreu dans sa formation au désert, pendant quarante
années. Et c’est encore lui qui, après sa résurrection a conduit et va conduire
ses élus jusqu’au jour de son grand retour final glorieux et justicier.
Dans
son épître adressée aux Romains, dans le chapitre 11, l’apôtre Paul a
correctement présenté la situation spirituelle des chrétiens de la nouvelle
alliance qui d’origine païenne sont greffés sur la racine du judaïsme construit
sur la promesse faite par Dieu à Abraham, son élu fidèle. Il dit dans les
versets 17 à 22 : « Mais si
quelques-unes des branches ont été retranchées, et si toi, qui était un olivier
sauvage, tu as été enté à leur place, et rendu participant de la racine et de
la graisse de l'olivier, ne te glorifie pas aux dépens de ces branches. Si tu
te glorifies, sache que ce n'est pas toi qui portes la racine, mais que
c'est la racine qui te porte. » La logique à suivre et la menace divine
sont ensuite évoquées : « Tu
diras donc : Les branches ont été retranchées, afin que moi je fusse enté. Cela
est vrai ; elles ont été retranchées pour
cause d'incrédulité, et toi, tu subsistes par la foi. Ne t'abandonne
pas à l'orgueil, mais crains ; car si
Dieu n'a pas épargné les branches naturelles, il ne t'épargnera pas non plus.
Considère donc la bonté et la sévérité de Dieu : sévérité envers
ceux qui sont tombés, et bonté de Dieu envers toi, si tu demeures ferme dans
cette bonté ; autrement, tu seras
aussi retranché. » Depuis leur volonté d’être séparés des
Juifs, les faux chrétiens ont donc été « retranchés » du
salut proposé en Christ par Dieu. Mais malgré son avertissement précis, sa mise
en garde contre « l’incrédulité », son
enseignement est ignoré et méprisé par le faux christianisme. Et Paul ajoute aux
versets 23 et 24 au sujet des Juifs incrédules : « Eux de même, s'ils ne persistent pas dans
l'incrédulité, ils seront entés ; car Dieu est puissant pour les enter de nouveau. Si
toi, tu as été coupé de l'olivier naturellement sauvage, et enté contrairement
à ta nature sur l'olivier franc, à plus forte raison eux seront-ils entés selon
leur nature sur leur propre olivier. » La judaïté du plan du salut est
encore ainsi confirmée par la nécessité pour un Juif incrédule retrouvant la
foi, d’être regreffé sur sa racine juive originelle. Dieu ne propose son salut
qu’en le plaçant, exclusivement, sur la seule racine juive en accomplissement
de la promesse faite à Abraham. Et la culpabilité des faux christs et faux
chrétiens est grande, immense, parce qu’ignorant les mises en garde de Paul et
de Jésus-Christ, les faux chrétiens ont approuvé le décret de Constantin 1er
promulgué le 7 Mars 321 pour séparer les Chrétiens des Juifs par le « repos
du premier jour » ; les
Juifs étant identifiés à l’observance du « repos du septième jour »
renommé « jour du sabbat ». Dans ce décret, l’empereur ordonne aux
chrétiens de l’empire « de ne plus
judaïser » en participant au repos du sabbat.
Aucun
des textes de la sainte Bible n’invite les Chrétiens à se séparer des Juifs. Et
je trouve même un exemple concret contraire dans Actes 15:21 où l’apôtre
Jacques évoque la possibilité pour un païen converti d’apprendre « la loi de Moïse » en se rendant
dans les synagogues où chaque sabbat les Juifs se rassemblent : « Car, depuis bien des générations, Moïse a
dans chaque ville des gens qui le prêchent, puisqu'on le lit tous les jours de
sabbat dans les synagogues. » La loi fut ainsi attribuée à « Moïse »
qui écrivit les choses que Dieu lui ordonnait d’écrire.
Dans
ces synagogues juives, les païens convertis rencontraient des Juifs incrédules,
mais ils ne venaient pas pour écouter leurs avis religieux humains, mais,
uniquement, pour découvrir les vraies paroles de la sainte Bible concernant
l’ancienne alliance. Et en ce commencement, seul ce témoignage existait ;
ce qui prouve ainsi que les premiers chrétiens, comme les derniers, doivent
construire leur formation spirituelle sur le canon biblique de l’ancienne
alliance. La justification de la norme de la nouvelle alliance reposait
exclusivement sur l’étude des Ecritures de l’ancienne alliance.
Ce
texte de Zacharie 8:23 est également mal interprété par les théologiens
chrétiens jusqu’à ce jour : « Ainsi
parle YaHWéH des armées : En ces jours-là, dix hommes de toutes les langues des
nations saisiront un Juif par le pan de son vêtement et diront : Nous irons
avec vous, car nous avons appris que Dieu est avec vous. » Ce passage
de Zacharie prophétise l’évolution du plan du salut accompli en Jésus-Christ le
« Roi des Juifs » et Juif
lui-même. Dans cette image, l’expression « un juif » désigne exclusivement Jésus-Christ ou l’un de ses
élus rachetés transformé à son image donnée en modèle pour être imité et
reproduit. Le vêtement de Jésus-Christ symbolise sa justice, sa vie parfaite
exemplaire. Et « saisir le pan de son vêtement »
signifie revendiquer le droit à sa « justice
éternelle ». Le pluriel utilisé ensuite dans la phrase « nous irons avec vous » désigne
l’assemblée des élus chrétiens dont Christ est le Chef, le Seigneur et le
Maître. Ce verset vient à son tour confirmer l’exclusivité juive du salut
offert par Dieu aux pécheurs repentants sincères, en provenance de toutes les
origines ethniques et religieuses, prêts à se convertir au nom de Jésus-Christ.
Le
projet salvateur de Dieu repose donc sur une constante qui, étant la norme du
caractère des élus, n’est que sa conformité au caractère du Dieu créateur.
Seule cette conformité, justifie pour Dieu, son sacrifice mortel en
Jésus-Christ. Dans ce projet divin, il ne faut pas placer le moyen au-dessus du
but recherché ; le moyen étant le rachat par Jésus-Christ et le but étant
la conformité au caractère de Dieu. Ainsi le pécheur véritablement gracié vient
chercher en Jésus-Christ le modèle du caractère qui plait à Dieu afin de
l’imiter et de le partager en le reproduisant dans l’esprit de sa chair
humaine.
La
priorité du but sur le moyen est relevable dans le fait que les premiers élus
sélectionnés par Dieu sur la terre, ignoraient tout du salut offert en
Jésus-Christ. Ils aimaient Dieu sans connaître son projet salvateur et le
servaient dans la fidélité pour lui témoigner leur amour. Le rachat des péchés
obtenu par la mort de Jésus-Christ devait favoriser les conversions des
multitudes païennes, mais aussi les fausses conversions, comme celle de la
religion catholique romaine « mère »,
depuis l’année 313, et celles de ses « filles »
dites « réformées » depuis le XVIème siècle et officiellement
condamnées par le décret de Daniel 8:14 depuis 1843-1844.
Pendant
toute l’histoire de la terre, Dieu a justifié sa sélection d’élus sur le
constat de leurs œuvres obéissantes. Car l’expérience terrestre a précisément
pour but de régler définitivement le problème de la désobéissance produit par
ses créatures angéliques puis, secondement, par ses créatures humaines terrestres.
De Genèse jusqu’à Apocalypse 22, la norme de la loi divine est la parole
ordonnée par Dieu. Orale, dans un premier temps, avant le déluge et l’Exode des
Hébreux, elle est devenue avec Moïse une loi écrite qui établit la norme
parfaite de la judaïté. Pour tous les êtres humains, la sainte Bible perpétue
la connaissance des valeurs approuvées par Dieu.
Ecoutons
parler le « Roi des Juifs » ; que dit-il dans Matthieu 5:17-18 :
« Ne croyez pas que je sois venu
pour abolir la loi ou les prophètes ; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. Car, je vous le dis en
vérité, tant que le ciel et la terre ne
passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait
de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé. » J’imagine
aujourd’hui, la confusion que vont ressentir au jour du jugement dernier, mais
déjà à l’heure de son retour glorieux au jour du printemps 2030, tous ceux qui
lui imputent un démenti de ses propos par leurs œuvres et leur conception de la
religion chrétienne. Car les paroles de Jésus-Christ sont précises et donnent
des preuves infalsifiables qui prouvent que, pour son jugement divin, la loi de
l’ancienne alliance ne peut en aucune manière être changée ou modifiée :
« le ciel et la terre sont encore » ;
donc la loi divine reste elle-aussi inchangée et inchangeable.
A
son sujet, je rappelle que l’écriture hébraïque a connu une modification depuis
le séjour du peuple juif déporté à Babylone en Chaldée. Mais seule la forme
archaïque du dessin des signes de l’alphabet hébreu a été remplacé par la
nouvelle forme chaldéenne de l’alphabet hébreu dit « carré ». Le nom
des lettres et leur nombre est resté le même. De plus, originellement, les
lettres se succédaient toutes sans les intervalles vides qui séparent
aujourd’hui, les mots, les noms, les articles, les verbes et les prépositions.
Et à ce sujet, la judaïté écrite est marquée par le miracle divin d’une manière
infalsifiable et non imitable. Les versets se composent de lettres qui ont
aussi valeur de chiffres. Et dans sa forme écrite en hébreu, la Bible construit
des figures numériques inimaginables pour un cerveau humain limité. Utilisant
encore le même principe, à leur tour dans la nouvelle alliance, les épîtres
écrites par les Evangélistes et les autres vrais témoins de Jésus-Christ présentent
eux aussi, même en version grecque, miraculeusement, des constructions de
figures numériques qui attestent de leur droit « canon » exclusif.
C’est en tenant compte de ce caractère spécifique que les livres conformes au
« canon » divin sont reconnus et que les autres sont rejetés et
nommés « apocryphes » et reconnus uniquement par les chrétiens
« hypocrites » du
catholicisme romain. La qualification apocryphe ne rend pas inutile le document
concerné qui reste le témoignage d’un historien humain utile, voire
indispensable, comme ceux qu’a laissé derrière lui, l’historien juif nommé
« Joseph », contemporain de la première révolte juive contre les Romains
(66-70).
Seuls
des esprits humains superficiels peuvent approuver l’idée de vouloir séparer la
religion chrétienne du judaïsme au prétexte que les méchants Juifs ont crucifié
Jésus. Aucun élu ne peut adhérer à une telle démarche, ceci, parce que
prévoyant cette option religieuse utilisée comme prétexte pour détourner les
chrétiens de la loi divine et particulièrement, du repos sabbatique du septième
jour, Jésus-Christ a dit à ses apôtres, dans Jean 10:17-18 : « Le Père m'aime, parce que je donne ma vie,
afin de la reprendre. Personne ne me
l'ôte, mais je la donne de moi-même ; j'ai le pouvoir de la donner, et j'ai
le pouvoir de la reprendre : tel est l'ordre que j'ai reçu de mon Père. » Et
disant, « personne ne me l’ôte », Jésus enlève à quiconque toute
possibilité d’accuser les Juifs à ce sujet ; il ne leur reproche pas
lui-même de le faire mettre à mort, mais condamne leur incrédulité qui les
conduit à cette terrible, parce qu’injuste, décision.
Il
est donc clair que le salut vient bien des Juifs, mais uniquement, parce que
Dieu a fait de ce peuple, momentanément, son peuple, parmi tous les peuples de
la terre, pour des raisons prophétiques. En créant Israël, Dieu a voulu
signaler à l’humanité son intention de sélectionner en elle des êtres humains
capables de l’aimer comme il le demande. Mais cet amour n’a de valeur qu’en
étant libre de toute contrainte ; ce que l’Israël transmis par l’héritage
de la chair était et reste encore aujourd’hui, incapable de réaliser. C’est
pourquoi, dès sa création, après avoir été délivré de l’esclavage égyptien, cet
Israël charnel a été caractérisé par des rebellions fréquentes contre Moïse et
Aaron, son frère, le souverain sacrificateur. Ils représentaient les deux
autorités mises en service par Dieu. Cette attitude rebelle témoignait de
l’imperfection de cette organisation terrestre vouée à l’échec ; ce que
son histoire a confirmé.
Le
salut vient bien des Juifs, mais uniquement du Juif parfait nommé Jésus. Ce qui
fait sa perfection, c’est précisément sa conformité absolue à la loi divine
écrite par Moïse sous la directive de ce même Jésus, avant son incarnation dans
l’Israël charnel. Et après le ministère terrestre de Jésus-Christ, le rôle de
l’Israël imparfait ne pouvait que prendre fin, et être remplacé par un Israël
spirituel composé, cette fois, de gens capables d’aimer Dieu comme il le
demande. Dieu a pu ainsi donner forme et existence à son projet salvateur
prophétisé par l’Israël charnel imparfait.
Le
premier souverain sacrificateur portait sur sa poitrine un pectoral sur lequel
étaient enchâssées douze pierres précieuses. Elles symbolisaient l’aspect
précieux que ses élus rachetés représentaient pour Dieu en Jésus-Christ, le vrai
Souverain sacrificateur céleste. Aujourd’hui encore, les pierres précieuses ne
se trouvent pas sur le sol terrestre à la vue des hommes. On ne les trouve
qu’en creusant la terre, en déplaçant des tonnes de terre et de pierres
ordinaires, et encore dans des lieux précis et rares. Aujourd’hui, des terres
dites « rares » contenant des matériaux indispensables pour la
construction des « téléphones mobiles » ont encore plus de valeur
pour l’humanité. Les élus de Dieu sont à cette image, aussi rares que ces terres
rares. Et la chose se comprend très bien, parce
qu’ils marchent à contre-courant des valeurs de leur société
contemporaine pour rester en conformité avec les normes divines
parfaitement stables. Leur sélection par Dieu est donc logique et automatique
parce qu’il constate le fruit de leurs œuvres.
Depuis
la Révolution française du 14 Juillet 1789, jusqu’à ce 14 Juillet 2025 qui se
présente dans deux jours, en France, la liberté individuelle n’a fait que
croître jusqu’à la construction de l’Europe de Maastricht pour laquelle la
France a renoncé à son indépendance. Ceux qui ont agi ainsi n’aimaient pas leur
pays. Qu’étaient-ils capables d’aimer ? La liberté les a rendus égoïstes
et leur seule préoccupation consistait à préserver cette liberté individuelle
égoïste. Cet égoïsme individuel les a conduits à renoncer au privilège national
et à tomber sous la dépendance de la gouvernance européenne et son autorité.
Les Français ont donc perdu collectivement et individuellement une partie de
cette liberté chèrement acquise entre 1789 et 1798. La liberté a produit
l’égoïsme confirmé par l’incapacité des couples à prolonger leur vie ensemble.
En Occident premièrement, et maintenant sur la terre entière, le nouveau
compagnon est le téléphone mobile et le mal concerne autant les hommes que les
femmes. Ce nouveau compagnon mobilise toutes les attentions qui devraient se
porter vers le prochain, l’être humain, le semblable devenu le concurrent,
voire l’adversaire, dont il faut se méfier et qu’il faut combattre. Un tel état
d’esprit rend les élus de Dieu plus rares que jamais. Et chacun peut constater
la disparition de la foi dans ce pays de France où elle a été le plus attaquée.
Devant un tel résultat, Dieu ne peut que livrer cette nation rebelle à ses
ennemis, comme il l’a fait en son temps, à son Israël charnel rebelle et
dernièrement, pour le rappeler, par la « solution finale » mis en
œuvre en 1942 contre les Juifs par les Nazis allemands.
La
leçon de cette étude nous met donc en garde contre deux comportements
diamétralement opposés : la recherche du lien fraternel avec les Juifs
rebelles et le désir de la séparation entre les Juifs et les Chrétiens. Les
deux démarches sont illégitimes, car les seules choses transmises par l’Israël
charnel restées utiles et indispensables sont : la « loi
de Moïse » et le « Roi des Juifs » nommé
Jésus-Christ. Aussi, dois-je également te mettre en garde contre la mauvaise
interprétation de ce verset cité dans Romains 10:4 : « car Christ est la fin de la loi, pour la
justification de tous ceux qui croient. » Dans ce verset, les deux
choses importantes présentées par Dieu sont mises en opposition, mais cette
opposition ne concerne que leur rôle « justificatif » des élus de
Dieu. Car loin d’être opposés, la loi divine et Jésus-Christ sont
inséparables ; « la loi de
Moïse » étant l’expression du caractère divin de Jésus-Christ, et « Jésus-Christ » étant l’incarnation
humaine de la sainte loi divine. La
« loi de Moïse » et « Jésus-Christ » ne s’excluent pas
mutuellement, mais au contraire, ils se renforcent l’un et l’autre. Dans ses
explications, l’apôtre Paul oppose les deux alliances divines, uniquement, sur
le plan chronologique qui les place avant Christ ou après lui. Et bien sûr, la
venue du Messie rend par sa mort les pratiques sacrificielles animales
inutiles ; ce qui concerne et s’applique également, aux fêtes religieuses
qui prophétisaient sa venue et le fruit de ses œuvres. Et dans la nouvelle
alliance, la « loi de Moïse »
prolonge son accusation de péché qu’elle impute à tous les hommes qui la
transgressent. Elle les conduit ainsi vers la grâce divine proposée par le
rachat des péchés effectué par Jésus-Christ, par l’offrande volontaire de sa
vie humaine terrestre irréprochable,
comme en a témoigné le cruel Procurateur Romain de Judée Ponce Pilate. L’apôtre
Paul compare le rôle de la « loi de
Moïse » à celui du « pédagogue » grec qui accompagnait
l’enfant à l’école chargée de l’instruire. Dans son grand plan du salut mis en
œuvre au cours de l’histoire de la terre, la « loi de Moïse » liée à l’ancienne alliance juive a ainsi
conduit l’humanité mise en relation avec le Dieu créateur jusqu’au Messie nommé
Jésus-Christ. Et cette même « loi de
Moïse » est utilisée par Jésus pour présenter à ses élus rachetés par
son sang versé sur la croix, le modèle de vie qu’ils doivent représenter pour
que Dieu les juge dignes de son offre de vie éternelle vécue dans sa très
sainte présence.
Nous
l’avons vu dans ce message, Jésus-Christ a déclaré : « Je ne suis pas venu pour abolir, mais pour
accomplir ». Il a annoncé ainsi qu’il n’apportait pas un nouvel
enseignement, mais qu’il est venu, simplement, pour valider les pratiques
sacrificielles animales qui ont précédé prophétiquement son propre sacrifice
mortel rédempteur. Le rôle des deux alliances successives est ainsi établi et
leurs enseignements se fondent et se prolongent pour instruire les vrais élus rachetés
jusqu’au temps du retour glorieux de Dieu en Christ ; retour attendu pour
le jour du printemps de l’année 2030.
Après
la trompeuse paix religieuse instaurée par l’empereur romain Constantin 1er
en 313 par son décret de Milan, ville de sa résidence, le christianisme tomba. Depuis
le 7 Mars 321, victimes de son décret impérial imposant le repos du premier jour dédié au culte du soleil
divinisé, décret visant à déjudaïser la religion chrétienne, des multitudes de
gens ont vainement pensé être
sauvées par leur foi placée en Jésus-Christ. Les fatales conséquences de cette
mesure se prolongent encore aujourd’hui, en ce sabbat du 12 Juillet 2025 avec
la même efficacité affermie par l’héritage religieux séculaire. En approchant
de l’heure du châtiment, l’offre de la grâce du Christ perd en même temps son
attrait et ses adeptes. La moisson de la terre est proche, mais le châtiment
des coupables est lui, imminent. L’actualité porte nos regards sur la nation
juive restée sous son statut rebelle à cause de son opposition au Christ Jésus
qu’elle considère encore comme un « imposteur ». Ainsi, les premiers
pécheurs de l’Israël de l’ancienne alliance sont utilisés par Dieu pour exciter
la colère des peuples musulmans contre les nations chrétiennes occidentales
infidèles. Ces Juifs-là n’apportent pas le salut mais la guerre et la mort.
Toutefois, le simple fait de les mettre en évidence témoigne en faveur du Dieu
créateur qui a donné existence à leur peuple.
Ce
message est en parfaite conformité avec les explications données par l’apôtre
Paul qui le confirme en disant dans Romains 2:28-29 : « Le Juif, ce n'est pas celui qui en a les
dehors ; et la circoncision, ce n'est pas celle qui est visible dans la chair.
Mais le Juif, c'est celui qui l'est intérieurement ; et la circoncision, c'est
celle du cœur, selon l'esprit et non selon la lettre. La louange de ce Juif ne
vient pas des hommes, mais de Dieu. »
Index des thèmes traités
Prolongation
des révélations divines reçues depuis le 07/03/2020
Les
nouveaux messages inspirés continuellement par Dieu
Pages Numéros et titres des messages
2 Messages de l’auteur
3 M1- Le réchauffement climatique
9 M2- Le peuplement de la terre
19 M3- Les mensonges religieux
27 M4- Le temps des monstres purificateurs
35 M5- Les répétitions de l’histoire
42 M6- Des coupables inexcusables solidaires
48 M7- L’incarnation du Dieu créateur
55 M8- La concurrence
59 M9- Le bon sens apparaît
65 M10- La perversion du bon jugement
73 M11- Le jugement perpétuel et éternel
81 M12- La crise mondiale du capitalisme
89 M13- Le premier jour
95 M14- L’heure de la confusion
106 M15- Un pays trop loin
113 M16- Le mirage de la paix
120 M17- Toute la gloire du Dieu suprême
126 M18-
Les fruits de la malédiction
133 M19- L’Europe divisée
142 M20- Regard spirituel sur le monde de 2025
151 M21- Les nouveaux Romains
159 M22- L’actualité mondiale en fables
162 M23- Le vrai sens des choses
170 M24- Le véritable temps du calendrier de
Dieu
177 M25- Devenir citoyen du royaume des cieux
185 M26- La ruine avant la mort
191 M27- Le piège prophétique
196 M28- La vengeance légitimée
207 M29- La morale divine face à l’immorale et
amorale humanité
213 M30- Le prix du mépris
220 M31- La divine extase
227 M32- Le messager de la mort
240 M33- L’inversion du sort des derniers élus
244 M34- Le Vivant
252 M35- Sans moi vous ne pouvez rien faire
261 M36- Ce Dieu qui ne change pas
266 M37- Terminator
277 M38- Pas la paix mais l’épée
285 M39- Les questions qui tuent ou délivrent
292 M40- l’aigle royal et la taupe
300 M41- Car le salut vient des Juifs
307 Index des thèmes traités
Conseil
aux lecteurs
Cet
ouvrage est susceptible de subir constamment des modifications (corrections,
rajouts ou suppressions). Aussi, pour savoir si d’importantes modifications ont
été apportées, dans chaque mise à jour proposée, vérifiez et comparez le numéro
de page de l’index des thèmes mentionnés ci-dessus, avec celui de la version
précédente que vous possédez.
Moi, Samuel, serviteur inspiré de Jésus-Christ,
je remercie et associe à l’élaboration de cette œuvre, mes compagnons, frères
et sœurs en Christ qui, par leur aide précieuse et leurs talents individuels
favorisent les corrections des fautes d’orthographe, de frappe, et d’erreurs de
détails historiques, qui permettent de rendre ce divin enseignement digne du
Dieu de vérité qui l’inspire. Ils ont ainsi apporté leur pierre à la
construction de cet édifice spirituel. Qu’ils en soient tous éternellement
bénis !